Poèmes à partager

  • Initiateur de la discussion Initiateur de la discussion ultuflla
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Je Suis Venu Vous Voir
Je suis venu vous voir avant de partir,
y avait personne ça vaut mieux comme ça,
je savais pas trop quoi vous dire ,
croyez pas que j'vous abandonne même si ,
encore une fois ,
je vous laisse le pire :
les larmes qu'on verse sur la mort d'un homme .

Adieu mes amis ,
je m'srai bien battu encore ,
adieu mes amours ,
priez pour moi...

Toi que j'aime ,
que j'ai aimée ,
compagnon d'un jour ou d'une année ,
déjà tu sais que dans mon cœoeur même moisi flottent encore violence et tendresse ...
mon existence ne tient pas qu'a ma graisse ,
je suis esprit avant dêtre un corps ,
je suis mort mais rien n'est fini ,
il reste ma voix et bien peu d'écrits .
J'avais surtout une grande gueule pour chanter des chansons d'amour pour Paris ,
sur la ptite scène du Tourtour...
Mes amis , ne pleurez pas ,
le combat continue sans moi ,
tant que quelqu'un écoutera ma voix je serai vivant dans votre monde a la *** !
avec du sang plein les orbites ,
et même du plastique sur la bite,
je vais sûrement être recalé a l'examen du grand sage mais j'en profiterai quand même pour lui dire ce que j'en pense de l'existence , cette engeance ,
et s'il ne voit pas que je suis un ange alors qu'il change de boulot...
et s'il veut , moi je prends sa place :
y aura des filles et de la Ganja ,
des passions sans limites ,
nous, nous battrons des ailes et nous volerons bourrés ,
nous mangerons des pommes envenimées et nous cracherons le mal comme un pépin,
nous serons sincères comme jamais et nous serons beaux pour ça ...
Emmanuel Cabut
 
De tes yeux retombaient les nouvelles étoiles

Quand tu les fermes en la noirceurs des remords

Touant tes faux désirs au sommet des accords

Que tu en effaçais autrefois de mes toiles.



Tous les choix brodés de bévues monumentales

Luisaient tour à tour tels des miroirs dessus corps

Des morts vivant qui cherchaient leurs couleurs dehors

Sur les rocs du passé des saisons sidérales.



Toutes les mains assassines tremblotaient loin

Des morts qui veillaient sur leurs soeurs en mes grands yeux

Quand la mort en fait d'autres aux coeurs des peurs



Aboyant de douleurs la mort du beau mâtin ;

Et l'assassin qui en avait fait tous ces feus

N'était ni noir ni blond, sous toutes mes couleurs.



Farid khenat
 
Les écoliers
Sur la route couleur de sable,
En capuchon noir et pointu,
Le 'moyen', le 'bon', le 'passable'
Vont à galoches que veux-tu
Vers leur école intarissable.
Ils ont dans leurs plumiers des gommes
Et des hannetons du matin,
Dans leurs poches du pain, des pommes,
Des billes, ô précieux butin
Gagné sur d'autres petits hommes.
Ils ont la ruse et la paresse
Mais l'innocence et la fraîcheur
Près d'eux les filles ont des tresses
Et des yeux bleus couleur de fleur,
Et des vraies fleurs pour leur maîtresse.
Puis les voilà tous à s'asseoir.
Dans l'école crépie de lune
On les enferme jusqu'au soir,
Jusqu'à ce qu'il leur pousse plume
Pour s'envoler. Après, bonsoir !
Maurice Fombeure
 
J'ai aimé sentir ce petit vent frais
Celui qui me caressait tendrement
Tous les matins devant ma fenêtre.

A chaque réveil,un plaisir troublant.

J'ai apprécié cette douceur du moment
Me picotant tendrement le bout du nez
M'offrant une joie ,un bien être.

A chaque réveil,un besoin enivrant.

Je rêve de le ressentir encore une fois
Sans tempête,juste comme un effleurement
Comme un dorlotement gentiment.

hacky 21.1o.11
 
bonjour

tu merités un bouquet de fleur toutes senteurs avec mon sourire

J'ai aimé sentir ce petit vent frais
Celui qui me caressait tendrement
Tous les matins devant ma fenêtre.

A chaque réveil,un plaisir troublant.

J'ai apprécié cette douceur du moment
Me picotant tendrement le bout du nez
M'offrant une joie ,un bien être.

