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petitbijou

Casablanca d'antan
VIB
Une histoire de confiance
Un milliard trois cent millions de dollars, cent dix milliards de dirhams, onze mille milliards de centimes, soit 11 suivi de 12 zéros... Ça fait beaucoup, beaucoup de pognon. Et c’est le montant des capitaux qui ont quitté clandestinement le Maroc -pas sur une patera mais dans des malles mieux protégées que des valises diplomatiques- entre 2001 et 2010, selon les estimations de l’ONG américaine Global financial integrity, qui fait de la traque des fuites de capitaux un domaine d’expertise. Le pactole représente, pour “le plus beau pays du monde”, l’équivalent de 5 TGV, 16 tramways, 50 fonds de solidarité version Benkirane, 11 000 gros lots du Loto made in Morocco… Imaginez alors si on pouvait rapatrier ne serait-ce qu’une infime partie de cette cagnotte : les projets que ça financerait, les emplois que ça créerait, le développement que ça induirait… Certains diront qu’il ne faut pas rêver en couleur : c’est de la richesse mal acquise, exfiltrée pour la mettre à l’abri d’un système qui fait et défait les grandes fortunes du bled. Ils n’ont pas tort, bien évidemment. Mais peut-être qu’il faut outrepasser ce raisonnement trivial, fataliste. Il doit bien y avoir de l’oseille honnêtement gagnée, sortie du pays par manque de confiance dans un modèle socio-économique qui a atteint ses limites. Ça se comprend : quand on a trimé toute sa vie, on n’a pas envie de prendre le risque de se faire dépouiller par des compatriotes de “Hay Mly B3id” juste parce qu’ils râlent pour une facture de Lydec. Admettre que nous ne sommes pas à l’abri de basculer dans l’instabilité est un préalable incontournable pour rectifier le tir, regagner cette confiance perdue. Ça ne va pas être facile mais ça reste possible si on se donne le temps et les moyens. Car la confiance, elle se gagne en gouttes et se perd en litres…

http://www.telquel-online.com/Actualite/Maroc/Trip-tic/553
 
Une histoire de confiance
Un milliard trois cent millions de dollars, cent dix milliards de dirhams, onze mille milliards de centimes, soit 11 suivi de 12 zéros... Ça fait beaucoup, beaucoup de pognon. Et c’est le montant des capitaux qui ont quitté clandestinement le Maroc -pas sur une patera mais dans des malles mieux protégées que des valises diplomatiques- entre 2001 et 2010, selon les estimations de l’ONG américaine Global financial integrity, qui fait de la traque des fuites de capitaux un domaine d’expertise. Le pactole représente, pour “le plus beau pays du monde”, l’équivalent de 5 TGV, 16 tramways, 50 fonds de solidarité version Benkirane, 11 000 gros lots du Loto made in Morocco… Imaginez alors si on pouvait rapatrier ne serait-ce qu’une infime partie de cette cagnotte : les projets que ça financerait, les emplois que ça créerait, le développement que ça induirait… Certains diront qu’il ne faut pas rêver en couleur : c’est de la richesse mal acquise, exfiltrée pour la mettre à l’abri d’un système qui fait et défait les grandes fortunes du bled. Ils n’ont pas tort, bien évidemment. Mais peut-être qu’il faut outrepasser ce raisonnement trivial, fataliste. Il doit bien y avoir de l’oseille honnêtement gagnée, sortie du pays par manque de confiance dans un modèle socio-économique qui a atteint ses limites. Ça se comprend : quand on a trimé toute sa vie, on n’a pas envie de prendre le risque de se faire dépouiller par des compatriotes de “Hay Mly B3id” juste parce qu’ils râlent pour une facture de Lydec. Admettre que nous ne sommes pas à l’abri de basculer dans l’instabilité est un préalable incontournable pour rectifier le tir, regagner cette confiance perdue. Ça ne va pas être facile mais ça reste possible si on se donne le temps et les moyens. Car la confiance, elle se gagne en gouttes et se perd en litres…

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Benkirane, s'il a un grain de courage ou de respectabilité après toutes les gifles et toutes les humiliations qu'il s'est infligées lui même, doit demander au ministre de la justice d'ouvrir une enquête et de traduire les responsables en justice.

Sinon, que le PJD ne vienne plus nous parler de "combattre la corruption", car par son à-plat-ventrisme devant le palais et les acolytes du roi: Himma et Majidi, il est devenu un protecteur de la corruption.
 
Une histoire de confiance
Un milliard trois cent millions de dollars, cent dix milliards de dirhams, onze mille milliards de centimes, soit 11 suivi de 12 zéros... Ça fait beaucoup, beaucoup de pognon. Et c’est le montant des capitaux qui ont quitté clandestinement le Maroc -pas sur une patera mais dans des malles mieux protégées que des valises diplomatiques- entre 2001 et 2010, selon les estimations de l’ONG américaine Global financial integrity, qui fait de la traque des fuites de capitaux un domaine d’expertise. Le pactole représente, pour “le plus beau pays du monde”, l’équivalent de 5 TGV, 16 tramways, 50 fonds de solidarité version Benkirane, 11 000 gros lots du Loto made in Morocco… Imaginez alors si on pouvait rapatrier ne serait-ce qu’une infime partie de cette cagnotte : les projets que ça financerait, les emplois que ça créerait, le développement que ça induirait… Certains diront qu’il ne faut pas rêver en couleur : c’est de la richesse mal acquise, exfiltrée pour la mettre à l’abri d’un système qui fait et défait les grandes fortunes du bled. Ils n’ont pas tort, bien évidemment. Mais peut-être qu’il faut outrepasser ce raisonnement trivial, fataliste. Il doit bien y avoir de l’oseille honnêtement gagnée, sortie du pays par manque de confiance dans un modèle socio-économique qui a atteint ses limites. Ça se comprend : quand on a trimé toute sa vie, on n’a pas envie de prendre le risque de se faire dépouiller par des compatriotes de “Hay Mly B3id” juste parce qu’ils râlent pour une facture de Lydec. Admettre que nous ne sommes pas à l’abri de basculer dans l’instabilité est un préalable incontournable pour rectifier le tir, regagner cette confiance perdue. Ça ne va pas être facile mais ça reste possible si on se donne le temps et les moyens. Car la confiance, elle se gagne en gouttes et se perd en litres…

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le chiffre est gros, le chiffre est gros, 1% du PIB et là on parle sur 9 ans soit 0.11% du PIB. Si ce n'est que ça, le fuite clandestine de capitaux est très restreinte et ne constitue pas grand chose. Je pense malheureusement que ce chiffre est sous-estimé.
 
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