Pensée du jour
- Initiateur de la discussion fouade01
- Date de début
shainah
Le souvenir est le parfum de l’âme
Souvenirs 14 février 2015, merveilleux et très émouvant cadeau d une personne si chère a mon cœur
Yakirati,
Ton sourire sait me rassurer
Ton regard me réconforter
Et tes bras me réchauffer
La clé de mon cœur est a toi
Garde la
Et ne l oublie jamais
Tu es la femme de ma vie
La femme de mes rêves
Celle que j aimerai toujours jusqu à la fin de mes jours
Alors ferme les yeux
Et aime moi à jamais metouka Sheli
Yakirati,
Ton sourire sait me rassurer
Ton regard me réconforter
Et tes bras me réchauffer
La clé de mon cœur est a toi
Garde la
Et ne l oublie jamais
Tu es la femme de ma vie
La femme de mes rêves
Celle que j aimerai toujours jusqu à la fin de mes jours
Alors ferme les yeux
Et aime moi à jamais metouka Sheli
" On ne choisit pas toujours les circonstances d'une rencontre. Parfois les gens atterrissent bien proprement dans notre vie, comme tombés du ciel ou débarqués d'un vol en provenance directe du paradis ; et puis nous perdons brutalement des gens que nous avions cru à jamais tissés dans la trame de nos jours".
shainah
Le souvenir est le parfum de l’âme
Yakirati
Tu resteras toujours dans ma vie... Avec ce que tu m'as donnée, enseignée, témoignée...
La vie a le pouvoir de nous éloigner physiquement, mais elle n'a pas la force de me priver de ce que j'ai reçu de toi.
Elle m a obligée à t'apprivoiser dans une nouvelle présence, mais jamais elle ne m'interdira de me réjouir de ce que je conserve de toi.
Rien, rien ne peut altérer ce que nous avons vécu ensemble...
Les relations sont comme les rêves : elles meurent seulement le jour où on les abandonne.
Tu es parti, mais tu habites ce que je suis devenue. ..Et je garde au fond de mon coeur l'espérance de tes bras dans notre ultime rencontre..
" J'ai lu quelque part qu'on ne reconnaissait pas les instants marquants de nos vie au moment où on est en train de les vivre, on s'habitue à tout : les choses, les idées, les gens et on ne se rend pas compte de notre chance parfois. C'est lorsqu'on risque de perdre quelque chose qu'on se rend compte a quel point on y tient, a quel point on en a besoin.."
Nathan Scott
Nathan Scott
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" Chaque lettre a une odeur, chaque verbe, un parfum. Chaque mot diffuse dans la mémoire un lieu et ses effluves. Et le texte qui peu à peu se tisse, aux hasards conjugués de l'alphabet et de la remembrance, devient alors le fleuve merveilleux, mille fois ramifié et odorant, de notre vie rêvée, de notre vie vécue, de notre vie à venir, qui tour à tour nous emporte et nous dévoile."
( Parfums. ) Philippe Claudel
" Chaque lettre a une odeur, chaque verbe, un parfum. Chaque mot diffuse dans la mémoire un lieu et ses effluves. Et le texte qui peu à peu se tisse, aux hasards conjugués de l'alphabet et de la remembrance, devient alors le fleuve merveilleux, mille fois ramifié et odorant, de notre vie rêvée, de notre vie vécue, de notre vie à venir, qui tour à tour nous emporte et nous dévoile."
( Parfums. ) Philippe Claudel
Pièces jointes
“Je ne crois pas que les rêves annoncent quoi que ce soit, comme certains le prétendent. Je pense simplement qu'ils adviennent au moment où il faut, et qu'ils nous disent, dans le creux de la nuit, ce que nous n'osons peut-être pas nous avouer en plein jour.”...Philippe Claudel
" ...S'asseoir au milieu de ruines, évoquer les souvenirs qui s'attachent aux pierres et à ces vieilles barrières couvertes de mousse...et des histoires toutes entières, des romans tout entiers , se dresseront devant votre pensée..."
WScott (La Renaissance )
WScott (La Renaissance )
"Le cerveau est un serviteur, pas un maître.
Si tu lui laisses le gouvernail, il ne te conduira pas où tu veux aller, mais où son poids l'entraîne sans cesse. Et tu sais bien où son poids l'entraîne... Tu le sais, mais tu es paresseux... Tu veux rester un enfant."
Gougaud Henri
Si tu lui laisses le gouvernail, il ne te conduira pas où tu veux aller, mais où son poids l'entraîne sans cesse. Et tu sais bien où son poids l'entraîne... Tu le sais, mais tu es paresseux... Tu veux rester un enfant."
Gougaud Henri
