Manuel valls présente la démission de son gouvernement

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Vu qu'en France il y a de moins en moins de spécialistes pour être ministres Valls le sinistre sioniste va devoir recruter ses ministres au CRIF ou en Israël.Pourquoi pas un ministère de l'islam avec Finkielkraute comme ministre?L'Islam occupe tellement de place dans l'espace médiatique français que ce ne serait pas si étonnant.
 
Le FN est le premier parti de France, je suis curieux de voir comment la droite et la gauche vont renverser cette tendance. Lequel de ces deux partis va se sacrifier pour l'autre. Si le PS et l'UMP ne jouent pas ce jeu, le FN l'emporte en 2017.
 
Chaque économie a sa carte génétique, je commence à penser que La politique de l'Austérité pour la France n'est pas son Remède, du moins à court termes.
l'ADN économique de l'Allemagne ne peut pas être comparé a L'ADN de l'économie Francaise.
 
Il faut reconnaitre que Hollande aura exercer son mandat dans une conjoncture économique que aucun Président n'enviera avant longtemps. Dans son bonheur d'avoir été élu, son malheur est la conjoncture éco.
 
La pro-gender et LGBT Najat Vallaud-Belkacem à l’Éducation Nationale.

Et pourquoi pas Kim Jong-un aux droits de l'Homme pendant qu'on y est...

C'est une réelle provocation à l'égard des familles, des croyants et de tous ceux qui refusent que leurs enfants subissent de force cette idéologie nauséabonde et destructrice.

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nouveau gouvernement




Laurent Fabius, ministre des Affaires étrangères et du développement international, et comment foutre le bordel un peu partout sans avoir de sang contaminé sur les mains.



Ségolène Royal, ministre de l’Ecologie, du Développement durable et de l’Energie

Najat Vallaud-Belkacem, ministre de l’Education nationale, de l’Enseignement supérieur et de la Recherche

Christiane Taubira, garde des Sceaux, ministre de la Justice,

Michel Sapin, ministre des Finances et des comptes publics

Emmanuel Macron ministre de l’Economie, de l’Industrie et du Numérique

[M. Macron, inspecteur des finances et ancien associé de la banque Rothschild, introduit en Hollandie par Jean-Pierre Jouyet et proche de Jacques Attali, chargé de maintenir le contact avec les patrons, petits et grands.

Marisol Touraine, ministre des Affaires sociales et de la Santé et du Droit des Femmes

François Rebsamen, ministre du Travail, de l’Emploi et du Dialogue social

Jean-Yves Le Drian, ministre de la Défense

Bernard Cazeneuve, ministre de l’Intérieur

Patrick Kanner, ministre de la Ville, de la Jeunesse et des Sports

Marilyse Lebranchu, ministre de la Décentralisation et de la Fonction publique

Fleur Pellerin, ministre de la Culture et de la Communication

Stéphane Le Foll, ministre de l’Agriculture, de l’Agroalimentaire et de la Forêt

Sylvia Pinel, ministre du Logement et de l’Egalité des territoires

George Pau-Langevin, ministre de l’Outre-mer
 
Ils devient de plus en plus urgent d’instaurer le vote obligatoire comme en Belgique pour obliger a faire voter les aigris de la politique. :sournois:

Je ne savais pas que la Belgique était une dictature :D

Sérieux, je ne loupe d'habitude aucune élection même européenne...mais là quand je vois ce qu'est devenu la politique en France je suis bien tenter de déchirer ma carte d’électrice ^^
 
Remaniement: on prend les mêmes et on recommence, ou comment se moquer des Français !

Emmanuel Macron à l'Economie, Najat Vallaud-Belkacem à l'Education nationale et Fleur Pellerin à la Culture. Voilà les trois grandes nominations du gouvernement Valls II, annoncé en fin de journée par le secrétaire général de l'Elysée Jean-Pierre Jouyet. Ils correspondent aux postes laissés vacants par les démissionnaires Arnaud Montebourg, Benoît Hamon et Aurélie Filippetti.

Remaniement : les difficultés, c'est maintenant...

Remaniement : François Lamy refuse d'entrer au gouvernement...

Remaniement : le récit d'une journée de tractations...


