Pourquoi 2 cherubins (qrb) qui s'embrasse (qbl)?

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8Je vous en conjure, filles de Jérusalem,
Si vous trouvez mon bien-aimé, Que lui direz-vous?...

Que je suis malade d'amour. -
9Qu'a ton bien-aimé de plus qu'un autre, O la plus belle des femmes?
Qu'a ton bien-aimé de plus qu'un autre, Pour que tu nous conjures ainsi? -
10Mon bien-aimé est blanc et vermeil; Il se distingue entre dix mille.

1Où est allé ton bien-aimé, O la plus belle des femmes?
De quel côté ton bien-aimé s'est-il dirigé? Nous le chercherons avec toi.

2Mon bien-aimé est descendu à son jardin,
Au parterre d'aromates, Pour faire paître son troupeau dans les jardins, Et pour cueillir des lis.
3
Je suis à mon bien-aimé, et mon bien-aimé est à moi; Il fait paître son troupeau parmi les lis. -

1Je suis un narcisse de Saron, Un lis des vallées. -

2Comme un lis au milieu des épines, Telle est mon amie parmi les jeunes filles. -
3Comme un pommier au milieu des arbres de la forêt, Tel est mon bien-aimé parmi les jeunes hommes.
J'ai désiré m'asseoir à son ombre,
Et son fruit est doux à mon palais.

4 Il m'a fait entrer dans la maison du vin;
Et la bannière qu'il déploie sur moi, c'est l'amour.

5Soutenez-moi avec des gâteaux de raisins,
Fortifiez-moi avec des pommes; Car je suis malade d'amour.
6Que sa main gauche soit sous ma tête,
Et que sa droite m'embrasse! -


7Dis-moi, ô toi que mon coeur aime,
Où tu fais paître tes brebis,
Où tu les fais reposer à midi;
Car pourquoi serais-je comme une égarée Près des troupeaux de tes compagnons? -
8Si tu ne le sais pas, ô la plus belle des femmes,
Sors sur les traces des brebis, Et fais paître tes chevreaux Près des demeures des bergers. -


11Je suis descendue au jardin des noyers,
Pour voir la verdure de la vallée,
Pour voir si la vigne pousse, Si les grenadiers fleurissent.
12Je ne sais, mais mon désir m'a rendue semblable Aux chars de mon noble peuple. -
13Reviens, reviens, Sulamithe! Reviens, reviens, afin que nous te regardions.
-Qu'avez-vous à regarder la Sulamithe Comme une danse de deux choeurs?

16Lève-toi, aquilon! viens, autan!
Soufflez sur mon jardin, et que les parfums s'en exhalent!

-Que mon bien-aimé entre dans son jardin,
Et qu'il mange de ses fruits excellents! -

1J'entre dans mon jardin, ma soeur, ma fiancée;
Je cueille ma myrrhe avec mes aromates,
Je mange mon rayon de miel avec mon miel,
Je bois mon vin avec mon lait...
-Mangez, amis, buvez, enivrez-vous d'amour! -
 
7Je vous en conjure, filles de Jérusalem, Par les gazelles et les biches des champs,
Ne réveillez pas, ne réveillez pas l'amour, Avant qu'elle le veuille. -

8C'est la voix de mon bien-aimé! Le voici, il vient, Sautant sur les montagnes, Bondissant sur les collines.
9Mon bien-aimé est semblable à la gazelle Ou au faon des biches.
Le voici, il est derrière notre mur, Il regarde par la fenêtre, Il regarde par le treillis.

10Mon bien-aimé parle et me dit:
Lève-toi, mon amie, ma belle, et viens!
11Car voici, l'hiver est passé; La pluie a cessé, elle s'en est allée.
12Les fleurs paraissent sur la terre, Le temps de chanter est arrivé,
Et la voix de la tourterelle se fait entendre dans nos campagnes.
13Le figuier embaume ses fruits, Et les vignes en fleur exhalent leur parfum.
Lève-toi, mon amie, ma belle, et viens!

