Poèmes à partager

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L'amour caché!

Mon amour a son secret,
Une vie plein de mystères,
Tant de choses, j'ai du les taire,
Le mal est sans espoir, discret.

Celle que j'aime,
N'en a jamais rien su,
Malgré mes vers, quelle a bien lu,
Elle me laisse sur les lames.

J'écris pour elle, rien répondu,
Elle me lit, ne fait que taire,
Je perds mon temps, ce n'est pas faire,
N'osant rien dire, semblant rien vu.

Elle est faite, douce et tendre,
Elle suit son chemin, sans entendre,
Mon murmure d'amour en flamme.

Elle a passé, la jeune fille,
Elle a la main en fleur qui brille,
"Quelle est donc cette belle femme?"


Bir Tam Tam
 
Salam alaykoum warahmatou'allah wabarakatouhou!

c'est vraiment merveilleux et réconfortant ce que je lis ,ce qui veut dire qu'il existe une personne au moins qui connait l'amitié et qui sait la protéger,j'ai toujours appelé à ce genre de relation et toujours on s'est moqué de moi ,pour ma part j'en suis convaincue ,le plus doux et divin sentiment est l'amitié qui pourrait exister sincèrement entre deux personnes ou plusieurs personnes et dont l'attachement est sacré divinement sacré ;bravo et salam!

Que de sagesse dans tes paroles,
Abreuve mes idées folles.
Au fil du temps, au fil de l'an,
Le jardin d'amitié grandissant
B. T.T
 
Salam alaykoum warahmatou'allah wabarakatouhou!

c'est vraiment merveilleux et réconfortant ce que je lis ,ce qui veut dire qu'il existe une personne au moins qui connait l'amitié et qui sait la protéger,j'ai toujours appelé à ce genre de relation et toujours on s'est moqué de moi ,pour ma part j'en suis convaincue ,le plus doux et divin sentiment est l'amitié qui pourrait exister sincèrement entre deux personnes ou plusieurs personnes et dont l'attachement est sacré divinement sacré ;bravo et salam!
Merci ma soeur pour ton beau commentaire

L'ami, des secrets ainsi dévoilés,
Dans la nuit, le ciel étoilé,
Où naissent les origines de nos confidences,
Une épaule Sympathique, un Tam Tam de confiances...
B.T.T
 
Zoubida

Ya Zoubida, ya loukbida
settitini ou glebt lmida
Rani nabghik blama nach3ar
Men n8ar cheftek wana mddar

Ya Zoubida, ya zzoughbiya
ana ta9t fik, derti8a biya
Dai3 fzna9i n9alleb 3lik
dawwakhtini imta gha nfi9

Ya Zoubida, ya lmounika
malk dayra liya 3ayn mika
nmout 3lik ou ntla7 flb7r
ou nsoum 3lik blama nts7r

Ya Zoubida, ya choumicha
Gouli miaw miaw, ya lmchicha
Darritini frassi wach ndir
ghnit 3lik ou darb albndir

Ya Zoubida, ya lberghouta
rak 3ayya9ti ya l7ertouka
Ya almesskhouta, 3endek z8ar
mni ncheddek n8arek k7al

Ya Zoubida, ya loukhbiza
ghadi nnaklk blama nteybek
oula nkhellik 7ta tsmani
ndir 3lik zzerda wana 8ani
 
Zoubida

Ya Zoubida, ya loukbida
settitini ou glebt lmida
Rani nabghik blama nach3ar
Men n8ar cheftek wana mddar

Ya Zoubida, ya zzoughbiya
ana ta9t fik, derti8a biya
Dai3 fzna9i n9alleb 3lik
dawwakhtini imta gha nfi9

Ya Zoubida, ya lmounika
malk dayra liya 3ayn mika
nmout 3lik ou ntla7 flb7r
ou nsoum 3lik blama nts7r

Ya Zoubida, ya choumicha
Gouli miaw miaw, ya lmchicha
Darritini frassi wach ndir
ghnit 3lik ou darb albndir

Ya Zoubida, ya lberghouta
rak 3ayya9ti ya l7ertouka
Ya almesskhouta, 3endek z8ar
mni ncheddek n8arek k7al

Ya Zoubida, ya loukhbiza
ghadi nnaklk blama nteybek
oula nkhellik 7ta tsmani
ndir 3lik zzerda wana 8ani
Hahahahaha..... c'est à toi?
 
Tu veux dire si c'est de moi? Oui, Khouk 8ouwa cha3er sga3 lli 8elkou lhoub 3la Zoubida almeskhouta

Ya Zoubida, ya lferkoussa
aji ndrab lik chi boussa
3la jbe8tek al men7oussa
...

C'est en te lisant que l'idée m'est venue de participer à ce post ;)
Hahaha.... toutes les zoubidates du forum vont en être furieuses mdrrrrrrr.
 
