quelle est la premiere sourate révélée au prophete(sws)

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Pour prétendre que le Coran raconte l'histoire d'un prophète nommé Muhammad. Une histoire élaborée à partir de versets coraniques et plagiée sur des légendes judéo-perses (Mani et sa méditation sur le Dieu unique dans la grotte, l'ange qui le rend visite, ect.). Dès que ces mensonges deviennent des faits historiques, il devient alors facile de véhiculer à travers le personnage de Muhammad un ensemble d'ordres qualifiés de sacré. Ces lois humaines travesties en lois divines servent les intérêts de ceux qui les ont forgées.


Ici il est question de savoir quel verset est le premier .
tout les hadiths se rapportant a ceci ne sont pas contradictoires dans le fond !!
Je ne vois pas en quoi il y aurait un enjeu quelconque ou une recuperation quelconque .
Sur d'autres sujets je suis d'accord avec toi , les recits quand a la vie du prophete peuvent etre recuperes politiquement mais sur ce sujet precis je ne vois pas



Pourquoi le début et la fin ne seraient-ils ceux qu'on trouve dans les corans actuels ET surtout dans les plus anciens manuscrits en notre possession?

Pour moi, il n'y a ni début ni fin globale.

Cela ressemble plus à recueil de chapitre mis l'un après l'autre. Pour preuve, presque chaque sourate (et non chaque verset!) pourrait se lire indépendamment des autres.

Tu vois tu dis bien l'un apres l'autre donc tu insinues qu'il y a un ordre et ce que nous cherchons a savoir !!!

la premiere sourat c Alalaq
 
Changer l'ordre des versets EST une falsification mon cher. :D

Oui ca l'est mais le Coran othmanien impose un ordre des sourates pas des versets .
Ceci pour dire choisis l'ordre des sourates que tu veux , comment par ibrahim et termine par al ikhlas :D


Le prophète est Oummi selon le Coran sauf que ce mot ne signifiait pas "illettré".

Oui on est d'accord quand je dis oummi j'ai oublie de precise au sens 'illetre'' pardon .

Et comment Dieu aurait ouvert la mer pour laisser passer le peuple de Moise??

Demandes lui !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
 
Nul doute que le noble Prophète, Salla Allahou Alaihi wa Sallam, est né illettré et qu'il ait demeuré ainsi jusqu'à la révélation divine. Or ce fait est une perfection en ce qui le concerne et c'est l'un de ses miracles !

Tout le monde nait illettré. Sur ça, il n'y a aucun doute. :rolleyes:

ça ne constitue en rien un miracle. On peut être poète ET illettré. C'est rare, mais ça existe.

Allah dit : "C'est Lui qui a envoyé à des gens sans livre (illettrés), un Messager des leurs qui leur récite Ses versets, les purifié et leur enseigne le Livre et la sagesse, bien qu'ils étaient auparavant dans un égarement évident " (Sourate 62/verset 2).

Là étrangement, le mot "oummi" veut dire des "gens sans livre" c-à-d sans révélation. Tiens, tiens....

Certains versets coraniques ont mentionné la raison pour laquelle le Prophète, Salla Allahou Alaihi wa Sallam, était illettré. C'est le cas de ce verset:


"Et avant cela, tu ne récitais aucun livre, tu n'en écrivais aucune de ta main droite. Sinon ceux qui nient la vérité auraient eu des doutes "(Sourate 29/480).

Moi je n'ai jamais écrit de Livre. Suis-je pour autant illettré?

Ibn Achour a dit : "C'est une preuve que le Prophète, Salla Allahou Alaihi wa Sallam, est connu par l'attribut d`analphabétisme."

N'importe quoi! Tous ceux qui ne sont pas écrivain sont analphabète pour Ibn Achour.

Son analphabétisme prouve que c'est Allah le Très Haut qui lui a révélé le Coran. D'ailleurs plusieurs versets citent cette argumentation. Comme ce verset: "Et c'est ainsi que Nous t'avons révélé un esprit (le Coran) provenant de Notre Ordre. Tu n'avais aucune connaissance du livre, ni de la foi" (Sourate 43/52).

ça veut dire qu'il ignorait tout simplement les histoires bibliques reprises dans le Coran. Pour preuve, on parle de foi et non d'analphabétisme dans ce verset.
 
Tout le monde nait illettré. Sur ça, il n'y a aucun doute. :rolleyes:

ça ne constitue en rien un miracle. On peut être poète ET illettré. C'est rare, mais ça existe.