14Ma colombe, qui te tiens dans les fentes du rocher,
Qui te caches dans les parois escarpées,
Fais-moi voir ta figure, Fais-moi entendre ta voix;
Car ta voix est douce, et ta figure est agréable.
15Prenez-nous les renards, Les petits renards qui ravagent les vignes; Car nos vignes sont en fleur.
16Mon bien-aimé est à moi, et je suis à lui;
Il fait paître son troupeau parmi les lis.

17Avant que le jour se rafraîchisse, Et que les ombres fuient,
Reviens!... sois semblable, mon bien-aimé, A la gazelle ou au faon des biches,
Sur les montagnes qui nous séparent.

2J'étais endormie, mais mon coeur veillait...
C'est la voix de mon bien-aimé, qui frappe:
-Ouvre-moi, ma soeur, mon amie, Ma colombe, ma parfaite!

Car ma tête est couverte de rosée,
Mes boucles sont pleines des gouttes de la nuit. -

3J'ai ôté ma tunique; comment la remettrais-je?
J'ai lavé mes pieds; comment les salirais-je?
4
Mon bien-aimé a passé la main par la fenêtre,
Et mes entrailles se sont émues pour lui.

5Je me suis levée pour ouvrir à mon bien-aimé;
Et de mes mains a dégoutté la myrrhe,
De mes doigts, la myrrhe répandue Sur la poignée du verrou.
6J
'ai ouvert à mon bien-aimé;
Mais mon bien-aimé s'en était allé, il avait disparu.

J'étais hors de moi, quand il me parlait.
Je l'ai cherché, et je ne l'ai point trouvé;
Je l'ai appelé, et il ne m'a point répondu.
7Les gardes qui font la ronde dans la ville m'ont rencontrée;
Ils m'ont frappée, ils m'ont blessée;
Ils m'ont enlevé mon voile, les gardes des murs.


1Sur ma couche, pendant les nuits,
J'ai cherché celui que mon coeur aime;
Je l'ai cherché, et je ne l'ai point trouvé...
2Je me lèverai, et je ferai le tour de la ville, Dans les rues et sur les places;
Je chercherai celui que mon coeur aime...
Je l'ai cherché, et je ne l'ai point trouvé.
3Les gardes qui font la ronde dans la ville m'ont rencontrée:
Avez-vous vu celui que mon coeur aime?
4A peine les avais-je passés,

Que j'ai trouvé celui que mon coeur aime;
Je l'ai saisi, et je ne l'ai point lâché

Jusqu'à ce que je l'aie amené dans la maison de ma mère,
Dans la chambre de celle qui m'a conçue. -
 
5Je vous en conjure, filles de Jérusalem, Par les gazelles et les biches des champs,
Ne réveillez pas, ne réveillez pas l'amour, Avant qu'elle le veuille. -

6Qui est celle qui monte du désert, Comme des colonnes de fumée,
Au milieu des vapeurs de myrrhe et d'encens Et de tous les aromates des marchands? -

7Voici la litière de Salomon,
Et autour d'elle soixante vaillants hommes, Des plus vaillants d'Israël.
8Tous sont armés de l'épée, Sont exercés au combat;
Chacun porte l'épée sur sa hanche, En vue des alarmes nocturnes.
9Le roi Salomon s'est fait une litière De bois du Liban.
10Il en a fait les colonnes d'argent, Le dossier d'or, Le siège de pourpre;
Au milieu est une broderie, oeuvre d'amour Des filles de Jérusalem.
11Sortez, filles de Sion, regardez Le roi Salomon,
Avec la couronne dont sa mère l'a couronné

