"Plus de 100 projets de voiries en chantier"

  • Initiateur de la discussion Initiateur de la discussion petitbijou
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Moi je propose qu'ils fassent rien et que surtout ils touchent à rien .
Juste une chose qu'ils terminent ce biranzarane qui dure déjà un siecle et qu'il laisse respirer un petit peu les casawis après on peut parler du reste :fo u:
un siècle :rolleyes:

je sais pas ou tu te trouves mais navrée de te contredire le projet a commencé cet été juillet si ma mémoire est bonne et nous sommes en décembre et le projet est presque fini..ils ont bossé nuit et jour avant que le voisinnage ne se plaigne et se contente de la journée y compris le dimanche..les casawis respireront mieux si toutefois ils respectaient le code de la route aussi et cessaient de klaxoner à tout va :D
 
Casablanca/Infrastructures

La pénétrante sud en cours d’aménagement

· La fin des travaux prévue en juillet 2009

· Quelque 74 millions de DH investis

· Appel d’offres pour la réalisation d’un viaduc

LA métropole a décidé de prendre en main… ses pénétrantes. Un vaste programme destiné à doter Casablanca d’entrées dignes d’une grande ville. Première étape, la route de Nouaceur. Liant la capitale économique à la partie sud du Royaume, via la «RN 11», cette route connaît chaque année encore plus de pression. Le trafic y est devenu insoutenable. On l’a constaté, des travaux d’aménagement sont en cours sur cette voie depuis quelque temps déjà. Mais en quoi consistent-ils? Lancé par le Conseil de la ville en juillet dernier, le grand projet a pour objectif l’élargissement de cette route en la transformant en 2x3 voies (au lieu de 2x2 voies actuellement). Mais cela ne peut se faire sans ouvrages annexes. C’est pour cette raison et aussi pour donner plus de consistance au projet qu’il a été décidé de construire également un échangeur. Ce dernier va permettre une fluidité de la circulation, sans croisement à niveau, entre les courants de trafic de l’autoroute et ceux des voies adjacentes. L’aménagement de la route et de l’échangeur va se faire sur une longueur de 5 km. Le chantier s’étalera, donc, du carrefour Sidi Maârouf jusqu’à la rocade autoroutière Casablanca/El Jadida. Coût estimé du projet: quelque 74 millions de DH.
«Aujourd’hui, on est en train de travailler sur une première tranche de 3,8 km, dont l’ouvrage d’art a déjà été réalisé. La construction de l’échangeur est en phase finale (70% des travaux ont été effectués)», déclare une source responsable auprès du Conseil de la ville. Et d’ajouter: «Il nous reste encore les travaux d’élargissement de la route qui d’ailleurs ne nécessitent pas plus de temps». A noter que l’échangeur de Mekka (c’est le nom qui lui a été donné) comporte quatre bretelles qui lient les parties supérieure et inférieure de l’ouvrage. Il va permettre le raccordement avec toutes les voies adjacentes, à savoir la route vers Bouskoura, Casanearshore et Sidi Maârouf, Sidi Massôud et Boulevard de Mekka.
Désormais, les usagers de la «RN 11» vont bénéficier d’un confort de conduite. Ils n’auront plus à «supporter» les arrêts interminables aux feux rouges installés actuellement au niveau de ces carrefours. Ces derniers seront tout simplement supprimés puisqu’ils n’auront plus aucune raison d’être. En effet, cette route suscite quotidiennement le mécontentement de la majorité des usagers désirant sortir de Casablanca ou rallier le centre-ville. Ils ont toujours à supporter embouteillages et encombrements.
Force est de constater que la nouvelle zone offshoring, «Casanearshore», connaît un réel problème d’accès. En effet, la seule voie qui y mène connaît fréquemment une grande affluence au niveau du carrefour de Sidi Maârouf. Ainsi et afin de contribuer au désengorgement de cet important axe, «il a été décidé de créer une nouvelle voie qui reliera l’échangeur de Mekka à la route menant à Casanearshore», explique le responsable. «Une autre voie latérale (parallèle à la RN 11) va être construite pour desservir également le grand projet d’offshoring», poursuit-il. Résultat: les automobilistes auront la possibilité de choisir entre deux voies pour y accéder. Le but de ce grand chantier est, en effet, de rendre faciles tous les mouvements adjacents à la «RN 11» et ce en reliant le sud de la métropole (vers l’aéroport, Nouaceur, Marrakech), au nord (vers Casablanca), à l’ouest (vers Sidi Maârouf, Casanearshore, Bouskoura) et à l’est (vers Califonia).
A noter que «les travaux de ce grand projet, financé par le Conseil de la ville, doivent durer 12 mois», nous confie-t-on. C’est-à-dire que la pénétrante sud de Casablanca sera totalement aménagée en juillet 2009. «Aujourd’hui, on a pu achever 20% des travaux d’aménagement de la RN 11 et de l’échangeur de Mekka», précise-t-on. C’est dire que les usagers de cette route doivent patienter encore quelque temps avant qu’elle ne soit, enfin, ouverte à la circulation. «Beaucoup de contraintes s’imposent», dit le responsable au Conseil de la ville. Et d’ajouter: «Le foncier (l’expropriation des terrains), les travaux sur les réseaux d’eau potable, d’électricité, d’assainissement et de communication, des lignes de hautes tensions… sont autant de contraintes indispensables». Il faut les gérer de manière intelligente pour éviter qu’elles ne ralentissent trop longtemps les travaux. En outre, il faut prendre en considération le fait qu’il y a plusieurs intervenants sur le chantier (chef du projet, surveillant, assistant au maître d’ouvrage…).
A signaler aussi et dans le but de garantir la qualité des ouvrages et la sécurité des citoyens que le Laboratoire public d’étude et d’essai (LPEE) accompagne la ville dans la réalisation du projet. Ce dernier profitera, donc, d’une prestation de mesure et de conseil en matière de qualité technique, de sécurité et de coût. A souligner que les travaux de construction sont réalisés par les Grands chantiers routiers (GCR) qui est une société marocaine privée spécialisée dans la construction de routes.
En attendant la fin des travaux, un plan de circulation (déviations, installations de bretelles et feux rouges provisoires…) a été établi par le Conseil de la ville afin de permettre aux usagers de la «RN 11» de circuler sans trop de difficultés.
Reste la 2e tranche du projet. Moins contraignante que la première, elle consiste seulement à élargir la «RN 11» en 2x3 voies sur une distance de 1,2 km (de Sidi Massôud jusqu’à la rocade autoroutière). L’appel d’offres pour cette tranche va être lancé dans une vingtaine de jours. Pour rappel, elle est la continuité de la 1re tranche (allant du carrefour de Sidi Maârouf jusqu’à Sidi Massôud).

