Proverbes et citations

  • Initiateur de la discussion Initiateur de la discussion Auroraa
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Le temps s'écoule en silence, comme un ruisseau tranquille qui trace sa route sans bruit, mais dont la force érode les pierres, les corps, les cœurs.
Il ne se presse jamais, mais il avance toujours, implacable, indifférent à nos supplications, à nos tentatives maladroites de l'arrêter.
Nous courrons derrière lui, cherchant à retenir des instants, à figer des souvenirs dans la matière des jours.
Mais c'est une course perdue d'avance, le temps ne s'arrête jamais.

Il s'infiltre partout, dans chaque moment de joie, dans chaque éclat de rire. Il est là, discret, tapi dans l'ombre des journées heureuses, attendant de transformer les sourires en nostalgie.
Le temps, c'est cet étrange compagnon qu'on oublie parfois, mais qui finit toujours par nous rappeler sa présence.
Il ne crie pas, ile ne frappe pas. Il passe, simplement.

Manon Silva Roma
 
Oui il passe.. drôle de coïncidence.. pensées du jour que j ai contrebalancées en écoutant la chanson de Reggiani, le temps qui reste..
Je l'aime tant ce temps qui reste..
Cadeau de début d'année pour toi avec cette chanson, triste mais pleine d'espoirs..

Combien de temps...
Combien de temps encore
Des années, des jours, des heures, combien ?
Quand j'y pense, mon coeur bat si fort...
Mon pays c'est la vie.
Combien de temps...
Combien ?
Je l'aime tant, le temps qui reste...
Je veux rire, courir, pleurer, parler,
Et voir, et croire
Et boire, danser,
Crier, manger, nager, bondir, désobéir
J'ai pas fini, j'ai pas fini
Voler, chanter, parti, repartir
Souffrir, aimer
Je l'aime tant le temps qui reste
Je ne sais plus où je suis né, ni quand
Je sais qu'il n'y a pas longtemps...
Et que mon pays c'est la vie
Je sais aussi que mon père disait :
Le temps c'est comme ton pain...
Gardes-en pour demain...
J'ai encore du pain
Encore du temps, mais combien ?
Je veux jouer encore...
Je veux rire des montagnes de rires,
Je veux pleurer des torrents de larmes,
Je veux boire des bateaux entiers de vin
De Bordeaux et d'Italie
Et danser, crier, voler, nager dans tous les océans
J'ai pas fini, j'ai pas fini
Je veux chanter
Je veux parler jusqu'à la fin de ma voix...
Je l'aime tant le temps qui reste...
Combien de temps...
Combien de temps encore ?
Des années, des jours, des heures, combien ?
Je veux des histoires, des voyages...
J'ai tant de gens à voir, tant d'images..
Des enfants, des femmes, des grands hommes,
Des petits hommes, des marrants, des tristes,
Des très intelligents et des ****,
C'est drôle, les **** ca repose,
C'est comme le feuillage au milieu des roses...
Combien de temps...
Combien de temps encore ?
Des années, des jours, des heures, combien ?
Je m'en fous mon amour...
Quand l'orchestre s'arretera, je danserai encore...
Quand les avions ne voleront plus, je volerai tout seul...
Quand le temps s'arretera..
Je t'aimerai encore
Je ne sais pas où, je ne sais pas comment...
Mais je t'aimerai encore...
D'accord ?

 
"Carpe Diem", le magnifique poème de Walt Whitman, une ode vibrante à vos rêves :