Le jour de ses fiançailles,
Le jour de la joie de son coeur. -


1Oh! Que n'es-tu mon frère, Allaité des mamelles de ma mère!
Je te rencontrerais dehors, je t'embrasserais, Et l'on ne me mépriserait pas.
2Je veux te conduire, t'amener à la maison de ma mère;
Tu me donneras tes instructions,
Et je te ferai boire du vin parfumé, Du moût de mes grenades.
3Que sa main gauche soit sous ma tête, Et que sa droite m'embrasse! -
4Je vous en conjure, filles de Jérusalem, Ne réveillez pas, ne réveillez pas l'amour, Avant qu'elle le veuille. -
5Qui est celle qui monte du désert, Appuyée sur son bien-aimé?
-Je t'ai réveillée sous le pommier; Là ta mère t'a enfantée, C'est là qu'elle t'a enfantée, qu'elle t'a donné le jour. -

6Mets-moi comme un sceau sur ton coeur, Comme un sceau sur ton bras;
Car l'amour est fort comme la mort,
La jalousie est inflexible comme le séjour des morts;
Ses ardeurs sont des ardeurs de feu, Une flamme de l'Eternel.
7Les grandes eaux ne peuvent éteindre l'amour, Et les fleuves ne le submergeraient pas;
Quand un homme offrirait tous les biens de sa maison contre l'amour, Il ne s'attirerait que le mépris.
 
1Cantique des cantiques, de Salomon.
2Qu'il me baise des baisers de sa bouche!
Car ton amour vaut mieux que le vin
,
3Tes parfums ont une odeur suave;
Ton nom est un parfum qui se répand;
C'est pourquoi les jeunes filles t'aiment.

4Entraîne-moi après toi! Nous courrons!
Le roi m'introduit dans ses appartements...

Nous nous égaierons, nous nous réjouirons à cause de toi;
Nous célébrerons ton amour plus que le vin.
C'est avec raison que l'on t'aime.
12Tandis que le roi est dans son entourage, Mon nard exhale son parfum.
13Mon bien-aimé est pour moi un bouquet de myrrhe, Qui repose entre mes seins.
14
Mon bien-aimé est pour moi une grappe de troëne Des vignes d'En-Guédi. -
15Que tu es belle, mon amie, que tu es belle! Tes yeux sont des colombes. -
16Que tu es beau, mon bien-aimé, que tu es aimable!
Notre lit, c'est la verdure. -
17Les solives de nos maisons sont des cèdres, Nos lambris sont des cyprès. -
6Que tu es belle, que tu es agréable, O mon amour, au milieu des délices!
...

10Je suis à mon bien-aimé, Et ses désirs se portent vers moi.
11Viens, mon bien-aimé, sortons dans les champs, Demeurons dans les villages!
12Dès le matin nous irons aux vignes, Nous verrons si la vigne pousse, si la fleur s'ouvre, Si les grenadiers fleurissent.
Là je te donnerai mon amour.
13Les mandragores répandent leur parfum,
Et nous avons à nos portes tous les meilleurs fruits, Nouveaux et anciens:
Mon bien-aimé, je les ai gardés pour toi.

5Je suis noire, mais je suis belle, filles de Jérusalem,
Comme les tentes de Kédar,
comme les pavillons de Salomon.
6Ne prenez pas garde à mon teint noir: C'est le soleil qui m'a brûlée.
Les fils de ma mère se sont irrités contre moi,
Ils m'ont faite gardienne des vignes.

Ma vigne, à moi, je ne l'ai pas gardée.
8Nous avons une petite soeur, Qui n'a point encore de mamelles;
Que ferons-nous de notre soeur, Le jour où on la recherchera?
9Si elle est un mur, Nous bâtirons sur elle des créneaux d'argent;
Si elle est une porte, Nous la fermerons avec une planche de cèdre. -
10Je suis un mur, Et mes seins sont comme des tours;
J'ai été à ses yeux comme celle qui trouve la paix.

11Salomon avait une vigne à Baal-Hamon;
Il remit la vigne à des gardiens;
Chacun apportait pour son fruit mille sicles d'argent.

