Quelque 200 infirmières et infirmiers se sont rassemblés, mardi à Paris, pour dénoncer à nouveau leurs conditions de travail et réclamer une revalorisation de leur profession.
Elles ont en commun leur diplôme, mais la réalité de leurs métiers respectifs est très différente. Quelque 200 infirmières et infirmiers ont manifesté, mardi 24 janvier, à Paris, pour dénoncer à nouveau leurs conditions de travail et réclamer une revalorisation de la profession et de ses spécialités. Des rangs clairsemés par le froid et, surtout, par la dispersion syndicale : si une dizaine d'organisations avaient appelé à la grève, la FNI, premier syndicat d'infirmiers libéraux, la Fnesi (étudiants) ou encore l'intersyndicale CGT-FO-SUD ne s'étaient pas associés au mouvement cette fois-ci.
Il n'empêche. La colère des soignants n'est pas retombée depuis le 8 novembre, où ils étaient des milliers à défiler dans les rues, émus par le suicide de cinq d'entre eux au cours de l'année 2016. Les 30 millions d'euros débloqués par le gouvernement pour une meilleure prise en charge de la souffrance des soignants qui travaillent en milieu hospitalier n'y ont rien fait. Franceinfo est allé à leur rencontre...........
http://www.francetvinfo.fr/sante/pr...avec-26-patients-dans-un-service_2033991.html
Elles ont en commun leur diplôme, mais la réalité de leurs métiers respectifs est très différente. Quelque 200 infirmières et infirmiers ont manifesté, mardi 24 janvier, à Paris, pour dénoncer à nouveau leurs conditions de travail et réclamer une revalorisation de la profession et de ses spécialités. Des rangs clairsemés par le froid et, surtout, par la dispersion syndicale : si une dizaine d'organisations avaient appelé à la grève, la FNI, premier syndicat d'infirmiers libéraux, la Fnesi (étudiants) ou encore l'intersyndicale CGT-FO-SUD ne s'étaient pas associés au mouvement cette fois-ci.
Il n'empêche. La colère des soignants n'est pas retombée depuis le 8 novembre, où ils étaient des milliers à défiler dans les rues, émus par le suicide de cinq d'entre eux au cours de l'année 2016. Les 30 millions d'euros débloqués par le gouvernement pour une meilleure prise en charge de la souffrance des soignants qui travaillent en milieu hospitalier n'y ont rien fait. Franceinfo est allé à leur rencontre...........
http://www.francetvinfo.fr/sante/pr...avec-26-patients-dans-un-service_2033991.html