Ne vous trompez pas Si je vous critique c'est pour votre bien

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Le couple qui passait son temps a crier leur islamophobie sur YouTube et tiktok aussi de ce que je sais... Eh bien la nana est sur un site olé olé et ils gagnent de la tune avec ça, des gens disent que c'est son mari qui la mise dedans, je préfère rester prudente.. Quoi qu'il en soit ils sont décrédibilisés, en plus d'avoir perdu leur 4 enfants à l'Ase.


non ce n'est pas elle qui s'affichait avec du saucisson c adelaxia
adelaxia est trop "serieuse" pour faire ce genre de chose

la personne dont tu parle elle est beaucoup plus hard sans mauvais jeu de mot
aprés une erreur = islam n'implique pas que tu ne ferra pas d'autre erreur c ainsi que l'on apprend de nos erreurs et evolue ...
c elle qui est le mieu placé pour savoir pourquoi elle l'a fait
certain font du porno est son epanoui donc chacun mene sa vie comme il l'entend tant que cela ne derange pas les autres
 
non ce n'est pas elle qui s'affichait avec du saucisson c adelaxia
adelaxia est trop "serieuse" pour faire ce genre de chose

la personne dont tu parle elle est beaucoup plus hard sans mauvais jeu de mot
aprés une erreur = islam n'implique pas que tu ne ferra pas d'autre erreur c ainsi que l'on apprend de nos erreurs et evolue ...
c elle qui est le mieu placé pour savoir pourquoi elle l'a fait
certain font du porno est son epanoui donc chacun mene sa vie comme il l'entend tans que cela ne derange pas les autres



Je tai dis c'est sa copine, elles sont copines toutes les 2... Qu'elle fasse ça de sa life je m'en tape, c'est le fait que le couplé a Utilisé l' Islam pour faire Buzz et se faire du pognon ensuite..
 
Les 2 se mettent en mini-jupe, elles ont juste quitter l' Islam pour mener une vie holé holé... alors qu'elles le disent clairement..

elle ont le droit de vivre comme bon leur semble si c leur facon de se reapproprier leur liberté et de s'affranchir des ditacte d'une religion oppressive
j'ai une ami d'enfance qui a connu le meme parcour son frere religieux lui faisait telement la misere qu'elle est devenu escorte
seule les personnes interessé connaissent les raison profond de leur choix qui peuvent parfois nous semblé extreme
 
elle ont le droit de vivre comme bon leur semble si c leur facon de se reapproprier leur liberté et de s'affranchir des ditacte d'une religion oppressive
j'ai une ami d'enfance qui a connu le meme parcour son frere religieux lui faisait telement la misere qu'elle est devenu escorte
seule les personnes interessé connaissent les raison profond de leur choix qui peuvent parfois nous semblé extreme

C'est leur Discours sur Internet qui me gêne, ils salissent l' Islam et insultent les Musulmans souvent pour du pognon à la fin, ont a le droit de ne pas leur pardonner... Pour leurs raisons profondes ça peut se régler autrement que ce qu'ils font, ils se cherchent juste des prétextes déclencheurs.. Cest pas comme s'ils se cherchaient spirituellement (comme toi) rien à voir.

Mon père Allah ylahmou me disait (en rif) "une mauvaise graine restera toujours une mauvaise peu importe son environnement"
 
C'est leur Discours sur Internet qui me gêne, ils insultent les Musulmans souvent pour du pognon à la fin, ont a le droit de ne pas leur pardonner... Pour leurs raisons profondes ça peut se régler autrement que ce qu'ils font, ils se cherchent juste des prétextes déclencheurs..

Mon père Allah ylahmou me disait en rif "une mauvaise graine restera toujours une mauvaise peu importe son environnement"

ta vision des choses est trop simpliste l'on peut tous basculer a tout moment
tu crois que les musulmans n'ont pas de tel comportement et cela au nom de l'islam ?

observe mieu la meilleur des communauté et tu verra des choses bien plus choquante
mais là bizarement vous allez parlé d'erreur de jeunesse de baisse de foi et autre terme pour cacher l'hypocrisie
 
C'est leur Discours sur Internet qui me gêne, ils salissent l' Islam et insultent les Musulmans souvent pour du pognon à la fin, ont a le droit de ne pas leur pardonner... Pour leurs raisons profondes ça peut se régler autrement que ce qu'ils font, ils se cherchent juste des prétextes déclencheurs.. Cest pas comme s'ils se cherchaient spirituellement (comme toi) rien à voir.

