Je n’ai pas voulu le dire, parce que j’avais un doute, et je me doutais que tu réagirais si le doute était confirmé. Parce qu’il me semblait avoir remarqué ça aussi…
Mort de zyed et bouna : relaxe définitive des deux policiers
- Initiateur de la discussion tomatemozza
- Date de début
droitreponse
Initium ut esset homo creatus est
Le cimetière était avant le local . Au moment du message ils les ont vu rentré dans le cimetière où ils ont chopé des gamins. Partant de la je ne suis pas juge mais pourquoi auraient ils pensé qu'il y en avait d'autres ?
Et pourquoi avoir rameuté des collègues si au final c'était pour laisser filer les gamins ?
Maintenant je ne suis pas juge, mais il y en a peut être un peu trop des juges, et des juges qui ne racontent qu'une partie de l'histoire me semble t'il.
Pourtant les faits sont relatés un peu partout.
Mais bon j'imagine que des flics sont forcément coupables.
Facilement suspects, vu l’impunité habituelle. Peut‑être qu’ici ils sont réellement innocents et qu’ils paient le prix de leurs précédentes impunités.
Bref, on a besoin d’une réforme de la police.
oui ils sont rares, c'est les médias qui gonflent les chiffres
Les médias ne gonflent même pas les chiffres, ils ne donnent justement pas de chiffre, et se contentent de donner une image et suggérer et ensuite de laisser chacun(e) interpréter selon ses fantasmes.
Si les médias donnaient les chiffres, la phobie ferait flop.
En faite c'est insignifiant....et tout le monde le sait, même les islamophobes
Cette lose....
Une nuit en cellule pour ca???? Je comprends que tu leur en veuille, de mon coté c'est l'inverse quand je vivais en France, j'ai le souvenir qu'ils ont toujours été très corrects, parfois même sympas.
Après je pense que t'as pas eu de chance, les flics ne sont pas tous comme ça, de la même façon que tous les jeunes des cités ne sont pas tous des délinquants. C'est toujours une minorité qui fait trinquer la majorité, les jeunes maghrébins sont victimes de la réputation de quelques brebis galeuses et les flics à cause quelques **** ont une réputation de facho
En même temps, une lame de couteau rouillée et sans manche, pour couper des fils, c'est vachement débile aussi.
Déjà, c'est dangereux s'il se met à vouloir couper un bout de câble s'il est branché, mais en plus, franchement, qu'on vienne pas me dire que les pinces sont si chères que ça au brico !
Un jour j'connais un mec qui c'est fait embarquer parce qu'il conduisait en claquette
Ils avaient fouillé sa voiture, tellement ils ont rien trouvé ils avaient la rage, ils lui ont dit "interdiction de rouler en claquette.. aller on t'embarque" mdrrr
Juste au cas où : légalement, il faut être chaussé avec quelque chose qui ne peut pas glisser car ça pourrait nuire à la capacité de freinage du conducteur.
La récup’, tu connais pas ?
Y a des limites à la récup, c'est pas les bidon-villes en inde non plus hein
Entre une pince et une lame de couteau rouillée sans manche, pour couper un câble, il y a une large différence en terme d'efficacité et également de sécurité.
simplement la
VIB
Oui en effet,
Tkiet pas, on a tous vérifié l'article en question après cet évènement,
Les policiers trouvent toujours une excuse pour te coller une prune,
Un pneu lisse.... ou bien même un arbre magique posé sur ton rétro.... on peux tout voir avec eux....
Par contre si tu connais quelqu'un qui se fait embarquer juste pour ça....
C’est interdit ça ?
simplement la
VIB
Alors pour répondre à ta question, laisse moi te raconter la petite anecdote qui va avec:
Il était une fois.... en centre ville d'une banlieue, un jeune homme tranquillement (et correctement ) stationné qui discute avec ses amis...
Quand tout à coup surgit la police..... imagine les sortir d'un buisson ....ou arriver en mode dérapage de voiture pour donner plus de piment à l'histoire ^^
Les policiers s'adressent au jeune homme et ses amis en leur demandant qu'est ce qu'ils font ici?
Rien répondirent ils.... nous attendons des amis qui doivent arriver d'une minute à l'autre de la gare.
-- Aller hop....contrôle du véhicule..... (histoire d'égayer un peu leur journée...)
Le jeune homme étant totalement en règle, leur demande (un peu fier de lui) c'est bon? vous avez rien trouvé pour me coller un pv?
Les policiers... d'un sourire narquois lui répondent que non.... l'arbre magique exposé sur le rétro les dérangent....
Il leur demande alors qu'elle est le problème avec ce petit arbre tout mignon... et qui sent bon...?
