"Plus de 100 projets de voiries en chantier"

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Casablanca d'antan
VIB
· «Symbiose» avec Sajid

· Encourager l’usage du transport public

Mohamed Kabbaj, wali du Grand Casablanca, est enfin sorti de sa réserve. Dans l’entretien qu’il a accordé, hier à L’Economiste, il s’explique sur ses rapports avec le président du Conseil de la ville, Mohamed Sajid, et sur les grands chantiers de la métropole. Kabbaj reste optimiste quant à l’avenir de la capitale économique.

- L’Economiste: Nous entendons souvent que vos rapports avec le président du Conseil de la ville, Mohamed Sajid, ne sont pas à proprement parler bons. Est-ce vrai?

- Mohamed Kabbaj: Ce sont des rapports institutionnels et dans ce sens chacun joue son rôle pleinement. La base de nos relations est le respect des compétences de chacun. Les compétences du président du Conseil de la ville sont connues, car délimitées par la Charte communale. Et tout un chacun respecte ses prérogatives. Mais, au-delà des délimitations réglementaires des champs d’action respectifs, les synergies, la coopération mutuelle et le dialogue permanent sont la clé de la résolution des problèmes.

- Peut-on dire qu’il y a de réelles synergies?

- Nous travaillons de concert avec les Conseils de la région, de la préfecture et de la commune afin de dégager une vision unanime pour Casablanca que ce soit pour le tourisme, l’urbanisme, les grands projets ou encore l’orientation économique à donner à une ville appelée à s’inscrire dans la compétition internationale.

- La presse affirme quand même que les rapports ne sont pas pour autant au beau fixe.

- Je veux dire une chose: en général il se peut que des journalistes quand ils traitent une information, ont tendance à l’interpréter chacun à sa façon. Ce sont ces interprétations qui parfois déforment l’information de base. Mais, à vrai dire, je n’ai jamais senti une tension dans mes relations avec le président de la ville. Depuis ma nomination à Casablanca, nos relations n’ont jamais été tendues; nous travaillons dans une parfaite symbiose.

- Pourtant, quand vous vous êtes réunis avec les présidents des arrondissements en l’absence du président du Conseil de la ville, ce dernier n’a pas du tout été content et avait pris votre initiative comme un empiétement sur ses prérogatives.

- Cela s’est produit juste quelques temps après ma nomination. Mon idée était que l’unité de la ville est une nouvelle organisation et la question du rôle des arrondissements s’est posée. Surtout que les présidents des arrondissements n’ont pas la même interprétation de la charte que le Conseil de la ville. Alors, je me suis réuni avec les présidents d’arrondissement pour savoir comment ils voyaient l’unité de la ville.
J’étais même pour l’idée d’une réflexion collective entre les arrondissements et le Conseil de la ville pour dégager une même compréhension de la charte. Et ce, pour éviter des applications différentes pour une même loi qui est la Charte communale. Le président de la commune a vu que ce n’était pas le moment opportun car l’expérience venait de démarrer.
En tout cas, mon idée était de faciliter autant que possible les rapports villes/arrondissements. Ma règle de conduite est de faire toujours ce qui est dans l’intérêt des citoyens et je mets toujours de côté les considérations personnelles. Et l’une des écailles qui menacent l’intérêt des citoyens se trouvent être justement les rapports antinomiques entre les responsables d’une ville. Car il y va de la lourdeur dans l’avancement d’une ville. Cela étant, mes rapports avec les présidents des Conseils sont bons. Il se peut que nous ayons des divergences de points de vue sur telle ou telle question mais on parvient toujours à se mettre d’accord.

- Avec cette saison pluviale généreuse, apparemment les infrastructures de la ville sont dépassées?

- Dans toutes les villes du monde, quand la pluviométrie dépasse la moyenne, des problèmes surviennent. Car de tout temps, la réalisation des infrastructures se fait selon divers paramètres. Ces paramètres ne sont pas pris dans leur niveau maximal, et donc tout événement ou phénomène qui dépasse ces niveaux peut entraîner quelques désagréments. Il faut aussi prendre en compte des problèmes dont les citoyens sont responsables comme par exemple de ne pas construire son logement ou l’entretenir dans les règles de l’art.
Les réseaux d’assainissement sont soumis périodiquement aux opérations de curage. Mais il y a des gens qui y jettent n’importe quoi, alors avec le temps les canalisations se bouchent et des refoulements des eaux usées surviennent. Il y a aussi une autre cause: des quartiers entiers ont été bâtis sans respect des normes par des professionnels de l’habitat clandestin qui construisent souvent pendant la nuit. Nous les surveillons en permanence pour les en dissuader. En général, à Casablanca, il n’ y a plus de grands dégâts à cause des intempéries.

- Le quartier Moulay Rachid n’a rien de clandestin, c’est un lotissement qui a été autorisé en bonne et due forme. Et pourtant, des dégâts y ont été enregistrés!

- J’ai dépêché une commission qui m’a présenté un rapport. Ce ne sont pas les immeubles qui ont été fissurés mais la voie publique. Ce qui est arrivé, c’est que les canalisations d’assainissement ont été obstruées. Ce qui s’est répercuté sur la voirie. Le rapport technique démontre qu’il n’y a pas de danger à craindre.

- Qu’en est-il de l’opération de transfert des habitants des Carrières centrales vers Lahraouiyine?

- Les travaux avancent très bien. Et à voir le rythme d’avancement du chantier, le projet sera entièrement finalisé avant la date prévue. Il sera fin prêt avant l’été 2009.

- Autre point noir dans la métropole: la circulation. Que prévoit-on pour en diminuer la congestion?

