Le comité d’accueil en question va t il plastiquer des immeubles de civils pour accuser les russes de son forfait ?
Un immeuble a explosé à Marioupol.
Le chef de la République populaire de Donetsk, Denis Pushilin, a annoncé qu’à Marioupol, encerclé par les forces de la RPD, un immeuble résidentiel a été dynamité, dans lequel il y avait jusqu’à 200 personnes.
Il est allégué que, pour l’essentiel, l’acte terroriste a été commis par des membres du bataillon Azov (interdit en Russie – éd.).
« Des militants d’Azov ont fait exploser un engin explosif à Marioupol sur le boulevard Meotida. Sous les décombres au sous-sol jusqu’à 200 personnes, y compris les enfants »– a déclaré le chef de la République populaire de Donetsk Denis Pushilin.
L’une des raisons à cela peut être une provocation artificielle dirigée contre une opération militaire spéciale dans le Donbass, cependant, les experts n’excluent pas que la raison de l’acte terroriste organisé soit une tentative des radicaux de faire pression sur les forces de la RPD, qui a pris le contrôle des environs de Marioupol, afin d’affaiblir l’encerclement de la ville.
Pour le moment, aucune déclaration officielle n’a été faite par Kiev et les militants d’Azov à cet égard, cependant, on sait qu’un cessez-le-feu a été déclaré entre 10 et 17 heures afin de donner aux civils la possibilité de quitter la ville avec l’aide humanitaire fournie. couloirs d’aide.
Подробнее на:
https://avia-pro.fr/news/boeviki-az...riupole-200-chelovek-nahodyatsya-pod-zavalami
Sauf que, selon la méthode éprouvée en Syrie, quand la population tentera d’utiiser ces couloirs humanitaires, ils seront certainement sous le feu d’Azov qui accusera ensuite la Russie d’avoir voulu saboter « l’opération humanitaire de Zelenski », et on repartira pour un tour avec l’opération « Sauvez Marioupol » DES RUSSES, EVIDEMMENT!
https://southfront.org/war-in-ukrai...actical-successes-holding-strategic-pause-18/
Sur cette page, il y a une vidéo sur laquelle on peut voir un soldat ukronaze averti les gens qui désirent être évacués qu’il doivent rester s’ils ne veulent pas se retrouver « sous le feu de l’artillerie russe », mais en réalité: la leur.