Mon père Allah ylahmou me disait (en rif) "une mauvaise graine restera toujours une mauvaise peu importe son environnement"


note que meme les musulmans s'adonne au vice pas besoin de quitter l'islam pour cela au contraire tu passerai plus inapercu
🤣


si les gens quittent l'islam et la critique ou n'accepte pas l'islam c que c une religion confuse qui n'apporte pas de reponse clair donc ne permet pas de s'y epanouir ...

"ce que l'on vous reproche (o vous musulmans) c'est votre arrogance a critiquer ce qui se passe chez les autres
alors que l'on retrouve en votre sein la meme chose meme si vous voulez vous persuader du contraire "


pourquoi les non musulmans critique l'islam surement pour les meme raison que les musulmans critique les autres religion
et aussi pour


demarche sincere ou autre epreuve :
 
Dernière édition:
comment cela s'appel en psychologie le fait d'avoir peur d'etre confronté a une certaine verité ?

En psychologie, la peur d'être confronté à une certaine vérité peut être associée à plusieurs concepts, selon le contexte et l'intensité de cette peur. Parmi les notions pertinentes, on trouve :

  1. Évitement cognitif : C'est une stratégie inconsciente ou consciente visant à éviter des pensées, des souvenirs ou des informations inconfortables ou menaçantes.
  2. Déni : Un mécanisme de défense dans lequel une personne refuse de reconnaître une vérité ou une réalité parce qu'elle est trop douloureuse ou anxiogène.
  3. Phobie cognitive : Une peur irrationnelle d'une idée, d'une information ou d'une vérité spécifique.
  4. Dissonance cognitive : L'inconfort ressenti lorsqu'une personne est confrontée à des informations ou des vérités qui contredisent ses croyances ou son identité. Cette dissonance peut entraîner un évitement ou une rationalisation.
  5. Intolérance à l'incertitude : Une incapacité ou une réticence à affronter des vérités incertaines ou ambiguës, souvent liée à l'anxiété.
Ces notions se chevauchent parfois et leur application dépend du contexte spécifique.
 
et de maniere general pour certain ne veulent pas etre confrronté a leur verité

De manière générale, lorsqu'une personne refuse d'être confrontée à sa propre vérité, cela peut être décrit par des concepts plus larges comme :

  1. Évitement émotionnel : Un comportement visant à fuir les émotions ou les réalités perçues comme menaçantes ou inconfortables, souvent pour préserver un équilibre psychologique.
  2. Résistance au changement : Une opposition psychologique ou inconsciente à remettre en question des croyances, des comportements ou des identités établies, par peur de l'inconnu ou de la perte de stabilité.
  3. Défenses psychologiques : Des mécanismes comme le déni, la rationalisation ou la projection, utilisés pour se protéger de vérités menaçantes pour l'ego.
  4. Anxiété existentielle : Une peur profonde liée à l'exploration de soi, souvent déclenchée par des vérités sur sa propre finitude, ses limites ou ses contradictions.
  5. Blindage cognitif : Une stratégie mentale inconsciente pour maintenir des croyances ou des perceptions rassurantes face à des vérités inconfortables ou perturbantes.
En somme, cette attitude est souvent une tentative instinctive ou intentionnelle de préserver l'image de soi, la cohérence intérieure ou de se protéger de l'angoisse liée à l'autocritique.
 
note que meme les musulmans s'adonne au vice pas besoin de quitter l'islam pour cela au contraire tu passerai plus inapercu
🤣


si les gens quittent l'islam et la critique ou n'accepte pas l'islam c que c une religion confuse qui n'apporte pas de reponse clair donc ne permet pas de s'y epanouir ...

