Hier, les véhicules de pompiers se sont succédé sur l'avenue de Saint-Menet à Marseille (11e) et le chemin pour accéder à l'établissement de Notre-Dame-de-la-Jeunesse.
Derrière les grilles, 16 enfants, élèves de primaire et du collège, ont été pris en charge par les marins-pompiers de Marseille. Quatorze ont été transportés dans les différents hôpitaux de la ville, les deux autres sont rentrés avec leurs parents. C'est à la récréation de 14 heures que la première élève a perdu connaissance. Un malaise qui a provoqué une réaction en chaîne des élèves qui attendaient la reprise des cours après la pause déjeuner. Pour le médecin régulateur présent sur place, ces "pertes de conscience très légères" ne sont ni le signe d'intoxication, ni celui d'un coup de chaud.
"La première jeune victime a une santé fragile. Sa perte de connaissance a entraîné une réaction de stress en chaîne", explique-t-on du côté du bataillon, qui insiste sur la notion galvaudée du "coup de chaud, qui peut avoir des conséquences très graves et qui survient en général lors d'une activité physique intense sous une forte chaleur". Certainement pas sous le préau, donc. À l'heure des premières sorties, les parents restaient perplexes à l'écoute des témoignages de leurs enfants, témoins malgré eux de ces malaises en cascade.
"Nous avons géré les priorités tout au long de l'après-midi, explique quant à lui le directeur de l'établissement, David Garcia. Les élèves
concernés n'ont pas tous déjeuné à la cantine, nous sommes effectivement dans une période de fortes chaleurs mais le préau est à l'ombre et nous veillons à ce que les élèves s'hydratent régulièrement..."
En attendant les analyses complémentaires, le directeur de Notre-Dame-de-la-Jeunesse joue la carte du principe de précaution avec un allégement des cours ce vendredi, avant la reprise des cours habituels dès lundi.
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Derrière les grilles, 16 enfants, élèves de primaire et du collège, ont été pris en charge par les marins-pompiers de Marseille. Quatorze ont été transportés dans les différents hôpitaux de la ville, les deux autres sont rentrés avec leurs parents. C'est à la récréation de 14 heures que la première élève a perdu connaissance. Un malaise qui a provoqué une réaction en chaîne des élèves qui attendaient la reprise des cours après la pause déjeuner. Pour le médecin régulateur présent sur place, ces "pertes de conscience très légères" ne sont ni le signe d'intoxication, ni celui d'un coup de chaud.
"La première jeune victime a une santé fragile. Sa perte de connaissance a entraîné une réaction de stress en chaîne", explique-t-on du côté du bataillon, qui insiste sur la notion galvaudée du "coup de chaud, qui peut avoir des conséquences très graves et qui survient en général lors d'une activité physique intense sous une forte chaleur". Certainement pas sous le préau, donc. À l'heure des premières sorties, les parents restaient perplexes à l'écoute des témoignages de leurs enfants, témoins malgré eux de ces malaises en cascade.
"Nous avons géré les priorités tout au long de l'après-midi, explique quant à lui le directeur de l'établissement, David Garcia. Les élèves
concernés n'ont pas tous déjeuné à la cantine, nous sommes effectivement dans une période de fortes chaleurs mais le préau est à l'ombre et nous veillons à ce que les élèves s'hydratent régulièrement..."
En attendant les analyses complémentaires, le directeur de Notre-Dame-de-la-Jeunesse joue la carte du principe de précaution avec un allégement des cours ce vendredi, avant la reprise des cours habituels dès lundi.
Marseille : 16 élèves victimes de malaise sous le préau d'une école de Saint-Menet
Hier, les véhicules de pompiers se sont succédé sur l'avenue de Saint-Menet (11e) et le chemin pour accéder à l'établissement de Notre-Dame-de-la-Jeunesse