12Ma vigne, qui est à moi, je la garde.
A toi, Salomon, les mille sicles, Et deux cents à ceux qui gardent le fruit! -
 
12Tu es un jardin fermé, ma soeur, ma fiancée,
Une source fermée, une fontaine scellée.
13Tes jets forment un jardin, où sont des grenadiers, Avec les fruits les plus excellents, Les troënes avec le nard;
14Le nard et le safran, le roseau aromatique et le cinnamome,
Avec tous les arbres qui donnent l'encens; La myrrhe et l'aloès, Avec tous les principaux aromates;
15Une fontaine des jardins, Une source d'eaux vives,
Des ruisseaux du Liban.

13Habitante des jardins! Des amis prêtent l'oreille à ta voix. Daigne me la faire entendre! -
14Fuis, mon bien-aimé! Sois semblable à la gazelle ou au faon des biches, Sur les montagnes des aromates!

8Viens avec moi du Liban, ma fiancée, Viens avec moi du Liban!
Regarde du sommet de l'Amana, Du sommet du Senir et de l'Hermon,
Des tanières des lions, Des montagnes des léopards.
9Tu me ravis le coeur, ma soeur, ma fiancée,
Tu me ravis le coeur par l'un de tes regards, Par l'un des colliers de ton cou.
10Que de charmes dans ton amour, ma soeur, ma fiancée!
Comme ton amour vaut mieux que le vin,
Et combien tes parfums sont plus suaves que tous les aromates!
11Tes lèvres distillent le miel, ma fiancée;
Il y a sous ta langue du miel et du lait,
Et l'odeur de tes vêtements est comme l'odeur du Liban.
 
TAL menorah chaghal ouvre moi

 
Dernière édition:
7 cantiques (3 salomon):
1/sorti d'egypte pessah (free) 2/desert soif 3/rocher ( emn aleithia)
4/yusha ibn noun (deborah) 5/ temps de crise (david rocher) 6/gratitude (vignoble)
7/le baiser cantiq des qantiq

baiser dodeikha ou sein dadeikha ?
voir rapport avec UR-shalim (isis-marie)


Un des cas les plus flagrants est la traduction du mot דדיך par ubera tua « tes
seins », ou « tes mamelles », là où l’hébreu massorétique vocalise le mot ainsi :
[dodeikha] signifiant « tes amours », « tes tendresses ».
Les traductions catholiques d’avant 1943 qui se fondent sur la Vulgate mettent pour la plupart quelque chose qui, en français, correspond à ubera 26 :
cela donne par exemple dans la Bible de Corbin :
« Qu’il me baise du baiser de sa bouche :
*parce que tes seins sont meilleures que le vin
»

Jean 13
…22Les disciples se regardaient les uns les autres, ne sachant de qui il parlait.
23 Un des disciples, celui que Jésus aimait, était couché sur le sein de Jésus.
24Simon Pierre lui fit signe de demander qui était celui dont parlait Jésus.…
...
48Et Jésus lui dit: Judas, c'est par un baiser que tu livres le Fils de l'homme!

l’Évangile selon Philippe :
La compagne du Fils est Marie-Madeleine.
Le Seigneur aimait Marie plus que tous les disciples ;
il l’embrassait souvent sur la bouche.


«Quant à la Sagesse qui est appelée «la stérile», elle est la mère [des an] ges.
Et la compagne du S [auveur est Ma] rie la Mag [da] léenne.
Il l’ [aimait] davantage que [tous] les disciples et il l’embrassait sur sa […de nombreuses] fois.
Les autres [disciples…] lui dirent: «Pourquoi l’aimes-tu plus que nous tous?»
Le Sauveur répondi: «Pourquoi est-ce que je ne vous aime pas comme elle?
Quand un aveugle et un homme qui voit sont ensemble dans l’obscurité, ils ne sont pas différents l’un de l’autre.
Quand la lumière vient, alors celui qui voit va voir la lumière et celui qui est aveugle va rester dans l’obscurité.»