- Le problème de la circulation à Casablanca est que le nombre de voitures ne cesse d’augmenter vertigineusement alors que l’usage de la voirie ne peut être optimisé au-delà d’une certaine limite. Surtout dans le centre-ville, il est difficile de pouvoir construire de nouvelles voies. D’ailleurs, c’est un phénomène propre à toutes les villes métropoles de par le monde; il y a même des villes qui instaurent une sorte de vignette dont il faut s’acquitter pour accéder au centre d’une ville. A Casablanca actuellement, le parc automobile compte 300.000 voitures et les prévisions les estiment à 1,2 million en 2020. La solution ne peut être que l’encouragement de l’usage du transport public. SM le Roi a justement entouré de sa grande attention l’avancement du projet du tramway à Casablanca. Sans le recours au transport public, il sera difficile de gagner le pari de la circulation même avec les ouvrages d’art que nous construisons un peu partout et la percée de nouvelles voies.
Il y en a même ceux qui disent que ces solutions techniques vont davantage encourager les gens à acquérir de plus en plus de voitures personnelles. L’étude du Plan de déplacement urbain (PDU) a donné de bonnes conclusions pour résoudre le problème des déplacements et de la mobilité. Il faut rappeler que de gros investissements ont été consentis sur le plan des infrastructures.

- A propos des divers chantiers, l’impression qui se dégage est que le rythme d’exécution est lent. Qu’en pensez-vous?

- Dans les villes, c’est toujours le cas. Pour la simple raison que là où nous démarrons les travaux, il faut compter avec d’autres supplémentaires liés au déplacement de réseaux souterrains (assainissement, téléphone, eau et électricité). Il faut donc convaincre les opérateurs de s’associer à la tâche. Parfois, dans leur plan d’investissement, il se peut qu’ils n’aient pas de prévisions budgétaires supplémentaires pour ce genre de travaux. Par contre, à l’extérieur des villes, les chantiers avancent souvent à une cadence plus rapide. Autre source de lenteur, les procédures administratives. Imaginez que parfois un projet qui a été adjugé mais que l’approbation tarde à lui être accordée, l’adjudicataire peut même demander la résiliation du contrat du marché public. Et pour cause, entre temps les prix des matières premières ont augmenté et ses calculs sont tombés à l’eau.
Nous sommes alors contraints de procéder à un autre appel d’offres. J’ai demandé au Conseil de la ville de mettre des coordinateurs de projets pour pouvoir veiller à la bonne exécution d’une part et d’accélérer le rythme d’exécution d’autre part. En matière de voirie, plus de 100 projets sont en chantier à Casablanca, tous menus de leur échéancier. Des projets sont déjà finis comme le boulevard Al Qods ou le boulevard des Préfectures.

Propos recueillis par
J. E. HERRADI et Ali JAFRY

:D
 
- Pourtant, quand vous vous êtes réunis avec les présidents des arrondissements en l’absence du président du Conseil de la ville, ce dernier n’a pas du tout été content et avait pris votre initiative comme un empiétement sur ses prérogatives.

- Cela s’est produit juste quelques temps après ma nomination. Mon idée était que l’unité de la ville est une nouvelle organisation et la question du rôle des arrondissements s’est posée. Surtout que les présidents des arrondissements n’ont pas la même interprétation de la charte que le Conseil de la ville. Alors, je me suis réuni avec les présidents d’arrondissement pour savoir comment ils voyaient l’unité de la ville.
ça faire rire .................:)
 
J'adore quand on donne l'impression qu'il se passe des choses. 100 projets, on dirait les travaux d'Hercule avec le chiffre 100 symbolique.

Tout le monde sait que c'est du tkherbi9 en (grosses) barres ...

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J'adore quand on donne l'impression qu'il se passe des choses. 100 projets, on dirait les travaux d'Hercule avec le chiffre 100 symbolique.

Tout le monde sait que c'est du tkherbi9 en (grosses) barres ...

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ben il parrait que Kamomille avait raison pour l'info du RER

parrait que c bel et bien vrai :D
 
J'adore quand on donne l'impression qu'il se passe des choses. 100 projets, on dirait les travaux d'Hercule avec le chiffre 100 symbolique.

Tout le monde sait que c'est du tkherbi9 en (grosses) barres ...

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tu vis où???

es tu sur place pour te rendre compte que Casablanca change de jour en jour et que oui effectivement il bosse?
 
tu vis où???

es tu sur place pour te rendre compte que Casablanca change de jour en jour et que oui effectivement il bosse?

J'aimerais avoir des photos.

Je vais à Casa trois ou quatre fois par an. De DMC à Ain Chok en passant par California. Sincèrement, le paysage change peu. A part p-e dans les grandes artères et les maisons qui poussent parfois dans l'anarchie totale. Belle set flamboyantes les premières années puis rachyine au bout de qq années.

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J'aimerais avoir des photos.

Je vais à Casa trois ou quatre fois par an. De DMC à Ain Chok en passant par California. Sincèrement, le paysage change peu. A part p-e dans les grandes artères et les maisons qui poussent parfois dans l'anarchie totale. Belle set flamboyantes les premières années puis rachyine au bout de qq années.

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okay, donc tu ne vis pas sur place CQFD.

Je suis sur place, je circule partout quasiment à Casablanca par mon travail et je peux t'affirmer que les 100 projets de voiries sont concrets.

Casablanca change, s'améliore, ca prend un temps fou car la situation était catastrophique mais ca bouge.


Rien à voir avec le post mais tes commentaires sont tout le temps dégradant pour le Maroc, jamais rien de positif alors que concrètement toi, tu n'apportes rien ni ne fait rien pour ce pays. Ce n'est pas méchant, je suis souvent d'accord avec toi et je t'apprécie (tu le sais bien cf MP) beaucoup mais cette rhétorique négative est lassante.


Il ne faut pas tomber dans la béatitude mais pas non plus dans la critique systématique.
 