Bonjour à tous,

"Je ne dors que le premier somme.
De mon avoir ne sais la somme,
Qu’il n’y a point.
Dieu me fait le temps si à point
Noire mouche en été me poind,
En hiver blanche.
Issi suis comm’ l’osière franche
Ou comm’ les oiseaux sur la branche :
En été chante,
En hiver pleure et me guermante,
Et me défeuille aussi comm’ l’ente
Au premier gel.
En moi n’a ni venin ni fiel :
Il ne me remaint rien sous ciel,
Tout va sa voie.
Les enviails que je savoie
M’ont avoyé quanques j’avoie
Et fourvoyé,
Et fors de voie dévoyé.
Fols enviaux ai envoyé,
Or m’en souviens."

(Rutebeuf, La Griesche d'hiver, XIIIe siècle)
 
Ya Zoubida, ya lmerdia
Ana jay lik b le8dia
Wa zeghrti a zzeghrata
Lbidaoui jay, ould sbtata

Manigh tlla?, manigh tlla?
njri, wa ntir l ultuflla

Ya Zoubida, ya mon amour
Rani nsser, machi vautour
Ana wa nti f li hauteurs
N3ichou 3icha f lou bonheur

Dédicace spéciale ;)
Il faut enregistrer en ton nom... les chanteur du ray vont sûrement te le piquer.:joueur:
 
:D
Oui.... quand je fais ma vaisselle..:D

Tu connais 3abdlou8ab doukkali? 8ada le début dial wa7ed la chanson ghanna8a, mais verion lmma3n.

la8la izid akter, drndn
la8la izid akter, drndn
rani 3yet
3yet, 3yet
wa 3yiiit maneghssel!

Wila bghtini nefre7,
Dir8a (dir8aaaaa)
Dir8a (dir8aaaaa)
Shri liya lave-vaisselle
Ou 8annini, Ou 8annini, Ou 8anniniii

;)
 
Tu connais 3abdlou8ab doukkali? 8ada le début dial wa7ed la chanson ghanna8a, mais verion lmma3n.

la8la izid akter, drndn
la8la izid akter, drndn
rani 3yet
3yet, 3yet
wa 3yiiit maneghssel!

Wila bghtini nefre7,
Dir8a (dir8aaaaa)
Dir8a (dir8aaaaa)
Shri liya lave-vaisselle
Ou 8annini, Ou 8annini, Ou 8anniniii

;)
C'est jolie.. pertinentes paroles
 
La honte:rouge:



honte lorsque vous regardez
les jolies rondeurs d'une belle,
sans penser que la vie n'est pas éternelle !
Toute beauté est fugace,
trop vite le temps passe ;
voilà une jeune beauté bien roulée,
qui soudain ,par la maladie transformée,
n'a plus que la peau sur les os .
On ne fait pas de vieux os
sur la planète Terre ,
car la vie passe aussi vite qu'un éclair.
Détournez vos regards concupiscents
de la funeste chair ,
car la chair est mortelle,
tandis que l'âme et l'esprit sont éternels !
Remplacez vos passions par la prière ,
par de saines lectures.:indigne:


Poldereau
 
Qui est la plus belle?






Tant et tant de très jolies filles
sous tes yeux défilent,
mais pourtant une seule
sera la plus belle dans ton coeur .
Le choix est bien difficile,
l'amour laisse souvent bien des rancoeurs.
Ces filles veulent toutes
être les plus belles ,
c'est la nature humaine ,somme toute .
Une est blonde et longiligne ,
une autre a une belle ligne,
celle-là a un visage de rêve,
cette autre a un merveilleux sourire ,
laquelle donc choisir ?
Laquelle sera la fille de tes rêves ?
Enfin ,à condition que ça soit réciproque,
car nous vivons à une époque
où les femmes ont acquis
une grande indépendance
dans leurs choix ,dans leurs habits,
dans leurs dépenses ;
de trop romantiques considérations
elles se moquent !
Qui choisir , quelle question !
Et voilà qui est la plus belle :
ce sera celle
qui te choisira
et qu'aussi tu voudras .
Vous tomberez l'un l'autre dans les bras
et vivrez une romance éternelle .


Poldereau
 
Les éléphants (Charles Marie Leconte de Lisle)

Le sable rouge est comme une mer sans limite,
Et qui flambe, muette, affaissée en son lit.
Une ondulation immobile remplit
L'horizon aux vapeurs de cuivre où l'homme habite.

Nulle vie et nul bruit. Tous les lions repus
Dorment au fond de l'antre éloigné de cent lieues,
Et la girafe boit dans les fontaines bleues,
Là-bas, sous les dattiers des panthères connus.

