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VIB
Une image poignante d'une petite marocaine cireuse de chaussures fait le tour des réseaux sociaux depuis quelques jours et suscite l’indignation des internautes marocains.
Qui aimerait s'humilier à longueur de journée à cet âge ? Sa place n'est pas aux chevilles des passants dans la rue, ni sur le trottoir pour faire briller des souliers. Une petite fille ne mérite pas de faire le tour de la ville au quotidien, une boîte de cirage dans la main, non c'est injuste.
C'est dans ce sens que vont une majorité de commentaires postés ces derniers jours sur les réseaux sociaux au Maroc, suite à la publication d'une image montrant une petite fille en train de cirer les chaussures. On ne sait, toutefois, pas où et quand cette image poignante a été prise. Elle a en tous les cas suscité l’indignation des internautes marocains via Twitter et Facebook.
A son âge, cet enfant devrait, en effet, être penché sur des cahiers dans une école. Ses brosses devraient être celles de son ardoise. Et si par infortune, cette petite vivait dans des conditions de grande misère et qu'elle était obligée à parcourir la ville jusqu’à l’épuisement pour vivre, l'aider est un devoir. L'aider sans lui faire subir cette humiliation comme a fait ce monsieur qui lui tend ses chaussures.
Source : Yabiladies
Ce pourri mérite une bonne rouste...
Qui aimerait s'humilier à longueur de journée à cet âge ? Sa place n'est pas aux chevilles des passants dans la rue, ni sur le trottoir pour faire briller des souliers. Une petite fille ne mérite pas de faire le tour de la ville au quotidien, une boîte de cirage dans la main, non c'est injuste.
C'est dans ce sens que vont une majorité de commentaires postés ces derniers jours sur les réseaux sociaux au Maroc, suite à la publication d'une image montrant une petite fille en train de cirer les chaussures. On ne sait, toutefois, pas où et quand cette image poignante a été prise. Elle a en tous les cas suscité l’indignation des internautes marocains via Twitter et Facebook.
A son âge, cet enfant devrait, en effet, être penché sur des cahiers dans une école. Ses brosses devraient être celles de son ardoise. Et si par infortune, cette petite vivait dans des conditions de grande misère et qu'elle était obligée à parcourir la ville jusqu’à l’épuisement pour vivre, l'aider est un devoir. L'aider sans lui faire subir cette humiliation comme a fait ce monsieur qui lui tend ses chaussures.
Source : Yabiladies
Ce pourri mérite une bonne rouste...