Paris : déclarée morte par le samu, elle est "ressuscitée" par deux policiers

Le médecin constate que la victime ne respire plus et la déclare morte à 18h10. Il signe un certificat de décès "avec un obstacle médico-légal", soit une cause suspecte.



"Ressuscitée" une heure et demie plus tard

L'obstacle médico légal ne veut pas dire CAUSE SUSPECTE ,mais que les croyances du malade ou la volonté de la famille s'y opposent. Dans ce cas , seul le Parquet peut l'ordonner dans le cas des "morts suspectes" , morts dont le médecin chargé de rédiger le constat, ne comprend la cause clinique, mort qui porte des traces de violence ou d'intoxication et morts violentes - subites chez un sujet apparemment en bonne santé dans dans des circonstances particulières , accidents de circulation, homicides.
 
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Jenny, plongée dans un coma artificiel, entendait les conversations... dont celle de l'organisation de sa mort. Jusqu'à ce qu'enfin, les médecins la soignent. Le récit des jours les plus traumatisants de son existence...

Jenny a vécu un cauchemar. Cette dynamique géomètre de 40 ans, maman d'un garçon de 5 ans et heureuse épouse de John, lui aussi géomètre, s'écroule de douleur, le 14 mars 2015. Elle a l'impression que ses jambes sont traversées de milliers d'aiguilles, la souffrance est intenable. Elle parvient cependant à se rendre chez son médecin, qui lui diagnostique un syndrome de Guillain-Barré.
Ce syndrome est une grave pathologie neurologique inflammatoire qui attaque les nerfs périphériques et entraîne des paralysies. Les symptômes peuvent être bénins, tels que des fourmillements, une perte de sensibilité, de la tachycardie, des maux de tête, mais peuvent aussi être plus graves, et causer des troubles moteurs ou une paralysie complète. Relativement rare, cette maladie touche entre 1.700 et 1.800 personnes chaque année en France. Elle peut survenir à tout âge, indépendamment du sexe. On ne connaît pas précisément les causes provoquant ce syndrome, qui survient souvent quelques semaines après une infection virale, même bénigne. 10% des patients gardent des séquelles motrices, 5% en décèdent.

Jenny ne réagit à aucun stimulus
Le généraliste rédige un courrier pour l'hôpital et y envoie sa patiente. Hélas, sur place, personne ne semble tenir compte de la lettre. Pire, on l'égare. Les médecins diagnostiquent une angine de poitrine. Quelques heures après son arrivée, Jenny cesse de respirer et fait un arrêt cardiaque. Placée sous appareil respiratoire, dans un coma artificiel, Jenny ne réagit plus à aucun stimulus : "Je ne répondais à aucun test de réflexe basique. Le médecin a conclu que je n'avais aucune chance de m'en sortir. Que je serai un légume toute ma vie."
Elle se souvient de ces phrases, car elle les a entendues. Immobile dans son coma, elle entend ce qui se passe autour d'elle. Dont cette fois où le médecin explique à son mari qu'il est temps de la laisser partir, de débrancher les machines. Mais John refuse, exige encore de la patience. "J'avais toujours dit à mon époux que, si je devais finir ainsi, il fallait me tuer. Je le remercie de ne pas m'avoir écoutée !"

La géomètre a recouvré quasiment toutes ses capacités
Car, peu après, on diagnostique enfin à Jenny la vraie maladie dont elle souffre, le syndrome de Guillain-Barré. Le protocole médicamenteux est adapté et, en quelques jours, la maman émerge enfin. Aujourd'hui, Jenny a recouvré quasiment toutes ses capacités. Mais elle et John n'oublient pas qu'ils ont échappé au pire : tout aurait pu être évité si la lettre du médecin généraliste de Jenny n'avait pas été égarée. Le couple a porté plainte contre l'hôpital, et une enquête a été lancée pour déterminer les responsabilités.

Cet article est extrait du Closer C'est leur histoire numéro 24.
 
Des tests simples, le pouls, la tension, les battements du cœur, la respiration, les réflexes musculaires, oculaires, les réactions à des stimuli, elle a tout tenté ma famille n'était pas contente qu'elle ne me laisse pas " reposer en paix ", les pompiers voulaient faire évacuer mon corps direct vers les pompes funèbres.
Mais elle s'est battue et n'a pas cessé de demander une ambulance pour me ramener à l'hôpital, et elle avait raison, j'étais vivant.


Tous le médecins de Samu et les autres médecins devraient être aussi sérieux qu'elle.

Je te le dis, tu devrais écrire un roman, Quel talent et une vue supra naturelle . Dans le coma, tu la vois pratiquer tous les tests que les toubibs pratiquent pour diagnostiquer cliniquement une mort cérébrale. Raconte nous comment tu as vécu l'examen oculaire et surtout l'attouchement cornéen ? Un petite caresse ?
 
...Le généraliste rédige un courrier pour l'hôpital et y envoie sa patiente. Hélas, sur place, personne ne semble tenir compte de la lettre. Pire, on l'égare. Les médecins diagnostiquent une angine de poitrine ...


N'importe quoi

Une malade atteinte d'un syndrome de paralysie ascendante présente comme dit des paralysies périphériques qui commencent par les membres inférieurs pour remonter vers le haut, la complication majeure étant l'atteinte des centres de la respiration .