Afin de sortir d'une crise politique majeure, et d'être en mesure d'affronter une rentrée déjà périlleuse sur le plan économique, François Hollande et Manuel Valls s'étaient réunis plus de 5 heures ce mardi à l'Elysée pour composer cette nouvelle équipe. Ce doit être un «gouvernement de clarté» sur la «ligne et les comportements», avait réaffirmé l'Elysée ce mardi, alors que les ruades et provocations d'Arnaud Montebourg ont provoqué la chute du gouvernement lundi.

Alors que la majorité s'est effritée au fil des législatives partielles, des désaccords de l'exécutif avec ses alliés et de la montée en puissance des frondeurs du PS, l'exercice était à haut risque.

19h15. Le PCF s'attend à une politique «plus droitière que jamais». Pour Pierre Laurent (PCF), la composition du nouveau gouvernement consacre «une politique plus droitière que jamais».

19h10. Pascale Boistard fait son entrée. La députée socialiste de la Somme Pascale Boistard, 43 ans, devient secrétaire d'État aux Droits des femmes. Elle a notamment été une des adjointes du maire de Paris Bertrand Delanoë entre 2008 et 2012 avant d'être élue députée il y a deux ans dans la première circonscription de la Somme.

19h10. Le retour de Vidalies Le député PS des Landes Alain Vidalies devient secrétaire d'Etat aux Transports. Il avait été ministre des Relations avec le Parlement dans le gouvernement Ayrault pendant deux ans.

19h07. Douze ministres sur seize restent en place. Ce remaniement est limité puisque douze ministres conservent leurs fonctions : Christiane Taubira à la Justice, ainsi que Laurent Fabius (Affaires étrangères/développement international), Ségolène Royal (Ecologie/développement durable/énergie), Michel Sapin (Finances et comptes publics), Marisol Touraine (Affaires sociales), François Rebsamen (Travail/emploi/dialogue social), Jean-Yves Le Drian (Défense), Bernard Cazeneuve (Intérieur), Stéphane Le Foll (Agriculture et porte-parole du gouvernement), Sylvia Pinel (Logement/Egalité des territoires/ruralité, George Pau-Langevin (outre-mer), Marylise Lebranchu (Décentralisation et Fonction publique).

19h05. Parité respectée. Le gouvernement Valls II comprend comme ministres de plein exercice huit hommes et huit femmes.

......................http://gaelle.hautetfort.com/archive/2014/08/26/remaniement-5434774.html
 
Le nouveau gouvernement « Valls-2 » inquiète, et pour plusieurs raisons. La première est que, loin de mettre fin à la crise politique rampante qui dure depuis plusieurs mois, il va, au contraire l’exacerber. Ce n’est pas en changeant des ministres que l’on résout les problèmes de l’heure. La « Valls-e » des ministères, si elle permet – peut être – une meilleure cohérence politique, réduit l’assise de ce gouvernement à une tête d’épingle. Certes, c’est cohérent, une tête d’épingle, mais comme assise politique on fait mieux…À moins que Valls n’espère des ralliements sur sa droite. Il risque fort, sur ce point, d’être déçu. A moins de trois ans des prochaines échéances électorales, on ne voit pas pourquoi des députés UMP ou UDI prendrait le risque de s’allier à un gouvernement nécessairement impopulaire, même si certains peuvent en apprécier les politiques. De plus, cette hypothétique alliance validerait les discours qui disent qu’il n’y a plus de différence entre PS et UMP. En fait, le choix était simple : changer de politique ou retourner aux urnes, afin d’obtenir un mandat populaire clair sur les orientations du gouvernement qui, à l’évidence, ne sont plus celles de 2012. Le Président et son Premier-Ministre n’ont voulu faire ni l’un ni l’autre. Et l’on appelle cela une décision, et l’on veut voire dans ce gouvernement un exemple de courage politique ? On imagine que Clémenceau, auquel Manuel Valls aime bien se comparer, s’est retourné dans sa tombe.