C'est juste que j'ai beaucoup de mal avec les effets d'annonce. Ca fait un peu descente d'avion avec par terre de convives et autres sbires avec leur baise ... main à deux cents six sous d'un autre temps. C'est d'autant plus pathétique quand ce sont des personnes agées, grabataires même qui se plient au protocole.

Ce n'est pas de l'actualité marocaine que de relater les projets de voirie qui me paraissent être le minimum pour une ville de cette envergure.

Si la France devait faire ça constamment, le journal n'en finirait pas. Ca s'apparente à de la propagande et pas de l'information.

Je ne m'évertue pas à dire que du mal du Maroc. Quand les choses sont bien faites, et c'est rare, je le dis et donc, ma critique négative n'est pas systématique. Elle peut le paraître pour certains sujets bateau sur ce TGV, ce tram, ce tkherbi9, etc.

Sincèrement, si le Maroc changeait autant, ça se verrait à vue d'oeil. Or, de ce que je vois, à ma modeste échelle, depuis plus de 20 ans, les décharges à ciel ouvert sont les mêmes, l'impression d'anarchie s'empire et les voies secondaires dans le maroc populaire restent les mêmes, avec leurs nids de poule à profusion. Après, que l'on s'extasie sur la réfection de grands axes routiers, soit mais sincèrement, quand j'ai vu comment a été refait chari3 sjer près de Sbata, ya de quoi rire.

Enfin, je n'abonde pas pour abonder, faire dans les courbettes. J'abonde dans le sens d'une information quand elle me paraît pertinente et les 100 voies, pour ma part, ne constituent pas une information pertinente.

++
 
C'est juste que j'ai beaucoup de mal avec les effets d'annonce. Ca fait un peu descente d'avion avec par terre de convives et autres sbires avec leur baise ... main à deux cents six sous d'un autre temps.

Ce n'est pas de l'actualité marocaine que de relater les projets de voirie qui me paraissent être le minimum pour une ville de cette envergure.

Si la France devait faire ça constamment, le journal n'en finirait pas. Ca s'apparente à de la propagande et pas de l'information.

Je ne m'évertue pas à dire que du mal du Maroc. Quand les choses sont bien faites, et c'est rare, je le dis et donc, ma critique n'est pas systématique. Elle peut le paraître pour certains sujets bateau sur ce TGV, ce tram, ce tkherbi9, etc.

Sincèrement, si le Maroc changeait autant, ça se verrait à vue d'oeil. Or, de ce que je vois, à ma modeste échelle, depuis plus de 20 ans, les décharges à ciel ouvert sont les mêmes, l'impression d'anarchie s'empire et les voies secondaires dans le maroc populaire restent les mêmes, avec leurs nids de poule à profusion. Après, que l'on s'extasie sur la réfection de grands axes routiers, soit mais sincèrement, quand j'ai vu comment a été refait chari3 sjer près de Sbata, ya de quoi rire.

Enfin, je n'abonde pas pour abonder, faire dans les courbettes. J'abonde dans le sens d'une information quand elle me paraît pertinente et les 100 voies, pour ma part, ne constituent pas une information pertinente.

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le Maroc n'est pas la France.

Et puis si tu prenais justement les routes secondaires au Maroc, tu te rendrais compte que de la généralisation de l'électrification, de l'adduction au réseau d'eau potable, aux maisons qui se construisent et commerces qui vont avec.

Ca prend le temps qu'il faut mais le Maroc avance.

Il ne faut pas le regarder avec un spectre francais mais il faut le voir avec une connaissance du Maroc d'il y a seulement 9 ans.

Entre le Maroc de mon enfance et adolescence et celui d'aujourd'hui, le changement est notoire (pas toujours positif malheureusement).
 
C'est juste que j'ai beaucoup de mal avec les effets d'annonce. Ca fait un peu descente d'avion avec par terre de convives et autres sbires avec leur baise ... main à deux cents six sous d'un autre temps. C'est d'autant plus pathétique quand ce sont des personnes agées, grabataires même qui se plient au protocole.

Ce n'est pas de l'actualité marocaine que de relater les projets de voirie qui me paraissent être le minimum pour une ville de cette envergure.

Si la France devait faire ça constamment, le journal n'en finirait pas. Ca s'apparente à de la propagande et pas de l'information.

Je ne m'évertue pas à dire que du mal du Maroc. Quand les choses sont bien faites, et c'est rare, je le dis et donc, ma critique négative n'est pas systématique. Elle peut le paraître pour certains sujets bateau sur ce TGV, ce tram, ce tkherbi9, etc.

Sincèrement, si le Maroc changeait autant, ça se verrait à vue d'oeil. Or, de ce que je vois, à ma modeste échelle, depuis plus de 20 ans, les décharges à ciel ouvert sont les mêmes, l'impression d'anarchie s'empire et les voies secondaires dans le maroc populaire restent les mêmes, avec leurs nids de poule à profusion. Après, que l'on s'extasie sur la réfection de grands axes routiers, soit mais sincèrement, quand j'ai vu comment a été refait chari3 sjer près de Sbata, ya de quoi rire.

Enfin, je n'abonde pas pour abonder, faire dans les courbettes. J'abonde dans le sens d'une information quand elle me paraît pertinente et les 100 voies, pour ma part, ne constituent pas une information pertinente.

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franchement kan tu es sur place tu le ressen plu et tu pe le tater réellement si ce n'est qu'à travers la galère des embouteillages engendrés par ces travaux..

les sujets qui sont pour toi du tkherbi9 la population qui y vit peut etre pour elle c'est une aubaine tombée du ciel vu la galère des transports maintenant faut lutter aussi contre la mentalité qui a plus tendance à dégrader que soigner et garder..

wait and see :langue:
 
C'est juste que j'ai beaucoup de mal avec les effets d'annonce. Ca fait un peu descente d'avion avec par terre de convives et autres sbires avec leur baise ... main à deux cents six sous d'un autre temps. C'est d'autant plus pathétique quand ce sont des personnes agées, grabataires même qui se plient au protocole.