A chaque réveil,un besoin enivrant.

Je rêve de le ressentir encore une fois
Sans tempête,juste comme un effleurement
Comme un dorlotement gentiment.
et ça je prends
Tasnim
 
Déception

Respecter l’humain
Peut faire de vous un fou
Aux yeux de certains
Qui ne jurent que par le sou

Respecter l’humain
En ces temps « modernes »
C’est offrir aux malsains
La meilleure des aubaines

Respecter l’humain
C’est se donner en offrande
A de vils crétins
Qui n’adulent que l’immonde

Respecter l’humain
C’est semer les graines
Qui au lieu du jasmin
Donneront bouquet de haine
 
Je ne peux pas être avare de cette superbe poésie. :D

T'es de retour..... ça fait plaisir....
Je te dédie ce poème de kati




Elle arrive la nuit et sa couleur sombre avec elle j'ai appris

à vivre comme une ombre

Quand revient son calme et son silence dans son royaume de paix

avec les mots je danse

Je m'invente un amour un rêve avec un prince impossible à

aimer

Sur le papier je donne de belles images au temps je l'approche

cet amour et sur ses lèvres je dépose un baiser


je lui donne mes heures mes instants et tous les deux

ont part rejoindre le vent

Sur son tapis magique il m'emmène en voyage avec lui rien ne me

fait peur j'aime son doux visage

Le jour se lève il se sauve demain il reviendra ce rêve était

si beau la nuit sur mes pages je danse avec les mots

Pour un prince d'amour un prince si beau

kati
 
Étonnant automne

J'ai vu
Des arbres nus
Griffures de noir
Ouverts au vent

D’autres qui tardent
Fardés de rouge
Ou couverts d’or
A plonger
Dans la mort

Ceux qui résistent
Sève en résine
Aiguilles dressés
A tous les temps

Et le plus émouvant
Qui n’a plus qu’une feuille
Qui s’accroche
Pour ne pas laisser tomber
Son amie la vieille branche…


Annzka
 
T'es de retour..... ça fait plaisir....
Je te dédie ce poème de kati




Elle arrive la nuit et sa couleur sombre avec elle j'ai appris

à vivre comme une ombre

Quand revient son calme et son silence dans son royaume de paix

avec les mots je danse

Je m'invente un amour un rêve avec un prince impossible à

aimer

Sur le papier je donne de belles images au temps je l'approche

cet amour et sur ses lèvres je dépose un baiser


je lui donne mes heures mes instants et tous les deux

ont part rejoindre le vent

Sur son tapis magique il m'emmène en voyage avec lui rien ne me

fait peur j'aime son doux visage

Le jour se lève il se sauve demain il reviendra ce rêve était

si beau la nuit sur mes pages je danse avec les mots

Pour un prince d'amour un prince si beau

kati


mdrrrrrrrrrrrrrrr. :D
 
L’enfant et les rêves



Un enfant avait un objet dans la main

Je ne suis pas sûr et je ne sais plus

Il avait cette chose dans sa main

Mais cette chose changeait sans cesse



Je ne me rappelle plus très bien

Etait-ce une corde pour attraper

Les chevaux qui courent libres

Dans les praires vertes de toujours





Je ne me rappelle plus très bien

Etait ce des crayons de couleur

Pour dessiner ces chevaux

Sur le papier blanc du jour




Je ne me rappelle plus très bien



Etait ce un fouet qui claquait

Et les chevaux dansaient en rond

Sur la piste du cirque des jours



Je ne me rappelle plus très bien

Etait-ce une baguette de Magicien

Quand il fit disparaître les chevaux

Dans ma mémoire un jour passé



Je ne me rappelle plus très bien

Etait ce un bouquet ou une colombe

Un enfant tenait dans sa main

Les mille rêves de tous les jours

Victorugueux
 
Allongée sur ton ventre, comme une sirène en repos;
Sur un rocher soyeux, et loin de toi des carpeaux;
Le soleil fait tant d'effort, pour caresser ta peau;
ET ta voix tendre et douce, m'appelle telle un appeau;

Je m'approche de toi , comme une ombre de pèlerin;
Affaiblit par la soif, par l'amour, et tant de chagrin;
Je pose ma main sur ton dos, pour sentir ta douceur;
Et te dire tant de mots, sur un ton berceur;