Car, derrière les postures et les coups de mâchoire de Manuel Valls, c’est en réalité et comme toujours, la volonté d’allier la chèvre et le chou. Sauf que l’on sait bien qui mangera l’autre. En fait, c’est une politique profondément anti-démocratique qui est mise en œuvre aujourd’hui. C’est cette politique que Manuel Valls est allé faire applaudir à l’Université d’été du MEDEF ce mercredi 27 août. Les Français le ressentent ; on peut s’attendre à ce qu’ils ne la tolèrent pas. Ce gouvernement risque donc de s’enferrer dans des batailles parlementaires continuelles, qui pourraient rendre inévitable une dissolution à la fin de l’hiver. A ce compte, mieux aurait valu une clarification immédiate. Les déclarations faites mardi à 20h dans le journal de France 2 par Manuel Valls sont un autre motif d’inquiétude. Visiblement, ce monsieur n’a qu’une connaissance limitée de l’économie, et une connaissance encore plus courte de la politique étrangère. (...)

http://russeurope.hypotheses.org/2694
 
Emmanuel Macron ...
Nommer un banquier de Rothschild dans un gouvernement "socialiste", c'est comme nommer Guy Georges aux droits des femmes.

A 9 min 30:


David Pujadas: "...Ex banquier chez Rothschild, on l'a entendu"

Manuel Valls: "Et? Et alors?"


Dans sa logique, c'est vrai, il ne doit y avoir aucune contradiction.

Ni dans celle de Philippe Aghion (économiste, Harvard, Paris School of Economics) qui nous expliquait dans la soirée, en transe, qu'une bonne politique de gauche était... De droite:

http://video.lefigaro.fr/figaro/video/philippe-aghion-l-invite-de-ruth-elkrief/3751858669001/

Le trait-d'union entre E. Macron et P. Aghion (fils de Gaby Aghion, née Gabrielle Hanoka, fondatrice de la maison Chloé)?

Leur passion pour la finance et les marchés dérégulés très logiquement.

Le premier, "proche des États-Unis [...] membre de la promotion 2012 des "Young Leaders" de la French-American Foundation [...] est nommé gérant, et pilote l'une des plus grosses négociations de l'année (le rachat par Nestlé d'une filiale de Pfizer). Cette transaction évaluée à plus de 9 milliards d'euros lui permet de devenir millionnaire. [...] Au printemps 2014, il est invité à la réunion du groupe Bilderberg à Copenhague" (http://fr.wikipedia.org/wiki/Emmanuel_Macron) n'a déjà plus rien à prouver de ses accointances à 36 ans.

Le second, si enthousiaste de voir le (jeune) premier accéder au ministère de l'économie n'est pas en reste. Co-auteur avec son ami Elie Cohen (également passé par Harvard mais aussi administrateur de la Société générale, administrateur d'Orange, et administrateur du groupe Pages jaunes, rien que ça) du rapport Politique économique et croissance en Europe nous explique ceci:

"La relance de l’intégration (européenne NdJelis) passe à juste titre par deux domaines cruciaux déjà identifiés : le marché des biens, avec l’achèvement de la déréglementation, et celui des services avec la libéralisation des services en réseau, la libéralisation des services aux entreprises et la libéralisation des services financiers."

Peut mieux faire:

"Il est connu de longue date que les marchés financiers sont l’un des domaines où la contribution de l’intégration européenne à l’efficacité économique peut être la plus forte. Celle-ci apporte en effet à la fois liquidité et diversification des risques. Elle permet donc simultanément de réduire les coûts, de réduire les primes de risque, et d’assurer la stabilité macroéconomique en présence de chocs sectoriels ou idiosyncrasiques, contribuant ainsi à la croissance à long terme. Cette dimension nous semble régulièrement sous-estimée dans l’évaluation des obstacles à la croissance européenne." (http://fr.wikipedia.org/wiki/Philippe_Aghion)

Mais ce sont aussi deux proches de l'ineffable Jacques Attali.

E. Macron est rapporteur de la Commission pour la libération de la croissance française plus connue sous le nom de "commission Attali". Le matin même de sa nomination ce dernier déposait à l'Elysée un nième rapport donc, sur... "la francophonie économique" (http://www.elysee.fr/communiques-de...ques-attali-sur-la-francophonie-economique-2/).

P. Aghion est... membre du CAE. Il a fait partie de la Commission pour la libération de la croissance française dite Commission Attali, dont le rapport a été rendu le 23 janvier 2008 au président Nicolas Sarkozy.

Love Me Tender.
 
tout ce que j'espère c'est que Valls le sioniste qui a du sang palestinien sur les mains va payer chèr sa collaboration avec Israel cet été meurtrier. Il va devoir répondre devant la justice de Dieu des crimes à Gaza.
Sur France 2 il a encore implicitement parlé des palestiniens de Gaza comme des terroristes puisqu'il a parlé de terrorisme en Iraq, Syrie et... Israel... et tout ça avec une sale tête de sadique.
 
