Pourquoi, ô Seigneur, lui ai je proposé de la déposer

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1ère partie:

1) Le contexte :
Dernièrement une fournée de nouveaux arrivants a débarqué au travail. Parmi ces nouveaux visages il y en avait un en particulier, qui n'est pas passé inaperçu dans nos rangs.
C'était une jeune et belle assistante RH, pimpante à souhait. De vous à moi ce n'était pas une houri loin de là, mais comme aurait dit mon petit frère : "elle a pas une tête de vendeur de na3na3, donc ça passe"

2) l'histoire:
Je travail dans la même boîte depuis plusieurs années. Au fil de ces années j'ai pu tisser une relation avec chacun des mes collaborateurs, cela va du directeur à la simple technicienne de surface.
Le jour de leurs arrivées, ils ont eu droit au procédural tour des locaux et présentations à chaque tour de table, guidé par le DRH (pseudo "ami", entre supporter de l'OM on se comprend et se sert les coudes).

Une fois les nouveaux arrivants présentés ce fut à nous de nous atteler à ce fatiguant exercice. Quand je termine mon DRH ne trouva rien d'autre à dire, pour me titiller comme à son habitude, que : "En plus notre charmant jeune homme est célibataire".
Et moi de lui répondre : "Oui je suis le meilleur parti possible, charmant, célibataire, intelligent, mais tu pourrais pas recruter plus de filles de temps en temps, ça pourrait aider". C'est ce moment que choisie la jeune demoiselle pour me dire : "Et moi je compte pour du beurre".
Ceci entraina une bonne tranche de rigolade et chacun retourna à son dur labeur.

Mes collègues me charrièrent, j'en pris pour mon grade, mais cela nous procura une bonne fin de journée.

Notre bâtiment, récemment construit n'est toujours pas desservi par les transports en commun.
L'arrêt le plus proche se trouve à une bonne quinzaine de minutes à pieds.

Il y a quelques jours, le soir en partant, j'ai croisé la nouvelle assistante RH, que je nommerais A., qui marchait d'un pas léger en direction de l'arrêt de bus.
Ma bonté légendaire, additionné aux températures polaires qui gagnaient notre atmosphère, m'empêcha d'appuyer sur le champignon et de la laisser à son destin quotidien. Je m'arrêtais donc à son niveau et lui proposa de la déposer.
Ce cours parcours, 2 ou 3 minutes, nous permis de faire de simples présentations d'usage, rien de très attrayant.


Le lendemain en sortant je la retrouve sur mon chemin, coïncidence ?
 
Il y a quelques jours, le soir en partant, j'ai croisé la nouvelle assistante RH, que je nommerais A., qui marchait d'un pas léger en direction de l'arrêt de bus.
Ma bonté légendaire, additionné aux températures polaires qui gagnaient notre atmosphère, m'empêcha d'appuyer sur le champignon et de la laisser à son destin quotidien. Je m'arrêtais donc à son niveau et lui proposa de la déposer.
Ce cours parcours, 2 ou 3 minutes, nous permis de faire de simples présentations d'usage, rien de très attrayant.


Le lendemain en sortant je la retrouve sur mon chemin, coïncidence ?

Aie aie aie mon ptit ******. Tu oublies un détail. Tu avais quoi comme voiture ?
 
1ère partie:

1) Le contexte :
Dernièrement une fournée de nouveaux arrivants a débarqué au travail. Parmi ces nouveaux visages il y en avait un en particulier, qui n'est pas passé inaperçu dans nos rangs.
C'était une jeune et belle assistante RH, pimpante à souhait. De vous à moi ce n'était pas une houri loin de là, mais comme aurait dit mon petit frère : "elle a pas une tête de vendeur de na3na3, donc ça passe"

2) l'histoire:
Je travail dans la même boîte depuis plusieurs années. Au fil de ces années j'ai pu tisser une relation avec chacun des mes collaborateurs, cela va du directeur à la simple technicienne de surface.
Le jour de leurs arrivées, ils ont eu droit au procédural tour des locaux et présentations à chaque tour de table, guidé par le DRH (pseudo "ami", entre supporter de l'OM on se comprend et se sert les coudes).

