Tient, une autre richesse naturelle de la FR convoitée par l’Occident.
La perle bleue de Sibérie. Patrimoine UNESCO.
Le lac Baïkal. Longueur 636 kilomètres, soit un peu plus que la distance entre
Tanger et Taroudant.
Une de ses largeurs est presque 80 kilomètres, soit un peu moins que la distance
Rabat-Casablanca.
Contient environ 20 pourcent de volume d’eau douce de la planète. D’après certains scientifiques il peut approvisionner toute la planète pendant une année, et peut prendre deux a trois siecle pour renouveler son contenu (à vérifier).
Soubhana Allah
Ton lac, il est en train de mourir.
Près de Listvianka, ville touristique près de la capitale régionale Irkoutsk, "il y avait des forêts sous-marines d'éponges il y a 15 ans. Maintenant, elles sont toutes mortes", regrette-t-il.
- Argent volé -
Si le déversement des eaux polluées dans le lac ne s'arrête pas, la zone côtière va "changer radicalement", met en garde le scientifique, appelant à interdire dans la région l'utilisation des substances contenant des phosphates et y construire "les meilleures stations d'épuration d'eau de Russie"
En août, le président russe Vladimir Poutine avait dénoncé "la pollution extrêmement forte" du Baïkal.
Une loi spéciale, adoptée en 1999, prévoyait une série de mesures pour protéger le lac. Le gouvernement avait aussi promis de verser près de 26 milliards de roubles (383 millions d'euros) pour le programme de purification des eaux usées lancé en 2012. Mais selon les experts locaux, une grande partie des sommes déjà dépensées a été gaspillée en vain.
Dans la ville de Babouchkine, sur les côtes du Baïkal, des millions de dollars ont été dépensés pour la mise en place d'une station de purification d'eau. Mais les bactéries qui devaient purifier l'eau sont incapables d'agir dans les eaux glacées pendant l'hiver sibérien, selon les médias locaux.
"De l'argent a été alloué mais il a été volé", affirme encore un écologiste local, Sergueï Chapkhaïev.
Le financement des recherches scientifiques a pour sa part diminué, au moment où les recherches scientifiques sur le Baïkal sont extrêmement importantes pour sauver le lac, soulignent Oleg Timochkine et Anatoli Mamontov.
"Convoité par l'occident", ça fait doucement rigoler quand on connait le cout de transport prohibitif de l'eau. Il reviendra beaucoup moins cher de dessaler de l'eau de mer que de de polluer et transporter.
On n'a qu'à déshydrater la flotte. De la flotte en poudre, c'est plus facile à transporter. Ou, alors, on creuse un canal. Tiens, On a qu'à envoyer des canadairs.