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Autre projet



Dans le cadre du programme de mise à niveau des infrastructures de la ville de Casablanca et afin de boucler l’ensemble des travaux prévus pour l’aménagement de la pénétrante sud de la métropole (route de Nouaceur), le Conseil de la ville vient de lancer un appel d’offres pour la réalisation d’un 2e projet. Ce dernier consiste à construire un viaduc de 306 m et des murs de soutènement de 440 m et d’aménager le carrefour de Marjane.

B. S. & J. E. H.
 
je les balance ici parce qu'ils sont tellement vrais ces commentaires des lecteurs de l'Economiste


· Marre des dos-d’âne!

Les grandes victimes des dos-d’âne sont les passagers des autobus qui sont secoués et malmenés. Nos élus n’en savent rien, ils n’utilisent jamais les transports publics.
A. L.

· Les grandes victimes

Ce n’est pas uniquement des dos-d’âne que le Casablancais en a marre. Ce qui a attiré mon attention c’est qu’au CIL, dans la rue qui mène au marché, il y en a 6 sur même pas 100 mètres. Je me demande qui les a décidés. A la limite 2 face à l’école, je le comprends, mais avec le goudron des 4 autres on aurait pu boucher les nids de poule sur les chaussées....
B. G.

· Les Casablancais résignés

Ces dos-d’âne ne servent à rien. Les Casablancais roulent toujours comme des fous. S’ajoute aussi le coût d’installation unitaire qui serait de 15.000 DH. Donc retour sur investissement nul en plus des dégâts matériels causés aux autos, bus, etc. Je suis d’accord qu’il aurait mieux fallu rénover tous les grands boulevards de la capitale, mettre à jour le système de signalisation et creuser des trémies dans les carrefours clés de Casablanca.
D. I.
 
soit mais le 'volume' de c dos d'âne et très conséquent et important faut penser à le diminuer un pe un pe à l'image de ceux du bd moulay youssef par ex..