Une fois les nouveaux arrivants présentés ce fut à nous de nous atteler à ce fatiguant exercice. Quand je termine mon DRH ne trouva rien d'autre à dire, pour me titiller comme à son habitude, que : "En plus notre charmant jeune homme est célibataire".
Et moi de lui répondre : "Oui je suis le meilleur parti possible, charmant, célibataire, intelligent, mais tu pourrais pas recruter plus de filles de temps en temps, ça pourrait aider". C'est ce moment que choisie la jeune demoiselle pour me dire : "Et moi je compte pour du beurre".
Ceci entraina une bonne tranche de rigolade et chacun retourna à son dur labeur.

Mes collègues me charrièrent, j'en pris pour mon grade, mais cela nous procura une bonne fin de journée.

Notre bâtiment, récemment construit n'est toujours pas desservi par les transports en commun.
L'arrêt le plus proche se trouve à une bonne quinzaine de minutes à pieds.

Il y a quelques jours, le soir en partant, j'ai croisé la nouvelle assistante RH, que je nommerais A., qui marchait d'un pas léger en direction de l'arrêt de bus.
Ma bonté légendaire, additionné aux températures polaires qui gagnaient notre atmosphère, m'empêcha d'appuyer sur le champignon et de la laisser à son destin quotidien. Je m'arrêtais donc à son niveau et lui proposa de la déposer.
Ce cours parcours, 2 ou 3 minutes, nous permis de faire de simples présentations d'usage, rien de très attrayant.


Le lendemain en sortant je la retrouve sur mon chemin, coïncidence ?



non hasard.

..........................................

les signes n'existent pas.
 
2ème partie:

Soit, rebelote je l'a réinvite à monter.
Le trajet s'est avéré être un peu plus long, du à une circulation plus dense que la veille.
On en a profiter pour discuter un peu plus. J'apprends qu'elle se dirige grosso modo au même endroit que moi, donc je lui propose, en toute amitié, de continuer le trajet ensemble. Ca n'avait pas l'air de lui déplaire... au contraire.

Et c'est à partir de là que cela devient intéressant. Depuis ce jour elle n'arrête pas de me chercher. Tous les prétextes sont bons pour que le signal ne s'affaiblisse pas.
Moi je me disais que ce n'était qu'un simple concours de circonstances.
Je n'ai rien vu venir.

Lors d'une pause déjeuner un collègue est même allé jusqu'à brailler que j'étais à la recherche d'une partenaire, alors qu'elle était présente dans la salle, et si une personne dans la salle était intéressée c'était le moment ou jamais. Sur le coup, j'avoue qu'il m'a bien fait rire le bougre.

Jusqu'à ce que vendredi dernier je reçois un mail de sa part. Là je me suis dis qu'il y avait anguille sous roche que tout ces derniers contacts n'étaient pas que professionnels, elle m'a demandé si je ne voulais pas que l'on se voit en dehors du travail.

L'approche que j'ai choisie a été de faire le mort et de laisser couler.
Je n'aurais peut être pas du, car hier elle m'a relancé, en prétextant au départ un autre sujet.
Je lui ai donc gentiment dit que je n'étais pas intéressé, et que sa tentative d'adjacence vers moi était bien entendu très appréciée. J'imagine que ce n'est jamais facile pour une fille d'aborder un membre du sexe opposé.
 
3ème partie:

3) Une heure après je reçois un mail du DRH qui me convoque dans son bureau! Quel choc! Comment ne pas trouver un lien entre cette citation à comparaitre et mon refus de "coopérer" avec A.
Forcément il y a un lien.
Je me dirige donc, une fois terminé ma tache courante, vers le bureau du DRH, confiant et sur de moi.
A l'intérieur, je ne le trouve pas lui… mais je la trouve elle. Rien qu'à voir sa trombine je n'ai qu'une envie c'est de faire demi-tour.
Je m'assois donc en essayant de garder mon sang-froid, ce qui n'est pas facile compte tenu de l'historique de la matinée.

