Maroc: le harcèlement de rue a la vie dure

Arrêtez d'appeler cela drague. Ce sont de véritables agressions. Les mots sont abjects et pleuvent sur la prostituée ou la ère de famille sans distinction. De véritables animaux en ruth. Et qu'on ne me dise pas les quartiers populaires seulement, même des terrasses de café des cadres moyens fusent des mots salaces au passage d'une femme... A chaque fois je tombe des nus....en parler avec les mecs qui tournent cela a la légère.... Tu as beau leu explique que c'est la mère ou .la soeur de qqun.... Rien à faire.... La frustration à fait son sillage dans leur identité même et une femme reste une convoitise permanente,,,légère,
 
Comme nous sommes un peuple kamouni, je ne vois que la prison comme education.

J'en ai vu des educateurs (parfois maries ) draguer :defonce:
Mais vu que le Maroc est déjà une cellule ďe prison ces hommes là sont frustrés. La solution est peut être à chercher dans le civisme l éducation sexuelle et une certaine libéralisation des mœurs .c est dans l interdit que nait le désir salace
 
Arrêtez d'appeler cela drague. Ce sont de véritables agressions. Les mots sont abjects et pleuvent sur la prostituée ou la ère de famille sans distinction. De véritables animaux en ruth. Et qu'on ne me dise pas les quartiers populaires seulement, même des terrasses de café des cadres moyens fusent des mots salaces au passage d'une femme... A chaque fois je tombe des nus....en parler avec les mecs qui tournent cela a la légère.... Tu as beau leu explique que c'est la mère ou .la soeur de qqun.... Rien à faire.... La frustration à fait son sillage dans leur identité même et une femme reste une convoitise permanente,,,légère,
On appelle cela la jungle ou la meute
 
Elles ne confondent pas la drague et harcèlement de rue ?

Sans doute que les hommes des années 80 avaient encore moins de relations sexuelles que les hommes d'aujourd'hui, pourtant y'avait pas ces histoires de harcèlement.
 
Au Maroc, le harcèlement de rue est une réalité que subissent toutes les femmes, marocaines ou pas. Drague ou délit ? La limite est floue. Analyse et témoignages.
Noël Linguist, photographe américaine, est ravie d’être installée à Tanger. Seul bémol pour elle et pas des moindres : le fléau du harcèlement de rue qui sévit au Maroc. Sur le site Morocco World News, elle livre un témoignage amer. Sifflements, regards insistants, c’est tout nouveau pour elle. « C’est un problème culturellement accepté, comme quelque chose qui a toujours existé et qui existera toujours », raconte l’artiste. Un problème culturel et non religieux qui est difficile à enrayer car il existe toujours un flou juridique autour de ce sujet. Plus structurellement, la frustration sexuelle et le manque d’éducation de ceux qui le pratiquent en est un réel moteur. Ignorer les commentaires, s’habiller de façon discrète ou encore de menacer d’aller voir la police sont autant de manières pour les femmes de se protéger. « On m’avait prévenue mais je n’ai pas laissé ces arguments m’empêcher de m’installer au Maroc », explique Noël Linguist. Et les expatriées ne sont pas les seules à subir ces incivilités.
« Je fais semblant d’être en colère »
Abla, étudiante en architecture à Barcelone, revient tous les ans à Casablanca. Et ce n’est pas une sinécure. Elle s’avoue dépassée par la situation. « Il n’y a rien à faire. Peu importe les efforts que tu déploies pour éviter de te faire harceler, ça ne sert à rien », avoue la jeune femme. Pour elle, c’est le résultat d’une frustration et du manque d’éducation. Les quartiers populaires, elle évite. Même combat pour Ikram, 24 ans, pour qui le mot d’ordre est simplement d’ignorer et de « tracer sa route ». Elle veille à ce que son pull soit assez long pour masquer le plus possible ses attributs féminins. Nadia, quant à elle, a des astuces plus élaborées. C’est un véritable jeu de théâtre pour la jeune femme.
« Je fais semblant d’être en colère ou d’avoir une discussion au téléphone. » Quand quelqu’un ne lui inspire pas confiance, elle change de trajectoire. Mais cette situation est usante. Elle finit par se laisser faire en attendant que le prédateur se lasse.

http://femmesdumaroc.com/actualite/le-harcelement-de-rue-a-la-vie-dure-28408

Ça va devenir comme au Japon, les hommes seront tellement terrorisé à l'idée de draguer qu'ils vont se rabattre sur les poupées gonflables :D

Si vous voulez investir dans le caoutchou c'est maintenant
 
Elles ne confondent pas la drague et harcèlement de rue ?

Sans doute que les hommes des années 80 avaient encore moins de relations sexuelles que les hommes d'aujourd'hui, pourtant y'avait pas ces histoires de harcèlement.
Tu dragues comment toi ?
C'est pas de la drague c'est du 7ayawanage
C'était un autre monde et beaucoup moins de jeunes pleins de testostérone
 
A zine diali, kssssksssss, ya lghzala, ya hbiba diali, kan nbrek, kan mout 3alik :rouge:

Par contre personne ne parle de harcèlement de rue subi par les hommes :D

 
Salam C'est l'horreurdes que je mets mes pieds à l'aéroport tu as tout les regards des douaniers vers moi ça commence bien
C'est pas possible 3andi lkhnouna
ils sont un chwiya pervers
j'ai toujours rêver d'être maigrichonne car on ferait même pas
attention à moi
le problème au Maroc
c'est qu'ils sont pas 'discret le regard la gestuelles ils se trahissent aux même ils savent pas draguer
 
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