"ce que l'on vous reproche (o vous musulmans) c'est votre arrogance a critiquer ce qui se passe chez les autres
alors que l'on retrouve en votre sein la meme chose meme si vous voulez vous persuader du contraire "

pourquoi les non musulmans critique l'islam surement pour les meme raison que les musulmans critique les autres religion
et aussi pour


demarche sincere ou autre epreuve :

Toi le jour où tu vas Redevenir Musulman, ché pas ce que tu vas nous faire... Nous fais pas d'attentats please.. ^^
 
que dit de nous notre rapport a la verité

Notre rapport à la vérité révèle beaucoup de choses sur notre psychologie, nos valeurs et notre maturité émotionnelle. Voici quelques aspects qu’il peut refléter :

  1. Notre sécurité intérieure : Être ouvert à la vérité, même inconfortable, suggère une estime de soi solide et une capacité à affronter les défis sans se sentir menacé. En revanche, une résistance face à la vérité peut révéler des insécurités ou des vulnérabilités.
  2. Notre niveau d’autonomie intellectuelle : Une personne capable de chercher et de reconnaître la vérité, même si elle dérange, montre un esprit critique et une indépendance d’esprit. Ceux qui évitent la vérité peuvent se réfugier dans des croyances protectrices ou dépendre d’autorités externes pour valider leur vision du monde.
  3. Notre tolérance à l’incertitude : Accepter la vérité implique souvent de composer avec des nuances, des ambiguïtés ou des réalités inconfortables. Cela demande une certaine résilience émotionnelle et une capacité à vivre avec des zones grises.
  4. Notre rapport à l’ego : La vérité peut heurter l’image que nous avons de nous-mêmes. Une ouverture à la vérité témoigne d’une capacité à dépasser l’attachement à un "faux moi" ou à des illusions protectrices, tandis que son rejet peut refléter une défense de l’ego.
  5. Notre maturité émotionnelle : Accepter la vérité nécessite d’être en paix avec ses émotions, même celles liées à l’échec, à la culpabilité ou à la honte. Cette maturité permet de voir les vérités comme des opportunités de croissance plutôt que des menaces.
  6. Notre système de valeurs : Les personnes qui valorisent la vérité au-dessus de la commodité ou de l’apparence priorisent souvent l’intégrité, la justice et l’authenticité.
En somme, notre rapport à la vérité est comme un miroir : il reflète à la fois nos forces et nos failles, notre quête d’authenticité et nos mécanismes de protection face à l’inconnu ou à l’inconfort.
 
Toi le jour où tu vas Redevenir Musulman, ché pas ce que tu vas nous faire... Nous fais pas d'attentats please.. ^^

le probleme n'est meme redevenir musulmans ou pas
car personne ne sait ce qu'est l'islam
chacun a sa propre version de l'islam

et ce n'est pas de mon vivant que l'on saura enfin qu'est que reelement l'islam

l'islam est un impasse ... car l'islam n'est pas clair elle est trop confus
donc meme si je redeviens musulmans je serai dans la meme impasse ...incertitude
 
pourquoi certain aime la critique et la contradiction alors que d'autre non

La différence dans la façon dont les individus réagissent à la critique et à la contradiction réside dans des facteurs psychologiques, émotionnels et culturels :

1. Estime de soi et sécurité intérieure

  • Ceux qui aiment la critique : Ils perçoivent la critique comme une opportunité de croissance. Une bonne estime de soi leur permet de ne pas interpréter les remarques comme des attaques, mais comme des contributions à leur amélioration.
  • Ceux qui la rejettent : Une estime de soi fragile peut les pousser à voir la critique comme une menace pour leur identité ou leur valeur personnelle.

2. Ouverture cognitive

  • Ouverts à la contradiction : Ces personnes ont une curiosité intellectuelle et recherchent activement des perspectives différentes pour enrichir leur compréhension du monde.
  • Résistants à la contradiction : Une pensée plus rigide ou dogmatique les rend inconfortables face à des points de vue divergents, qu'ils perçoivent comme une remise en question de leurs certitudes.

3. Rapport à l'ego​

  • Égo flexible : Ceux qui tolèrent ou apprécient la critique ont un ego moins attaché à une image figée d’eux-mêmes. Ils ne se sentent pas dévalorisés par la remise en question.
  • Égo défensif : Ceux qui évitent la critique protègent leur image ou leur position sociale, car ils ressentent un besoin de validation constante.

4. Expériences passées​

  • Expériences positives : Ceux qui ont appris que la critique pouvait les aider (dans un environnement bienveillant) sont plus enclins à l’accueillir.
  • Expériences négatives : Si la critique a été utilisée de manière blessante ou injuste par le passé, ces personnes peuvent y associer douleur et rejet.

