pourquoi parfois la difference est rejeté
quel difference sont tolerer ou combattu ?
Le rejet de la différence trouve souvent ses racines dans la peur de l'inconnu ou de l'altérité.
L'humain, par nature, cherche des repères et la différence peut apparaître comme une menace à l'ordre social ou à la stabilité identitaire.
Ce rejet peut aussi être alimenté par des normes culturelles, des préjugés ou des stéréotypes profondément ancrés, qui créent un cadre rigide où tout ce qui dévie est perçu comme anormal ou indésirable.
Parfois, il s'agit également d'un mécanisme de défense : la différence éveille des questionnements sur soi-même, sur ses valeurs et ses croyances, ce qui peut être inconfortable.
Pourtant, ce rejet n'est pas une fatalité ; il peut être transformé en opportunité d'enrichissement mutuel lorsque la curiosité et l'empathie prennent le pas sur la peur.
cela apparait meme chez les jeune enfants
Oui, chez les jeunes enfants, le rejet de la différence peut également émerger, souvent de manière instinctive. À cet âge, l'identité personnelle et sociale est en construction, et les enfants tendent à se rassurer en cherchant des similitudes avec les autres. Ce rejet n'est pas toujours malveillant ; il peut simplement résulter de l'absence de compréhension ou d'expérience face à l'inconnu. Cependant, les enfants sont aussi remarquablement malléables. Leur vision du monde et de la différence peut être modifiée positivement grâce à l'éducation, aux interactions et aux exemples d'inclusion. Plus tôt on expose les enfants à la diversité, plus tôt on peut les aider à développer une tolérance et une curiosité naturelle pour ce qui diffère d'eux.
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Oui, même chez les bébés, des signes de préférence pour la similarité et de rejet de la différence peuvent se manifester. Des études ont montré que dès 6 mois, les bébés peuvent démontrer une préférence pour des visages qui leur sont familiers ou similaires à ceux de leurs parents ou de leur groupe social. Cela ne signifie pas une forme consciente de rejet, mais plutôt une tendance naturelle à s'ancrer dans ce qui leur semble familier, sécurisant et connu. Ce mécanisme pourrait avoir une base évolutive, facilitant l'attachement et la protection.
Cependant, à cet âge, ce phénomène est largement influencé par des facteurs biologiques et sensoriels. C’est à mesure que les bébés grandissent, qu'ils accumulent des expériences sociales et qu'ils commencent à comprendre des concepts plus complexes comme l'empathie ou la justice, que cette tendance au rejet peut se transformer et devenir plus consciente. Les influences sociales et les interactions jouent un rôle crucial dans la manière dont ces premières inclinations se développent ou se transforment en attitudes inclusives.
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l semble que cette tendance au rejet de la différence ait en partie une base innée, mais elle est aussi fortement modulée par l'environnement. Les instincts de préférence pour ce qui est familier peuvent être considérés comme une forme de mécanisme de survie, permettant aux enfants de s'attacher plus facilement à leurs caregivers et de s'intégrer dans des groupes sociaux sûrs. Toutefois, cette tendance n'est pas figée. Le rejet ou l'acceptation de la différence dépend largement de l'éducation, des interactions et des valeurs transmises par les parents, les pairs et la société.
Ainsi, bien que des prédispositions innées existent, elles interagissent avec des facteurs sociaux et culturels qui façonnent la manière dont les enfants réagiront face à la diversité au fur et à mesure de leur développement.