Je pose mes genoux par terre, et me penche sur toi;
Je contemple tes cheveux, qui danse avec tant de joie;
A l'effet des brises marines, et du souffle de ma foi;
Ta présence me rend ivre, c'est pourquoi je m'assoie;

J'écarte tes cheveux révoltés, de ton cou si bronzé;
Pour ne pas me chatouiller, quand je lui donne mon baiser;
Je reprend mes esprits, de ton parfum qui me grisait;
De mon cœur qui battait, et de mon désir qui m'épuisait;

je consens ma faiblesse,devant ce cœur de noblesse;
Oui c'est vrai je confesse, mon grand besoin de caresses;
J'ai besoin de ta tendresse, et de m'aimer sans sagesse;
La folie de mon cœur le presse, à te chérir sans cesse;
 
Me rassurer



Ce qui me rassure

C'est bien de savoir

Que la vie continue

Chez mes neveux



Avec leur enfants

Et de savoir ainsi

Qu'il y a pas besoin

De se savoir mortel



Pour savoir vivre

Pour voir demain

Et ne jamais renoncer

A tous mes rêves



Si je fatigue un peu

Sur ce présent d'absences

Je n'ai pas vraiment peur

De ma propre absence


Victorugueux
 
Qui a éteint la lumière ?



Je regarde cette époque sinistre

Oui ! Elle ne croit plus en rien

Même pas à elle-même, ni à demain

Mais elle se perd dans les objets



Des croyants qui parlent de lumière

Je n’en vois plus, il n'y a que des réalistes

Des gens obtus qui optimisent leurs rêves

Et qui se foutent bien de mes rêves



Non je n’aime pas cette époque

Qui n’espèrent déjà plus en rien !

Il ne se passera plus rien

La révolution? Elle est morte!



J’aime mieux un militant

Quels que soient-ils en ce monde !

Avec tous ces gestionnaires

Ces rentiers et ces boursiers



Il n’y a plus de vraies différences

Entre un marxiste de base

Et un ouvrier chrétien

C'est le même terreau idéaliste



Quand je pense aux chrétiens !

J’exclue cette idée très absurde

Que Dieu bénit les riches

Et qu'il maudit les pauvres



Qui a éteint la lumière ?

Celle qui brillait encore

Sur cette année deux mille

Avec tous ses rêves fous



Le matérialisme athée

Ce n’est déjà pas pire

Que ce matérialisme boursier

Avec si peu d’espérance



La révolution du futur

Sera celle de la justice

Et il n’y aura pas de place

Pour le malheur des guerres



Je dois me guérir de moi-même

Redevenir un présage optimiste

Pour annoncer que demain

La justice, je le sais, je le crois, elle viendra



Les lois de l’avenir

Se sont nos rêves actuels

La justice elle passera sur nous

Un jour, tout sera écrit


un fidèle : Victorugueux





@mes hommages à ce brave chretiens
Ultuflla!
 
A MA MERE


J'ai la nostalgie du pain de ma mère,
Du café de ma mère,
Des caresses de ma mère…
Et l'enfance grandit en moi,
Jour après jour,
Et je chéris ma vie, car
Si je mourais,
J'aurais honte des larmes de ma mère !
Fais de moi, si je rentre un jour,
Une ombrelle pour tes paupières.
Recouvre mes os de cette herbe
Baptisée sous tes talons innocents.
Attache-moi
Avec une mèche de tes cheveux,
Un fil qui pend à l'ourlet de ta robe…
Et je serai, peut-être, un dieu
Peut-être un dieu, si j'effleurais ton cœur !
Si je rentre, enfouis-moi,
Bûche dans ton âtre,
Et suspends-moi,
Corde à linge, sur le toit de ta maison.
Je ne tiens pas debout
Sans ta prière.
J'ai vieilli,
Ramène les étoiles de l'enfance
Et je partagerai avec les petits des oiseaux,
Le chemin du retour…
Au nid de ton attente

In : Mahmud Darwish
 
aujourd'hui, 06:30

7000 000 000 Sept Milliards



Nous sommes sept milliards sur Terre

En soi c’est un événement métaphysique

D’une extrême importance pour la Terre

Il y a ainsi un concentré de l’humanité



Ce qu’il y a de meilleur et de pire

Dans notre humanité si nombreuse

Je n’ai pas peur car il n’y a pas de raisons

Mais pourrons-nous bien vivre ensemble ?