Ce n'est pas de l'actualité marocaine que de relater les projets de voirie qui me paraissent être le minimum pour une ville de cette envergure.

Si la France devait faire ça constamment, le journal n'en finirait pas. Ca s'apparente à de la propagande et pas de l'information.

Je ne m'évertue pas à dire que du mal du Maroc. Quand les choses sont bien faites, et c'est rare, je le dis et donc, ma critique négative n'est pas systématique. Elle peut le paraître pour certains sujets bateau sur ce TGV, ce tram, ce tkherbi9, etc.

Sincèrement, si le Maroc changeait autant, ça se verrait à vue d'oeil. Or, de ce que je vois, à ma modeste échelle, depuis plus de 20 ans, les décharges à ciel ouvert sont les mêmes, l'impression d'anarchie s'empire et les voies secondaires dans le maroc populaire restent les mêmes, avec leurs nids de poule à profusion. Après, que l'on s'extasie sur la réfection de grands axes routiers, soit mais sincèrement, quand j'ai vu comment a été refait chari3 sjer près de Sbata, ya de quoi rire.

Enfin, je n'abonde pas pour abonder, faire dans les courbettes. J'abonde dans le sens d'une information quand elle me paraît pertinente et les 100 voies, pour ma part, ne constituent pas une information pertinente.

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C’est un non-sens total que de comparer une puissance économique mondiale comme la France avec un pays comme le Maroc. Oui, effectivement beaucoup de choses changent à Casablanca, et cette ville se transforme de plus en plus et à vue d’œil.

Mais comme toute transformation urbaine et économique, elle doit être porteuse de mauvaises choses, une sorte de part maudite qu’il faut payer. La plaie des bidonvilles, inhérente à Casablanca depuis des décennies, disparait à grande vitesse pour de nouveaux quartiers et résidences, qui ne sont pas exempts de défauts et porteurs de risques. Une classe moyenne grandit et se développe en liaison avec tous les investissements étrangers qui se sont installés à Casablanca (regardes juste du côté du techno-parc qui était un désert rural, il y a une dizaine d’années). Pour la voirie, c’est un problème lié au développement croissant du parc automobilier dans cette ville qui concentre 35 % du parc national, dû justement à l’accès de plus en plus facile au crédit, qui porte en lui-même un risque, en l’occurrence le surendettement des ménages…

mais dire que tout ce qui se passe c’est tkharbi9, je ne suis pas d’accord, jamais Casablanca, n’a connu une telle transformation, depuis les années 30 et 40...et encore une fois, une transformation qui porte des éléments de crise et de danger, mais qui reste généralement dans le bon sens…..
 
Quand je lisais des messages sur le net à propos de Tanger, j'avais l'impression de me rendre à Poubelle ville tellement les avis étaient négatifs.
Je m'y suis rendu le mois dernier et j'ai trouvé une ville plutôt propre. Les tangérois rencontrés semblaient ne plus reconnaitre leur ville.
Je me souviens encore d'un ami qui m'avait fait une description du front de mer de Tanger assez repoussante (poubelle, chemin de fer, baraque à frites....).

Comme quoi les choses changent mais ne demandez pas à un pays en voie de développement de devenir du jour au lendemain un pays moderne.
 
Quand je lisais des messages sur le net à propos de Tanger, j'avais l'impression de me rendre à Poubelle ville tellement les avis étaient négatifs.
Je m'y suis rendu le mois dernier et j'ai trouvé une ville plutôt propre. Les tangérois rencontrés semblaient ne plus reconnaitre leur ville.
Je me souviens encore d'un ami qui m'avait fait une description du front de mer de Tanger assez repoussante (poubelle, chemin de fer, baraque à frites....).

Comme quoi les choses changent mais ne demandez pas à un pays en voie de développement de devenir du jour au lendemain un pays moderne.
on se demande bien pourquoi ils gardent cette image de la ville?

enfin bref polémiquons pas de ttes les manières du bon et du mauvais y en a c'est clair et net et du changement y en a aussi et heureusement, mais pour cela ce n'est pas un court séjour qui permettra aux gens d'en 'juger'
 
Quand je lisais des messages sur le net à propos de Tanger, j'avais l'impression de me rendre à Poubelle ville tellement les avis étaient négatifs.
Je m'y suis rendu le mois dernier et j'ai trouvé une ville plutôt propre. Les tangérois rencontrés semblaient ne plus reconnaitre leur ville.
Je me souviens encore d'un ami qui m'avait fait une description du front de mer de Tanger assez repoussante (poubelle, chemin de fer, baraque à frites....).

Comme quoi les choses changent mais ne demandez pas à un pays en voie de développement de devenir du jour au lendemain un pays moderne.

ce qui est marrant c'est que ce sont des gens de passage qui font le plus souvent ce genre de commentaires

Le Maroc est un chantier à ciel ouvert. Il y a des travaux partout et dans toutes les villes. Tout se transforme: aménagement de grands axes, transport, assinaissement, ... Ce qui reste à changer et qui prendera le plus de temps ce sont les mentalités des gens

Quand un marocain paie son ticket de bus 4 dhs il faut qu'il le fasse payer à la société qui gère le bus en le dégradant, ...

J'ai vu l'état des bus verts (Mdina Bus) qui ont certe déjà servi à Paris mais qui sont restés propres mais une fois arrivé à Casa j'avais de la peine pour eux ;)
 
Ce qui reste à changer et qui prendera le plus de temps ce sont les mentalités des gensQuand un marocain paie son ticket de bus 4 dhs il faut qu'il le fasse payer à la société qui gère le bus en le dégradant, ...