Là étrangement, le mot "oummi" veut dire des "gens sans livre" c-à-d sans révélation. Tiens, tiens....



Moi je n'ai jamais écrit de Livre. Suis-je pour autant illettré?



N'importe quoi! Tous ceux qui ne sont pas écrivain sont analphabète pour Ibn Achour.



ça veut dire qu'il ignorait tout simplement les histoires bibliques reprises dans le Coran. Pour preuve, on parle de foi et non d'analphabétisme dans ce verset.

tu raisone ou pas ???
Kel ecrivain ?
On parle pas d'un roman mais d'un coran c pas lui qui l'as ecris il l'as juste recité
tu comprend tjr de ta maniere :D
 
tu raisone ou pas ???
Kel ecrivain ?
On parle pas d'un roman mais d'un coran c pas lui qui l'as ecris il l'as juste recité
tu comprend tjr de ta maniere :D

C'est parce que je raisonne que j'ai du mal à avaler de telles "salades". Quand le coran parle de "kitab" (traduit par livre), il s'agit dans la plupart des cas d'un livre/écrit religieux.

Bref, le prophète n'a pas écrit de livre, mais ça n'empêche pas d'être capable de lire et même d'écrire par exemple un traité commercial.
 
la premiere sourat c Alalaq

salam alaykoum
barakAllahou fik suzaan, la Sounnah du Prophète (sallallahu ‘alayhi wa sallam) nous apprend le début de la Révélation;
Alhamdoulillah
`A'icha, l'épouse du Prophète, (qu'Allah soit satisfait d'elle) a dit:
La Révélation se présenta d'abord au Prophète (pbAsl) sous forme de visions pieuses qu'il voyait pendant son sommeil. Toutes lui parurent avec une très vive clarté. Puis, il eut de l'inclination à la retraite. Il se retirait alors dans la caverne de Hirâ', où il se livrait à la pratique d'actes d'adoration durant des nuits consécutives, avant qu'il ne rentre chez lui pour se munir de provisions de bouche. Il revenait ensuite vers Khadîja et prenait les provisions nécessaires pour une nouvelle retraite. Cela dura jusqu'à ce que la Vérité lui fut enfin révélée dans la caverne de Hirâ'. L'archange y vint alors lui dire: "Lis!". - "Je ne suis point de ceux qui lisent", répondit-il. Le Prophète raconta cet événement en ces termes: L'archange me saisit aussitôt, me pressa contre lui au point de me faire perdre toute force, puis me lâcha enfin en répétant: "Lis!". - "Je ne suis point de ceux qui lisent", répliquai-je encore. Cette scène se répéta à deux autres reprises. A la troisième fois, l'archange me dit:
>{Lis, au nom de ton Seigneur qui a créé, qui a créé l'homme d'une adhérence. Lis! Ton Seigneur est le Très Noble, qui a enseigné par la plume (le calame), a enseigné à l'homme ce qu'il ne savait pas. } <
Après avoir entendu ces versets, le Prophète (pbAsl), tremblant et palpitant, rentra chez son épouse Khadîja et s'écria: "Enveloppez-moi! Enveloppez-moi!". On s'empressa de le couvrir jusqu'au moment où son effroi fut dissipé. Alors, s'adressant à Khadîja, il la mit au courant de ce qui s'était passé, puis il ajouta: "Ah! J'ai cru que j'en allais mourir!". - "Au contraire, réjouis-toi!, répondit Khadîja, certes jamais Allah ne te plongera dans l'ignominie; car tu maintiens tes liens de parenté, tu ne dis que la vérité, tu soutiens les faibles, tu donnes aux indigents, tu héberges les hôtes, et tu viens en aide aux éprouvés". Ensuite Khadîja emmena Muhammad chez Waraqa ibn Nawfal ibn 'Asad ibn `Abd Al-`Uzzâ Cet homme, qui était le cousin paternel de Khadîja, avait embrassé le christianisme aux temps antéislamiques. Il savait l'arabe par écrit, et avait traduit vers l'arabe des passages de l'Evangile autant qu'Allah avait voulu. A cette époque, il était âgé et était devenu aveugle: "O mon cousin, lui dit Khadîja, écoute ce que va te dire le fils de ton frère". - "O fils de mon frère!, répondit Waraqa ibn Nawfal, de quoi s'agit-il?". Le Prophète (pbAsl) lui raconta alors ce qu'il avait vu. "C'est l'archange, dit Waraqa ibn Nawfal, qu'Allah a envoyé autrefois à Moïse (Mûsa) (pbAsl). Plût à Allah que je fusse jeune en ce moment! Ah! Comme je voudrais être encore vivant à l'époque où tes concitoyens te banniront!". - "Ils m'exileront donc?", s'écria le Prophète (pbAsl). - "Oui, reprit Waraqa Jamais un homme n'a apporté ce que tu apportes sans être persécuté! Si je vis encore en ce jour-là, je t'aiderai de toutes mes forces".
Numéro du Hadith dans le Sahîh de Muslim [Arabe uniquement]: 231
 
