Méthode de communication basée sur des versets du Coran

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salam

c vraie que ta traduction ne correspond en rien a lhunanimiter des traduction
et que la traduction si on y regarde plus pres ne corrspond en rien a se qui est ecrit
ont dirait que lauteur de la traduction et influencer par sa vision des chose et deborde du sens du texte
 
Salam

Souvent, la véritable différence entre deux soumis qui ont une position diamétralement opposée, c'est que l'un ou l'autre peut avoir oublié le fait indéniable que les messages du Coran ont un double sens, à savoir le bon sens d’une part, et le mauvais sens à ne pas prendre en considération, même s’il ressemble à s’y méprendre, au premier, car Dieu dit bien que ces deux sens se ressemblent dans leur formulation, voir 39:23 et 3:7 et ce, dans le but de guider qui Il veut et d’égarer tout candidat à l’égarement.

Aussi ai-je comparé la lecture du Coran à la traversée d'un champ miné pour lequel, on a absolument besoin de la guidance divine. Pour ce faire j'ai dû chercher dans le Coran même la dite guidance que le verset suivant livre d'une manière évidente:

Dis, «Je vous exhorte seulement pour une seule chose: Que vous veilliez à deux et aussi individuellement, et que vous réfléchissiez _ Votre ami n'est pas fou _ Il n'est en fait, qu'un avertisseur pour vous: "Entre mes mains il y a un douloureux châtiment"» (34:46)

Partant de cette base de réflexion à deux recommandée par Dieu, j'ai présenté une méthode qui est aujourd'hui plus qu'éprouvée. Il suffit de daigner jouer le jeu, selon le cas, soit du récepteur, soit de l'émetteur mais pas les deux à la fois, sachant que l'émetteur fait une à une des assertions, tandis que le récepteur se contente de répondre au fur et à mesure, par un simple oui ou un simple nom. En plus on doit partir du principe qu'il ne s'agit nullement d'une course avec un vainqueur et un vaincu, mais seulement de deux amis qui oeuvrent en tandem à la recherche de la vérité où qu'elle soit afin de ne pas rester dans la divergence et mériter le châtiment que Dieu leur réserve, voir 2:113 ci-après:

Les Juifs ont dit, «Les chrétiens ne sont sur rien», et les chrétiens ont dit, «Les juifs ne sont sur rien», alors qu’ils lisent le Livre. De même, ceux qui ne savent rien, ont dit comme leurs paroles. Aussi ALLAH jugera-t-Il entre eux, le Jour de la Résurrection, sur ce dont ils divergeaient. (le Livre) (2:113)
 
Voici une démonstration de notre rébellion et déchéance au paradis, et qui prouve une fois de plus l'efficience de la méthode de communication en question ci-dessus:


Quand Dieu a ordonné au anges de se prosterner, pourquoi Satan qui n'est pas un ange, mais fait partie des djins selon l'affirmation divine dans l'expression "sauf iblis qui faisait partie des djins", s'est-il senti concerné par l'ordre en question?

- Si Satan n'était nullement concerné, Dieu ne lui aurait pas reproché de ne pas avoir obéi à l'ordre de se prosterner

- Oui

- Dieu ne se contredit jamais

- Oui

- Par contre, Dieu dit bien qu'Il guide certains et égare d'autres mais qu'Il n'égare que les candidats à l'égarement ? Par exemple, Dieu a bien utilisé le subterfuge de l'implicite dans son ordre de se prosterner pour Adam, sachant qu'il fallait comprendre de cet ordre : "prosternez-vous devant Dieu, pour Adam", et que pour les vrais croyants monothéistes, il va de soit que l'on ne doit se prosterner que devant Dieu.

- Oui

- Dans le but d'égarer ceux qui douteraient de sa faculté de discernement, Dieu a utilisé l'affirmation "sauf iblis qui faisait partie des djins" laissant entendre implicitement: "sauf iblis qui venait d'être déchû en djins juste avant la déchéance de Adam en humain et ce, suite à la grande dispute ou rébellion en question en 38:69"

- Oui

- CQFD
 
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