J'ai vu l'état des bus verts (Mdina Bus) qui ont certe déjà servi à Paris mais qui sont restés propres mais une fois arrivé à Casa j'avais de la peine pour eux ;)


Absolument d’accord avec toi….ça fait mal au cœur, de voir des abrutis casser les bus à chaque fin de match, car les vraies personnes pénalisées sont les usagers et les gens qui les prennent pour se rendre au travail ou à l’école….
 
Absolument d’accord avec toi….ça fait mal au cœur, de voir des abrutis casser les bus à chaque fin de match, car les vraies personnes pénalisées sont les usagers et les gens qui les prennent pour se rendre au travail ou à l’école….
y a pa qu'eux qui dégradent..y a aussi le manque de maintenance y a qu'à voir l'etat du véhicule qui devrait s'en occuper et qui vient au 'secours' d'un bus quand il tombe en panne..

oui le mentalité est à changer des usagers mais les responsables qui s'en mettent plein les poches y en a marre aussi
 
y a pa qu'eux qui dégradent..y a aussi le manque de maintenance y a qu'à voir l'etat du véhicule qui devrait s'en occuper et qui vient au 'secours' d'un bus quand il tombe en panne..

oui le mentalité est à changer des usagers mais les responsables qui s'en mettent plein les poches y en a marre aussi

j'ai parlé de la mentalité des marocains et non seulement des usagers

c'est sur qu'au Maroc il n y a pas de maintenance, pas d'entretien, ...

on a beau construire de belles routes, mais on les entretien jamais
on les laisse se dégrader

On attend la dégradation total avant de commencer à se poser des questions sur le remplacement.

Vous avez tous vu les exemples des parcs. Les municipalité dépensent une fourtune pour mettre de jolis grillages.
Il ne pensent jamais les peindre. La rouille fait son effet jusqu'à ça tombe en ruine et là que fait la municipalité: ou elle laisse ça dans cet état ou alors elle change tout et rebelotte ...
 
j'ai parlé de la mentalité des marocains et non seulement des usagers

c'est sur qu'au Maroc il n y a pas de maintenance, pas d'entretien, ...

on a beau construire de belles routes, mais on les entretien jamais
on les laisse se dégrader

On attend la dégradation total avant de commencer à se poser des questions sur le remplacement.

Vous avez tous vu les exemples des parcs. Les municipalité dépensent une fourtune pour mettre de jolis grillages.
Il ne pensent jamais les peindre. La rouille fait son effet jusqu'à ça tombe en ruine et là que fait la municipalité: ou elle laisse ça dans cet état ou alors elle change tout et rebelotte ...

Y'a pas que les municipalités. Les maisons des marocains tombent souvent en ruine même chez les plus riches. Tu rentre ds de belles villas et il faut tjrs que l'évier soit peté et la chasse ne va jamais :D
 
j'ai parlé de la mentalité des marocains et non seulement des usagers

c'est sur qu'au Maroc il n y a pas de maintenance, pas d'entretien, ...

on a beau construire de belles routes, mais on les entretien jamais
on les laisse se dégrader

On attend la dégradation total avant de commencer à se poser des questions sur le remplacement.

Vous avez tous vu les exemples des parcs. Les municipalité dépensent une fourtune pour mettre de jolis grillages.
Il ne pensent jamais les peindre. La rouille fait son effet jusqu'à ça tombe en ruine et là que fait la municipalité: ou elle laisse ça dans cet état ou alors elle change tout et rebelotte ...
g répondu à nancy qui parlai des usagers ;)

pour le reste fau bien qu ils s en mettent un pe les poches kan même :eek:
 
le Maroc n'est pas la France.

C’est un non-sens total que de comparer une puissance économique mondiale comme la France avec un pays comme le Maroc. Oui, effectivement beaucoup de choses changent à Casablanca, et cette ville se transforme de plus en plus et à vue d’œil.

Qui compare la France au Maroc sur les infrastructures ? On sait tous que le Maroc est à des années lumière de ce que peut faire la France qui, en matière d'infrastructures, est l'EXEMPLE à suivre et au delà des frontières européennes. Non pas qu'ils aient plus d'argent mais qu'ils organisent les travaux dans des projets cadres de10 ou 20 ans avec une feuille de route aux objectifs prédéterminés. Des objectifs priorisés. On ne met pas des routes pour des voitures en fin de vie ou dépassant toutes les normes internationales.

Je compare la France au Maroc pour ce qui est de toutes ces informations qui pleuvent de toute part. De ces annonces de TGV, de tram, de voies routières ou autoroutières. Je trouve ça tout bonnement ridicule de faire les agents du "Moniteur". Il existe de très bon magazine qui font état des appels d'offres, des chantiers en cours et en mairie, vous pourrez même avoir la liste des permis de construire en cours pour jauger du potentiel d'entreprise, le cadastre et le plan d'occupation des sols.

A quoi bon ouvrir un journal télévisé sur ce genre de chantier qui n'a rien de pharaonique qui valent dial zeri3a :D.

Une chose transforme le visage de Casablanca. Ce ne sont pas les chantiers de grands ensembles qui harmoniserait l'actuelle anarchie urbaine mais des projets d'entrepreunariat privés essentiellement et immobiliers surfant sur une bulle qui n'a aucun sens dans le contexte marocain et qui finira par exploser elle aussi au même titre que celle des EUA, d'Espagne et du Royaume Uni.

y a pa qu'eux qui dégradent..y a aussi le manque de maintenance y a qu'à voir l'etat du véhicule qui devrait s'en occuper et qui vient au 'secours' d'un bus quand il tombe en panne..

Cela a un coût, un coût qu'il est difficile d'amortir quand on a des budgets si volatiles.