Ils se mirent à rire à gorge déployée..... (imagine un rire diabolique... toujours pour pimenter l'histoire... )
et lui répondent que ça "gêne la visibilité du conducteur"
Le hasard comme par hasard, des véhicules étant juste à côté et disposant d’énorme décoration de rétro (genre gros nounours.... petite paire de basket etc...) le jeune s'exclama alors : et tout ceux là ils n'ont rien? moi mon arbre magique il me cache pas du tout la vue.... eux par contre c'est indiscutable....
Que nenni.....
Les policiers ne voulaient rien entendre.... la seule chose qui les intéressaient était de ne surtout pas laisser repartir le jeune homme sans amende à payer....
Ils lui collèrent donc une jolie prune au motif ci dessus exposé
Et nous restâmes tous abasourdis...
Fin de l'histoire.
Moralité : quand ils veulent t'embêter cherche pas....ils trouveront toujours quelque chose !
nordia
🇲🇫🇲🇦🇲🇫🇲🇦🇲🇫🇲🇦🇲🇫🇲🇦🇲🇫🇲🇦🇲🇫🇲🇦
donc c'est qu'une histoire imaginaire ?
de quoi tu parles ? je te demande moi ce qu'il y a dans ton grenier ou ta cave ?
Non, une histoire vraie. Tu connais pas les figures de style ?
Juste avant elle dit pourtant bien « Alors pour répondre à ta question, laisse moi te raconter la petite anecdote qui va avec ». Un n‑ième exemple de provocation policière.
Re‑même morale de l’histoire : il y a grandement besoin d’une réforme de la police et de virer une partie de son personnel pour le remplacer.
la racaille c'est celle qui dirige la France, une bande de menteurs et de voleurs protégée par la racaille en uniforme qui course des enfants jusqu'à les faire électrocuté
ils ont la malchance d'être noir et arabe, ça permet de relaxer n'importe quel ordure qui tuera des enfants innocents qui vivent en cité
devant des mecs de daesh il feraient dans leur froc ces lâches
ils ont la malchance d'être noir et arabe, ça permet de relaxer n'importe quel ordure qui tuera des enfants innocents qui vivent en cité
devant des mecs de daesh il feraient dans leur froc ces lâches
La délinquance légale, la délinquance de l’état, celle qui comme par hasard n’intéresse pas le FN (ni l’UMP, ni le PS, non‑plus, d’ailleurs).
simplement la
VIB
Non nordia. Une histoire bien vraie et vécue.
Mais bon c'est pas non plus la pire .. cetait juste pour la petite anecdote afin de repondre à hibou.
Mais bon c'est pas non plus la pire .. cetait juste pour la petite anecdote afin de repondre à hibou.
Tu as une bien piètre image de la police !!! Et je doute que se soit un bon signal de donner.
Le message qu'il faudrait véhiculer c'est d’obéir au flic....Il m'arrive de me faire contrôler et ça se passe toujours bien.
Et en gnrl ceux avec qui ça dégénère ce sont ceux qui font les malins.
Je te laisse imaginer un monde sans policier......
J’ai de la police, l’image que j’aurais de pompiers qui regarderaient un pyromane allumer un incendie sans réagir (et même occasionnellement en lui donnant un coup de main), pour aller ensuite se jeter dans les flammes.
Je crois pas que ça puisse paraitre normal…
Et comme je le disais avant, faire le ménage dans la police permettrait aux policiers honnêtes (il y en, rares, apparemment cantonnés aux bureaux) de ne plus être associés à cette mauvaise image.
Erreur ! En général, le flic n'aime pas trop qu'on se foute de sa gueule.
Tu veux dire qu’il aime jouer au dominateur ? Comme les caïds de mauvais quartiers en gros…
simplement la
VIB
Tu as raison... il a commis une enorme erreur....
Comment a t'il oser penser s'en sortir aussi
facilement le voyou !!
nordia
🇲🇫🇲🇦🇲🇫🇲🇦🇲🇫🇲🇦🇲🇫🇲🇦🇲🇫🇲🇦🇲🇫🇲🇦
nordia
🇲🇫🇲🇦🇲🇫🇲🇦🇲🇫🇲🇦🇲🇫🇲🇦🇲🇫🇲🇦🇲🇫🇲🇦
son histoire commence par "il étais une fois "donc je lui poser la question comme dans les conte exemple" il étais une fois une gentil princesse"
Fitra
Allah, Souria, Houria wa bass
Il est normal de fuir quand on a peur, a fortiori quand on est un enfant ! :/
Fitra
Allah, Souria, Houria wa bass
http://jprosen.blog.lemonde.fr/2015...s-morts-sans-cause-outreau-3-kerviel-relance/
« Quiconque pouvant empêcher par son action immédiate, sans risque pour lui ou pour les tiers, soit un crime, soit un délit contre l'intégrité corporelle de la personne s'abstient volontairement de le faire est puni de cinq ans d'emprisonnement et de 75 000 euros d'amende.
