polyamour phenome se develpoant en france

Par définition l'Etat ne peut que proposer d'organiser juridiquement les relations interpersonnelles dans la seule perspective de protéger LES DROITS des partenaire ET, PLUS ENCORE, LES DROITS DE L'ENFANT.

L'Etat n'a pas vocation à intervenir
-sauf en cas de trouble à l'ordre public et protection des faibles face aux forts -
dans les relations interpersonnelles y compris lorsque celles-ci comportent des rapports génitaux et/ou un lien sentimental.

L'Etat n'empêche nullement des relations interpersonnelles de tous ordres entre des personnes adultes, majeures, consentantes.

L'Etat n'a pas à favoriser, promouvoir ou légaliser telle ou telle pratique. Il n'offre un cadre légale que pour permettre la reconnaissance d'une situation POUR LES CONSEQUENCES MATERIELLES pouvant en découler.

Ce qui fausse beaucoup les choses et empêche l'usage du simple "bon sens" ce sont les intérêts financiers, avantages et droits prioritaires accordés à des géniteurs-parents trop souvent irresponsables... au nom de leur progéniture... qui n'en bénéficie guère trop souvent.

Un Etat aussi moderne que la France se devrait de remettre en cause l'attribution d'allocations familiales afin que chaque géniteur et chaque génitrice puissent prendre conscience, préalablement à la conception d'un ou plusieurs enfants, des responsabilités financières et sociales qu'ils se devraient d'assumer seuls en tant que parents.

La suppression de toutes les allocations familiales au titre de l'enfant devrait être proposée et votée par le Parlement pour supprimer cette politique idiote de soutien à la natalité lors même que nous allons devoir, dans les décennies à venir, faire des choix drastiques en terme de maîtrise de la croissance des populations... et s'interroger sur les priorités à définir et mettre en oeuvre quant à des franges entières de la population.
 
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