Ghardaïa, affectueusement surnommée la perle du Sud algérien en raison de la beauté de son paysage et la richesse de son héritage culturel, est depuis plus d’un an le théâtre d’une répression sanglante.
L’ampleur du conflit intercommunautaire a engendré une déchirure ayant affecté le corps social algérien sur la base de considérations religieuses ou ethniques.
Le Premier ministre Abdelmalek Sellal ainsi les services de sécurité ont récemment reçu un rapport détaillé émis par l’association des Oulémas musulmans sur les causes ayant déclenché la crise à Ghardaïa.
Plusieurs chercheurs et docteurs qui ont contribué à l’élaboration dudit rapport ont conclu que les événements de Ghardaïa ne sont pas idéologiques, mais il s’agit d’un complot ourdi par une main étrangère débuté immédiatement après le Festival amazighe au Maroc, dont des Algériens y ont pris part, et durant lequel le régime du royaume chérifien a tenté de semer la division au sein d’une certaine minorité, après que l’Algérie ait surmonté avec succès la vague du Printemps arabe.
Selon ces derniers, le Maroc tente d’exploiter le conflit intercommunautaire à Ghardaïa pour porter atteinte à l’intégrité territoriale de l’Algérie.
Le Makhzen, ne ménage aucun effort pour faire croire à la communauté internationale qu’il y a une minorité opprimée dans la vallée du M’zab.
http://www.echoroukonline.com/ara/articles/214140.html
L’ampleur du conflit intercommunautaire a engendré une déchirure ayant affecté le corps social algérien sur la base de considérations religieuses ou ethniques.
Le Premier ministre Abdelmalek Sellal ainsi les services de sécurité ont récemment reçu un rapport détaillé émis par l’association des Oulémas musulmans sur les causes ayant déclenché la crise à Ghardaïa.
Plusieurs chercheurs et docteurs qui ont contribué à l’élaboration dudit rapport ont conclu que les événements de Ghardaïa ne sont pas idéologiques, mais il s’agit d’un complot ourdi par une main étrangère débuté immédiatement après le Festival amazighe au Maroc, dont des Algériens y ont pris part, et durant lequel le régime du royaume chérifien a tenté de semer la division au sein d’une certaine minorité, après que l’Algérie ait surmonté avec succès la vague du Printemps arabe.
Selon ces derniers, le Maroc tente d’exploiter le conflit intercommunautaire à Ghardaïa pour porter atteinte à l’intégrité territoriale de l’Algérie.
Le Makhzen, ne ménage aucun effort pour faire croire à la communauté internationale qu’il y a une minorité opprimée dans la vallée du M’zab.
http://www.echoroukonline.com/ara/articles/214140.html