Sera puni des mêmes peines quiconque s'abstient volontairement de porter à une personne en péril l'assistance que, sans risque pour lui ou pour les tiers, il pouvait lui prêter soit par son action personnelle, soit en provoquant un secours. »
Chaque mot est important.
Quiconque signifie par définition que tout un chacun est concerné quel que soit son titre ou sa fonction, du simple quidam au plus gradé. Ainsi ceux qui sont tenus au secret professionnel en sont déliés dès lors que l’intégrité corporelle de quelqu’un est en cause. L’intégrité physique ou la vie avant tout pour éviter l’irréparable ! Il leur appartient de réagir – c’est un devoir d’ingérence qui est affirmé - pour prévenir la cristallisation de la situation de péril ou pour y mettre fin. Si la personne concernée ne peut pas faire autrement que de violer le secret professionnel, elle disposera d’un fait justificatif qui interdira toute sanction de ce fait.
On notera qu’on ne parle plus de danger, mais de péril c’est-à dire une situation plus prégnante et plus préoccupante pour l’intégrité de la personne..
Encore faut-il – et là un des points cruciaux - que l’intéressé soit conscient de la situation de péril car il s’agit bien d’un délit intentionnel : avoir sciemment omis de réagir à quelque chose qu’on savait périlleux. S’il ne saisit pas les termes de la situation, faute d’intention on ne lui reprochera rien. L’infraction suppose donc qu’on ait eu conscience du péril. Preuve parfois difficile à rapporter. On analysera rétrospectivement les dires de l’intéressé et ceux des témoins et son comportement. Conscient a-t-il refusé de réagir ? Telle est la question posée.
L’erreur d’analyse à travers notamment une sous estimation de la gravité de la situation empêche d’engager la responsabilité pénale pour non assistance. Elle peut valoir à un professionnel un jugement de défiance sur ses compétences de la part de sa hiérarchie ou collègues, mais en aucun cas elle offre prétexte à poursuite pénale.
« S’ils entrent je ne donne pas cher de leur peau !» On peut penser que le policier avait mesuré toute l’acuité du péril pour les jeunes qui pénétraient dans ce local EDF.
Conscient du péril la personne en cause doit alors réagir. La loi oblige à l’ingérence civique ou citoyenne mais là encore en posant des conditions.
(...)
Dans le feu de l’action il appartient à chacun de choisir – avec la difficulté de l’exercice quand il faut réagir immédiatement comme le dit la loi - ce qui lui parait le plus opportun. Quitte à se tromper. A condition d’avoir engagés les efforts à la hauteur des compétences qu’on était supposé avoir et au regard des considérations de fait.
(...à
Dans l’affaire qui nous préoccupe la question était donc bien de savoir si les policiers, conscients du péril, ont pris les mesures de base qui s’avéraient possibles eu égard aux postes qu’ils occupaient ce jour-là, pour à défaut d’empêcher le péril – l’entrée dans le local -, du moins éviter qu’il ne se concrétise, par exemple veiller à alerter les responsables EDF ou tout autre pour couper le courant. Etait-ce d’ailleurs possible ?
Difficile d’aller plus loin dans l’analyse à distance sans avoir tous les éléments du dossier.
Quant aux parents des victimes apparemment il ne leur reste plus que la voie civile.
Espérons que cette décision ne sera pas vécue comme le présentait Jean-Pierre Mignard, l’un des avocats parties civiles, comme une décision d’»apartheid judiciaire» illustrant qu’il y aurait en France une justice à deux vitesses, celle des banlieues et l’autre. Nous avons tous dans la tête cette succession de drames aux USA où des personnes, parfois des enfants, sont victimes de bavures policières sans obtenir que justice leur soit rendue. Dans l’ambiance du moment il ne serait pas bon que les banlieues s’embrasent à nouveau sur un profond sentiment d’injustice.
On souhaiterait être assuré qu’un drame comme celui-ci ne se renouvèle jamais. Comment faire en sorte que le premier reflexe de certains jeunes ne soient plus de fuir à la vue de policiers de la République ?
« Quiconque pouvant empêcher par son action immédiate, sans risque pour lui ou pour les tiers, soit un crime, soit un délit contre l'intégrité corporelle de la personne s'abstient volontairement de le faire est puni de cinq ans d'emprisonnement et de 75 000 euros d'amende.
Sera puni des mêmes peines quiconque s'abstient volontairement de porter à une personne en péril l'assistance que, sans risque pour lui ou pour les tiers, il pouvait lui prêter soit par son action personnelle, soit en provoquant un secours. »
Chaque mot est important.