"Ne laisse pas le jour finir sans avoir grandi un peu,
Sans être heureux, sans avoir atteint tes rêves.
Ne te laisse pas vaincre par la déception.
Ne laisse personne t’enlever le droit de parler, c’est presque un devoir.
N’abandonne pas le désir de faire de ta vie quelque chose de spécial.
Crois bien que les mots et la poésie peuvent changer le monde.
Quoi qu’il advienne, notre être profond reste intact,
Nous sommes pleinement des êtres de passion.
La vie est désert et oasis.
Nous tombons, nous avons mal, nous apprenons, nous sommes les acteurs de notre histoire,
En dépit des vents contraires, ce travail puissant continue,
Tu peux en écrire une strophe.
Ne cesse jamais de rêver, parce que dans son rêve, l’homme est libre
Ne t’abandonne pas à la pire des fautes, le silence.
La plupart des hommes vivent dans le silence. Echappe-toi !
Apprécie la beauté des choses simples.
Tu peux écrire des poèmes sur des choses simples
Mais on ne peut voguer contre soi-même
Cela fait de la vie un enfer.
Aime la peur qui te fait aller de l’avant
Vis intensément, sans médiocrité
N’oublie pas que tu es le futur et aborde cette tâche avec fierté, sans crainte,
Apprends de ceux qui peuvent t’instruire
Ne laisse pas la vie s’écouler sans vivre cela."

#WaltWhitman
Carpe Diem
 
Le temps s'écoule en silence, comme un ruisseau tranquille qui trace sa route sans bruit, mais dont la force érode les pierres, les corps, les cœurs.
Il ne se presse jamais, mais il avance toujours, implacable, indifférent à nos supplications, à nos tentatives maladroites de l'arrêter.
Nous courrons derrière lui, cherchant à retenir des instants, à figer des souvenirs dans la matière des jours.
Mais c'est une course perdue d'avance, le temps ne s'arrête jamais.

Il s'infiltre partout, dans chaque moment de joie, dans chaque éclat de rire. Il est là, discret, tapi dans l'ombre des journées heureuses, attendant de transformer les sourires en nostalgie.
Le temps, c'est cet étrange compagnon qu'on oublie parfois, mais qui finit toujours par nous rappeler sa présence.
Il ne crie pas, ile ne frappe pas. Il passe, simplement.

Manon Silva Roma
La premiere et les 3 dernieres phrases sont magnifique tout cela devrait nous "parler"
 
The future keeps its secrets concealed,
A timeless mystery never revealed.
We regret the past, its fleeting light,
But rewriting it is beyond our might.

From my brief journey, I’ve come to see,
That "always" and "never" can never be.
All is fragile, daring, and brief,
Even love walks paths of grief.

Promises, vows, and passion’s flame,
None endure, none stay the same.
Love requires hearts truly aligned,
Effort, patience, and courage combined.

In this life, we’re tested each day,
And our hearts are the first to fray.
To forgive, to love, to cherish, to care,
Is never easy, but always rare.

If fate allows us to reunify,
To love again and let doubts die,
Then let it be, without delay,
No fear to stop us, no thoughts to sway.

Let’s seize the time that life bestows,
To love, to heal, to let it grow.
Together, let’s dream, with hearts sincere,
And build a world of love and cheer.

Auroraa
 
The future keeps its secrets concealed,
A timeless mystery never revealed.
We regret the past, its fleeting light,
But rewriting it is beyond our might.

From my brief journey, I’ve come to see,
That "always" and "never" can never be.
All is fragile, daring, and brief,
Even love walks paths of grief.

Promises, vows, and passion’s flame,
None endure, none stay the same.
Love requires hearts truly aligned,
Effort, patience, and courage combined.

In this life, we’re tested each day,
And our hearts are the first to fray.
To forgive, to love, to cherish, to care,
Is never easy, but always rare.

If fate allows us to reunify,
To love again and let doubts die,
Then let it be, without delay,
No fear to stop us, no thoughts to sway.

Let’s seize the time that life bestows,
To love, to heal, to let it grow.
Together, let’s dream, with hearts sincere,
And build a world of love and cheer.

Auroraa
magnifique texte, plein d'espoir, d'amour et d'humanité
Bravo @Auroraa
je suis fan ;)
 
I cannot tell if it’s this dream,
Or if my heart, my soul’s faint gleam,
Whispers truths I long to trust,
Though once they drowned me in the dust.

I guard myself, a wary stance,
One side seeks seas, a bold advance,
While the other warns of fatal blows,
Of errors past and pain that grows.

