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Pour moi et j'ai peur de me tromper, c'est les environs de tafrawt, taknarit d'ailleurs n'est plus comme ça, elle est malade, plus de akniriy chez nous! ça fait mal au coeur ce qui est arrivé à cet arbre!Ça fait extrêmement plaisir d'admirer le Maroc à distance......en attendant d'y aller au plus vite. Merci.
@Amsrar, je parcours toujours le Souss Massa dans tous les sens, de piste en piste.
Tu reconnaitras sans doute quelques endroits :
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Pour moi et j'ai peur de me tromper, c'est les environs de tafrawt, taknarit d'ailleurs n'est plus comme ça, elle est malade, plus de akniriy chez nous! ça fait mal au coeur ce qui est arrivé à cet arbre!
tellement triste ne la voir comme ça, chez nous c'est pareil! on a grandit en la mangeant par les mains sacré de nos mères mais maintenant taknarit c'est fini! si quelqu'un connaît un médicament naturelle pour la sauver je lui serai reconnaissant toute ma vie. les arbres eux essayent aussi de résister contre une sécheresse sévère. dans l'anti atlas il y'en a toujours eu de la secheresse mais le comportement égoiste de l'homme moderne et la modernité qui gagne de plus en plus de terrain donne des résultats catastrophique d'un égocentrisme, égoisme, profit, gaspillage humain qui vient d'un comportement humain négatif sans respect ni reconnaissance envers cette terre.Exemple, chez nous; pour taknarit, appelée taroumit
De ça
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En 2022, Il ne reste que ça
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Petit espoir, une jeune raquette est apparue.
Mais je pense qu'elle se sauvera pas taknarit
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Je ne veux pas te donner de l'espérance trop vite mais j'ai un vieil ami du côté d'Aït Baha chez qui j'ai vu les aknariy revivre vers le mois de juin cette année.tellement triste ne la voir comme ça........ si quelqu'un connaît un médicament naturelle pour la sauver je lui serai reconnaissant toute ma vie........
malheureusement, il n y'a aucun vert parmi eux, je parle pas seulement de ceux de mon grand père mais ceux de tout notre village, mais par lueur d'espoir je vais essayer même s'il sont mort complètement. Qui sait! merci beaucoup pour lui et à toi! je crois avoir déjà entendu ce remède mais merci c'est mieux que rien, content pour lui d'avoir réussi à leur rendre la vie.@Amsrar
Je reviens.
Mon copain si Hassan a "soigné" ses aknariy avec de l'eau dans laquelle il a mis sabon abldi. Et ça a fonctionné. Il en pulvérisait très tôt le matin avant fajr et le soir après maghreb.
Mais il n'en a pas des milliers donc ça facilite.
Évidemment, il faut faire ça avant qu'ils soient complètement morts. Mais pourquoi ne pas essayer sur les nouvelles raquettes avant qu'elles soient atteintes.
C'est ce qu'il a fait. Il a remarqué qu'il y avait des nouvelles pousses. Il les a retirées et plantées. Il a brûlé tout ce qui était atteint et traité les nouvelles raquettes au sabon abldi.
J'ai eu des cochenilles ici sur un citronnier. Je l'avais traité en mettant dans un pulvérisateur : un litre d'eau/une cuillère de savon noir/une de vinaigre blanc/. Bon résultat. Mais une fois encore, c'était pour un seul arbre. Si tu as des champs d'aknari, c'est autre chose.
assar ort9ndmtaknarit tdda tgllint! as tt akk sul ur nttwarga!
Images superbes
ça donne envie d'aller admirer toutes ces merveilles de la nature
Le chemin vers la source de Taghya
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Arwa à l'ancienne
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Une colonie de corbeaux
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Une des sources
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On se prépare au retour; 12 kms pour le retour à Zaouit n Ohansal
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Car après c'est ça
c'est où?Ah d'accord....je savais que ces timaryine blanchis à la chaux délimitaient des terrains, pour en voir chez des copains. Mais je n'avais pas fait le rapprochement avec ceux que je vois en pleine montagne qui sont donc là pour protéger un agdal.
On apprend tous les jours.
Les photos que je mets ici proviennent de plusieurs voyages sur des années. En fait,....tous les ans.
J'ai un faible aussi pour les sources, les agadirs (igherm),...
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Celui-ci par exemple. Blotti dans un creux de montagne, quasiment inattaquable. Toujours utilisé.
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De plus près
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Trop d'agadirs sont laissés à l'abandon alors qu'ils sont un patrimoine témoin du passé. Ici, une architecte, Salima Naji, a tout fait pour restaurer cette merveille dans les règles de l'art
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Au sud de Tafraout, celui-ci a également été restauré
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Tu connais certainement Amsfran mais pour ceux qui ne sont jamais passés par là...une des reines des montagnes. L'endroit est désormais beaucoup trop fréquenté.