Quiconque signifie par définition que tout un chacun est concerné quel que soit son titre ou sa fonction, du simple quidam au plus gradé. Ainsi ceux qui sont tenus au secret professionnel en sont déliés dès lors que l’intégrité corporelle de quelqu’un est en cause. L’intégrité physique ou la vie avant tout pour éviter l’irréparable ! Il leur appartient de réagir – c’est un devoir d’ingérence qui est affirmé - pour prévenir la cristallisation de la situation de péril ou pour y mettre fin. Si la personne concernée ne peut pas faire autrement que de violer le secret professionnel, elle disposera d’un fait justificatif qui interdira toute sanction de ce fait.
On notera qu’on ne parle plus de danger, mais de péril c’est-à dire une situation plus prégnante et plus préoccupante pour l’intégrité de la personne..
Encore faut-il – et là un des points cruciaux - que l’intéressé soit conscient de la situation de péril car il s’agit bien d’un délit intentionnel : avoir sciemment omis de réagir à quelque chose qu’on savait périlleux. S’il ne saisit pas les termes de la situation, faute d’intention on ne lui reprochera rien. L’infraction suppose donc qu’on ait eu conscience du péril. Preuve parfois difficile à rapporter. On analysera rétrospectivement les dires de l’intéressé et ceux des témoins et son comportement. Conscient a-t-il refusé de réagir ? Telle est la question posée.
L’erreur d’analyse à travers notamment une sous estimation de la gravité de la situation empêche d’engager la responsabilité pénale pour non assistance. Elle peut valoir à un professionnel un jugement de défiance sur ses compétences de la part de sa hiérarchie ou collègues, mais en aucun cas elle offre prétexte à poursuite pénale.
« S’ils entrent je ne donne pas cher de leur peau !» On peut penser que le policier avait mesuré toute l’acuité du péril pour les jeunes qui pénétraient dans ce local EDF.
Conscient du péril la personne en cause doit alors réagir. La loi oblige à l’ingérence civique ou citoyenne mais là encore en posant des conditions.
(...)
Dans le feu de l’action il appartient à chacun de choisir – avec la difficulté de l’exercice quand il faut réagir immédiatement comme le dit la loi - ce qui lui parait le plus opportun. Quitte à se tromper. A condition d’avoir engagés les efforts à la hauteur des compétences qu’on était supposé avoir et au regard des considérations de fait.
(...à
Dans l’affaire qui nous préoccupe la question était donc bien de savoir si les policiers, conscients du péril, ont pris les mesures de base qui s’avéraient possibles eu égard aux postes qu’ils occupaient ce jour-là, pour à défaut d’empêcher le péril – l’entrée dans le local -, du moins éviter qu’il ne se concrétise, par exemple veiller à alerter les responsables EDF ou tout autre pour couper le courant. Etait-ce d’ailleurs possible ?
Difficile d’aller plus loin dans l’analyse à distance sans avoir tous les éléments du dossier.
Quant aux parents des victimes apparemment il ne leur reste plus que la voie civile.
Espérons que cette décision ne sera pas vécue comme le présentait Jean-Pierre Mignard, l’un des avocats parties civiles, comme une décision d’»apartheid judiciaire» illustrant qu’il y aurait en France une justice à deux vitesses, celle des banlieues et l’autre. Nous avons tous dans la tête cette succession de drames aux USA où des personnes, parfois des enfants, sont victimes de bavures policières sans obtenir que justice leur soit rendue. Dans l’ambiance du moment il ne serait pas bon que les banlieues s’embrasent à nouveau sur un profond sentiment d’injustice.
On souhaiterait être assuré qu’un drame comme celui-ci ne se renouvèle jamais. Comment faire en sorte que le premier reflexe de certains jeunes ne soient plus de fuir à la vue de policiers de la République ?
simplement la
VIB
donc ne cite pas" il étais une fois "
Je n'ai pas "cité" ... j'ai "dis"....
Et j'ai précisée avant que c'était une anecdote.... le 'il était une fois" c'était pour édulcorer... comme te l'a expliquée Hibou c'est à toi de comprendre les figures de style... pas à moi de me taire
nordia
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Je n'ai pas "cité" ... j'ai "dis"....
Et j'ai précisée avant que c'était une anecdote.... le 'il était une fois" c'était pour édulcorer... comme te l'a expliquée Hibou c'est à toi de comprendre les figures de style... pas à moi de me taire
je te taquine et sa tu ne l' as pas compris non plus pour le reste je n'ai pas lue
Tu n’avais pas vu la phrase avant alors, juste ça.son histoire commence par "il étais une fois "donc je lui poser la question comme dans les conte exemple" il étais une fois une gentil princesse"