Cette rhétorique du Maroc en mouvement, je ne sais pas qui la voit. C'est plutôt l'effet Vortex qui s'opère. Faites un sondage auprès du Marocain lambda, would oula bent derb, vous verrez ce qu'ils pensent vraiment.

Le Maroc est un chantier à ciel ouvert. Il y a des travaux partout et dans toutes les villes. Tout se transforme: aménagement de grands axes, transport, assainissement, ... Ce qui reste à changer et qui prendera le plus de temps ce sont les mentalités des gens

Après tant d'années de tapage dans les caisses, il est un peu normal qu'on en sorte pour donner l'impression que les choses avancent.

On en revient aux réformes de fond, qui elles, n'existent pas ou peu. L'Education ? Quels sont les projets en place ? La Justice ? Les modes de nomination sont ils discrétionnaires et au bon vouloir des aparatchik ? L'assainissement de la vie locale, les institutions politiques, la transparence, les piètres relations que les Marocains entretiennent avec les démembrements de l'Etat dont il faut arroser les agents pour la moindre prestation donnée ?

J'ai vu l'état des bus verts (Mdina Bus) qui ont certe déjà servi à Paris mais qui sont restés propres mais une fois arrivé à Casa j'avais de la peine pour eux

Normal, la maintenance est ce qui grève le plus les services municipaux de bus. Comme s'il suffisait d'acheter des bus en fin ou début de vie pour assurer les dessertes des principaux quartiers de Casablanca mais on fait avec ce qu'on a et quand on a peu, on fait peu.

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Un nouveau schéma directeur pour Casablanca

· Modifier l’orientation du développement urbain

· Création d’une place financière à Anfa-Aéroport

Casablanca a un nouveau schéma directeur d’aménagement urbain (SDAU). Il a été présenté avant-hier à SM le Roi Mohammed VI. L’objectif assigné à ce plan de développement urbain est d’améliorer les conditions de vie de la population, d’accroître les perspectives d’expansion et de modernisation de la ville blanche et de préserver son potentiel économique et son rang en tant que grande métropole internationale. Histoire également d’en renforcer l’attractivité tant au niveau touristique qu’à celui bien évident des investissements.
Ambitieux, le nouveau SDAU? Il l’est certainement à plusieurs égards. A commencer par les aménagements urbains préconisés dans le but d’améliorer l’offre habitat et répondre aux besoins de la population, tout particulièrement des familles à faible revenu et des classes moyennes. Ainsi, différents pôles seront réalisés dans la périphérie de la métropole, notamment à Lahraouiyne et à Dar Bouazza. Ils seront conçus et aménagés de manière à assurer leur intégration à l’espace urbain et à préserver la cohésion sociale qui constitue l’un des fondements de la société marocaine, indiquent les concepteurs du SDAU.
Un autre pôle, non moins important, sera réalisé dans l’espace Anfa-Aéroport. D’une superficie de 400 ha, ce pôle sera dédié en priorité au logement moyen standing avec une réserve foncière de 80 ha qui pourrait abriter une place financière régionale.
Les aménagements urbanistiques projetés seront consolidés par la mise en oeuvre d’un dispositif prévoyant la mobilisation de moyens de transport modernes et efficients, soutenus par une organisation optimale de la circulation dans le Grand Casablanca. L’idée est d’amener les populations casablancaises à privilégier le transport en commun et à utiliser le moins possible la voiture personnelle. Mais cela ne pourrait se faire en l’absence justement de moyens de transport en commun dignes des Casablancais. C’est pourquoi, pouvoirs publics et conseils élus ont décidé de doter la métropole d’un réseau de transport moderne, efficace et non polluant. D’ailleurs, une convention portant sur le financement de la réalisation de la première tranche du tramway de Casablanca a été signée mardi entre les parties concernées et porte sur un montant global de 6,4 milliards de DH. L’Etat participera à ce financement à hauteur de 1,2 milliard de DH, la direction générale des collectivités locales (DGCL) contribuera pour un montant de 1,5 milliard de DH, le conseil de la ville et divers partenaires contribueront pour 900 millions de DH alors que le Fonds Hassan II pour le développement économique et social mettra 400 millions de DH. Le reste, soit 2,4 milliards de DH, proviendra de prêts garantis par l’Etat et les collectivités locales.
A noter que les travaux pour la réalisation de la première ligne de tramway commenceront avant la fin de l’année prochaine. Elle aura une longueur de 28 km et desservira plusieurs quartiers de Casablanca, transportant 300.000 personnes/jour (cf.www.leconomiste.com).
En fait, le nouveau SDAU du Grand Casablanca va «modifier fortement l’orientation du développement urbain qui avait présidé jusqu’ici dans la plus grande ville et capitale économique du Maroc, à travers des choix stratégiques qui vont en changer le visage et la hisser au rang des grandes métropoles mondiales», assure-t-on. Des choix qui ont privilégié «l’organisation de l’armature urbaine régionale par un système polycentrique de pôles périphériques renforcés» autour, non seulement de la capitale économique, mais aussi de la ville de Mohammédia. Ceci en assurant la mobilité par une infrastructure routière hiérarchisée et maillée et un réseau de transport en commun suffisamment calibré.
Le SDAU prévoit également «l’ouverture à une large échelle de nouvelles zones urbanisables dans les pôles périphériques. Cette offre foncière est rendue nécessaire par la forte demande sur les parcs d’activités et le logement», indique-t-on. Il est évident, tiennent à rassurer les autorités compétentes, que l’expansion spatiale de Casablanca sera accompagnée d’une expansion des réseaux routier et ferroviaire. Le transfert de la croissance urbaine vers les pôles périphériques permettra parallèlement de mettre à niveau toute la métropole (résorption de l’habitat précaire, amélioration du niveau des équipements et du réseau de transport) dans de meilleures conditions.
En outre, le SDAU préconise le remplacement progressif de l’activité industrielle polluante de Casablanca par des activités non nuisantes. Le premier bassin du port sera, ainsi, intégré à la vie urbaine. Les industries lourdes iront dans les pôles périphériques. Toujours dans la perspective de lutter contre la pollution, le SDAU prévoit «la définition d’une trame régionale d’espaces ouverts non urbanisables, constituée du réseau des forêts, des lits d’oued, des espaces côtiers protégés, des espaces agricoles à haut rendement, des zones inondables, des coupures vertes entre industrie et habitat, et des liaisons vertes entre ces différents espaces».
Tout cela est bien beau. Mais, de l’avis même de ses concepteurs, le SDAU du Grand Casablanca «ne se réalisera pas du seul fait qu’il serait publié. Seule une action volontaire, et suivie dans le temps, permettra une réalisation satisfaisante de ses objectifs et prescriptions». «Cette action serait de deux ordres: elle porte, d’une part, sur des actions à mener (réalisation d’infrastructures et d’opérations d’urbanisme) et, d’autre part, sur des mesures législatives et réglementaires». Bonjour, la politique…!