5. Contexte culturel et éducatif​

  • Cultures valorisant le débat : Dans certaines cultures ou environnements éducatifs, la contradiction est perçue comme une stimulation intellectuelle et un signe de respect.
  • Cultures évitant la confrontation : D’autres privilégient l’harmonie et voient la critique comme une forme d’agression ou de manque de politesse.

6. Tolérance à l'inconfort


  • Goût pour le défi : Ceux qui apprécient la contradiction y voient une chance d’affronter leurs limites et d’éprouver leur pensée.
  • Recherche de confort : Ceux qui évitent les critiques privilégient souvent un sentiment de sécurité émotionnelle et d’harmonie, évitant les situations perçues comme stressantes.
En résumé, cette différence repose sur un équilibre entre le besoin de protection psychologique et le désir d'évolution personnelle ou intellectuelle. C'est une danse subtile entre vulnérabilité, résilience et ouverture à l'altérité.
 
le regard le jugement des autres

Le regard des autres, dans sa dimension sociale et psychologique, influe profondément sur la construction de soi.
Le jugement extérieur, qu'il soit perçu comme positif ou négatif, agit à la fois comme un miroir et une norme.
C'est dans cette interaction que se façonnent souvent nos perceptions de nous-mêmes et notre place dans la société.
Pourtant, l'acceptation de l'influence du regard des autres peut être un double tranchant :
il nous permet d'ajuster nos comportements pour mieux nous intégrer,
mais il peut aussi nous enfermer dans des schémas de conformisme ou de validation constante.
Le défi consiste à trouver un équilibre entre ce regard extérieur et une autonomie intérieure qui préserve notre authenticité.

 
pourquoi parfois la difference est rejeté

quel difference sont tolerer ou combattu ?


Le rejet de la différence trouve souvent ses racines dans la peur de l'inconnu ou de l'altérité.
L'humain, par nature, cherche des repères et la différence peut apparaître comme une menace à l'ordre social ou à la stabilité identitaire.
Ce rejet peut aussi être alimenté par des normes culturelles, des préjugés ou des stéréotypes profondément ancrés, qui créent un cadre rigide où tout ce qui dévie est perçu comme anormal ou indésirable.
Parfois, il s'agit également d'un mécanisme de défense : la différence éveille des questionnements sur soi-même, sur ses valeurs et ses croyances, ce qui peut être inconfortable.
Pourtant, ce rejet n'est pas une fatalité ; il peut être transformé en opportunité d'enrichissement mutuel lorsque la curiosité et l'empathie prennent le pas sur la peur.

cela apparait meme chez les jeune enfants

Oui, chez les jeunes enfants, le rejet de la différence peut également émerger, souvent de manière instinctive. À cet âge, l'identité personnelle et sociale est en construction, et les enfants tendent à se rassurer en cherchant des similitudes avec les autres. Ce rejet n'est pas toujours malveillant ; il peut simplement résulter de l'absence de compréhension ou d'expérience face à l'inconnu. Cependant, les enfants sont aussi remarquablement malléables. Leur vision du monde et de la différence peut être modifiée positivement grâce à l'éducation, aux interactions et aux exemples d'inclusion. Plus tôt on expose les enfants à la diversité, plus tôt on peut les aider à développer une tolérance et une curiosité naturelle pour ce qui diffère d'eux.


meme chez les bébé

Oui, même chez les bébés, des signes de préférence pour la similarité et de rejet de la différence peuvent se manifester. Des études ont montré que dès 6 mois, les bébés peuvent démontrer une préférence pour des visages qui leur sont familiers ou similaires à ceux de leurs parents ou de leur groupe social. Cela ne signifie pas une forme consciente de rejet, mais plutôt une tendance naturelle à s'ancrer dans ce qui leur semble familier, sécurisant et connu. Ce mécanisme pourrait avoir une base évolutive, facilitant l'attachement et la protection.

