shams007
VIB
Ah désolée j'avais compris l'inverse
Justement
Tkt ça m'arrive souvent je m'exprime approximativement en français
Ah désolée j'avais compris l'inverse
Justement
J'avoue l'avoir lu en diagonaleDs l'article on les plaint même. Je peux me tromper mais c ce que j'ai ressenti à la lecture du texte.
Mdr wallah que nan...sûrement pas à toi...même si c'est vrai qu'on en a déjà parlé et que je n'étais pas d'accord avec toi et je ne le suis toujours pas (concernant le cas du mari de...trou noir bref tu t'en souviens sûrement)@Marok19 19
J'espére que c'est pas à moi que tu fais référence mdr
Il est évident que le terme est utilisée à torts'et à travers
C'est regrettable mais pas forcément négatif dans le sens où ca va de paire avec la démocratisation des connsaisances en psychologie /psychiatrie
Je retiens que le terme doit être
Repreciser , et son utilisation mieux recadre ... mais que le trouble n'est pas un ananimement rejeté
Et quiconque a déjà lu des ouvrages , articles sérieux (Dont Racamier) ne peut pas remettre en question leurs existences
Après sur le nom du trouble lui même
C'est sur tout le Pervers ( jouir de la souffrance de l'autre , c'est
Très morbide )qui compte
A pour le reste fallait bien lui trouver un nom pour le différencier des'pshchopathes qui passent à lacte (
Meurtrier etc ...)
Et en effet pour se retrouver enfermé
Dans une relation avec ce
Genre de personnalité l'autre doit
Également répondre à certaines caractéristiques ( dépendance affective par ex. Mais pas
Seulement ...etc)
Je suis autant genee par le fait que le
Concept soit galvaudé , que par le fait qu'on le prenne à la légère .. ce qui revient à nier la souffrance des personnes qui sont en prise ,
Sans savoir s'en défaire , avec
Ces personnalité toxiques
Tu confonds tout et ce n'est pas ce que l'article dit ou moi même d'ailleurs...on parle de surexploitation de ce terme et de son illégitimité médicale alors même que souvent on utilise ce terme pour désigner des personnes souffrants de troubles qui portent déjà un nom.Même s'ils ne la reconnaissent pas si un type vient parler de son mal être et avoue le mal qu'il fait subir à son entourage et le plaisir qu'il ressent en possédant l'autre, le médecin ne va pas le mettre dehors en lui disant stop je n'ai pas la procédure à suivre pour vous guérir de votre maladie.
Tfaçon même si j'ai pas fais médecine jmen fout je pose des diagnostiques et ces personnes ne cherchent pas à se faire soigner
En résumé, l'article dénonce l'utilisation trop fréquente du terme pervers narcissique alors même qu'il n'y en a pas de définition psychiatrique sans nier les personnalités perverses ou manipulatrices évidemment. Ce terme est galvaudé car utilisé pour tout et pour rien et ce même parfois par les professionnels.qui veut me resumé l'article en quelque ligne
les PN dans leur fonctionnement et proceder ressemble au gourou de secte
c juste la victime qui change et de facon plus large l'on retrouve ce meme probleme chez les etat avec le conditionnement :
https://bladi.info/threads/proceder-sectes.433346/page-2#post-14911072
Le délire de la femme qui cherche à divorcer et déclaré son mari pervers narcissique, je l'ai entendu il y a peu... Énorme fou rire...
Les gens s'improvisent psychiatres alors même que des gens qui ont étudié des années ne se permettent pas d'être si sûres quant à ce diagnostique...
Mdr wallah que nan...sûrement pas à toi...même si c'est vrai qu'on en a déjà parlé et que je n'étais pas d'accord avec toi et je ne le suis toujours pas (concernant le cas du mari de...trou noir bref tu t'en souviens sûrement)
le fait que les domaines de la psychologie et même psychiatrie se soient démocratisés et même vulgarisés est un véritable fléau social...tout le monde se permet de poser un diagnostique souvent lourd de conséquences. Comme je l'ai dit plus haut cela relève d'un jugement donc forcément subjectif et nous ne sommes pas en mesure (et encore moins quand on est impliqués d'une manière ou d'une autre) de déterminer que telle personne est perverse narcissique parce que ci ou ça...
Aussi à aucun moment dans l'article on ne remet en question les personnalités perverses et nuisibles de certaines personnes. Il est indeniable qu'elles existent bel et bien on en a tous autour de nous. Le problème est que souvent on qualifie quelqu'un de pervers narcissique (notion même pas reconnue par les experts psychiatriques) alors que des pathologies ou troubles expliquent déjà certains comportements et personnalités et sont soumis à des expertises psychiatriques.