Au contraire Bijou je trouve qu'il faudrait les généraliser à tout l'ensemble du pays ça permettra à certain dingue du volant de se calmer un peu
 
Au contraire Bijou je trouve qu'il faudrait les généraliser à tout l'ensemble du pays ça permettra à certain dingue du volant de se calmer un peu
waaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaa33333333 je n ai pas di qu il fallait les enlever g di qu en terme de hauteur de c machins trucs c un pe exageré..mais en mettre même dans les petites rues moi je suis pour
 
Personnellement, je suis pour leur augmentation car les gens conduisent comme des abrutis.

Les dos d'ânes abîment les amortisseurs. Déjà que le Marocain n'a pas toujours un véhicule bien entretenu, cela risque de diminuer son confort de vie.

Actuellement, les centres de contrôle technique commencent à se généraliser et se mettre en place pour améliorer le parc auto marocain très délabré mais c'est au niveau pénal ss doute que des actions devraient être faites mais là encore, compte tenu de la corruption et du faible pouvoir d'achat des Marocains, il sera difficile d'avoir des résultats encourageants.

Il reste donc un dernier levier et il est de l'ordre de la discipline et cela relève du culturel et de l'éducation. Vaste chantier au Maroc.

++
 
Les dos d'ânes abîment les amortisseurs. Déjà que le Marocain n'a pas toujours un véhicule bien entretenu, cela risque de diminuer son confort de vie.

Actuellement, les centres de contrôle technique commencent à se généraliser et se mettre en place pour améliorer le parc auto marocain très délabré mais c'est au niveau pénal ss doute que des actions devraient être faites mais là encore, compte tenu de la corruption et du faible pouvoir d'achat des Marocains, il sera difficile d'avoir des résultats encourageants.

Il reste donc un dernier levier et il est de l'ordre de la discipline et cela relève du culturel et de l'éducation. Vaste chantier au Maroc.

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Ils permettent surtout de réduire la vitesse.
Si tu roules doucement dessus, tes amortisseurs ne risquent rien.
 
quoiqu'il en soit au vue des investissements pour le differentes ligns de transport en commun tel que le RER le metro et le tram ,il faudra que la casaoui mettent la main à la poche pour pouvoir payer une partie .
Je ne sais actuellement par quels moyens cela sera fait
 
Ils permettent surtout de réduire la vitesse.
Si tu roules doucement dessus, tes amortisseurs ne risquent rien.

Ceux de Mandarona à Casa sont parfois trop élevés et pour les véhicules "limites" (transmission), c'est pas très bon. Il y a autre chose en dehors des amortisseurs, les débrayages nécessaires et cela aussi au fil du temps coute pour un Marocain qui a un très faible budget auto. En France, la problématique est la même et l'installation de radar automatique est ss doute une bonne alternative pour inviter les automobilistes à réguler leur vitesse.

++
 
Ils permettent surtout de réduire la vitesse.
Si tu roules doucement dessus, tes amortisseurs ne risquent rien.


soyons honnete dans certains arthères ce ne sont pas des dos d'anes ces sont des montagnes :eek: ils ralentissent pas mais bousillent le chassi de la voiture faut pas être étonné de voir de la féraille rouler dans les rues parce que les réparations ça tue le portefeuille..

alors faut penser à réduire les hauteurs


quoiqu'il en soit au vue des investissements pour le differentes ligns de transport en commun tel que le RER le metro et le tram ,il faudra que la casaoui mettent la main à la poche pour pouvoir payer une partie .
Je ne sais actuellement par quels moyens cela sera fait


parrait que l IGR va baisser en Janvier :rolleyes:
 
Vous êtes vraiment de mauvaise foi.
A vous écouter, des épaves roulent au Maroc simplement depuis la généralisation des dos d'ânes.
Or ce n'est pas vrai et au contraire le parc automobile s'est amélioré au Maroc.
 