Cependant, à cet âge, ce phénomène est largement influencé par des facteurs biologiques et sensoriels. C’est à mesure que les bébés grandissent, qu'ils accumulent des expériences sociales et qu'ils commencent à comprendre des concepts plus complexes comme l'empathie ou la justice, que cette tendance au rejet peut se transformer et devenir plus consciente. Les influences sociales et les interactions jouent un rôle crucial dans la manière dont ces premières inclinations se développent ou se transforment en attitudes inclusives.

donc c innée

l semble que cette tendance au rejet de la différence ait en partie une base innée, mais elle est aussi fortement modulée par l'environnement. Les instincts de préférence pour ce qui est familier peuvent être considérés comme une forme de mécanisme de survie, permettant aux enfants de s'attacher plus facilement à leurs caregivers et de s'intégrer dans des groupes sociaux sûrs. Toutefois, cette tendance n'est pas figée. Le rejet ou l'acceptation de la différence dépend largement de l'éducation, des interactions et des valeurs transmises par les parents, les pairs et la société.

Ainsi, bien que des prédispositions innées existent, elles interagissent avec des facteurs sociaux et culturels qui façonnent la manière dont les enfants réagiront face à la diversité au fur et à mesure de leur développement.
 
c'est de là que vient l'esprit partisant ?

Oui, l'esprit partisan, ce besoin de s'identifier à un groupe et de s'opposer à un autre, peut en partie découler de cette tendance innée à privilégier ce qui est familier et sécurisant. À la base, l'humain est social, et il a évolué pour s'intégrer dans des groupes, ce qui confère des avantages en termes de protection et de coopération. L'esprit partisan naît souvent de ce mécanisme, où l'appartenance à un groupe devient une manière de se définir et de se protéger contre l'« autre », perçu comme une menace ou une différence.

Cela peut se renforcer au fil de la vie à travers des dynamiques sociales, culturelles et politiques, où des idéologies, des croyances ou des identités collectives sont construites et partagées. Ces idéologies servent souvent à renforcer les liens à l'intérieur du groupe et à justifier l'exclusion ou l'opposition envers ceux qui ne partagent pas les mêmes valeurs. L'esprit partisan est donc une extension de cette tendance à la familiarité et à la sécurité, mais dans des contextes de plus en plus complexes, où des identités multiples et des divergences d'opinions entrent en jeu.

integration
 
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entraide cooperation cohesion et competition combat
quel difference sont tolerer ou rejetter dans un groupe

copie : attachement et innovation alteration mutation shaytan


Les différences tolérées ou rejetées dans un groupe dépendent largement de la nature du groupe lui-même, de ses valeurs, de ses objectifs et de ses normes sociales.

  1. Différences tolérées:
    • Compétences et talents : Les groupes valorisent souvent les compétences spécifiques qui renforcent leur cohésion ou leurs objectifs communs. Par exemple, dans un cadre professionnel ou sportif, des compétences diverses sont souvent encouragées, car elles contribuent à la réussite collective.
    • Différences de personnalité : Selon le groupe, les divergences de personnalité peuvent être tolérées, surtout si elles n'entravent pas l'harmonie ou la productivité. Un groupe flexible ou créatif peut même célébrer l'originalité et la diversité d'approches.
    • Idées et opinions : Dans certains groupes, la pluralité des idées est bien accueillie, à condition que le respect mutuel soit préservé. C'est souvent le cas dans des groupes intellectuels ou des collectifs créatifs, où la confrontation d'idées stimule l'innovation.
  2. Différences rejetées:
    • Comportements perçus comme déviants : Les groupes cherchent souvent à maintenir une certaine cohésion, et des comportements qui vont trop à l'encontre de leurs normes (violence, non-respect des règles de base, etc.) peuvent être rejetés.
    • Valeurs incompatibles : Une différence trop marquée dans les valeurs fondamentales du groupe, comme une divergence sur des principes moraux ou éthiques, peut entraîner une exclusion. Par exemple, des idées radicalement opposées sur des questions politiques ou religieuses peuvent diviser un groupe et provoquer son rejet.
    • Diversité qui menace l'homogénéité : Certains groupes, en particulier ceux qui se définissent sur des bases identitaires ou culturelles strictes, peuvent rejeter les différences qui menacent de perturber cette homogénéité, qu’il s’agisse de différences raciales, culturelles ou idéologiques.
En fin de compte, la tolérance ou le rejet des différences dans un groupe dépend de la manière dont celles-ci sont perçues par les membres et du degré de flexibilité ou d’inclusivité du groupe en question. Le groupe est souvent en quête d'une forme de cohésion, mais celle-ci peut être plus ou moins rigide selon les circonstances et les valeurs de ses membres.