Et là comme si de rien n'était, avec un calme olympien elle me régurgite une vague histoire de documents manquants dans mon dossier.
Sans perdre mon flegme je lui demande de me montrer le dossier et effectivement certains documents étaient aux abonnés absents.
Je me retourne vers elle et la regarde dans les yeux, à ce moment fini le gentil Yacine, j'ai aiguisé mon regard, froncer les sourcils, et me suis mis en mode "c'est quoi ton problème maintenant?!". Rien à faire, la chipie n'a pas bougé d'un cil. J'étais en face d'une statue et je ne trouvais pas la faille dans la cuirasse qu'elle avait dressée. J'en étais sur ce n'était que partie remise, la bougresse n'allait pas me lâcher.

Et à ce moment que je me suis rendu compte du potentiel destructeur de cette affaire. J'étais à sa merci, cette gamine m'avait piégé et ce n'était que le début.
Je me ressaisi, il n'est pas question que cette mégère pourrisse ce que j'ai construit au fil des ans. Elle pouvait s'asseoir sur ces pseudos "documents manquants". Elle venait de "lâcher les chevaux" sans s'en rendre compte...
 
1ère partie:

1) Le contexte :
Dernièrement une fournée de nouveaux arrivants a débarqué au travail. Parmi ces nouveaux visages il y en avait un en particulier, qui n'est pas passé inaperçu dans nos rangs.
C'était une jeune et belle assistante RH, pimpante à souhait. De vous à moi ce n'était pas une houri loin de là, mais comme aurait dit mon petit frère : "elle a pas une tête de vendeur de na3na3, donc ça passe"

2) l'histoire:
Je travail dans la même boîte depuis plusieurs années. Au fil de ces années j'ai pu tisser une relation avec chacun des mes collaborateurs, cela va du directeur à la simple technicienne de surface.
Le jour de leurs arrivées, ils ont eu droit au procédural tour des locaux et présentations à chaque tour de table, guidé par le DRH (pseudo "ami", entre supporter de l'OM on se comprend et se sert les coudes).

Une fois les nouveaux arrivants présentés ce fut à nous de nous atteler à ce fatiguant exercice. Quand je termine mon DRH ne trouva rien d'autre à dire, pour me titiller comme à son habitude, que : "En plus notre charmant jeune homme est célibataire".
Et moi de lui répondre : "Oui je suis le meilleur parti possible, charmant, célibataire, intelligent, mais tu pourrais pas recruter plus de filles de temps en temps, ça pourrait aider". C'est ce moment que choisie la jeune demoiselle pour me dire : "Et moi je compte pour du beurre".
Ceci entraina une bonne tranche de rigolade et chacun retourna à son dur labeur.

Mes collègues me charrièrent, j'en pris pour mon grade, mais cela nous procura une bonne fin de journée.

Notre bâtiment, récemment construit n'est toujours pas desservi par les transports en commun.
L'arrêt le plus proche se trouve à une bonne quinzaine de minutes à pieds.

Il y a quelques jours, le soir en partant, j'ai croisé la nouvelle assistante RH, que je nommerais A., qui marchait d'un pas léger en direction de l'arrêt de bus.
Ma bonté légendaire, additionné aux températures polaires qui gagnaient notre atmosphère, m'empêcha d'appuyer sur le champignon et de la laisser à son destin quotidien. Je m'arrêtais donc à son niveau et lui proposa de la déposer.
Ce cours parcours, 2 ou 3 minutes, nous permis de faire de simples présentations d'usage, rien de très attrayant.


Le lendemain en sortant je la retrouve sur mon chemin, coïncidence ?
non... vous travaillez dans la même boite et je suppose que le chemin pour rejoindre l'arret de bus est toujours le même.
prépare des sujets de conversations je sens que tu vas souvent la déposée lol .....peut être même qu'avec le temps ce sera jusqu'à sa porte ;)

Ps Salam tu vas bien ?
 
non... vous travaillez dans la même boite et je suppose que le chemin pour rejoindre l'arret de bus est toujours le même.
prépare des sujets de conversations je sens que tu vas souvent la déposée lol .....peut être même qu'avec le temps ce sera jusqu'à sa porte ;)

Ps Salam tu vas bien ?

Salam ça va merci et toi?