Vous êtes vraiment de mauvaise foi.
A vous écouter, des épaves roulent au Maroc simplement depuis la généralisation des dos d'ânes.
Or ce n'est pas vrai et au contraire le parc automobile s'est amélioré au Maroc.
mais oui il s est améliorer pour toi et ceux qui en ont les moyens et se créent les moyens avec des crédits à la consommation va voir ceux qui utilisent les tranports en commun et dis leur cela..alors la mauvaise foi?!!
 
soyons honnete dans certains arthères ce ne sont pas des dos d'anes ces sont des montagnes :eek: ils ralentissent pas mais bousillent le chassi de la voiture faut pas être étonné de voir de la féraille rouler dans les rues parce que les réparations ça tue le portefeuille..

alors faut penser à réduire les hauteurs





parrait que l IGR va baisser en Janvier :rolleyes:

les casawis ont le droit de rever ce qui est donner dans une poche sera repris ailleurs .

pour info voici la liste des grands investissements :

(en millions d’euros)

- Autoroutes : 2818
- 630 km de voies express : 182
- Rocade méditerranéenne : 218
- Routes rurales (1.500 à 2.000 km par an) : 727
- Maintenance routière : 727
- TGV : 1.818
- Gares et réseau ferroviaire : 1.909
- TangerMed II : 1.636
- Maintenance et autres projets portuaires : 300
- Aéroports : 527
 
Casablanca: A quoi ressemblera le Bd Al Massira

· Il sera prêt en juin

· Future aubaine pour les commerçants

· Mobilier urbain et espaces piétons

ENCORE quatre mois de travaux pour achever le réaménagement du boulevard Al Massira Al Khadra. Cette artère transformée, depuis quelques mois, en un grand chantier, avec tout le désordre et la gêne que cela provoque, est en phase de prendre un nouveau visage. Les responsables de la ville ont voulu la doter d’une architecture moderne, afin, disent-ils, de lui donner une identité propre.
Un nouveau concept donc pour ce boulevard où de grandes marques, notamment de prêt-à-porter, avaient commencé à s’installer au cours des cinq dernières années. Baptisé «urbanisme réglementaire», ce concept est en fait une sorte de code d’organisation du boulevard en termes de circulation automobile, de stationnement, de réseaux souterrains et de mobilier urbain. Ainsi, doté d’une chaussée de 2x3 voies, d’un trottoir de 7,2 m et d’une emprise globale de 40 m, Al Massira promet une fluidité du trafic, un confort aux piétons et, partant, une aubaine pour les commerçants. Rachid Haouch, architecte, paysagiste, urbaniste et concepteur du projet, déclare à ce propos: «La nouvelle architecture du boulevard sera une facture importante pour les enseignes et les vitrines». En effet, «la fréquentation accrue qu’il connaît, en plus de son rattachement à un concept d’aménagement contemporain feront, certainement, de ce boulevard l’un des meilleurs et des plus beaux du Maroc», affirme Haouch.
Pour rappel, l’avenue sera ornée par des cocotiers dotés d’un arrosage automatique et disposera d’un mobilier urbain (bancs, poubelles, lampadaires, barrières directionnelles, abribus, feux tricolores…) repensé et moderne (cf.www.leconomiste.com, le 23/01/2009). L’éclairage sera rénové et bien soigné (balisage au sol, éclairage d’ambiance et éclairage public incliné). Quant au revêtement des trottoirs, il sera en asphalte et marbre blanc. Il faut souligner que le réaménagement du boulevard va permettre sa redynamisation. Ainsi, un grand plateau de 2.500 m2 sera aménagé devant le «Twin Center». Au même niveau que le trottoir, il devra être libéré par les automobilistes et emprunté par les piétons pour faciliter leur déplacement et leur permettre, donc, une mobilité sécurisée. Deux autres plateaux seront aménagés au niveau de la place Maârif entre Normandie et Al Massira et au niveau des rues Bnou Zourar et Masoudi. Des zones de stationnement de moins de 300 places seront, également, aménagées et une piste cyclable de 1,4 m est prévue. Aussi, des bornes métalliques seront installées pour régulariser le stationnement et protéger les trottoirs. A noter que la circulation automobile sera gérée par un système intelligent de feux prioritaires permettant d’améliorer sa fluidité et d’optimiser la sécurité des piétons. En effet, ce système déclenche et règle les feux tricolores en fonction des flux de véhicules.
Il faut rappeler que les travaux du réaménagement d’Al Massira ont été entamés depuis presque huit mois. «Nous avons pu réaliser 95% des travaux souterrains (réseaux d’électricité, d’eau, d’assainissement et de télécommunications)», annone l’architecte. Et d’ajouter, «en dépit des intempéries et des contraintes foncières que nous avons dû supporter, nous maintenons la date d’achèvement du chantier pour juin prochain». Ainsi, il ne reste plus que les travaux de surface (trottoir et chaussée) et de finition à réaliser. Haouch souligne, enfin, que ledit chantier paraît désorganisé. Cependant, il insiste sur le fait que le boulevard n’a jamais été réalisé dans les règles de l’aménagement urbain. Ce qui fait de lui un chantier plutôt compliqué, nécessitant, donc, plus de vigilance et beaucoup d’efforts. «Nous mettons, jour et nuit, le paquet pour transformer, développer et moderniser Al Massira tout en essayant de provoquer le moins possible de gêne aux citoyens», renchérit-il.
L’aménagement de l’avenue s’étend sur une distance de 1,5 km. L’enveloppe budgétaire allouée par le conseil de la ville pour la réalisation du projet (d’une surface globale de 60.000 m2) est de 50 millions de DH, soit un coût de moins de 900 DH le m2.