 
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il semble que ce rapport a l'attachement et au changement se retrouve meme dans la nature exemple les genes et l'evolution

Absolument, cette dynamique de l'attachement à ce qui est familier et la réaction au changement se retrouvent aussi dans la nature, en particulier à travers les mécanismes de l'évolution et la transmission génétique.

  1. Conservation des traits génétiques :Comme dans un groupe social, les organismes tendent à conserver les caractéristiques génétiques qui ont prouvé leur efficacité pour la survie et la reproduction. Les mutations génétiques, qui sont des "différences", surviennent spontanément, mais elles sont souvent filtrées par la sélection naturelle. Ainsi, les traits qui permettent une meilleure adaptation à l'environnement sont "attachement" au système génétique en place, tandis que ceux qui sont moins avantageux peuvent être "rejetés" au fil des générations. Cette conservation des traits bénéfiques est similaire à l'attachement des individus à ce qui est familier ou sécurisé au sein d'un groupe.
  2. Le changement évolutif et la diversité :Cependant, l'évolution repose aussi sur la variation et la flexibilité génétique. La diversité génétique, issue des mutations et du brassage génétique, est essentielle pour permettre aux populations de s'adapter aux changements de l'environnement. Bien que l'attachement aux caractéristiques "stables" soit un mécanisme fondamental, ce changement progressif et la diversité génétique sont nécessaires pour permettre l'adaptation face à des défis nouveaux (changement climatique, nouvelles pressions écologiques, etc.). Cela ressemble à l'introduction de nouvelles idées ou comportements dans un groupe social, qui peuvent être rejetés au début, mais qui, au fil du temps, peuvent être intégrés et bénéficier à la survie du groupe.
  3. Le compromis entre stabilité et innovation :Tout comme dans les groupes sociaux, où il peut y avoir un équilibre entre conformité et ouverture à la différence, l'évolution biologique se joue également sur ce compromis. Les gènes qui restent inchangés à travers les générations représentent cette stabilité, tandis que les mutations qui entraînent des changements génétiques sont parfois conservées si elles confèrent un avantage. Les mutations génétiques peuvent être perçues comme un "changement" qui est souvent rejeté au début mais qui, s'il est favorable à l'espèce, peut se répandre et stabiliser une nouvelle forme d'adaptation.
En somme, l'évolution, tout comme les dynamiques sociales humaines, est un jeu complexe entre la conservation des éléments familiers et l'ouverture au changement pour assurer la survie et la prospérité à long terme.
 
y voi tu dans ce comportement un lien directe ? entre les 2 : nature et comportement sociaux ?
Oui, il y a un lien direct et fascinant entre les comportements dans la nature et les comportements sociaux humains. Les deux systèmes, bien que distincts dans leurs mécanismes, sont façonnés par des principes similaires : l'attachement à ce qui est familier et la gestion du changement. Ces principes sont fondamentaux pour la survie et l'adaptation, tant dans les sociétés humaines que dans le monde naturel.