La pro-gender et LGBT Najat Vallaud-Belkacem à l’Éducation Nationale.

Et pourquoi pas Kim Jong-un aux droits de l'Homme pendant qu'on y est...

C'est une réelle provocation à l'égard des familles, des croyants et de tous ceux qui refusent que leurs enfants subissent de force cette idéologie nauséabonde et destructrice.

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Pour symboliser sa désapprobation, La Manif pour tous a d'ailleurs appelé ses militants à manifester le 5 octobre contre la nomination de la nouvelle ministre de "l’Éducation."
Elle obéit à ses maîtres crapuleux qui sont '"cachés" comme les autres
 
Valls 2 ou l’art du gros pet médiatique !

ll fallait donc agir vite. Rendez-vous compte. Dimanche, Montebourg - le roi du calembour - voulait offrir une cuvée du redressement au Président. S'il s'agissait par là de nous expliquer le début de panne présidentielle avec l'actrice Julie Gayet, l'ex-ministre de l'économie, avouons-le, fut particulièrement indélicat. S'il s'agissait de constater l'état dans lequel la politique - ou l'absence de politique - a plongé notre pays en deux années et demi, alors, c'était plutôt bien vu !

Calembourg, contraction de calembour et de Montebourg

Arnaud Montebourg n'a jamais été avare de bons mots comme celui de 2007, alors qu'il soutenait la candidature de Ségolène Royal à l'élection présidentielle : "Ségolène Royal n’a qu’un seul défaut, c’est son compagnon". Villipendée par la gauche du PS, la candidate socialiste fut victime des "ambitions" de François Hollande, alors 1er secrétaire, qui ne tenait pas particulièrement à fâcher l'avenir. Il laissa faire et Sarkozy devint Président de la République !

Valls à deux temps


Il fallait donc agir vite. Rendez-vous compte. Dimanche, Montebourg - le roi du calembour - voulait offrir une cuvée du redressement au Président. S'il s'agissait par là de nous expliquer le début de panne présidentielle avec l'actrice Julie Gayet, l'ex-ministre de l'économie, avouons-le, fut particulièrement indélicat. S'il s'agissait de constater l'état dans lequel la politique - ou l'absence de politique - a plongé notre pays en deux années et demi, alors, c'était plutôt bien vu !

La suite

La dette devrait continuer d'augmenter : +200 milliards depuis 2012. Nous en sommes à 2000 milliards. Le chômage aussi. Déjà plus de 400 000 demandeurs d'emploi supplémentaires en 2 ans et demi. Dans ce contexte, je ne vois pas en quoi l'absence de changement de politique amènerait des résultats différents.

Sans trop y croire, j'espère cette fois-ci que les "frondeurs" socialistes aient le courage - dans un élan de salut public - de se faire Hara-Kiri en refusant de voter la confiance. Afin d'éviter la victoire du FN en 2017, il vaut mieux que ce soit la droite qui y aille dès maintenant. Avec Juppé ou Fillon, ça ne pourra pas être franchement pire que ce à quoi on assiste aujourd'hui.

Denis Szalkowski
lu sur Agora
 
Le PS bouillonne à La Rochelle

Digérer une crise politique susceptible d'aggraver leurs divisions : c'est la mission des socialistes français réunis en université d'été à partir de vendredi à La Rochelle, où, entre les frondeurs et les soutiens, les choix économiques de l'exécutif feront plus que jamais débat.

Manuel Valls clôturera dimanche trois jours de travaux au terme d'une séquence qui l'a vu changer de gouvernement, en remplaçant notamment le réfractaire Arnaud Montebourg au ministère de l'Economie, et recevoir l'ovation debout des patrons du Medef réunis à Jouy-en-Josas.

Le Premier ministre, qui "aime l'entreprise" et veut "sortir des postures", peut-il compter sur un accueil aussi chaleureux de la part des militants de sa famille politique ?

Rien n'est moins sûr, même si le soutien à François Hollande de 200 députés exprimé jeudi dans une tribune montre qu'une majorité des 290 membres socialistes de l'Assemblée nationale partage la ligne de l'exécutif.