Ceci pendant une durée assez longtemps

La surpopulation cela reste un fantôme

Celui de l’espace vital cher aux nazis

Je ne donne pas cher d’un monde de haine


Victorugueux
 
Tes yeux glissent sans but sur les ombres du temps,

Tes mains tressent le monde au rythme de ton sang.

Tu réveilles la vie avec ta voix cassée,

Un enfant, un vieillard toujours recommencé.

Sur tes veines si bleues j’ai déposé mes lèvres,

C’était doux, un baiser d’écume sur la grève.

D’où viens-tu ? De quel astre antique ou flamboyant ?

De quel enfer pavé de nos désirs brûlants ?

De quel vert paradis où ce vieillard surpris

Par la mort se demande avec des yeux meurtris

Si c’est hier ou demain qui enfonce sa porte

Balayant ses regrets comme des feuilles mortes ?



Lorsque la nuit se fond sous mes paupières closes,

Dans le triste hôpital qui se métamorphose,

J’entends surgir de toi un chœur vibrant de voix

S’échappant de l’oubli comme un grand cri d’effroi,

Se frayant un chemin dans ma mémoire d’homme

Pour transmettre un message aux vivants que nous sommes.



Mais quand j’ouvre les yeux le front couvert de sueur,

Dans le petit berceau qui m’a volé ton cœur

Je ne vois qu’un bébé qui s’agite et qui pleure.


Un nouveau père ankluv
 
ce poème a fait lumière sur la vérité; la triste vérité de l'époque actuelle !


Qui a éteint la lumière ?



Je regarde cette époque sinistre

Oui ! Elle ne croit plus en rien

Même pas à elle-même, ni à demain

Mais elle se perd dans les objets



Des croyants qui parlent de lumière

Je n’en vois plus, il n'y a que des réalistes

Des gens obtus qui optimisent leurs rêves

Et qui se foutent bien de mes rêves



Non je n’aime pas cette époque

Qui n’espèrent déjà plus en rien !

Il ne se passera plus rien

La révolution? Elle est morte!



J’aime mieux un militant

Quels que soient-ils en ce monde !

Avec tous ces gestionnaires

Ces rentiers et ces boursiers



Il n’y a plus de vraies différences

Entre un marxiste de base

Et un ouvrier chrétien

C'est le même terreau idéaliste



Quand je pense aux chrétiens !

J’exclue cette idée très absurde

Que Dieu bénit les riches

Et qu'il maudit les pauvres



Qui a éteint la lumière ?

Celle qui brillait encore

Sur cette année deux mille

Avec tous ses rêves fous



Le matérialisme athée

Ce n’est déjà pas pire

Que ce matérialisme boursier

Avec si peu d’espérance



La révolution du futur

Sera celle de la justice

Et il n’y aura pas de place

Pour le malheur des guerres



Je dois me guérir de moi-même

Redevenir un présage optimiste

Pour annoncer que demain

La justice, je le sais, je le crois, elle viendra



Les lois de l’avenir

Se sont nos rêves actuels

La justice elle passera sur nous

Un jour, tout sera écrit


un fidèle : Victorugueux





@mes hommages à ce brave chretiens
Ultuflla!
 
Tous ceux qui se ressemblent

Se rassemblent et ils s’assemblent

Et ils nous parlent d’un monde

Qui n’appartient qu’à eux



Jouer avec les mots ? Peut être !

Certes madame ! Des mots

Mais il n’y a pas d’ironie

Mais juste, pour moi ce vrai souci
 
Suite..........



Du mot juste, à sa bonne place

Ainsi maniez, des mots abstraits

Quand vous me dites madame

Donnez donc de la chair aux mots



Dans tous les poèmes écrits

Moi alors j’entends viande

Le sens du mot ce n’est pas

Celui qui parle en premier



Un jour vous voyez enfin

Passer des idées à la réalité

Une abstraction de sexualité

Comme une abstraction réelle



Celle du poids de nos mots

Tous castrés par le virtuel

Nous sommes des anges

Avec des ailes, des rêves



Et surtout pas de sexes

Pas de désirs ici sur TLP

Une abstraction du corps

Une abstraction des idées



Que des mots charmants

Oublions la réalité puante

Dans un abstract virtuel

Sans aucune odeur, ni goût


Le vigoureux
 
Avignon, je t’aime, quand tes thématiques sont plurielles,
et ne sont que déploiement, une manifestation de cette inépuisable libéralité
dont la hiérarchie forme le cadre,
Malheur à ceux qui y manqueraient
J’y vois la peur grandissante et l'isolement d'un esprit sans archives
Pourtant il suffit de lécher par à-coups la toile, tout geste hâtif est superflu,
sous l’angle des rencontres, qui jalonnent



De.
Ah Avignon !