Pas un oiseau ne passe en fouettant de son aile
L'air épais, où circule un immense soleil.
Parfois quelque boa, chauffé dans son sommeil,
Fait onduler son dos dont l'écaille étincelle.

Tel l'espace enflammé brûle sous les cieux clairs.
Mais, tandis que tout dort aux mornes solitudes,
Lés éléphants rugueux, voyageurs lents et rudes
Vont au pays natal à travers les déserts.

D'un point de l'horizon, comme des masses brunes,
Ils viennent, soulevant la poussière, et l'on voit,
Pour ne point dévier du chemin le plus droit,
Sous leur pied large et sûr crouler au loin les dunes.

Celui qui tient la tête est un vieux chef. Son corps
Est gercé comme un tronc que le temps ronge et mine
Sa tête est comme un roc, et l'arc de son échine
Se voûte puissamment à ses moindres efforts.

Sans ralentir jamais et sans hâter sa marche,
Il guide au but certain ses compagnons poudreux ;
Et, creusant par derrière un sillon sablonneux,
Les pèlerins massifs suivent leur patriarche.

L'oreille en éventail, la trompe entre les dents,
Ils cheminent, l'oeil clos. Leur ventre bat et fume,
Et leur sueur dans l'air embrasé monte en brume ;
Et bourdonnent autour mille insectes ardents.

Mais qu'importent la soif et la mouche vorace,
Et le soleil cuisant leur dos noir et plissé ?
Ils rêvent en marchant du pays délaissé,
Des forêts de figuiers où s'abrita leur race.

Ils reverront le fleuve échappé des grands monts,
Où nage en mugissant l'hippopotame énorme,
Où, blanchis par la Lune et projetant leur forme,
Ils descendaient pour boire en écrasant les joncs.

Aussi, pleins de courage et de lenteur, ils passent
Comme une ligne noire, au sable illimité ;
Et le désert reprend son immobilité
Quand les lourds voyageurs à l'horizon s'effacent.
 
Des rumeurs d'interventions américaines en Syrie



ça y est! On recommence la guerre contre les méchants en Syrie,

sérieusement ça va faire encore pire qu'en Irak

déjà dans les alliés contre Bashar El Assad

il ya des islamistes déjà tout prêts à prendre le pouvoir

entre les islamiste qui vont certainement arriver

et les folies actuelles j'ai beaucoup de mal à choisir

ni la peste, ni le choléra
VICORUGUEUX
 
le doute.....
Maintenant encore la science empirique

Eclaire le désireux scientifique,

Car il expérimente et observe

L’univers. Il s’émerveille sans réserve

A tout instant où il croit voir la vérité ;

Idée adulée, céleste célébrité,

Réelle toile, grand comment qui tant nous ment,

Et pourtant elle ne montre le pourquoi du comment.



Et puis il y a l’autre qui dit croire en dieu

Tout puissant, et qu’on est là parce qu’il le veut.



Même les mathématiques, science a priori,

Evidemment, du nez de la raison se rient.



Guide des soupçons dans le cerveau des humains

Ulcérés, la philosophie leur tend la main

Idolâtrée, les noyant dans cet océan

De questions. En avant toute suivez le vent,

En avant toute vers l’île qui abrite le doute




Victorigueux
 
Il vole fendant l'air,
s'éloignant très vite de la Terre,
porteur de Bible et de Cantiques.
Il déploie ses immenses ailes,
il vole vers cette étoile qui le hèle,
comme attiré par le reflet magique
de l'étoile polaire .
Poldereau

P.S. : en hommage à Poète Antonin Artaud
 
De vous à moi,

Je vous confie



Rechercher l’âme sœur ou l’amitié

Se prétendant sincère et attentionnée

Garantissant parfois réponse aux profils dédicacés

J’ai marché.

A un profil jugé sincère, et attirant je cliquais

Intéressé par vous, je l’étais.

Vous écrivant parfois le soir, et attendant le jour

Vaquant souvent à d’autres occupations

J’en devenais sourd de vos réponses muettes.



De votre indifférence à mon égard je vous confie

Ma plus grande peine

Enrichie par cette unique semaine

Je m’efface

Ma photo jetée

Je vous oublie

J’éteins mon étincelle et refroidi ma braise

Celle de partager une quelconque amitié

Eric
 
La suite........
De vous à moi je vous confie

Vouloir partir plus loin

Rejoindre le monde du réel,

Celui où, à un sourire donné, un sourire reçu

Là où le bonjour ne brûle pas les lèvres

Là où répondre à une personne n’est pas une maladie

Ce monde que j’ai oublié si souvent
 
Cœur meurtri,

Me serais-je caché longtemps de tes yeux ?
Dans ton imaginaire, tu me donnes vie
Peu à peu tu me découvres en nouvel ami,
En cachette tu me partages tes joies et tes peines.