Il est dangereux et incorrecte de distinguer la psychopathie de la perversion narcissique par le simple fait du passage à l'acte...la psychopathie a une reconnaissance médicale il me semble pas la perversion...
Cette notion sera reprise par des psychiatres tels que Marie-France Hirigoyen ou Alberto Eiguer, qui décriront méticuleusement le fonctionnement du pervers narcissique et évoqueront la souffrance destructrice engendrée par la fréquentation d'un tel manipulateur.
La reconnaissance de cette notion n'est pourtant pas unanime au sein des professionnels de la psychiatrie. L'expression elle-même est d'abord discutable. D'un point de vue étiologique, tout pervers étant en proie à une problématique narcissique extrême, la formule s'avère redondante, ce qui remet en question sa pertinence et son utilité. Ensuite, ce diagnostic pose problème parce qu'assez réducteur et schématique.
Le pervers narcissique est étiqueté comme le « méchant » infréquentable. Sur les forums, il devient le PN, acronyme qui trahit la superficialité de l'approche. Or, derrière cette étiquette, il y a bien souvent des souffrances et des pathologies qui portent déjà un nom telles que la paranoïa ou les problématiques états limites. Derrière une relation avec un pervers narcissique, il peut aussi y avoir une relation malade, se fondant sur deux positionnements inconscients biaisés, qui gagneraient à être analysés avec subtilité.
En définitive, rappelons que le fameux concept n'a pas d'existence au sein de la nosographie psychiatrique et qu'une partie non négligeable des psychiatres, psychologues et psychanalystes restent plus que réservés par rapport à cette notion.
Le recours rapide et abusif par les médias et les psychothérapeutes à un diagnostic lourd et sujet à controverse pose des questions éthiques. Un psychothérapeute posant avec aplomb un diagnostic de pervers narcissique sur un individu, certes nuisible pour son patient mais qui n'est pas évalué cliniquement au sein du cabinet, soulève une question déontologique.
UNE RÉPONSE RASSURANTE
Ensuite, si l'on considère que la plupart des psychothérapies reposent a minima sur un travail de connaissance de soi, poser un tel diagnostic sur un individu dont la fréquentation est toxique pour son patient risque de donner une vision « enfermante » et rigide des choses, limitant la réflexion et le travail thérapeutique.
Enfin, du côté de la presse, si les journalistes ont pour mission d'informer avec une certaine justesse, nous observons trop souvent la parution d'articles approximatifs et de tests douteux. Pourquoi tant de succès? Comment expliquer le succès de cette notion?
Au-delà de la dimension spectaculaire que revêt le concept, le pervers narcissique ne serait-il pas une forme de bouc-émissaire moderne au sein d'une société qui connaît une amplification de la souffrance au travail et un taux croissant de séparations au sein des couples ? L'existence du pervers narcissique est une réponse rassurante pour un individu qui a mal et qui lutte pour sortir d'une relation complexe et destructrice.
Par ailleurs, la prospérité de cette notion ne serait-elle pas le signe supplémentaire de l'agonie d'une certaine ère analytique ? L'approche de soi et des autres est plus biologisante, parfois plus superficielle aussi (comme nous y invitent certains réseaux sociaux). N'y aurait-il pas un peu de tout cela dans la grande victoire du PN?
http://mobile.lemonde.fr/idees/arti...-triomphe-d-un-concept-flou_4372944_3232.html
Non ce n'est pas vrai...puisque le "diagnostique" est généralement posé sans psychanalyse et ce même par les psychologues...C'est surtout que ce terme provient du monde de la psychanalyse. Et que la psychanalyse, c'est autant de la psychiatrie que la recette du caramel au beurre salé est de la physique nucléaire.
À ton aiseOui je me souviens
Je te réponds plus tard à tête reposée
Non ce n'est pas vrai...puisque le "diagnostique" est généralement posé sans psychanalyse et ce même par les psychologues...
C'est surtout que ce terme provient du monde de la psychanalyse. Et que la psychanalyse, c'est autant de la psychiatrie que la recette du caramel au beurre salé est de la physique nucléaire.
Intéressant. Tu as si peur de la psychanalyse que tu essaies de la diffamer. Dis-moi, est-ce que ton père était un homme sévère?
Non, pas particulièrement.
Mais il ne s'agit pas ici de diffamation. La psychanalyse prétend soigner sans s'appuyer sur la moindre bribe de faits/d'informations scientifiques. Et dans son fonctionnement interne, elle agit exactement comme une secte.