Bouchra SABIB
 
La voirie à Casa c'est une catastrophe, les dos d'âne trop haut, les nids de poules invisibles, les trous de canalisation, l'érosion du goudron, sans parler de la nouvelle piste de 4x4 sur la corniche...
Les voitures ramassent! Marrakech est bien mieux loti en voirie
 
La voirie à Casa c'est une catastrophe, les dos d'âne trop haut, les nids de poules invisibles, les trous de canalisation, l'érosion du goudron, sans parler de la nouvelle piste de 4x4 sur la corniche...
Les voitures ramassent! Marrakech est bien mieux loti en voirie

faut bien remplir les comptes du fils de JETTOU :D
 
Pour rappel, l’avenue sera ornée par des cocotiers dotés d’un arrosage automatique et disposera d’un mobilier urbain (bancs, poubelles, lampadaires, barrières directionnelles, abribus, feux tricolores…) repensé et moderne

Depuis des lustres les bus ne traversant plus Al Massira, dans le temps c'était le 52, puis le 50, puis splus rien,

Je me demande quelle ligne vont-il nous ramener à notre Maarif après la fameuse 97 qui traverse tt casa :rolleyes:
 
J'adore quand on donne l'impression qu'il se passe des choses. 100 projets, on dirait les travaux d'Hercule avec le chiffre 100 symbolique.

Tout le monde sait que c'est du tkherbi9 en (grosses) barres ...

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C'est l´art de l’immitation marocaine:

En France avant une semaine : Les 1000 projets de Fillon, et une semaine après,
Au Maroc : les 100 projets de Kabaj.


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Mohamed Sajid, maire de la métropole : "Il faut remettre en valeur la ville de Casablanca":
Pour tenter de répondre aux multiples questions sur la gestion locale de la capitale économique, le Club Entreprendre a réuni responsables, opérateurs économiques et acteurs de la société civile pour débattre de ces sujets. Un tour d'horizon motivé par le "relooking" que connaît la métropole, mais aussi par l'approche des élections locales.
Comment gérer une grande ville comme Casablanca? Comment résoudre les problèmes aigus dont souffre cette métropole, tels la pollution, le transport, les déchets etc....? Comment revaloriser cette ville qui a tant perdu de son éclat et de sa beauté d'antan?

Toutes ces questions ont été développées par le maire de Casablanca, Mohamed Sajid, l'entrepreneur Samir Benmakhlouf, et enfin par Abdelmalek Kettani, membre de la CGEM (Confédération Général des Entreprises du Maroc), durant une conférence-débat organisée par le "Club Entreprendre", mardi dernier à l'hôtel Royal Mansour.