Lis la 3eme partie et tu comprendras pourquoi cela n'arrivera jamais
 
Et à ce moment que je me suis rendu compte du potentiel destructeur de cette affaire. J'étais à sa merci, cette gamine m'avait piégé et ce n'était que le début.
Je me ressaisi, il n'est pas question que cette mégère pourrisse ce que j'ai construit au fil des ans. Elle pouvait s'asseoir sur ces pseudos "documents manquants". Elle venait de "lâcher les chevaux" sans s'en rendre compte...


Crapule va ! Toi aussi va boire un verre avec ? Regardes moi à ta place, cash le premier jour je la déposerai ... chez moi !
 
Lol c'est une psychopathe cette fille. Je crois qu'elle serait capable de me tuer pour ne pas que je tombe dans l'escarcelle d'une autre


lol les histoires de love to night au bureau, faut éviter. Depuis La Rochelle et le beurre de karité, j'ai compris une chose : no zob in job !
 
Ah non compare pas mon histoirette à ton épopée karitéenne !
Toi c'est une autre galaxie, c'est high level

Galaxie de zbel, pour s'entendre dire Peut etre chez vous les musulmans c'est normal de coucher avec une fille et qu'il se passe rien après mais chez nous les chrétiens c'est pas des choses à la légère.. Alors que wallah il s était rien passé. Complétement malade cette fille ... wallah j'y pense et j'ai des frissons
 
ça va aussi merci !

je viens de lire...je pensais qu'il n'y avais pas encore eu de suite
mais apparemment les posts à la Red_1 sont devenus à la mode
du suspense et de l'écriture !

C'est quand meme divertissant non ? C'est mini nouvelle romatiquo dramatique

Red c'est LE maître en la matière. El phenomeno comme on l'appel du côté de chez nous

lol el zbelo ! Arretes tu te débrouilles pas mal aussi
 
Galaxie de zbel, pour s'entendre dire Peut etre chez vous les musulmans c'est normal de coucher avec une fille et qu'il se passe rien après mais chez nous les chrétiens c'est pas des choses à la légère.. Alors que wallah il s était rien passé. Complétement malade cette fille ... wallah j'y pense et j'ai des frissons

J'ai pas dis que c'était la galaxie des bisounours :D

Pourquoiiiiiiiiiii on tombe que sur des cas dégénéré de laboratoire ?
 
3ème partie:

3) Une heure après je reçois un mail du DRH qui me convoque dans son bureau! Quel choc! Comment ne pas trouver un lien entre cette citation à comparaitre et mon refus de "coopérer" avec A.
Forcément il y a un lien.
Je me dirige donc, une fois terminé ma tache courante, vers le bureau du DRH, confiant et sur de moi.
A l'intérieur, je ne le trouve pas lui… mais je la trouve elle. Rien qu'à voir sa trombine je n'ai qu'une envie c'est de faire demi-tour.
Je m'assois donc en essayant de garder mon sang-froid, ce qui n'est pas facile compte tenu de l'historique de la matinée.

Et là comme si de rien n'était, avec un calme olympien elle me régurgite une vague histoire de documents manquants dans mon dossier.
Sans perdre mon flegme je lui demande de me montrer le dossier et effectivement certains documents étaient aux abonnés absents.
Je me retourne vers elle et la regarde dans les yeux, à ce moment fini le gentil Yacine, j'ai aiguisé mon regard, froncer les sourcils, et me suis mis en mode "c'est quoi ton problème maintenant?!". Rien à faire, la chipie n'a pas bougé d'un cil. J'étais en face d'une statue et je ne trouvais pas la faille dans la cuirasse qu'elle avait dressée. J'en étais sur ce n'était que partie remise, la bougresse n'allait pas me lâcher.

Et à ce moment que je me suis rendu compte du potentiel destructeur de cette affaire. J'étais à sa merci, cette gamine m'avait piégé et ce n'était que le début.
Je me ressaisi, il n'est pas question que cette mégère pourrisse ce que j'ai construit au fil des ans. Elle pouvait s'asseoir sur ces pseudos "documents manquants". Elle venait de "lâcher les chevaux" sans s'en rendre compte...

Tu ne te prendrais pas pour Michael Douglas des fois?. Tu ne fantasmerais pas trop sur Demi Moore?
 
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