Confusion reigns within my mind,
No room for riddles left to find.
For I have tasted bitter pain,
A loss so great, it leaves its stain.

Time is both an enemy near,
And yet a friend to heal and steer.
It answers questions, soothes the soul,
Yet reminds us life is not whole.

What would you do; would you retreat?
Or would you rise, your fears defeat?
I have no answers, none to share,
So I let fate take me where it dares.

With destiny, I’ve often played,
And every time, my hopes betrayed.
But now I choose to walk its way,
To trust its turns, to let it sway.

To you, my friend, the choice is clear,
The ball is yours, the path is near.
Decide the step you wish to take,
I’ll stand in peace with what you make.

For when I yield, I find my calm,
My heart restored, a soothing balm.
With fate as guide, and you to steer,
I’ll face the future without fear.

A
 
avec ton chat GPT ? :p
tu m'as démasqué 😂 Le résultat est fascinant :timide:. Enfin, je m’amuse à écrire des poèmes libres, sans rimes, tandis que lui s’occupe de les habiller de rimes. J’aime profondément la poésie ; elle nous permet de nous exprimer avec élégance et une certaine discrétion. Autrefois, je composais seule, mais aujourd’hui, je me laisse porter par la facilité de la technologie, tout en découvrant une forme de beauté et une certaine complicité. :p
 
tu m'as démasqué 😂 Le résultat est fascinant :timide:. Enfin, je m’amuse à écrire des poèmes libres, sans rimes, tandis que lui s’occupe de les habiller de rimes. J’aime profondément la poésie ; elle nous permet de nous exprimer avec élégance et une certaine discrétion. Autrefois, je composais seule, mais aujourd’hui, je me laisse porter par la facilité de la technologie, tout en découvrant une forme de beauté et une certaine complicité. :p
Chat gpt peut être ton meilleur ami 😅
 
It’s been years, maybe even more,
Since I last picked up my pen to explore,
But you inspire me, sparking new light,
Awakening feelings that once were out of sight.

My heart, once silent, now beats anew,
A warmth inside, a rhythm so true.
A secret closeness, words rush to my mind,
Thoughts and questions, intertwining, undefined.

Is it another world that binds us here?
Or is it simply a connection so near?
I yearn to understand the depths I feel,
To unravel the truths that make it all real.

Does the red thread of fate still weave its way?
I once believed it was severed, lost for good, far away.
Even in silence, our hearts can convey,
In a language soft, yet bright as day.

Is it an illusion that clouds my mind?
Or is there a truth I’m meant to find?
Tell me if something has been left behind,
For I seek the truth, and all that's confined.
 
I thought I'd outgrown the games of youth,
The quarrels, the interest, and the reckless truth.
Yet here I am, amused, caught in the thrill,
A spark of mystery, a playful chill.

I don’t want to play with fire, it might burn,
So I keep my distance, and slowly learn,
No need for closeness, just a careful space,
Between two boundaries, at a steady pace.

Not lost, nor fully sure, I linger here,
In a balance, where all feels clear.
I don’t claim to be brave, far from the part,
I’m shy, proud, reserved, with a cautious heart.

Perhaps it's best to watch and feel,
To wait for fate, to see what’s real.
For who knows what the future may bring,
In this dance with time, where anything can spring.

Auroraa
 
Il est essentiel de se débarrasser de ce mauvais goût qui consiste à vouloir plaire à tout le monde. Les grandes choses appartiennent aux grands, les abîmes aux âmes profondes, les finesses aux esprits subtils. Les bizarreries, enfin, sont destinées aux êtres singuliers.
Haruki Murakami.
 