Vue par son médecin traitant alors qu'elle parlait, la malade a été adressée avec une lettre d'introduction plus pour justifier l'urgence de l'hospitalisation que pour imposer un diagnostic. L' urgentiste qui a reçu la malade consciente ne pouvait évoquer en premier lieu une angine de poitrine- douleur avant tout - devant une paralysie . L'arrêt cardio respiratoire , rapidement, survenu confirme la cause de la paralysie et la bonne coordination entre l'équipe qui a pris en charge la malade; Chapeau et merci .Il est ensuite possible que le "débrancher de la malade comateuse" ait posé problème . Tous les cas grandissimes ne sont pas rattrapables . De là à vouloir faire de l'esclandre au lieu de se confondre en remerciements...il n'y a que la presse à scandale pour en faire ses choux gras.
 
...Le généraliste rédige un courrier pour l'hôpital et y envoie sa patiente. Hélas, sur place, personne ne semble tenir compte de la lettre. Pire, on l'égare. Les médecins diagnostiquent une angine de poitrine ...


N'importe quoi

Une malade atteinte d'un syndrome de paralysie ascendante présente comme dit des paralysies périphériques qui commencent par les membres inférieurs pour remonter vers le haut, la complication majeure étant l'atteinte des centres de la respiration .

Vue par son médecin traitant alors qu'elle parlait, la malade a été adressée avec une lettre d'introduction plus pour justifier l'urgence de l'hospitalisation que pour imposer un diagnostic. L' urgentiste qui a reçu la malade consciente ne pouvait évoquer en premier lieu une angine de poitrine- douleur avant tout - devant une paralysie . L'arrêt cardio respiratoire , rapidement, survenu confirme la cause de la paralysie et la bonne coordination entre l'équipe qui a pris en charge la malade; Chapeau et merci .


Bah non relis son histoire.

La lettre pour justifier l'hospitalisation précisait bien un diagnostic du syndrome de Guillain-Barré.
Ils sont tellement stressés et débordés aux urgences qu'ils ont pas eu le "temps" de lire avec attention cette fameuse lettre et sont passé à coté.

Tu parles ensuite de la bonne coordination entre l'équipe qui a pris en charge la malade en leur tirant ton chapeau et en les remerciant...

Imagine deux secondes si le mari de cette femme avait accepté qu'on la débranche ? suite à la conclusion de médecin comme quoi elle ne serait qu'un légume toute sa vie.
 
Bah non relis son histoire.

La lettre pour justifier l'hospitalisation précisait bien un diagnostic du syndrome de Guillain-Barré.
Ils sont tellement stressés et débordés aux urgences qu'ils ont pas eu le "temps" de lire avec attention cette fameuse lettre et sont passé à coté.

Tu parles ensuite de la bonne coordination entre l'équipe qui a pris en charge la malade en leur tirant ton chapeau et en les remerciant...

Imagine deux secondes si le mari de cette femme avait accepté qu'on la débranche ? suite à la conclusion de médecin comme quoi elle ne serait qu'un légume toute sa vie.


Tu ne sais pas comment se déroule une admission et le rôle de la lettre du médecin traitant . Celui ci en général ne donne pas un diagnostic , mais s'en tient à décrire les symptômes . Le lettre perdue ne constitue aucun handicap . Le médecin qui reçoit la malade , commence son examen par l'interrogatoire. Pourquoi elle est là. Elle lui parle de l'essentiel sa paralysie à laquelle celui ci va essayer de trouver une étiologie - la cause pathologique .

Quand à l'appareil qui maintient en vie , il assure la respiration . On envisage de l'arrêter devant un acharnement thérapeutique , si cette hypothèse a été évoquée, ce qui est à vérifier , devant des signes de mort cérébrale. Le patient débranché est bon pour la morgue, pas à survivre en impotent.
 
Tu ne sais pas comment se déroule une admission et le rôle de la lettre du médecin traitant . Celui ci en général ne donne pas un diagnostic , mais s'en tient à décrire les symptômes . Le lettre perdue ne constitue aucun handicap . Le médecin qui reçoit la malade , commence son examen par l'interrogatoire. Pourquoi elle est là. Elle lui parle de l'essentiel sa paralysie à laquelle celui ci va essayer de trouver une étiologie - la cause pathologique .

Quand à l'appareil qui maintient en vie , il assure la respiration . On envisage de l'arrêter devant un acharnement thérapeutique , si cette hypothèse a été évoquée, ce qui est à vérifier ,, devant des signes de mort cérébrale. Le patient débranché est bon pour la morgue, pas à survivre en impotent. Alors quitte à passer pour un corporatiste , merci messieurs .


Tu as raison je ne sais pas comment se déroule une admission... donc je me tais.
 

etre2en1

intersex people are cool
VIB
Je te le dis, tu devrais écrire un roman, Quel talent et une vue supra naturelle . Dans le coma, tu la vois pratiquer tous les tests que les toubibs pratiquent pour diagnostiquer cliniquement une mort cérébrale. Raconte nous comment tu as vécu l'examen oculaire et surtout l'attouchement cornéen ? Un petite caresse ?
Ma mère m'a raconté, et je me suis réveillé avant l'arrivée de l'ambulance, justement au moment d'une certaine caresse, la doctoresse était très douée, de quoi réveiller un mort.:p
Toutes les réanimations devraient être aussi sympa.:p

Diagnostique à l'hôpital, une hémorragie méningée, sans aucune infection, sans doute due à mon traitement virilisant.
 
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