Policiers agressés à Marseille .

.

C'est hallucinant comme tous les déchets facistes défilent crème sur un forum marocain.

Jamais un site sioniste ne laisserait passer le quart de ces diarrhées verbales contre les leurs sans virer les haineux qui viennent provoquer.

Il semble que le site a oublié la fièrté marocaine.

.
Le site a du être piraté tu crois ?
 
.

Ce sont les noirs qui appelaient les noirs soumis

de bounty.
Bounty ou le nouveau "bon noir" ou le "nègre de maison"....de toute façon encore un terme péjoratif qui ne veut pas dire grand chose ...j'ai eu droit aussi à ce terme envers ma personne, un peu trop africaine à l'intérieur et blanche à l'extérieur....:D
 

Incendie d'un poste de police à Nîmes : six suspects de 15 à 28 ans placés en garde à vue​

Près de trois mois après l'incendie qui a endommagé le poste de police du quartier Pissevin à Nîmes (Gard), six suspects de 15 à 28 ans ont été interpellés et placés en garde à vue.
Dans la nuit du 20 au 21 août dernier, un incendie dévastateur a causé d'importants dégâts dans la galerie Marcel Sant, au cœur du quartier de Pissevin à Nîmes (Gard). Le bureau de police, récemment construit et dont l’inauguration était imminente, a vu sa structure endommagée, en raison du feu qui s’est propagé depuis un commerce mitoyen. Ce mardi 5 novembre, près de trois mois après les faits, six personnes ont été interpellées et placées en garde à vue dans le cadre de cette affaire, a indiqué la procureure de la République de Nîmes, Cécile Gensac, dans un communiqué.
Les suspects, tous originaires de Nîmes, sont trois majeurs âgés de 20 à 28 ans et trois mineurs de 15, 16 et 17 ans. Leurs antécédents judiciaires révèlent qu’ils sont "tous connus pour des faits en lien avec les stupéfiants", selon la procureure. L'enquête, ouverte initialement pour "dégradations par moyens dangereux en flagrant délit" et désormais menée en préliminaire, a permis de découvrir que l’incendie avait été déclenché intentionnellement. Le feu aurait en effet été causé par un "épandage massif de carburant via la cheminée d’une boucherie alors en travaux", a précisé le parquet.

Les motivations des suspects restent à déterminer​

Les investigations doivent maintenant se concentrer sur la détermination des rôles individuels de chacun des suspects dans cet acte de destruction. Il s'agit notamment de comprendre les "conditions et motivations du passage à l’acte", a ajouté Cécile Gensac, tout en précisant que "rien n’établit avec certitude de lien entre la destruction par incendie et le trafic de stupéfiants".
Cet incendie avait ravivé les tensions dans le quartier sensible de Pissevin, connu pour sa précarité et ses trafics de stupéfiants. Le bureau de police s’inscrivait dans une promesse de renforcement de la sécurité publique, après le meurtre d’un garçon de 10 ans, Fayed, tué par balle dans ce même quartier en août 2023. Cette nouvelle infrastructure, portée par le ministre de l'Intérieur Gérald Darmanin, symbolisait une réponse gouvernementale face aux drames et à l'insécurité dans le quartier.
 

« Sales Blancs ! Je vais vous crever » : l’ex-militaire écope de 36 mois de prison après avoir craché et violenté six gendarmes​

Un automobiliste a été condamné à trois ans de prison pour avoir résisté violemment à six gendarmes au péage de Bressols, le 29 octobre. Déjà connu de la justice, il avait semé le chaos sur l’autoroute avant d’être maîtrisé sous sédation.

Je vais vous tous vous crever ! Sales blancs" ! Des propos menaçants tenus à l'encontre des gendarmes du Tarn et Garonne. Dans la nuit du 31 octobre au 1er novembre, les gendarmes de l’escadron départemental de sécurité routière du Tarn-et-Garonne, ont procédé à des contrôles routiers. Ils étaient positionnés à hauteur du péage de Montbartier sur l'A62.

INSULTES, MENACES ET COUPS !​

Les gendarmes ont intercepté un véhicule. Le conducteur a refusé de se soumettre à des tests alcoolémie et stupéfiants. Il circulait également sans permis de conduire. Le contrôle a alors dérapé. Des coups, des crachats fusent. L'automobiliste se rebelle et refuse son interpellation. Les gendarmes font de plus les frais d'insultes et de menaces de mort. Deux seront blessés.

L’individu de 30 ans, résidant en région toulousaine, a tout d'abord été placé en garde à vue. Il a ensuite été déféré ce samedi devant le procureur de la République de Montauban. Dans l'attente de son procès, il a été incacéré à la maison d’arrêt de Beausoleil. Il devrait être jugé en comparution immédiate, ce lundi 4 novembre.

 
Un policier hors service a été violemment agressé par un groupe d'individus à Toulouse (Haute-Garonne), alors qu'il se trouvait avec sa compagne. Il aurait été reconnu avant d'être frappé. Trois suspects ont été interpellés peu après et placés en garde à vue.
Les faits se sont produits vers 18 heures alors que ce policier, affecté à la CRS 84 de Montauban (Tarn-et-Garonne), était au volant de sa voiture, près du métro Mermoz, dans le quartier de La Faourette. Le policier en repos se trouvait avec sa compagne, et le couple venait déposer un colis. Le fonctionnaire s'est stationné puis a entendu quelqu'un crier "Y a un flic !", d'après l'une des sources. Un homme au visage dissimulé s'est approché du véhicule et lui a ordonné de "dégager". Face au refus du policier, l'agresseur lui a porté des coups de poing au visage et lui a craché dessus. Le suspect a ensuite ameuté d'autres individus pour s'en prendre à la victime. "La scène s'est déroulée non loin d'un point de deal", souligne une deuxième source.

D'autres agresseurs au visage dissimulé sont alors arrivés et ont tapé sur la voiture du couple qui a été endommagée. Le policier a alors accéléré et pris la fuite. Plusieurs auteurs ont suivi le véhicule des victimes. Le fonctionnaire s'est présenté au commissariat de Bellefontaine et a déposé plainte. Blessé, il a été conduit à l'hôpital. Sa compagne est sous le choc.

Trois suspects de 18 à 23 ans​

Dans le même temps, les policiers de la brigade spécialisée de terrain (BST) et de la brigade anticriminalité (BAC) ont procédé à des interpellations. "Le témoignage du couple, et la connaissance parfaite du terrain des policiers du secteur, ont permis d'identifier rapidement plusieurs suspects", ajoute la même source. Trois jeunes hommes de 18 à 23 ans ont été arrêtés puis placés en garde à vue. Une enquête a été ouverte et les policiers du service local de police judiciaire (SLPJ) ont été chargés des investigations.

Les suspects nient avoir reconnu le policier, précise le quotidien régional. Le fonctionnaire a en tout cas travaillé sur Toulouse ces dernières semaines avec sa CRS. Les policiers de cette compagnie ont procédé à plusieurs interpellations dans le quartier où l'agression s'est déroulée. La suite des investigations permettra de déterminer si la victime a bien été reconnue, mais également d'identifier l'ensemble des agresseurs.

«La justice doit être impitoyable»​

"Un de nos collègues de la CRS 84 lâchement agressé devant sa femme. Son seul tort : avoir été reconnu comme policier", déplore le secrétaire général du syndicat Alliance Police Nationale, Fabien Vanhemelryck. "La justice doit être impitoyable envers tous ceux qui agressent des policiers".

 
Retour
Haut