“Nous [les Apôtres] nous sommes avancés un à un vers lui [Jésus] :
d’abord les Apôtres,puis les plus petits disciples.
Puis nous nous sommes inclinés devant lui et avons
embrassé ses mains, ses pieds et sa poitrine.
Et les femmes qui étaient avec nous ont fait de même.
Mais Marie, sa Mère, est venue en hâte et elle s’est avancée vers lui et l’a embrassé bouche contre bouche.

[16] Et quand Jésus vit sa Mère, la Vierge, il lui sourit avec un sourire spirituel et lui dit :
“Tu es Bénie, ô ma Mère, plus que chaque créature que mon Père a créée.
Tu es “Exaltée” au-dessus du Ciel…”

Ici, une précision s’impose : à la fin de ce passage,
nous avons le mot “Exaltée”attribué par Jésus à sa Mère.
“Exaltée”, “Magnifiée”, ici le mot est en copte.
Mais le correspondant araméen est Megaddela

Notez bien que le mot “Épouse” a un sens spirituel,
tout comme le mot “compagne” dans l’Évangile de Philippe
 
DWD SLM
le jour et la nuit s'enlace (skn)


Gilbert Durand a donné à cette schématique le nom de régimes de l’imaginaire.
« Tout imaginaire humain est articulé par des structures irréductiblement plurielles,
mais limitées à trois classes gravitant autour des schèmes matriciels du « séparer » (héroïque), de « l’inclure » (mystique) et du « dramatiser » - étaler dans le temps les images en un récit - (disséminatoire) » (Durand, 1994, p. 26).
Ces régimes qui sont au nombre de trois s’enracinent dans la gestuelle fondamentale de l’être humain, ainsi que dans son environnement cosmologique. La lecture cosmologique procède par une division duelle, ou polarité diurne/nocturne : un régime diurne et deux régimes nocturnes.

Le régime « héroïque » ou « schizomorphe »​

Le régime « synthétique » (zhr ?)​

Le régime « mystique » (btn ?)​



lors de la destruction du temple :
Quand on tirait le rideau qui séparait l’accès au Saint des Saints
et quand les goyim sont entrés dans le Beth Hamikdach,
on pouvait apercevoir les chérubins enlacés



 
Dernière édition:
je synchronise +++++++

sibgha couleur dwd
dance des abeilles



 
pourquoi dieu a choisi de manifesté sa presence (shekina) en demandant
de faire representation au dessu de l'arche d'alliance
de 2 cherubin se faisant face et celon certaine version qui s'embrasse
placer dans le saint des saint ?
commence par apprendre à parler français , emBRASser c'est se prendre dans dans les BRAS ... là ils se baissent ...
 
commence par apprendre à parler français , emBRASser c'est se prendre dans dans les BRAS ... là ils se baissent ...

il se baissent ou il se baisent ?
oui tu as raison il se baisent mais cela sonne bizarre de nos jours
c comme le mot chatte d'où l'adage appelé un chat un chat ...


cantique
2Qu'il me baise des baisers de sa bouche!

est ce un euphemisme ? oui surement dans le cadre de la hyerogamie rien d'etonnant ...
baiser dodeikha ou sein dadeikha ?


 
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trop complexe à assimilé prendre le temps d'analysé

zhr btn malcompris
effet du soleil sur la conscience
lettre L elle aile (papillon) janaha (haraj) oiseau en rang (murmur)
la faute-honte d'adam libass rich habit-confusion et cherubin


6v9 وَلَوْ جَعَلْنَاهُ مَلَكًا لَّجَعَلْنَاهُ رَجُلًا وَلَلَبَسْنَا عَلَيْهِم مَّا يَلْبِسُونَ


forme de surplus (reste ou rebus partir dhahab rime avec dhahab) mazyd marid
 
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