Nouveau rebondissement dans l’affaire Guillaume Meurice.
www.7sur7.be
L’humoriste de France Inter a annoncé ce jeudi qu’il était convoqué par la direction de Radio France à un entretien préalable en vue d’une éventuelle sanction disciplinaire pouvant aller jusqu’à la rupture de (son) contrat à durée déterminée.
Il ne participera donc pas aux deux prochaines émissions du “Grand dimanche soir” sur la chaîne publique France Inter. “Il m’est intimé l’ordre de cesser toute activité professionnelle à Radio France et de ne pas me présenter à mon poste de travail avant ledit entretien”, prolonge encore Guillaume Meurice. La date de cette entrevue n’est pas précisée.
En cause? Dimanche dernier, le chroniqueur du service public a réitéré sa “blague” sur Benjamin Netanhayou, qu’il avait qualifié de “sorte de nazi sans prépuce”, sur France Inter.
Après ses propos polémiques, l’humoriste a reçu un avertissement de Radio France après avoir refusé de présenter ses excuses pour sa blague douteuse. Il avait même été entendu par la police, qui avait décidé d’abandonner les poursuites judiciaires à son encontre.
Les plaintes pour “provocation à la violence et à la haine antisémite » et « injures publiques à caractère antisémite” avaient été classées sans suite par le parquet de Nanterre.
“Nazi sans prépuce”: Guillaume Meurice suspendu après avoir réitéré ses propos polémiques
Nouveau rebondissement dans l’affaire Guillaume Meurice.
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L’humoriste de France Inter a annoncé ce jeudi qu’il était convoqué par la direction de Radio France à un entretien préalable en vue d’une éventuelle sanction disciplinaire pouvant aller jusqu’à la rupture de (son) contrat à durée déterminée.
Il ne participera donc pas aux deux prochaines émissions du “Grand dimanche soir” sur la chaîne publique France Inter. “Il m’est intimé l’ordre de cesser toute activité professionnelle à Radio France et de ne pas me présenter à mon poste de travail avant ledit entretien”, prolonge encore Guillaume Meurice. La date de cette entrevue n’est pas précisée.
En cause? Dimanche dernier, le chroniqueur du service public a réitéré sa “blague” sur Benjamin Netanhayou, qu’il avait qualifié de “sorte de nazi sans prépuce”, sur France Inter.
Après ses propos polémiques, l’humoriste a reçu un avertissement de Radio France après avoir refusé de présenter ses excuses pour sa blague douteuse. Il avait même été entendu par la police, qui avait décidé d’abandonner les poursuites judiciaires à son encontre.
Les plaintes pour “provocation à la violence et à la haine antisémite » et « injures publiques à caractère antisémite” avaient été classées sans suite par le parquet de Nanterre.