Tu ne peux contrôler tous les événements qui t’arrivent, mais tu peux décider de ne pas être réduite à eux. Essaie d’être un arc-en-ciel dans le nuage d’autrui. Ne te plains pas. Fais tout ton possible pour changer les choses qui te déplaisent et si tu ne peux opérer aucun changement, change ta façon de les appréhender.
Maya Angelou
 
"Donne de l'amour à tout le monde, donne de la confiance à peu, et ne fais de mal à personne. Fais semblant d'aller bien toujours, peu importe les tempêtes de la vie, car le silence est bien mieux que la pitié des autres ! Les vrais amis sont difficiles à trouver, difficiles à quitter, et impossibles à oublier."
William Shakespeare
 
"On second thought, I think I am more crazy than my goat". Remedios Varo
 
"Clinging to what’s broken may comfort the heart, but true healing begins when we learn to let go."


I have a mug I cherished so,
Its gentle warmth, its steady glow.
One fateful day, its handle broke,
Yet I held on, my heart bespoke.

Though cracked, it seemed to serve me still,
I couldn't bear to toss it at will.
I kept it close, ignored the flaw,
Unwilling to see what time would draw.

But one sharp day, it turned to harm,
Its jagged edge broke my calm.
A simple sip became a sting,
A painful truth it had to bring.

We cling to things we cannot mend,
Ignoring signs they might offend.
But brokenness, it finds a way,
To teach us softly when to stray.

And so I’ve learned to let them go,
The fractured pieces, the silent woe.
For in release, there lies a start,
A chance for wholeness to heal the heart.
 
Dernière édition:
"Happiness is not a matter of intensity but of balance, order, rhythm and harmony."
Thomas Merton
 
Dernière édition:
If I should ponder what thou dost desire,
And find no words thy heart doth yet require,
Though I may sense thy silent, fleeting flame,
I crave thy voice to grant thy love a name.

Dost thou still cherish me? I scarce dare ask,
For truth may wear a bold and daunting mask.
We cannot to our former state return,
Yet new bonds forged may through our passion burn.

I seek not shadows, hidden from the light,
But love proclaimed with pride, in sacred right.
A love that stands unshaken, pure and true,
Blessed by the heavens, shared 'twixt me and you.

No longer would I cower, cloaked in fear,
But build a home where trust and faith appear.
Where honor reigns, and hearts together mend,
A covenant that neither time shall end.

O, grant me vows of love’s eternal flame,
With steadfast truth, and free of fickle shame.
Should I choose thee, and thou dost choose me still,
Together we shall shape our fated will.

For though joy’s promise rests on fleeting wing,
Through toil and care, our hearts shall learn to sing.
And hand in hand, through tempest or through calm,
We’ll seek our bliss, and find our soul’s own balm.
 
He:
From shadows deep, my guilt does rise,
A storm of sorrow beneath the skies.
Lo, I sought to punish my weary soul,
Until thy pardon might render me whole.

She:
How much longer must I endure thy plea?
Knowest thou not, we’ve spent more time in agony
Than in the tender arms of love’s delight?
If I must wait still, tell me, how many nights?
And if thou seek’st to suffer, let it be my decree,
For none but I should mete thy penance to thee.

He:
Thou punish’st me already, dost thou not see?
Thou art before mine eyes, yet far from me.
I long to hold thee, but I must refrain,
This burning restraint doth drive me insane.

She:
I can no longer bear this cruel divide,
My heart demands, let fervor be my guide.
Let us break these chains, cast doubt away,
For love’s true glow shall brighten our way.

From "when the phone rings"
 
“It takes three to make love, not two: you, your spouse, and God. Without God people only succeed in bringing out the worst in one another. Lovers who have nothing else to do but love each other soon find there is nothing else. Without a central loyalty life is unfinished.”
Fulton J. Sheen

étrangement ça me parait raisonnable.
 
"La seule loi universelle que je reconnais encore et toujours est : rien n'est permanent. Tout est en perpétuel changement."
 
We wish, we hope, we plead with the skies,
Yet what we receive often defies.
A hidden lesson, a gift unspoken,
Or trials sent, our spirits to woken.

Our hearts may crave, with fervent fire,
For fleeting dreams or deep desire.
But can we see, beyond our view,
If what we want is false or true?