D'un frere


















<




















<
















<
 
Partout où elle voyage ... elle m'emmène avec elle

Je suis dans ses bagages ... silencieux et fidèle

Et j'écris la même page ... de vie ... de Mademoiselle

On dirait que je suis ... le fil de ses dentelles ...

Qui pourrait se permettre ... de faire ça, à part elle ?

Elle sait qu'elle représente ... dans ma vie ... l' ESSENTIEL !


Tharbat
 
Saddam Hussein: poème de prison

Ode à l'Irak

Mon coeur battra
puisque mes ennemis ne peuvent l'exiler.
Et les menottes n'empêcheront pas
mes prières d'être entendues.

Qui a dit que l'Ouest est venu
avec de bonnes intentions
en terre sainte arabe ?

Qui a dit que l'eau peut enivrer
l’homme sage ?

Qui a dit l’animal capable de protéger
la virginité d'une femme ?

Qui menotte un lion deviendra chef,
même si ce n’était qu’un bâtard.

Je vous prédis que les commerçants
feront disparaître la civilisation et la dignité.

Mon corps est encore ferme
et ne mollira pas,
le sang de grands nobles
coule toujours dans mes veines.

L'Irak que nous aimons
est une couronne de coeurs
et le titre des plus grands poèmes.

ô Irakien,
transmets mon respect aux enfants
qui ont perdu leur jouet
sous les décombres de l’occupation.

Transmets mon respect aux femmes
dont les vêtements ont été déchirés
par la trahison.

Transmets mon respect au résistant
qui porte l’habit de la fierté
et l'esprit du martyre.

ô Irak,
transmets mon respect
à chaque pouce de notre terre qui survit.




Saddam Hussein - Poème sorti clandestinement de prison et remis à la presse début février 2006 par les avocats du Président irakien.

Poème paru dans Afrique Asie

(janvier 2010)

© G. Munier/X.Jardez – Traduction de l'anglais
 
Les mots sont importants . Choisir les mots qu'il faut c'est plus important ,donner vie à ces mots c'est extrêmement plus important ,voir ces mots vivre et transformer la vie de nos semblables en particulier ceux qu'on aimes, ceux qui nous aiment et ceux qu'on espère aimer c'est divin ,alors que les mots soient à jamais la voix de la sagesse et l'issue vers la justice et la pais ainsi que le moyen de reconnaitre l'amitié et la fraternité !J ai beaucoup aimer le poème.



Suite..........



Du mot juste, à sa bonne place

Ainsi maniez, des mots abstraits

Quand vous me dites madame

Donnez donc de la chair aux mots



Dans tous les poèmes écrits

Moi alors j’entends viande

Le sens du mot ce n’est pas

Celui qui parle en premier



Un jour vous voyez enfin

Passer des idées à la réalité

Une abstraction de sexualité

Comme une abstraction réelle



Celle du poids de nos mots

Tous castrés par le virtuel

Nous sommes des anges

Avec des ailes, des rêves



Et surtout pas de sexes

Pas de désirs ici sur TLP

Une abstraction du corps

Une abstraction des idées



Que des mots charmants

Oublions la réalité puante

Dans un abstract virtuel

Sans aucune odeur, ni goût


Le vigoureux
Suite..........



Du mot juste, à sa bonne place

Ainsi maniez, des mots abstraits

Quand vous me dites madame

Donnez donc de la chair aux mots



Dans tous les poèmes écrits

Moi alors j’entends viande

Le sens du mot ce n’est pas

Celui qui parle en premier



Un jour vous voyez enfin

Passer des idées à la réalité

Une abstraction de sexualité

Comme une abstraction réelle



Celle du poids de nos mots

Tous castrés par le virtuel

Nous sommes des anges

Avec des ailes, des rêves



Et surtout pas de sexes

Pas de désirs ici sur TLP

Une abstraction du corps

Une abstraction des idées



Que des mots charmants

Oublions la réalité puante

Dans un abstract virtuel

Sans aucune odeur, ni goût


Le vigoureux
 
Certains m’ont reproché que pour bien écrire

il faut non seulement être bien inspiré ,

mais aussi avoir beaucoup voyagé,

sur de gros navires,

qui vous emmènent au loin........