Tu me donnes souvent répliques, ces instants de magie
J’apparais la nuit dans tes rêves fleuris
Disparais aux premières lueurs de l’éveil.

Très vite, tu m’appelles et me cherches
Triste de me partager ton terrible secret

Demain, tu ne seras plus

car tu auras grandi



Demain, tu ne seras plus

car tu auras péri, ton cœur appauvri.


Petit cœur meurtri qui n’aurait pu grandir
Oublié des cieux, ton nom sur la liste
S’effacera de larmes, si souvent indécises !
D’un refus n’en ressort bien des peines accrues

Non loin des anges tu reposeras
Me verras-tu,

moi qui ne me cacherai plus ?

...



Eric .L
 
N’oublions pas

Il est des paysages qui donnent allégeance
Et pourtant !
De la route parcourue, depuis notre enfance
Qu’elle fût agréable ou sans complaisance,
Selon notre bagage hérité de la vie,
De ce panorama divergent nos avis.

Il demeure des visages, qui en nous s’évanouissent,
Et pourtant !
Un instant d’absence et ces visages ressurgissent,
Rejetant de la fosse aux regrets, un reflet
Noyé dans la brume doucement il renait.
De ce beau souvenir certains s’en nourrissent.

Il est de ces senteurs qui se révèlent en nous,
Et pourtant !
Enfouie dans l’hippocampe tel notre goût,
L’odeur nous revient : un instant de bonheur
Lorsque dans la foule tu me deviens saveur
Synesthète de l’être, je me gorge d’amour.

Il subsiste des goûts qu’enfin nous apprécions,
Par exemple
Ma langue sur ta peau caressant ce bourgeon
Titillant l’appendice tout d’amour gorgé
Pour plonger en ton puis aux parois inondées
Recueillir cette essence à en perdre raison.

Il reste de ces sons qui nous interpellent,
Et pourtant !
Ta voix de velours susurrant à l’oreille
Mille mots chatoyants qui colorent ma vie.
Petits cris rapides qui déchirent la nuit.
Des bruits perçus, ceux de l’amour nous appellent.


Il est gravé en nous des situations étranges
Déjà vécues !
Perdu dans nos pensées, faire passer un ange
La gestuelle aidante, on imagine la suite :
évènement passé ou paroles redites,
Ces faits de mémoire, jamais ne se rangent.

Il en est ainsi pour l’amour d’une vie,
Mais voilà que j'oublie ...

Eric
 
N’oublions pas

Il est des paysages qui donnent allégeance
Et pourtant !
De la route parcourue, depuis notre enfance
Qu’elle fût agréable ou sans complaisance,
Selon notre bagage hérité de la vie,
De ce panorama divergent nos avis.

Il demeure des visages, qui en nous s’évanouissent,
Et pourtant !
Un instant d’absence et ces visages ressurgissent,
Rejetant de la fosse aux regrets, un reflet
Noyé dans la brume doucement il renait.
De ce beau souvenir certains s’en nourrissent.

Il est de ces senteurs qui se révèlent en nous,
Et pourtant !
Enfouie dans l’hippocampe tel notre goût,
L’odeur nous revient : un instant de bonheur
Lorsque dans la foule tu me deviens saveur
Synesthète de l’être, je me gorge d’amour.

Il subsiste des goûts qu’enfin nous apprécions,
Par exemple
Ma langue sur ta peau caressant ce bourgeon
Titillant l’appendice tout d’amour gorgé
Pour plonger en ton puis aux parois inondées
Recueillir cette essence à en perdre raison.

Il reste de ces sons qui nous interpellent,
Et pourtant !
Ta voix de velours susurrant à l’oreille
Mille mots chatoyants qui colorent ma vie.
Petits cris rapides qui déchirent la nuit.
Des bruits perçus, ceux de l’amour nous appellent.


Il est gravé en nous des situations étranges
Déjà vécues !
Perdu dans nos pensées, faire passer un ange
La gestuelle aidante, on imagine la suite :
évènement passé ou paroles redites,
Ces faits de mémoire, jamais ne se rangent.

Il en est ainsi pour l’amour d’une vie,
Mais voilà que j'oublie ...

Eric
Salam
Très beau poèmes sensuels pleins d'émotions
qu'elle dommage qu'il ne soit pas traduit en Amazigh
 
T'aimer ,c'est croire en la parole de Dieu,
qu'un beau jour ,tous les deux,
au lieu d'à jamais disparaître,
au lieu d'à jamais avoir quitté la vie,
au contraire ,nous serons éternellement réunis
en un seul et même être .

T'aimer ,c'est ne jamais te survivre,
c'est te donner un rein,
car de l'autre j'aurai besoin
pour rester auprès de toi,
car auprès de toi je veux vivre
heureux jusqu'au trépas

Poldereau
 
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