Je pose la question un peu bêtement mais sais-tu ce qui permet de définir un psychanalyste selon la psychanalyse elle-même ?
Alors oui je suis complètement d'accord avec toi et effectivement j'ai moi même évoqué le manque de véracité scientifique et je suis d'accord avec toi également pour le reste mais pourquoi l'associes tu à la psychanalyse alors que la critique est surtout sur le fait que le terme est utilisé à tort et à travers et qu'on qualifie trop rapidement et simplement quelqu'un de pervers narcissique alors que d'autres troubles ou pathologies expliquent déjà cela.L'utilisation du termes "pervers narcissique" pour désigner une personne ne se retrouve que dans le monde de la psychanalyse. Il n'a rien de scientifique, on ne l'utilise nul part où la science est prépondérante dans une pratique.
Et un psychologue peut être un psychanalyste. Tous les psychologues ne sont pas aussi professionnels que ce que leur diplôme voudrait nous faire croire, malheureusement. La plupart le sont, cela dit.
PS : tu le dis d'ailleurs toi-même dans le 1er message de cette page.
Alors oui je suis complètement d'accord avec toi et effectivement j'ai moi même évoqué le manque de véracité scientifique et je suis d'accord avec toi également pour le reste mais pourquoi l'associes tu à la psychanalyse alors que la critique est surtout sur le fait que le terme est utilisé à tort et à travers et qu'on qualifie trop rapidement et simplement quelqu'un de pervers narcissique alors que d'autres troubles ou pathologies expliquent déjà cela.
Malheureusement, la psychanalyse en France (et en Belgique aussi) est difficilement attaquable, on évite du coup de la nommer même lorsqu'elle est directement responsable de la propagation de fausses informations. Un peu comme l'homéopathie, c'est une pseudo-science à qui on a refilé des lettres de noblesse à tort.
les psychiatres eux mêmes ne sont pas capables de poser un diagnostique clair et précis alors qu'ils se la bouclent. Combien d entre eux ne se sont pas fait duper? Combien de fois un médecin n'a pas contredit les conclusions d'un autre .? Si eux sont ds le flou faut pas s étonner. Lmouhim moi je suis convaincue que la collègue vit avec un pn .Tu confonds tout et ce n'est pas ce que l'article dit ou moi même d'ailleurs...on parle de surexploitation de ce terme et de son illégitimité médicale alors même que souvent on utilise ce terme pour désigner des personnes souffrants de troubles qui portent déjà un nom.
Et avec tout ça, c'est shams qui a raison...les psychiatres eux mêmes ne sont pas capables de poser un diagnostique clair et précis alors qu'ils se la bouclent. Combien d entre eux ne se sont pas fait duper? Combien de fois un médecin n'a pas contredit les conclusions d'un autre .? Si eux sont ds le flou faut pas s étonner. Lmouhim moi je suis convaincue que la collègue vit avec un pn .
Méfiez-vous des pervers narcissiques : ils sont votre mari, votre patron, votre belle-mère. Coupez les ponts, fuyez. C'est votre magazine hebdomadaire qui vous l'a dit, voire votre… psy. Comment contenir son agacement aujourd'hui face à l'exploitation effrénée et peu scrupuleuse de la formule pervers narcissique ?
Il est difficile de ne pas constater depuis quelques temps un recours incontinent à ce diagnostic au sein de certains médias et, de manière plus regrettable, par certains professionnels de la santé eux-mêmes.
Qui n'a jamais entendu dire, à quelques détails près, qu'une telle en instance de divorce demande la garde exclusive de ses enfants afin qu'ils échappent à son mari, diagnostiqué pervers narcissique par son magazine féminin. Qu'un tel ne veut plus voir son frère en raison d'un diagnostic sauvagement posé par un psychothérapeute sur ce dernier ?
Parallèlement, une littérature abondante se déploie autour de ce concept, permettant aux lecteurs de se sentir un peu plus psychologues et de se rassurer dès qu'ils ont affaire à un individu retors.
S'il est indéniable qu'il existe des personnalités perverses générant une souffrance intolérable au sein des familles et des entreprises, les médias et certains psychothérapeutes utilisent avec trop peu de précaution cette « notion-case » qui prend des allures de construction intellectuelle et s'éloigne de la clinique.
A l'origine, l'expression pervers narcissique est proposée en 1986 par le psychanalyste Paul-Claude Racamier. La perversion narcissique correspondrait à une organisation de la personnalité liée à un « Moi » lacunaire, dont le mécanisme de défense favori et systématisé serait l'utilisation et la dévalorisation de l'autre pour étayer un narcissisme défaillant.