Dans le fond , «les voyages forment la jeunesse» !

Mais je dois bien l’avouer ,ces propos me blessent !

Parce-que moi ,je voyage aussi sans cesse,

sur les territoires de mon imagination ;

je parcours toutes les nations :

la Science , la Poésie, l’Astronomie,

la Philosophie , la Religion,...........

m’adonnant sans cesse à mes chères lectures.



Et Arthur Rimbaud ?



Loin de prétendre n’avoir qu’une infime partie de son génie ,

n’écrivit-il pas tous ces fameux et notoires poèmes

jusqu’à l’âge de vingt ans ,

avant d’aller faire de longs voyages, fort longtemps,

dans de lointaines contrées africaines ?

Puis ne méprisa-t-il pas, plus tard, la Poésie ?

A laquelle il préféra de sombres affaires commerciales ?

Et c’est pourtant le poète francophone au monde le plus lu ,

tant de ses poèmes dans les livres s’étalent ,

attendant d’être par les élèves commentés !



Le vrai Poète est celui qui voyage ,au pays des songes ,

au pays de Merlin l’enchanteur,

au pays de la Belle au bois dormant,

au pays des contes,

la rêverie est un élément indispensable :

peu importe qu’elle soit consécutive à un lointain voyage en avion ,

Poldereau.
 
Paule-Christine

Une étoile chemine au profond de notre âme…
Minuscule grain d’or dans une impasse obscure,
Elle brille pour nous de sa lumière pure
Quand la vie se déchire et que se noue le drame.
Dans l’errance et la peur, dans la forêt du doute,
Prison aux mille angoisses où l’on tourne sans fin,
L’étoile nous appelle au bout d’un long chemin
Et nous fait retrouver le soleil et la route.

Humble et patiente amie qui ne trahit jamais,
Elle sait nos chagrins, nos haines éphémères
Et les incertitudes et les tristes colères,
Nous guidant pas à pas vers des îlots de paix.

Parfois, sur la grand’place aux bonheurs partagés,
Nous faisons une halte avec des pèlerins,
Joyeux comme des elfes au vent des frais matins.
Et l’étoile irradie l’amour et ses beautés.

Notre étoile bénie vient peut-être des cieux…
Mais il faut, pour la voir, ne pas fermer les yeux
 
"
Les lois de l’avenir
Se sont nos rêves actuels
La justice elle passera sur nous

Un jour, tout sera écrit"


Je me le dis à chaque fois doucement sans qu'une personne puisse l'entendre ,non par crainte ou peur
mais par pure méditation et profonde réflexion, si seulement le monde pouvait comprendre ceci et le toucher


et comprendre qu'un jour si on ne fait rien on sera les esclave de cette loi qui instaure les règle cette loi qui


élève la justice au rang du respect de nous tous mais qui un jour aussi elle fera de cette même justice l'unique moyen pour nous notre cruelle et infernale soumission à tout ce qui est contraire aux valeurs humaines aux légendaires valeurs humaines.




Qui a éteint la lumière ?



Je regarde cette époque sinistre

Oui ! Elle ne croit plus en rien

Même pas à elle-même, ni à demain

Mais elle se perd dans les objets



Des croyants qui parlent de lumière

Je n’en vois plus, il n'y a que des réalistes

Des gens obtus qui optimisent leurs rêves

Et qui se foutent bien de mes rêves



Non je n’aime pas cette époque

Qui n’espèrent déjà plus en rien !

Il ne se passera plus rien

La révolution? Elle est morte!



J’aime mieux un militant

Quels que soient-ils en ce monde !

Avec tous ces gestionnaires

Ces rentiers et ces boursiers



Il n’y a plus de vraies différences

Entre un marxiste de base

Et un ouvrier chrétien

C'est le même terreau idéaliste



Quand je pense aux chrétiens !

J’exclue cette idée très absurde

Que Dieu bénit les riches

Et qu'il maudit les pauvres



Qui a éteint la lumière ?