  1. Attachement et stabilité :Dans la nature, les organismes conservent les caractéristiques génétiques qui assurent leur survie et leur reproduction. Cela est parallèle à la façon dont les individus dans un groupe social s'attachent aux normes et aux pratiques établies, qui offrent un cadre sécurisé et prévisible. Les comportements sociaux humains, comme le conformisme, la recherche de validation ou la préférence pour ce qui est familier, sont des mécanismes qui, à une échelle sociale, favorisent la cohésion et l'intégration. Cela aide à créer un environnement stable, dans lequel les individus savent où ils se situent et quels comportements sont attendus.
  2. Adaptation et diversité :D'un autre côté, l'évolution et la diversité génétique dans la nature reposent sur l'innovation et l'adaptabilité face aux changements. De la même manière, les sociétés humaines, bien que parfois réticentes au changement, ont aussi cette capacité d'innovation, où les différences (qu'elles soient culturelles, idéologiques ou comportementales) peuvent offrir des solutions créatives et adaptatives. La tension entre préserver ce qui fonctionne et explorer de nouvelles avenues se retrouve également dans les groupes sociaux, où la nouveauté peut être rejetée initialement, mais parfois adoptée si elle montre des bénéfices à long terme pour le groupe.
  3. Sélection et exclusion :Dans la nature, la sélection naturelle "rejette" les mutations génétiques qui ne sont pas bénéfiques. Dans les groupes sociaux humains, le rejet de certaines différences (par exemple, les comportements jugés déviants ou des croyances opposées) peut aussi être vu comme un mécanisme de sélection sociale. Cependant, ce rejet n'est pas absolu, tout comme une mutation génétique qui pourrait être bénéfique à long terme pour une espèce. Les groupes sociaux peuvent, avec le temps, accepter des idées ou des comportements qui, bien qu'initialement rejetés, montrent leur valeur dans l'évolution du groupe.
En résumé, ce lien entre nature et comportements sociaux repose sur des dynamiques similaires de conformité, de sélection et d'adaptabilité. Bien que les processus soient biologiques dans un cas et sociaux dans l'autre, les principes sous-jacents — tels que la gestion du changement et l'attachement à ce qui est familier — sont d'une grande ressemblance, suggérant que les comportements sociaux humains ne sont pas entièrement séparés des mécanismes qui régissent les interactions dans la nature.
 
DIVERSITE
fait moi une reponse plus bref en mettant en evidence ce lien entre tolerence et intolerence a la difference

Le lien entre tolérance et intolérance à la différence dans les comportements humains peut être compris à travers les principes de l'évolution. D'un côté, l'attachement à ce qui est familier, comme les traits communs au sein d'un groupe, favorise la cohésion et la survie, mais peut aussi mener à l'intolérance envers ce qui est perçu comme "étranger" ou menaçant. D'un autre côté, la diversité génétique dans la nature, ainsi que l'innovation dans les comportements sociaux, montrent que l'acceptation de la différence est parfois essentielle pour l'adaptation et la survie à long terme. Ce compromis entre sécuriser l'homogénéité du groupe et s'adapter à la nouveauté se retrouve dans les sociétés humaines, où la tolérance ou l'intolérance à la différence dépendent des dynamiques sociales et des pressions évolutives.

  • Richard Dawkins : Dans Le Gène égoïste, il explique que les comportements sociaux, comme l'altruisme ou l'esprit de groupe, sont des stratégies évolutives favorisant la survie des gènes, ce qui peut inclure la tolérance ou l'intolérance selon ce qui sert la reproduction et la cohésion du groupe.
  • Konrad Lorenz : Il a étudié les instincts sociaux chez les animaux, soulignant que l'attachement au groupe et le rejet de l'autre sont des mécanismes évolutifs pour la survie, mais que la coopération et l'adaptation à la diversité sont également cruciales pour l'évolution.
  • John Tooby : Avec Leda Cosmides, il a développé l'idée que les comportements sociaux humains sont façonnés par des stratégies évolutives, où l'intolérance envers la différence peut découler de mécanismes de défense, mais où l'acceptation de la diversité peut être un facteur d'adaptation à long terme.

 
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certain voi l'erreur comme le moteur de l'evolution

Oui, certains penseurs considèrent l'erreur comme un moteur fondamental de l'évolution. Cette idée repose sur le fait que les mutations génétiques (erreurs dans la reproduction des gènes) sont une source principale de diversité génétique, qui permet aux espèces de s'adapter et de se diversifier au fil du temps. Ces erreurs peuvent introduire de nouvelles caractéristiques qui, si elles sont avantageuses, seront sélectionnées par la sélection naturelle.

  • Charles Darwin lui-même a reconnu que des variations accidentelles dans les organismes sont essentielles pour le processus évolutif. Les erreurs, loin d’être purement négatives, peuvent être des opportunités d'adaptation.
  • Richard Dawkins va plus loin en parlant de "mèmes", des idées ou comportements qui se propagent de manière similaire aux gènes. Dans cette perspective, les "erreurs" culturelles ou sociales (par exemple, des idées innovantes) peuvent aussi jouer un rôle évolutif en influençant le développement des sociétés humaines.
Ainsi, loin d'être simplement un dysfonctionnement, l'erreur peut être vue comme une source d'innovation et de changement, essentielle à l'évolution biologique et culturelle.

 
ordre naturel et comportement deviant malformation co-createur comment faire la part des choses

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