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Pour l'histoire. Je suppose que personne ici n'est allé dénicher cette "sculpture" datant de la présence française, à l'époque où les légionnaires traçaient des pistes et creusaient des tunnels
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tu veux l'emplacement de chaque photo ?c'est où?
Je n'avais pas fait attention à ces ruines l'autre jour...;si je ne m'abuse, ça se trouve en surplomb du Gheris près de Sidi Mohamed o Youssef.Là on dirait des citadelles qui veillent sur le seul chemin muletier d'époque devenu route entre Amellagho et Ait Hani
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A propos de ces ruines sur un piton en sortant d'Imilchil vers Oulghazi, tout ce que j'en sais est que les habitants du coin l'attribuent aux "Portugais".Et là les restes d'une batisse à Imilchil, Ighrm awssar dont personne n'a su me dire ce qu'elle était à son époque.
Vu la double enceinte de murs, ça pouvait être un agadir
Il surplombe le souk d'Imilchil, visible à la sortie en allant vers O'lghazi
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Voilà je recherchais son.nomMririda N'ayt Atiq, poétesse berbère
Courtisane et poétesse berbère originaire de la vallée de la Haute Tassout cachée au cœur du Haut Atlas, Mririda N'ayt Atiq composait et chantait en tachelit, la langue berbère pratiquée dans la majeure partie de l'Atlas, une poésie sensuelle et libertine.
Née au début des années 1900 dans le village de Magdaz dans la région d'Azilal, Mririda était une belle jeune femme libérée et avant-gardiste - elle choisissait elle-même ses amants - vivant simplement dans un environnement traditionnellement dominé par les hommes et culturellement replié sur lui-même.
Sa poésie chantée en langue berbère a conquis un instituteur français, René Euloge, qui de passage à Azilal en 1927, découvre la belle poétesse sur le marché de la bourgade montagnarde. Afin de les sauver de l'oubli, Il recueillit alors ses poèmes emplis de sensualité et d'amour dans le but de les traduire et les présenter à un plus large public.
Ses poèmes sont inspirés par ses propres aventures sentimentales, ses joies et ses déceptions. La dureté de la vie montagnarde, les choses simples et quotidiennes de la vie composent également ses chants, tout comme la souffrance des femmes et la domination des hommes ainsi que la soumission à l'occupant français.
René Euloge recueillera et traduira du tachelit 120 des compositions de Mririda N'ayt Atiq jusquà ce que celle-ci disparaisse en 1946 reniée pas les siens pour ses mœurs dissolus et choquants aux yeux de ses contemporains montagnards. René Euloge apprendra par une courtisane de ses amies que la jeune femme avait quitté la région avec un ancien adjudant des Goums.
Depuis, nulle nouvelle de la jeune poétesse rebelle et libertine.
Bonjour à vous, merci pour ces belles images ! Je me demande si il existe quelque part une transcription en tachelhait des poèmes de Mririda ? En phonétique par exemple.dommage y a pas le poème authentique. la langue amazigh est merveilleuse. la traduction n est et ne sera jamais fidèle
Bonjour à vous, je m'intéresse beaucoup aux poèmes de Mririda N'ait Atiq. Je me demandais si il existe des retranscriptions en tachelhait, peut-être en phonétique. Le savez-vous par hasard ? Merci de votre attentionMririda N'ayt Atiq, poétesse berbère
Courtisane et poétesse berbère originaire de la vallée de la Haute Tassout cachée au cœur du Haut Atlas, Mririda N'ayt Atiq composait et chantait en tachelit, la langue berbère pratiquée dans la majeure partie de l'Atlas, une poésie sensuelle et libertine.
Née au début des années 1900 dans le village de Magdaz dans la région d'Azilal, Mririda était une belle jeune femme libérée et avant-gardiste - elle choisissait elle-même ses amants - vivant simplement dans un environnement traditionnellement dominé par les hommes et culturellement replié sur lui-même.
Sa poésie chantée en langue berbère a conquis un instituteur français, René Euloge, qui de passage à Azilal en 1927, découvre la belle poétesse sur le marché de la bourgade montagnarde. Afin de les sauver de l'oubli, Il recueillit alors ses poèmes emplis de sensualité et d'amour dans le but de les traduire et les présenter à un plus large public.
Ses poèmes sont inspirés par ses propres aventures sentimentales, ses joies et ses déceptions. La dureté de la vie montagnarde, les choses simples et quotidiennes de la vie composent également ses chants, tout comme la souffrance des femmes et la domination des hommes ainsi que la soumission à l'occupant français.
René Euloge recueillera et traduira du tachelit 120 des compositions de Mririda N'ayt Atiq jusquà ce que celle-ci disparaisse en 1946 reniée pas les siens pour ses mœurs dissolus et choquants aux yeux de ses contemporains montagnards. René Euloge apprendra par une courtisane de ses amies que la jeune femme avait quitté la région avec un ancien adjudant des Goums.
Depuis, nulle nouvelle de la jeune poétesse rebelle et libertine.