En tant que maire de Casablanca, M. Sajid a été contraint de défendre le bilan de son travail depuis 2003, et de mettre en valeur les chantiers et les projets qui ont été réalisés ou en cours de réalisation, mais il a également évoqué les lourdeurs qui entravent la bonne marche de la ville.

Le talon d'Achille casablancais

Le grand mal dont souffre la ville de Casablanca, selon M. Sajid, est "le système de mobilité et de transport", le centre ville est "envahi par les taxis rouges et les taxis blancs, en plus d'un système de stationnement qui date d'un autre âge et qui n'est plus adapté".

Pour le maire de Casablanca, le problème du transport est particulièrement épineux et nécessite une profonde réflexion.

Pour développer un réseau de transport souterrain, ce qui représente une solution à ce problème, a-t-il expliqué, il faut d'abord refaire les réseaux souterrains de la ville (téléphone, égouts…).

Les villes se métamorphosent en solutionnant les problèmes du transport, et cela ne peut se faire sans des investissements lourds, a expliqué le maire.

Évoquant l'exemple des travaux souterrains sur le boulevard Brahim Roudani, M. Sajid a remarqué: "depuis 20 ans, j'entends parler de ce projet... et en 8 mois les travaux sont presque finis".

En ce qui concerne le tramway et le RER, le maire de Casablanca se veut rassurant, expliquant qu'un "outil a été créé en concertation avec l'Etat pour réaliser ces grands projet pour une liberté de manoeuvre que nous n'avons pas aujourd'hui, et pour faire le moins de nuisances et de désagréments possible". Un transport de masse et de qualité performant qui cimentera les ramifications de la métropole.

Tramway et RER

La convention du Tramway a été signée pour un investissement de plus de 6 milliards 400 millions de dirhams pour la 1ère tranche des travaux, une ligne de 28 Km de long.
Le RER, de 63 km, reliera Mohammedia à Nouasseur en passant par les grandes artères de Casablanca, pour un coût de 18 milliards de dirhams.

L'unicité de la ville

Pour M. Sajid le gain certain du principe d'unicité de la ville est la vision de développement qui s'en est dégagée et qui redéfinit les priorités de la ville.

Auparavant éclatée et éparpillée à travers 27 communes, le principe d'unicité de la ville doit aider à mettre fin à l'inégalité entre les communes. "Certaines communes, a-t-il estimé, ont les moyens financiers considérables, tandis que d'autres communes périphériques ne peuvent pas subvenir à des besoins vitaux. C'est pour cela que l'unicité de la ville est une réponse à ce déséquilibre".

Un bilan certes positif selon M. Kettani de la CGEM, au regard des infrastructures qui sont en train de se mettre en place, mais

"la dynamique insufflée par ces grands chantiers risque d'être freinée si on n'y intègre pas la dimension humaine et une physionomie beaucoup plus attirante".

M. Kettani de la CGEM.

Par ailleurs, le Maire a rassuré les Casablancais en ce qui concerne la décharge de Mediouna et le projet de réaliser une nouvelle décharge d'un montant de 1 milliard de dirhams.

" En 2 ans, la décharge de Mediouna sera fermée d'une manière professionnelle pour qu'il n'en reste aucune trace"

Mohamed Sajid, maire de Casablanca

Un modèle de développement critiqué

Samir Benmakhlouf qui n'a pas mâché pas ses mots, a critiqué avec véhémence la dépendance de l'élite marocaine vis-à-vis du modèle français de développement.

"(...)Il y a d'autres modèles plus performants, comme les modèles du sud de l'Asie et de l'Amérique dans les domaines de l'éducation, des infrastructures ou autres (...) On commence là où ils ont terminé".

L'autre point important soulevé par M. Benmakhlouf est le manque du sens d'urgence chez les gestionnaires de la ville. La ville débat (et se bat) dans des sujets d'il y a 20 ans, a-t-il dit en substance.

Même si Abdelmalek Kettani de la CGEM, a vanté l'unicité de la ville qu'il a qualifiée de "très bonne chose", et même s'il a estimé que "la ville a avancé", il a, néanmoins, vivement critiqué les zones industrielles qui sont "dans un état précaire. Il faut les aménager en vue de les humaniser".
http://www.aufaitmaroc.com/fr/actua...ut-remettre-en-valeur-la-ville-de-casablanca/
 
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