Jamal Eddine HERRADI
 
Résultats

Casablanca a-t-elle atteint le point de non-retour? La ville a du mal à gérer les défis de son gigantisme. Ses habitants, ses entreprises ne cachent pas leur amertume face à un développement chaotique. Jamais les automobilistes de la métropole n’ont autant pesté qu’en cette année devant l’asphyxie ininterrompue de ses artères.
Et dans ce qui semble être une jungle urbaine, les intempéries, les parcs de véhicules (300.000 par jour), les impératifs de croissance n’expliquent pas tout. Il y a incontestablement un gisement de… gaspillages et d’incompétences qu’il faut finir par combler. Les services publics n’ont pas été en mesure jusque-là d’accompagner le mouvement. Si bien que certaines insuffisances font ressembler Casablanca au bourg qu’elle était au XIXe siècle. La transformation d’une ville est toujours un processus difficile. Mais peut-on pour autant faire l’économie de la mise à niveau, se satisfaire d’un ingrat statut de «poumon économique et financier du pays» sans exigences de contrepartie pour ses hommes et ses femmes, à qui l’on doit au moins un cadre agréable pour y vivre et travailler?
Dans cette ville où l’immeuble de luxe peut côtoyer le bidonville, les contradictions, les incohérences sont flagrantes. Visiblement le problème numéro un reste le transport collectif, aujourd’hui facteur d’exclusion, de sous-productivité, de pollution, d’insécurité et d’anarchie par la même occasion.
Aujourd’hui, il y a une volonté de placer la ville au rang de grandes métropoles internationales. Le fait que le Souverain en personne se soit emparé du dossier, avec des exigences d’échéanciers, est un signal fort sur son urgence. Le calendrier c’est un peu ce qui manquait à ce chantier qui a multiplié jusque-là promesses de «schémas directeurs», de «plans d’aménagements» mais sans grands résultats.

Mohamed BENABID
 
100 !!!! pile

il serait interessant de connaitre le budget de ces 100 travaux de hercule

est ce que c est la ville de casa qui paye? ou bien le ministere des t...

le budget de la mairie de casa c est 99.99% salaire et le reste pour le papier de toilette
 
le Maroc n'est pas la France.

Et puis si tu prenais justement les routes secondaires au Maroc, tu te rendrais compte que de la généralisation de l'électrification, de l'adduction au réseau d'eau potable, aux maisons qui se construisent et commerces qui vont avec.

Ca prend le temps qu'il faut mais le Maroc avance.

Il ne faut pas le regarder avec un spectre francais mais il faut le voir avec une connaissance du Maroc d'il y a seulement 9 ans.

Entre le Maroc de mon enfance et adolescence et celui d'aujourd'hui, le changement est notoire (pas toujours positif malheureusement).

tu n'as po tort mais quand meme, ce n'est po de regarder avec le spectre français que de demander au 1er fonctionnaire du pays qu'est le Roi de faire son job tout de meme! car dans ce cas la, la royauté ne servirait plus à rien, enfin l'electicité et l'adduction de reseau d'eau potable c'est quand meme la moindre des choses, sinon c'est l'age de pierre!
quand tu pense qu'hassan 2, le roi bien aimée de tous les royalistes integristes n'avaient meme po fait ca en 38 ans de regne cela renforce mon sentiments anti-royaliste, on se demande ou sont passé l'argent du peuple qui lui pendant ce temps la, payait des impots, il est temps qu'au maroc, on insuffle aux fonctionnaires, des exigeances de resultats sinon qu'il degagent!
 
tu n'as po tort mais quand meme, ce n'est po de regarder avec le spectre français que de demander au 1er fonctionnaire du pays qu'est le Roi de faire son job tout de meme! car dans ce cas la, la royauté ne servirait plus à rien, enfin l'electicité et l'adduction de reseau d'eau potable c'est quand meme la moindre des choses, sinon c'est l'age de pierre!
quand tu pense qu'hassan 2, le roi bien aimée de tous les royalistes integristes n'avaient meme po fait ca en 38 ans de regne cela renforce mon sentiments anti-royaliste, on se demande ou sont passé l'argent du peuple qui lui pendant ce temps la, payait des impots, il est temps qu'au maroc, on insuffle aux fonctionnaires, des exigeances de resultats sinon qu'il degagent!