Aussi le Prophète Mohammed(sallallahu ‘alayhi wa sallam) est mentionné dans la Thora et l’Evangile
Allah le Plus Savant dit:
"Ceux qui suivent le Messager, le Prophète illettré qu'ils trouvent écrit (mentionné) chez eux dans la Thora et l'Evangile. Il leur ordonne le convenable, leur défend le blâmable, leur rend licites les bonnes choses, leur interdit les mauvaises, et leur ôte le fardeau et les jougs qui étaient sur eux. Ceux qui croiront en lui, le soutiendront, lui porteront secours et suivront la lumière descendue avec lui; ceux-là seront les gagnants."
[ Coran Al-Aa'raaf 7:156-157 ]

salam alaykoum
 
la premiere sourate révélée au prophete (sws) c'était biensur mes chers freres et soceur,sourat "al3ala9".cette sourate révélée au prophete (sws)dans la grotte d'haworaa.comme vous savez mes chers freres et soceurs le prophete (sws) était illettré.jabrail 3alayhi salam dit au prophete(sws); i9ra! prophete (sws) repondit en disant;je ne peux pas, fit jabrail a3alaihi salam pour la deuxieme fois, i9ra!
le prophete (sws) dit;comment tu veux que je répete ça et moi je ne sais pas lire ni écrire.?
fit jabrail 3alaihi salam pour la troisieme fois, i9ra bissmi rabika alathi khalaka ,khalaka linssan mn 3ala9in,sadaka'allahol3ahtim.w'allaho a3lam
 
sala


la premiere sourate révélée au prophete (sws) c'était biensur mes chers freres et soceurs,sourat "al3ala9".cette sourate révélée au prophete (sws)dans la grotte d'haworaa.comme vous savez mes chers freres et soceurs le prophete (sws) était illettré.jabrail 3alayhi salam dit au prophete(sws); i9ra! prophete (sws) repondit en disant;je ne peux pas, fit jabrail a3alaihi salam pour la deuxieme fois, i9ra!
le prophete (sws) dit;comment tu veux que je répete ça alors que je ne sais pas lire ni écrire.?
fit jabrail 3alaihi salam pour la troisieme fois, i9ra bissmi rabika alathi khalaka ,khalaka linssan mn 3ala9in,sadaka'allahol3athim.w'allaho a3lam
 