"Nous voulons réussir ensemble et non perdre les uns contre les autres", écrivent-ils dans ce texte en disant s'inscrire "dans chemin" social-démocrate défini par l'exécutif. Mais les images de Jouy-en-Josas ont "sidéré" les tenants de l'aile gauche du PS, en total désaccord avec le choix de François Hollande et Manuel Valls de tout miser sur le pacte de responsabilité qui prévoit des baisses de charges et d'impôts en faveur des entreprises, alors que leur politique n'a pour l'instant donné aucun résultat sur la croissance ni l'emploi.

Les frondeurs qui ont du mal à digérer les derniers rebondissements, Marion Lagardère

La nomination au ministère de l'Economie de l'ancien banquier Emmanuel Macron fait aussi des vagues dans les rangs des militants, surtout après ses propos sur le réaménagement des 35 heures, immédiatement salués par la droite.

"Ça va partir dans tous les sens"

Les services de Manuel Valls ont dû préciser jeudi qu'il n'entendait pas revenir sur la durée légale du travail, après la publication d'une interview d'Emmanuel Macron réalisée avant sa nomination et dans laquelle il prône des dérogations à la règle en cas d'accord avec les salariés...............

http://www.franceinter.fr/depeche-le-ps-bouillonne-a-la-rochelle
 
Oui excellent même, il est pas mal Filoche...merci je fais tourner lol... : )

Filoche est a mon sens un vrai socialiste. il a garder ses convictions, il est droit dans ses bottes. C'est surement par ce que il a été inspecteur du travail qu'il connait la réalité de la mentalité patronale ... si tu tape son nom dans google tu trouveras son blog qui est souvent très intéressant a lire.
 
Filoche est a mon sens un vrai socialiste. il a garder ses convictions, il est droit dans ses bottes. C'est surement par ce que il a été inspecteur du travail qu'il connait la réalité de la mentalité patronale ... si tu tape son nom dans google tu trouveras son blog qui est souvent très intéressant a lire.

C'est lui qui a d'ailleurs dénoncé l'arnaque du CDI-intermittent.
 
Et là, alors que Valls descend du train, Aubry lui envoie une petite claque

(De La Rochelle, Charente-Maritime) Décidément, Manuel Valls va devoir peser chacun des mots qu’il prononcera, ce dimanche, à la tribune de l’université d’été du Parti socialiste.

Alors que les « frondeurs » se sont mis du baume au cœur ce samedi matin, que Christiane Taubira a tenu à leur rendre une visite amicale et qu’Arnaud Montebourg s’est attiré des trombes d’applaudissements, c’est au tour de Martine Aubry de venir chatouiller le Premier ministre.

La maire de Lille demande, dans un communiqué, à ce que l’encadrement des loyers, prévu par la loi Alur (pour l’Accès au logement et un urbanisme rénové) soit appliqué dans sa ville. Cette requête intervient après que Manuel Valls, histoire de parfaire son virage libéral, a annoncé que le mesure emblématique de la loi Duflot ne concernerait que Paris, « à titre expérimental ».

« Comment pourrait-il en être autrement ? »

Pour faire bonne mesure, la maire de Lille se paie la tête de son vieil adversaire, dans un texte où l’ironie n’est pas dissimulée :

« Nous souhaitons que Lille, malheureusement reconnue comme la troisième ville la plus chère de France, puisse également encadrer ses loyers.

Il est bien sûr exact, pour reprendre les termes utilisés par le Premier Ministre, que “les conditions techniques ne sont pas partout réunies” pour fixer dès maintenant dans les agglomérations les plus tendues de notre pays des loyers locaux de référence. Comment pourrait-il en être autrement quelques mois à peine après l’adoption de la loi Alur ? »

La nouvelle est tombée au moment où Manuel Valls se réfugiait dans son hôtel, juste après son arrivée mouvementé à La Rochelle, au milieu de manifestants.

Rare soutien revendiqué du Premier ministre, Luc Carvounas, sénateur PS, a un sourire fatigué à l’annonce du coup de patte aubriesque. Il y a à peine quelques minutes, il s’employait déjà à minimiser la présence de Christiane Taubira, ministre de la Justice, à la réunion des frondeurs. Le voilà obligé de ressortir les rames :

« Aubry est la maire de Lille. Il est dans son pouvoir de décider ce qui est le plus approprié pour sa ville. »

Et d’ajouter, taquin :

« J’espère qu’elle pense aux Lillois en faisant cette annonce. »

Qui provoque qui ?