For life’s a test, a trial vast,
To measure faith, through storms we’re cast.
Can we release and calmly trust,
Or let obsession breed its rust?

Each moment, fate refines our soul,
Its fires burn, to make us whole.
No thing on earth remains the same,
Not joy, nor pain, nor fleeting fame.


Place faith in God, His wisdom is clear,
Through every trial, let courage steer.
Embrace each test, let your heart remain sure,
For in transient life, find the strength to endure.

A.
 
J aime pas la langue anglaise et je me soigne avec..... La fontaine

Maître Corbeau, sur un arbre perché,
Tenait en son bec un fromage.
Maître Renard, par l'odeur alléché,
Lui tint à peu près ce langage :
Et bonjour, Monsieur du Corbeau.
Que vous êtes joli ! que vous me semblez beau !
Sans mentir, si votre ramage
Se rapporte à votre plumage,
Vous êtes le Phénix des hôtes de ces bois.
À ces mots, le Corbeau ne se sent pas de joie ;
Et pour montrer sa belle voix,
Il ouvre un large bec, laisse tomber sa proie.
Le Renard s'en saisit, et dit : Mon bon Monsieur,
Apprenez que tout flatteur
Vit aux dépens de celui qui l'écoute.
Cette leçon vaut bien un fromage, sans doute.
Le Corbeau honteux et confus
Jura, mais un peu tard, qu'on ne l'y prendrait plus. 🤫
 
My cousin asked me, in a quiet refrain,
"Do you not yearn to let go of the chain?
To shed the old and embrace the new,
To sail unknown seas, beneath skies so blue?"

I paused, my truth concealed in disguise,
And answered her softly, with tempered lies:
"It's complicated, this life that I know,
A comfort, a rhythm, a steady flow."

Yet deep in my heart, a whisper stirred,
A longing unspoken, a dream deferred.
To shatter the mold, to break routine,
To chase wild winds and sights unseen.

I crave the thrill of the uncharted path,
To disrupt my days with courage and wrath.
Madness, I have! it's courage I lack,
To leave stability and not look back.

So tell me, dear soul, will you be the flame,
To spark my heart, to steady my aim?
For if you grant me the strength I need,
I’ll dare to venture, to risk, to lead.

A.

Un jour ma cousine, d'un ton posé,
M'a demandé : "Ne veux-tu jamais tout délaisser ?
Lâcher prise, changer d'univers,
Prendre un navire, voguer sur des mers mystères ?"

J’ai hésité, mon cœur plein de non-dits,
Et lui ai répondu avec des mots adoucis :
"Tu sais, c’est compliqué de tout quitter,
De lâcher ce confort auquel je suis attaché."

Mais en secret, une flamme vacille,
Un désir caché, un rêve qui scintille.
Briser la routine, défaire l’ennui,
Partir sans détour, dans l’éclat de la nuit.

Je veux m’élancer, bousculer mes jours,
Quitter la quiétude pour un nouveau parcours.
La folie m'habite, mais il me manque l'audace,
Pour fuir la stabilité et tourner la glace.

Alors dis-moi, toi, seras-tu ma lumière,
Celle qui guide mes pas dans cet univers ?
Si tu m’offres le courage dont j’ai besoin,
Je larguerai les amarres et tracerai mon chemin.
 
Why are you hiding, keeping thoughts inside,
Afraid to face your heart, or do you just confide
In running from the truth that stares you down,
Escaping reality where answers are found?

Are you unsure of what it is you need,
Or is it something you fear you can't achieve?
Are you tied by promises, bound by chains,
Or playing a game where nothing remains?

Do you feel guilt for mistakes you've made,
Or has pride built walls that won’t let them fade?
But why do you shake, why do you sigh,
Reaching for meaning beyond the sky?

It seems so strange! where's your resolve,
The strength to face or problems to solve?
Are you waiting for me to take the lead,
To give you permission, to plant the seed?

I wonder as you linger, silent and still—
What holds you back, what bends your will?
 
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