salam alaykoum
barakAllahou fik suzaan, la Sounnah du Prophète (sallallahu ‘alayhi wa sallam) nous apprend le début de la Révélation;
Alhamdoulillah
`A'icha, l'épouse du Prophète, (qu'Allah soit satisfait d'elle) a dit:
La Révélation se présenta d'abord au Prophète (pbAsl) sous forme de visions pieuses qu'il voyait pendant son sommeil. Toutes lui parurent avec une très vive clarté. Puis, il eut de l'inclination à la retraite. Il se retirait alors dans la caverne de Hirâ', où il se livrait à la pratique d'actes d'adoration durant des nuits consécutives, avant qu'il ne rentre chez lui pour se munir de provisions de bouche. Il revenait ensuite vers Khadîja et prenait les provisions nécessaires pour une nouvelle retraite. Cela dura jusqu'à ce que la Vérité lui fut enfin révélée dans la caverne de Hirâ'. L'archange y vint alors lui dire: "Lis!". - "Je ne suis point de ceux qui lisent", répondit-il. Le Prophète raconta cet événement en ces termes: L'archange me saisit aussitôt, me pressa contre lui au point de me faire perdre toute force, puis me lâcha enfin en répétant: "Lis!". - "Je ne suis point de ceux qui lisent", répliquai-je encore. Cette scène se répéta à deux autres reprises. A la troisième fois, l'archange me dit:
>{Lis, au nom de ton Seigneur qui a créé, qui a créé l'homme d'une adhérence. Lis! Ton Seigneur est le Très Noble, qui a enseigné par la plume (le calame), a enseigné à l'homme ce qu'il ne savait pas. } <
Après avoir entendu ces versets, le Prophète (pbAsl), tremblant et palpitant, rentra chez son épouse Khadîja et s'écria: "Enveloppez-moi! Enveloppez-moi!". On s'empressa de le couvrir jusqu'au moment où son effroi fut dissipé. Alors, s'adressant à Khadîja, il la mit au courant de ce qui s'était passé, puis il ajouta: "Ah! J'ai cru que j'en allais mourir!". - "Au contraire, réjouis-toi!, répondit Khadîja, certes jamais Allah ne te plongera dans l'ignominie; car tu maintiens tes liens de parenté, tu ne dis que la vérité, tu soutiens les faibles, tu donnes aux indigents, tu héberges les hôtes, et tu viens en aide aux éprouvés". Ensuite Khadîja emmena Muhammad chez Waraqa ibn Nawfal ibn 'Asad ibn `Abd Al-`Uzzâ Cet homme, qui était le cousin paternel de Khadîja, avait embrassé le christianisme aux temps antéislamiques. Il savait l'arabe par écrit, et avait traduit vers l'arabe des passages de l'Evangile autant qu'Allah avait voulu. A cette époque, il était âgé et était devenu aveugle: "O mon cousin, lui dit Khadîja, écoute ce que va te dire le fils de ton frère". - "O fils de mon frère!, répondit Waraqa ibn Nawfal, de quoi s'agit-il?". Le Prophète (pbAsl) lui raconta alors ce qu'il avait vu. "C'est l'archange, dit Waraqa ibn Nawfal, qu'Allah a envoyé autrefois à Moïse (Mûsa) (pbAsl). Plût à Allah que je fusse jeune en ce moment! Ah! Comme je voudrais être encore vivant à l'époque où tes concitoyens te banniront!". - "Ils m'exileront donc?", s'écria le Prophète (pbAsl). - "Oui, reprit Waraqa Jamais un homme n'a apporté ce que tu apportes sans être persécuté! Si je vis encore en ce jour-là, je t'aiderai de toutes mes forces".
Numéro du Hadith dans le Sahîh de Muslim [Arabe uniquement]: 231

Les Perses nous apprennent que Mani (transposé plus tard à Muhammad) avait des visions pieuses. Il se retirait pour méditer dans une grotte lorsqu'un ange est venu le voir pour lui transmettre une révélation et ceci à des multiples apparitions. Histoire daté du 3-4 ème siècle après J-c.

Le travail des "arabes" se résumaient à trouver un moyen de transposer cela à l'histoire manquante du "Muhammad" coranique. Pour que cette nouvelle histoire ait une certaine crédibilité, il fallait montrer qu'elle avait un lien avec la révélation c-à-d le Coran. Le manipulation a été de faire croire (à coup de hadith) que c'est le contexte dans lequel est descendu les premiers versets de la sourate al 3alaq.
 
Mais est ce que tu comprends que Dieu ordonne a un homme de lire alors qu'il est '' cense '' etre illetre ??

C'est illogique

le mot ''iqra'' ne veut pas dire ''lis'' dans ce contexte !!

Mais bien sur que je le sais !! ça ne veut pas "lis" au sesn propre du terme, il suffit de lire la suite des versets pour le comprendre.
 
Et pourquoi pas la fatiha?

ca devrai être ca ( c'est ca) et c'est très logique ! mais l'autre sourate 96 correspondrai mieux a un début d'histoire de Sira, ...comme quoi dans le tète des savants, ce qui compte c'est plus le début de l'histoire que le début du Coran.

En général sourate 1 c'est la numéro 1 donc le début , donc la première.
Mais comme ca " fait pas" début d'une histoire. et bien ils ont décider que ca sera la 96, parce quel commence par "Iqra"
 
ca devrai être ca ( c'est ca) et c'est très logique ! mais l'autre sourate 96 correspondrai mieux a un début d'histoire de Sira, ...comme quoi dans le tète des savants, ce qui compte c'est plus le début de l'histoire que le début du Coran.

En général sourate 1 c'est la numéro 1 donc le début , donc la première.
Mais comme ca " fait pas" début d'une histoire. et bien ils ont décider que ca sera la 96, parce quel commence par "Iqra"

Bonjour cher tunisie99 comment vas tu ?

je te prierai de bien vouloir etayer ton idee sur le fait que ce soit la fatiha qui soit la premiere sourate que le prophete ai eu en revelation !!
 
