Le texte voté par le Parlement reprend plusieurs idées proposées par le parti d'extrême droite.
Le gouvernement a fait adopter son projet de loi immigration, mais à quel prix ? Le texte proposé par la commission mixte paritaire et adopté par le Parlement mardi 19 décembre est ressorti particulièrement durci par rapport à la version initiale du gouvernement. Marine Le Pen s'est d'ailleurs satisfaite de cette nouvelle version, parlant d'"une loi de durcissement des conditions de l'immigration". Et les 88 députés du Rassemblement national ont finalement voté en faveur du projet de loi.
Le texte est même "une victoire idéologique", selon la cheffe des députés d'extrême droite. Un constat partagé par la gauche, qui a fustigé "une minorité présidentielle lepénisée", selon les mots de la députée insoumise Marianne Maximi sur X. "Un texte qui traite des étrangers, voté avec l'extrême droite, par l'extrême droite et pour l'extrême droite, jamais je n'aurais cru que ce soit possible", a aussi lancé le député écologiste Benjamin Lucas dans l'Hémicycle.
Le gouvernement a fait adopter son projet de loi immigration, mais à quel prix ? Le texte proposé par la commission mixte paritaire et adopté par le Parlement mardi 19 décembre est ressorti particulièrement durci par rapport à la version initiale du gouvernement. Marine Le Pen s'est d'ailleurs satisfaite de cette nouvelle version, parlant d'"une loi de durcissement des conditions de l'immigration". Et les 88 députés du Rassemblement national ont finalement voté en faveur du projet de loi.
Le texte est même "une victoire idéologique", selon la cheffe des députés d'extrême droite. Un constat partagé par la gauche, qui a fustigé "une minorité présidentielle lepénisée", selon les mots de la députée insoumise Marianne Maximi sur X. "Un texte qui traite des étrangers, voté avec l'extrême droite, par l'extrême droite et pour l'extrême droite, jamais je n'aurais cru que ce soit possible", a aussi lancé le député écologiste Benjamin Lucas dans l'Hémicycle.