A quelques mètres de là, les aubrystes jubilent, sourire aux lèvres. Le terrain est de plus en plus favorable à la prise de parole de l’ancienne patronne du parti. Après un premier coup de gueule contre la réforme territoriale, Martine Aubry, qui n’entend pas se rendre à La Rochelle, devrait s’exprimer en septembre par le biais d’une contribution aux Etats généraux des socialistes.

Pour le député Christian Paul, frondeur et proche de Martine Aubry, il ne faudrait toutefois pas voir dans les déclarations de la maire de Lille sur les loyers, une « chicane » injustifiée :

« C’est le fait que Manuel Valls annonce la suspension de cette engagement de François Hollande en plein milieu de l’université d’été du parti à La Rochelle qui est problématique. Il ne faut pas inverser l’ordre des facteurs. »

Autre aubryste, Gilles Pargneaux, eurodéputé du Nord, trouve évidemment « très positive » cette annonce, et estime qu’elle est « un signe à ceux qui ont voté pour nous en 2012 (sur des engagements clairs) ». Il rappelle aussi que la loi Duflot a eu des rapporteurs socialistes et qu’il est fort de café de s’en désolidariser.

Il faut enfin voir le sourire amusé des deux députés écologistes, réputés moins critiques envers le PS que leurs collègues, venus à La Rochelle, François de Rugy et Denis Baupin. Ce dernier explique que le logement est la préoccupation première de « 90% des gens qui viennent le voir dans sa permanence » et se réjouit de la saillie d’Aubry tout en appelant à ne pas y voir un coup politique. Surtout pas.

http://rue89.nouvelobs.com/2014/08/30/alors-valls-descend-train-aubry-envoie-petite-claque-254518
 
Mélenchon : "Les frondeurs doivent aller au bout de leur logique"

Jean-Luc Mélenchon exhorte les députés frondeurs à ne pas accorder leur confiance au gouvernement Valls mardi à l'Assemblée.

"Ces députés n'ont aucune excuse. Ils sont libres dans un pays libre et ils ont été élus. Par conséquent ils doivent aller au bout de leur logique (...) il ne suffit pas de faire de la mousse médiatique", a déclaré Jean-Luc Mélenchon, ce samedi 13 septembre à l'issue d'un déjeuner réunissant Front de gauche, écologistes et frondeurs PS au Parc de la Courneuve lors de la Fête de l'Humanité.

"Il faut assumer sa responsabilité devant le peuple français. Et si l'on pense comme c'est mon cas et comme c'est leur cas, que Manuel Valls ne mérite pas la confiance des parlementaires, ils doivent voter contre, a insisté l'ancien candidat à l'élection présidentielle. Ca n'a pas de sens de s'abstenir à propos de la confiance que l'on fait ou non à un gouvernement. Ca n'a pas de sens. Donc il faut voter contre".

Un chantage de Hollande aux députés ?

Plus tard dans l'après-midi, il s'en est pris avec virulence à François Hollande, "monarque républicain" accusé de se servir contre les députés de sa propre "impopularité". "L'Assemblée nationale doit être maîtresse d'elle-même mais dans les institution de la Ve République voyez comme le monarque républicain, ce fourbe totalement impopulaire qui se ferait jeter des pierres dans la rue (...) vient menacer les députés de sa propre impopularité", a-t-il déclaré lors de son discours sur "la VIe République" au stand du Parti de gauche.

"Il leur dit 'si vous ne faites pas ce que je vous dis de faire alors je dissoudrai l'Assemblée nationale et vous serez battus à cause de moi'. Sa seule force c'est sa turpitude, c'est sa faiblesse", a-t-il ajouté. "Députés, vous n'êtes pas les députés de François Hollande et de Manuel Valls, vous êtes les députés du peuple français", a lancé l'eurodéputé.

"Votre devoir est de rester fidèle à votre parole, au contrat qui s'est conclu avec les électeurs, vous n'avez pas à avoir peur et je dis que le chef de l'État et plus encore le Premier ministre désigné dans la minorité d'extrême droite du mouvement socialiste, n'a aucune raison, ni aucun pouvoir qui lui donne l'autorité de menacer l'Assemblée nationale de dissolution si on ne lui obéit pas", a-t-il expliqué. De son côté, dans son discours de réception des personnalités, Pierre Laurent a également appelé les députés à voter contre la confiance comme le feront les députés du Front de gauche.


http://www.rtl.fr/actu/politique/me...vent-aller-au-bout-de-leur-logique-7774288337
 
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