soucha
Float like a butterfly, sting like a bee
@Ebion , alias "Chouchou de dieu".
Les conceptions que nous avons décrit vont sensiblement dans le même sens, à la différence peut-être que je n'adhère entièrement à aucune étude ni théorie en particulier; j'ai une vision basée sur des observations et des réflexions personnelles, je m'inspire des autres de façon #éclectique tout en suivant une logique personnelle évolutive.
La réincarnation me semble très farfelue, mais amusante, pourquoi pas y penser, les fois où le "dommage" me persécute? Pas en tortue ou sous une forme connue nécessairement, mais songer à exister ailleurs pour une nouvelle utilité est amusant, soyons fous.
Ce côté cyclique justement, est un des plus gros points d'interrogation que je connaisse. L'infini et la régularité de notre monde sont contradictoires, l'un exprime un monde sans fin ni début, plutôt banal, l'autre ... un ordre établi et maintenu selon certaines règles. La même notion exprime l'existence et l'absence de l'entité "divine", c'est l'une des raisons pour lesquelles l'athéisme ne me fait pas sur le long terme, au delà de la peur, c'est l'incompréhension.
Pour ce qui est des personnes défuntes ... ça peut paraître dur et insensible, voire fataliste, mais cette idée ne m'effraie pas du tout. Il n'y a pas de grande différence - pour moi - entre la mort d'une personne connue et chérie, et son absence physique. Le lien entre ces deux situations, est la mémoire, quelque chose d'intangible et moins fiable. D'où l'importance de vivre pleinement les relations que nous jugeons intéressantes, en sachant d'avance que chaque instant ou interaction vécue maintenant est déjà perdue, car de toutes façons, le tout sera perdu (comprendre, après la mort, ou la fin).
Je n'adhère pas tout à fait à cette perception du bonheur. Ce qui fait que tu es heureux, est surtout le fait que tu as conscience de ce que tu as, peu importe ce que tu as, du moment que tu l'apprécie. La richesse rend le bonheur plus accessible, la pauvreté pousse à être créatif pour être heureux, un bonheur plus recherché et pur. Ça me fais penser à ce client qui, lors d'une visite de la médina de Fès, souligne que ça pue, et qu'il la raserait pour construire des condominiums salubres. Dans cette même médina, les enfants jouaient avec rien, les femmes discutaient de leurs cuisines perchées et séparées par des ruelles étroites, des aînés jouaient au jeu de dames en se faisant servir par les plus jeunes ... c'était vivant et joyeux, en dépit de l'air fétide. Cette personne comparait en terme de richesse matérielle ... Je n'approuve pas pour autant les inégalités que tu soulèves, et lorsque j'y suis confrontée, l'entité divine n'existe pas, il y a juste la colère et l'impuissance.
Les conceptions que nous avons décrit vont sensiblement dans le même sens, à la différence peut-être que je n'adhère entièrement à aucune étude ni théorie en particulier; j'ai une vision basée sur des observations et des réflexions personnelles, je m'inspire des autres de façon #éclectique tout en suivant une logique personnelle évolutive.
La réincarnation me semble très farfelue, mais amusante, pourquoi pas y penser, les fois où le "dommage" me persécute? Pas en tortue ou sous une forme connue nécessairement, mais songer à exister ailleurs pour une nouvelle utilité est amusant, soyons fous.
Ce côté cyclique justement, est un des plus gros points d'interrogation que je connaisse. L'infini et la régularité de notre monde sont contradictoires, l'un exprime un monde sans fin ni début, plutôt banal, l'autre ... un ordre établi et maintenu selon certaines règles. La même notion exprime l'existence et l'absence de l'entité "divine", c'est l'une des raisons pour lesquelles l'athéisme ne me fait pas sur le long terme, au delà de la peur, c'est l'incompréhension.
Pour ce qui est des personnes défuntes ... ça peut paraître dur et insensible, voire fataliste, mais cette idée ne m'effraie pas du tout. Il n'y a pas de grande différence - pour moi - entre la mort d'une personne connue et chérie, et son absence physique. Le lien entre ces deux situations, est la mémoire, quelque chose d'intangible et moins fiable. D'où l'importance de vivre pleinement les relations que nous jugeons intéressantes, en sachant d'avance que chaque instant ou interaction vécue maintenant est déjà perdue, car de toutes façons, le tout sera perdu (comprendre, après la mort, ou la fin).
Je n'adhère pas tout à fait à cette perception du bonheur. Ce qui fait que tu es heureux, est surtout le fait que tu as conscience de ce que tu as, peu importe ce que tu as, du moment que tu l'apprécie. La richesse rend le bonheur plus accessible, la pauvreté pousse à être créatif pour être heureux, un bonheur plus recherché et pur. Ça me fais penser à ce client qui, lors d'une visite de la médina de Fès, souligne que ça pue, et qu'il la raserait pour construire des condominiums salubres. Dans cette même médina, les enfants jouaient avec rien, les femmes discutaient de leurs cuisines perchées et séparées par des ruelles étroites, des aînés jouaient au jeu de dames en se faisant servir par les plus jeunes ... c'était vivant et joyeux, en dépit de l'air fétide. Cette personne comparait en terme de richesse matérielle ... Je n'approuve pas pour autant les inégalités que tu soulèves, et lorsque j'y suis confrontée, l'entité divine n'existe pas, il y a juste la colère et l'impuissance.
