Que pensez des mamans qui (flirt) dans les forums ?

Mais certains utilisent souvent l'argument de l'inceste pour critiquer l'homosexualité

Je suis au courant, et je crois pas qu'il y ait de réponse facile. La permission de l'homosexualité peut pas s'appuyer sur l'autorité d'une religion ou révélation, donc elle cherche des légitimations dans l'éthique laïque, en particulier le libéralisme. Mais si on s'en tient à la lettre de ce genre d'éthique, on a effectivement du mal à justifier le tabou de l'inceste selon la logique de ce système. Cela sert de réfutation par l'absurde aux revendications des LGBT.

Ou alors il faut trouver une différence significative entre la permission de l'un et la permission de l'autre.
 
As-tu conscience que c'est pas ce qu'on entend par consentement?

Un animal ne peut pas réellement consentir, ni un enfant, ni un ado avec un adulte.

Même si le gamin ou la gamine croit ressentir du désir, c'est pas un consentement valide, parce que leur cerveau est pas encore assez mûr pour juger sagement. Et donc on parle plutôt ici d'un abus de pouvoir et de manipulation.

Je n'ai jamais parlé du consentement d'un animal (??), un animal tu lui mets une gamelle devant lui il y va si il a faim sinon il n'y va pas.

Au tribunal, dans la lois française, et dans certains cas de relations x entre un adulte et un enfant, le consentement de l'enfant a été retenu comme circonstance atténuante:

Consentement des mineurs et rapports sexuels : ce que dit la loi​

Après deux décisions de justice controversées, plusieurs propositions de loi ont été déposées pour établir un âge en-dessous duquel le non-consentement serait présumé.
Par Anne-Aël Durand et Gary Dagorn
Publié le 13 novembre 2017 à 16h37 - Mis à jour le 10 mai 2018 à 10h48
Deux affaires récentes ont relancé la question du consentement des mineurs à un acte sexuel. La cour d’assises de Seine-et-Marne a acquitté, mardi 7 novembre, un homme jugé pour le viol d’une fille de 11 ans, au motif qu’il n’était pas établi que la relation sexuelle avait eu lieu sous la contrainte. En septembre, Mediapart avait révélé que le tribunal correctionnel de Pontoise allait juger pour « atteinte sexuelle » et non pour « viol » la relation entre une fille de 11 ans et un homme de 28 ans, parce que le parquet estimait que rien ne prouvait que l’acte ait été imposé par la contrainte, la violence, la menace ou la surprise.



Se qui vous gène dans cette histoire de consentement c'est le fait que si vous admettez que le consentement existe même chez un enfant mais que vous etes contre la pédophilie consentie, alors vous vous retrouvez en porte à faux face à la sainte "religion" de la liberté.
Biensur qu'un enfant peut consentir, c'est un fait indiscutable, il peut consentir de manger, de ranger sa chambre, etc mais soudain pour un truc en particulier il perdrait sa liberté de conscience comme par magie ?

En réalité le problème c'est pas le consentement de l'enfant ou pas. C'est que l'enfant a des restrictions de libertés, bien qu'il puisse consentir, car MORALEMENT c'est une dérive et pas un comportement normal. Mais vous n'aimez pas parler de restriction de liberté, de moralité qui mettent des barrière à la liberté alors vous trouvez des tours de passe-passe comme quoi l'enfant ne pourrait pas consentir...

Mais tu vas voir dans quelques temps, toutes ces dernières barrières "anti-liberté" (🤮)vont tomber, on parlera de liberté sexuelle de l'enfant, la zoophilie va aussi proliférer etc le terreau est très fertile pour installer ces crasseries, les justifications sont déjà là...


On en a déjà discuté dans une autre vie, cet échange ne te dis pas quelque chose ? :D
 
...beaucoup de gros kon pensent qu'une mère devrait rentrer dans les ordres si son mariage echoue
Ce sont des pensées pathologiques, rétrogrades et réactionnaires.
Une personne adulte a tous les droits de prendre les décisions qu'elle estime justes et pertinentes pour elle en situation d'épreuve.
Non à la dictature du régime communautaire.
 
