Polyamoureux et fiers de l'être

Elyssa a dit:
Tel est le lot de tous ceux qui poursuivent les magiciennes, vaines chimères...Errance, démence ... Mais à toi, je dois une révérrence...

Une lumière n'a nul besoin de suivre le fil du funambule ... C'est elle qui le guide ... et c'est lui qui la perd...
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Je porterai le fardeau de ceux qui t'on croisé un jour, et ce, avec délectation. Je subirai vaillamment chaque maux, pour un de tes mots. La lumière est fidèle à ceux qui la reconnaissent, tu ne la perdras que si tes yeux se ferment à son souvenir.
 
Senseii a dit:
Je porterai le fardeau de ceux qui t'on croisé un jour, et ce, avec délectation. Je subirai vaillamment chaque maux, pour un de tes mots. La lumière est fidèle à ceux qui la reconnaissent, tu ne la perdras que si tes yeux se ferment à son souvenir.
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Bien que mes yeux puissent cèder à l'aveuglement ... Mon coeur connaîtera toujours l'aube, ce premier fil de lumière ...Si fin, si méconnu... Inconnu.

M'en vais reposer mes yeux, ils ont été plongés dans un éclair sans fin ce soir.

A bientôt...Oublié!
 
Enfin...un qui qui est dans la discussion ...C'était pas trop tôt :D

On a carréement déménagé trois forums ici ce soir " JRAD, Poètes amatteurs, et qui vous manque sur le forum" :D

A tous, belle nuit.
 
Shali a dit:
Tes mots on été si doux a mon égard
tu aurais pu le voir dans mon regard
mais ces vers enflammé
sont un cadeau empoisonné
tu es un poète virtuel
ce que je ne trouverais jamais dans le réel :pleurs:
ce fut un moment éphémère
ou tu m'a rendu fière
j'ai découvert un être sincère
pas une personne amère :rouge:
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Tu as su contraindre les non-dits,
Tu sauras le faire ailleurs comme ici
Une muse telle que toi échappe au virtuel
A celui qu'elle croise elle donne des ailes
Il faut prendre toujours ce qu'on t'offre
Le remiser gaiement dans un coffre
Ne pas vouloir plus que ce qu'on te donne
Mais il y a là rêverie que je pardonne...
 
azzizi92240 a dit:
Ne cachez plus votre amant dans le placard. Présentez-le à votre partenaire ! Telle est la philosophie des polyamoureux. La monogamie battant de l'aile - un mariage sur trois finit en divorce -, ceux-là ont décidé de mener plusieurs amours de front. Ni libertins ni sex addicts, ces "grands romantiques" sont bien décidés à faire accepter leur mode de vie.

"Polys "et fers de l'être, donc... Prêts à braver le jugement des bien-pensants. Sur le web, surtout. Les sites spécialisés fleurissent : amours.pl, polyamour.be, polyamour.info... Les vieux routards du polyamour y rencardent les petits nouveaux, les curieux questionnent, des filles "qui s'assument r acontent leurs histoires tumultueuses. Certains n'hésitent pas à dévoiler leur visage et leurs histoires les plus intimes. Julia, Christophe, Nicolas et Charlotte ont monté un blog - Poly4mour, une histoire à quatre - et chroniquent jour après jour leur quotidien compliqué. Les engueulades, les moments sympas, les déchirements et la jalousie qui monte, parfois...

Comme toute Eglise, celle de l'amour au pluriel a son prophète, Charles Fourier (1772-1837), l'inventeur du phalanstère, et sa grande prêtresse, l'écrivain Françoise Simpère. "Guide des amours plurielles" et "Aimer plusieurs hommes" (Pocket) sont en effet devenus l'ancien et le nouveau testament des poly-amoureux. L'auteur plaide la cause à la radio et dans les journaux, y clame que "l'amour unique est une utopie" . Autre visage sorti de l'anonymat, celui de Guilain Omont, trentenaire et entrepreneur indépendant, créateur d'amours.pl. Il est venu à la "polyphilie" tout naturellement, après avoir longtemps cru en la princesse charmante. Gringalet timide, Guilain fait taire les mauvaises langues : ni don Juan ni supermacho, un garçon normal, parfait pour banaliser ce mode de vie décrié.

Tendance du moment, le phénomène n'est pas neuf, qui a inspiré une foule de romans d'amour et de comédies à trois personnages ("Jules et Jim", "César et Rosalie", "Une femme peut en cacher une autre"). Dans la vraie vie, il a explosé dans les années 1970 - post-68, si l'on préfère. Mais les polyamoureux français d'aujourd'hui, suivant la vague américaine, le dépoussièrent. Ils en font quelque chose de "moderne". Pas de fleurs dans les cheveux ni de tuniques bariolées : ce sont des hommes et femmes de leur temps. Ils sont architectes, cadres, cuisiniers, enseignants. La tête sur les épaules, ils créent leur propre identité en se servant des outils 2.0. Rénovent la philosophie pour se débarrasser des images peu reluisantes qu'on lui accole - "En fait, c'est une grosse partouze votre truc..." Exit, aussi, le vilain terme "polygamie", qui véhicule des connotations machistes. "Polyamour", "amours plurielles" sonnent tellement plus romantique. Ce n'est plus la révolution sexuelle, c'est celle des sentiments. Pas toujours plus facile à vivre...
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Elles sont ou les Ni ***** Ni soumises. Sauf que ce concept est à saint germains des prés. Bref, c'est vraiment devenu du n'importe quoi.
 
Qamary a dit:
Ben ouais attends..mais j'aime bien les journaleux, j'ai failli être l'un d'entre eux..

Nan mais sérieux la présentation des posts ça fait beaucoup. On a pas envie de lire quand c'est trop long, avec trop de détails et tout..
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Tu as aussi fait une école de Journalisme...lol

la pyramide inversée, les 5Q de Laswell? ;)
 
Qamary a dit:
Le journalisme c'était trop de contact, trop de bougeotte pour moi..

J'ai travaillé un peu dans une radio locale et fait des stages chez France Bleu et dans une web Tv mais ça m'a vite saoulé.

J'étais attiré par le côté investigation, intellectuel de la chose et je me suis retrouvé confronté à un milieu formaté, ou on ne dit pas les choses qui méritent d'être dites.

Et puis j'ai un tempérament trop calme pour ça, maintenant j'aspire à quelque chose de plus serein, de plus simple et où je serai utile.
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Ma référence: Nellie Bly, tu connais Qamary? Ou Albert Londres ;)
 
Jamila16 a dit:
Tu as aussi fait une école de Journalisme...lol

la pyramide inversée, les 5Q de Laswell? ;)
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Nan j'ai pas fait l'école, je voulais en faire une après ma licence, mais comme j'étais pas sûr de vouloir faire du journalisme, j'ai d'abord fait un peu de radio en bénévole.

Là j'ai rencontré des journalistes, je me suis fait un réseau ce qui m'a permis de faire des stages et quelques piges.
 
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