Le roi n'est pas un fonctionnaire.
 

walou zaama!!! aucun indice

tant que les travaux c est des nationaux aucun probleme ..c est de la creation d emploi
les travaux sont a casa, donc je trouve normal que ca soit les habitants de la ville qui payent pour ces travaux...........donc on devrait aller chercher cet argent chez les casawis!!

sajid un bon lobbyiste !!!
 
walou zaama!!! aucun indice

tant que les travaux c est des nationaux aucun probleme ..c est de la creation d emploi
les travaux sont a casa, donc je trouve normal que ca soit les habitants de la ville qui payent pour ces travaux...........donc on devrait aller chercher cet argent chez les casawis!!

sajid un bon lobbyiste !!!
:rolleyes: :rolleyes:
 
un nouveau schéma directeur pour la mégapole
Ce que sera Casablanca avant 2013


Casablanca aura un nouveau visage avant 2013. C’est le deadline imposé par SM le Roi Mohammed VI, aux autorités de la métropole, pour finaliser tous les projets prévus dans le nouveau schéma directeur de la ville.
Mardi 21 octobre 2008 a eu lieu, en effet, au Palais royal de Casablanca, une grande cérémonie au cours de laquelle le Souverain a donné le coup d’envoi d’une série de projets d’infrastructures.
Le nouveau schéma directeur prévoit plusieurs pôles urbanistiques. Deux d’entre eux, Lahraouiyine et Dar Bouazza, seront conçus et aménagés de manière à assurer leur intégration à l’espace urbain tout en y préservant la cohésion sociale.
Un autre pôle sera réalisé dans la zone Anfa-aéroport. D’une superficie de 400 hectares, ce pôle sera dédié en priorité au logement moyen standing avec une réserve foncière de 50 hectares qui pourrait abriter une place financière régionale.
Instructions
Côté transport, un tramway est prévu dans la métropole économique. Il sera réalisé en plusieurs tranches. La première, qui coûtera la somme de 6,4 milliards de dirhams, aura une longueur de 28 kilomètres et transportera jusqu’à 300.000 personnes par jour.
Pour assurer la réalisation de l’ensemble de ces projets, deux nouvelles structures ont été créées: Casa Transport et Casa Aménagement. Les directeurs de ces deux sociétés ont été présentés au Souverain, mardi 21 octobre.
Mohamed Kabbaj, wali du Grand Casablanca, Mohamed Sajid, maire de Casablanca, et Allal Sekrouhi, directeur général de l’Agence urbaine, ont tenu le même jour une réunion de travail restreinte avec SM le Roi au cours de laquelle le Souverain a donné ses instructions pour accélérer le rythme de réalisation de tous ces projets.


Maroc Hebdo
 
Casablanca: La trémie Roudani achevée à 70%

· Son ouverture toujours prévue pour mi-février

· Quelque 60 m de travaux encore à réaliser

«A la surprise générale, le Conseil de la ville de Casablanca a libéré une partie de l’ouvrage de la trémie construite sur l’intersection entre les boulevards Roudani et Bir Anzarane», déclare Mohamed Ezzouate, ingénieur d’Etat au Conseil de la ville et chef du projet. Ce dernier, rappelons-le, a pour objectif principal la décongestion du grand carrefour situé entre les boulevards Brahim Roudani, Bir Anzarane, Yacoub El Mansour et la Route d’El Jadida (cf. www.leconomiste.com).
En effet, mardi dernier, et malgré le temps pluvial qu’a connu la ville, l’équipe chargée de la réalisation de la trémie a procédé à l’asphaltage de l’ouvrage déjà réalisé. Et ce afin d’ouvrir ledit pont sur le boulevard Bir Anzarane à la circulation et permettre, ainsi, une meilleure fluidité du trafic souvent critiquée par les Casablancais. «La mise en œuvre de l’asphaltage réalisée aujourd’hui peut paraître sans grande importance, mais chose qu’on ne peut nier, c’est que notre projet est en train de se concrétiser progressivement», explique Ezzouate. A ce propos, ce dernier confirme que la fin des travaux est toujours prévue pour mi-février 2008. En effet, «avec la coordination de tous les intervenants (Maroc Telecom, Lydec, SGTM…) et l’accumulation de tous les efforts, on arrivera bientôt à atteindre l’objectif fixé», tient à préciser l’ingénieur.
Il importe de signaler que les travaux vont connaître un arrêt d’au moins une dizaine de jours pendant la période de Aïd Al-Adha. C’est ce qui va ralentir quelque peu le chantier. Ainsi et après la fête, une réunion de coordination sera tenue avec tous les responsables dudit projet (corps urbain, Lydec, SGTM…) pour «s’attaquer au terrassement de quelques dizaines de mètres de l’ouvrage restants». «On va procéder, ainsi, à la réalisation de l’autre moitié située à la largeur du boulevard Bir Anzarane», affirme Ezzouate. Lors de la réunion, l’équipe va également élaborer un plan de circulation pour le reste du rond-point. La libéralisation de l’emprise de la trémie des réseaux souterrains (assainissement, eau potable, électricité…) est aussi prévue.
A noter qu’aujourd’hui, l’enlèvement d’une partie des palissades va permettre aux automobilistes et aussi aux citoyens de suivre de plus près l’état d’avancement des travaux de ce grand carrefour. «On n’a pas cessé de multiplier les efforts... Maintenant, nous offrons aux Casablancais la possibilité de se rendre compte de ce que nous faisons pour leur confort», dit l’ingénieur.
Grosso modo, ce sont quelque 60 mètres linéaires qui restent à réaliser pour passer aux travaux de finition (pose, bordure, tout-venant…) et ouvrir ainsi la trémie à la circulation.

B. S. & J. E. H.

en espérant que le calendrier sera respecté même si les travaux reprendront du côté de biranzarane..
 
en espérant que le calendrier sera respecté même si les travaux reprendront du côté de biranzarane..

Moi je propose qu'ils fassent rien et que surtout ils touchent à rien .
Juste une chose qu'ils terminent ce biranzarane qui dure déjà un siecle et qu'il laisse respirer un petit peu les casawis après on peut parler du reste :fou:
 
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