Je n'ai jamais parlé du consentement d'un animal (??), un animal tu lui mets une gamelle devant lui il y va si il a faim sinon il n'y va pas.

Au tribunal, dans la lois française, et dans certains cas de relations x entre un adulte et un enfant, le consentement de l'enfant a été retenu comme circonstance atténuante:

Consentement des mineurs et rapports sexuels : ce que dit la loi​

Après deux décisions de justice controversées, plusieurs propositions de loi ont été déposées pour établir un âge en-dessous duquel le non-consentement serait présumé.
Par Anne-Aël Durand et Gary Dagorn
Publié le 13 novembre 2017 à 16h37 - Mis à jour le 10 mai 2018 à 10h48
Deux affaires récentes ont relancé la question du consentement des mineurs à un acte sexuel. La cour d’assises de Seine-et-Marne a acquitté, mardi 7 novembre, un homme jugé pour le viol d’une fille de 11 ans, au motif qu’il n’était pas établi que la relation sexuelle avait eu lieu sous la contrainte. En septembre, Mediapart avait révélé que le tribunal correctionnel de Pontoise allait juger pour « atteinte sexuelle » et non pour « viol » la relation entre une fille de 11 ans et un homme de 28 ans, parce que le parquet estimait que rien ne prouvait que l’acte ait été imposé par la contrainte, la violence, la menace ou la surprise.



Se qui vous gène dans cette histoire de consentement c'est le fait que si vous admettez que le consentement existe même chez un enfant mais que vous etes contre la pédophilie consentie, alors vous vous retrouvez en porte à faux face à la sainte "religion" de la liberté.
Biensur qu'un enfant peut consentir, c'est un fait indiscutable, il peut consentir de manger, de ranger sa chambre, etc mais soudain pour un truc en particulier il perdrait sa liberté de conscience comme par magie ?

En réalité le problème c'est pas le consentement de l'enfant ou pas. C'est que l'enfant a des restrictions de libertés, bien qu'il puisse consentir, car MORALEMENT c'est une dérive et pas un comportement normal. Mais vous n'aimez pas parler de restriction de liberté, de moralité qui mettent des barrière à la liberté alors vous trouvez des tours de passe-passe comme quoi l'enfant ne pourrait pas consentir...

Mais tu vas voir dans quelques temps, toutes ces dernières barrières "anti-liberté" (🤮)vont tomber, on parlera de liberté sexuelle de l'enfant, la zoophilie va aussi proliférer etc le terreau est très fertile pour installer ces crasseries, les justifications sont déjà là...


On en a déjà discuté dans une autre vie, cet échange ne te dis pas quelque chose ? :D

Bonjour...

Mais non, il y a pas de consentement valide chez l'enfant, parce que l'enfant n'est pas assez mûr pour juger raisonnablement de ce qui lui convient et comprendre ce qu'on lui fait. C'est pas un point qui devrait être discutable : cela fait partie du bon sens. C'est un peu comme parler du consentement des personnes avec des déficiences intellectuelles ou des problèmes mentaux non traités...

Imagine, dans un autre domaine, qu'on laisse les enfants parfaitement libres de choisir ce qu'ils veulent manger. C'est presque certain qu'ils auront pas des menus équilibrés et qu'ils vont manger en excès des choses mauvaises pour la santé!! Parce qu'un enfant est trop jeune pour comprendre... C'est aussi pour cela qu'on les force à aller à l'école, même si ça les ennuie.

Tu cites des exemples de faits divers et de décisions des tribunaux. Ok, mais je crois que ces tribunaux se trompent et que l'apparence de consentement d'une gamine de 11 ans ne compte pas comme circonstance atténuante. Si c'est une disposition de la loi, je suis en faveur de sa modification afin de mieux protéger les enfants.