Celle qui brillait encore

Sur cette année deux mille

Avec tous ses rêves fous



Le matérialisme athée

Ce n’est déjà pas pire

Que ce matérialisme boursier

Avec si peu d’espérance



La révolution du futur

Sera celle de la justice

Et il n’y aura pas de place

Pour le malheur des guerres



Je dois me guérir de moi-même

Redevenir un présage optimiste

Pour annoncer que demain

La justice, je le sais, je le crois, elle viendra



Les lois de l’avenir

Se sont nos rêves actuels

La justice elle passera sur nous

Un jour, tout sera écrit


un fidèle : Victorugueux





@mes hommages à ce brave chretiens
Ultuflla!
 
Je remercie l’Ultime
Plein de Foi
Pour Sa Protection
Sa Guidance, Son Aide
Et Sa Lumière

Si j’ai commis une erreur ou blessé quelqu’un
Je demande pardon sincèrement
Je me repens et promets de ne pas répéter
Je pardonne aux autres s’ils m’ont blessé
J’apprendrai à consoler
À comprendre

C’est en donnant
Que je reçois

Que la planète entière
Soit bénie d’Amour
Et de Gentillesse
De grande Joie
De Paix Divine
D’Harmonie et de
Bonne Volonté à faire le Bien…
 
'C’est en donnant
Que je reçois'


On croit souvent que dans la réalité cette devise n'est pas une vérité c'est parce qu'on attend de recevoir l'équivalent de ce qu'on a donné alors qu'en réalité le peu qu'on puisse recevoir parfois et, dans la majorité des cas a plus de valeur que ce qu'on a donné ou ce qu'on croit avoir donné, car donner est un devoir et une prière c'est même notre religion alors que recevoir c'est un moyen l'unique moyen d'évaluer notre degré de foi en ce qu'on voit divin et sacré.




Je remercie l’Ultime
Plein de Foi
Pour Sa Protection
Sa Guidance, Son Aide
Et Sa Lumière

Si j’ai commis une erreur ou blessé quelqu’un
Je demande pardon sincèrement
Je me repens et promets de ne pas répéter
Je pardonne aux autres s’ils m’ont blessé
J’apprendrai à consoler
À comprendre

C’est en donnant
Que je reçois

Que la planète entière
Soit bénie d’Amour
Et de Gentillesse
De grande Joie
De Paix Divine
D’Harmonie et de
Bonne Volonté à faire le Bien…
 

  • Robaiyat, ou Quatrains (traduction française)


    • De Omar Alkhayam.
      I

      Tout le monde sait que je n'ai jamais murmuré la moindre prière.

    • Tout le monde sait aussi que je n'ai jamais essayé de dissimuler mes défauts.

    • J'ignore s'il existe une Justice et une Miséricorde...

    • Cependant, j'ai confiance, car j'ai toujours été sincère.


 
On reconnait là la conduite le comportement et les qualités d'un enfant, et seule la sincérité de cette innocence est divinement sans reproche!!!!!!!






  • Robaiyat, ou Quatrains (traduction française)


    • De Omar Alkhayam.
      I

      Tout le monde sait que je n'ai jamais murmuré la moindre prière.

    • Tout le monde sait aussi que je n'ai jamais essayé de dissimuler mes défauts.

    • J'ignore s'il existe une Justice et une Miséricorde...

    • Cependant, j'ai confiance, car j'ai toujours été sincère.

 

  • Robaiyat, ou Quatrains (traduction française)


    • De Omar Alkhayam.
      I

      Tout le monde sait que je n'ai jamais murmuré la moindre prière.

    • Tout le monde sait aussi que je n'ai jamais essayé de dissimuler mes défauts.

    • J'ignore s'il existe une Justice et une Miséricorde...

    • Cependant, j'ai confiance, car j'ai toujours été sincère.


C'est profond...
 
Quand j'avais 15 ans, j'écrivais des poème à l'attention du Divin.
Je les ai perdus, je ne sait pas comment... ( sûrement en déménageant )
 
L’amour est un don et il est difficile d’en parler tant il reste à découvrir.

Mais sur le chemin de l’amour il y a le respect.

Le respect c’est l’étoile d'une personne de celui qui cherche l’amour.

S’il perd cette étoile de vue, il n’est pas sur la bonne voie.

La personne qui s’aime se respecte, la personne qui se respecte est sur la voie de l’amour...

Se respecter c’est au commencement s’accepter tel que l’on est y compris dans ses travers.

La perfection n’existe pas et les apparences de la perfection n’inspirent qu’admiration et jalousie, deux sentiments totalement étrangers à l’amour.
 
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