Quand à la « légitimation » de la pédophilie, il y a déjà eu un débat sur cette question en Occident dans les années 70/80, et le débat a été clos en faveur de la protection de l'enfant et du rejet des pédophiles. Je constate surtout un fort antagonisme envers les pédophiles en Occident, et cela semble bien ancré.
 
Je n'ai jamais parlé du consentement d'un animal (??), un animal tu lui mets une gamelle devant lui il y va si il a faim sinon il n'y va pas.

Au tribunal, dans la lois française, et dans certains cas de relations x entre un adulte et un enfant, le consentement de l'enfant a été retenu comme circonstance atténuante:

Consentement des mineurs et rapports sexuels : ce que dit la loi​

Après deux décisions de justice controversées, plusieurs propositions de loi ont été déposées pour établir un âge en-dessous duquel le non-consentement serait présumé.
Par Anne-Aël Durand et Gary Dagorn
Publié le 13 novembre 2017 à 16h37 - Mis à jour le 10 mai 2018 à 10h48
Deux affaires récentes ont relancé la question du consentement des mineurs à un acte sexuel. La cour d’assises de Seine-et-Marne a acquitté, mardi 7 novembre, un homme jugé pour le viol d’une fille de 11 ans, au motif qu’il n’était pas établi que la relation sexuelle avait eu lieu sous la contrainte. En septembre, Mediapart avait révélé que le tribunal correctionnel de Pontoise allait juger pour « atteinte sexuelle » et non pour « viol » la relation entre une fille de 11 ans et un homme de 28 ans, parce que le parquet estimait que rien ne prouvait que l’acte ait été imposé par la contrainte, la violence, la menace ou la surprise.



Se qui vous gène dans cette histoire de consentement c'est le fait que si vous admettez que le consentement existe même chez un enfant mais que vous etes contre la pédophilie consentie, alors vous vous retrouvez en porte à faux face à la sainte "religion" de la liberté.
Biensur qu'un enfant peut consentir, c'est un fait indiscutable, il peut consentir de manger, de ranger sa chambre, etc mais soudain pour un truc en particulier il perdrait sa liberté de conscience comme par magie ?

En réalité le problème c'est pas le consentement de l'enfant ou pas. C'est que l'enfant a des restrictions de libertés, bien qu'il puisse consentir, car MORALEMENT c'est une dérive et pas un comportement normal. Mais vous n'aimez pas parler de restriction de liberté, de moralité qui mettent des barrière à la liberté alors vous trouvez des tours de passe-passe comme quoi l'enfant ne pourrait pas consentir...

Mais tu vas voir dans quelques temps, toutes ces dernières barrières "anti-liberté" (🤮)vont tomber, on parlera de liberté sexuelle de l'enfant, la zoophilie va aussi proliférer etc le terreau est très fertile pour installer ces crasseries, les justifications sont déjà là...


On en a déjà discuté dans une autre vie, cet échange ne te dis pas quelque chose ? :D

Je ne suis pas un partisan inconditionnel de la liberté. La liberté doit être mise en balance avec d'autres valeurs, comme la solidarité et la bienveillance, en particulier envers les enfants et les personnes vulnérables. Trop de liberté mène au crime.
 
En ce moment sur bladinettes beaucoup de posts sur la critique de " L'autre" ...
Les beurettes, les mamans, les çi les ça... Etc...
Même sur un poste de Noël ça critique encore les pratiques ou pas...
Ça devient une catastrophe, vous n'avez pas assez avec vos propres problèmes ?
Ah non je te rassure ça a tjrs été comme ça mm il y'a 15 ans :D

Ah la magie Bladinautique :D
 
Un sujet qui auraient pu avoir sa place à "c'est mon choix" et dans lequel les invités auraient été, une fois de plus, des k-sos qui se croiraient distingués, mais pas comme ils penseraient, pour nous dirent qu'ils n'avaient pas choisi.
 
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