Bonjour cher tunisie99 comment vas tu ?

je te prierai de bien vouloir etayer ton idee sur le fait que ce soit la fatiha qui soit la premiere sourate que le prophete ai eu en revelation !!


Pure logique. Fatiha ( ouverture) si une sourate se nomme ouverture c'est que c'est la 1ere .
Aprés pour develloper une analyse, je peux te dire que c'est forcement la premiere,( une prochaine fois), restons dans la théorie:
Dans la tète (esprit)des savants ( scribes) , cette fatiha ( qui est trés belle) ne peut "correspondre" a un debut de Sira (Histoire), la 96 , correspond mieux vu qu'elle commence par Iqra , sous entendu Dieu dis a Muhamed "Iqra" etc, etc

Donc l'histoire de Muhamed passe avant l'histoire du coran , parce que dans leurs logique, l'histoire de Muhamed est liés au Coran. Ou plutot le coran est le debut de l'histoire de Muhamed.

Imagine que le coran soit "venu" avant Muhamed ? et bien l'histoire de la Sira ne tient plus.
Mais comme pour eux Muhamed= coran, donc le début doit commencer par Iqra.

Si le coran existait avant Muhamed et bien le Iqra ne tient plus la route dans l'optique de la Sira. bref.

PS: petite precision, Iqra ne veut pas dire "Lis" mais plutot " Invoque" ( Le nom ( benis) de ton Dieu)

B(arak) ism al-lah = bénis soit le nom de Dieu ; Iqra B(arak) Ism Al-lah= Invoque le (Nom) bénis de Dieu....dans la liturgie araméens le B est une abréviation qui veut dire " Benis", Barak...

Il s'agit d'invoquer le nom (Bénis) de Dieu...... pour se rapprocher de Dieu ( c'est une priere)..le premier mot de la sourate 96 est : Iqra , le dernier mot est : Iqtarib. ( meme rime)

Invoque le nom de Dieu pour te rapprocher de lui , voila la moralité de la sourate.

Personne ne peut parler au nom d'allah .

I
 
Si je suis ta logique la fatiha ouverture se veut comme la premiere sourate revele.
Dans ce cas la derniere devrait s'appeler la fermeture non ?

exactement. pourquoi pas ?
Pourquoi l'appeler fatiha alors?.. et la 96 fallait l'appeler alors " la révélation"...tu sais que la " cohérence et la logique" n'est pas réserver qu'aux autres livres dit " sacré"...!

La Genese veut dire " Debut" , pentateuque veut dire 5, bible veut dire 'livre" etc
Il y a une logique a tout et un sens a tout...même si c'est la religion.
 
Les Perses nous apprennent que Mani (transposé plus tard à Muhammad) avait des visions pieuses. Il se retirait pour méditer dans une grotte lorsqu'un ange est venu le voir pour lui transmettre une révélation et ceci à des multiples apparitions. Histoire daté du 3-4 ème siècle après J-c.

Le travail des "arabes" se résumaient à trouver un moyen de transposer cela à l'histoire manquante du "Muhammad" coranique. Pour que cette nouvelle histoire ait une certaine crédibilité, il fallait montrer qu'elle avait un lien avec la révélation c-à-d le Coran. Le manipulation a été de faire croire (à coup de hadith) que c'est le contexte dans lequel est descendu les premiers versets de la sourate al 3alaq.

Faut savoir que dans les premiers temps après la Mort de Muhamed, l'histoire n'est pas une révélation dans une grotte, mais la révélation venait pendant la sieste de Muhamed, aprés c'etait des "crises" d'epilepsie ...c'est bien aprés ( avec les hadiths)que l'histoire de la grotte etc, et venu bien aprés.. peut etre sous la plume d'un ancien manichéen ( perses)..
 
Sourate 96

1er mot : Iqra ( Invoque) , invocation, qor'an ( livre d'invocation)
dernier mot : Iqtarib

Iqra/Iqtarib Invoque/Rapprocher ( de Dieu ) et non pas Lis/Precher ( auprés des arabes).

c'est toute la subtilité du message coranique originel. Depuis les savants on changer le sens par des explications ...comment dire ?
 
LES PREMEIERS VERSETS REVELES SONT LES 5 PREMEIRS DE Al alaq ENSUITE SOURAT AL-MODATHIR (ilnya pas de contradiction entre les 2)

certain 3oulamaa ont dit que a cause des 5 versets de AL ALAQ mohamed saalla ellaho 3alaihi wa sallem est devenu "nabiy" et par les versets de sourat el-modathir il est devenu" rassoul " .

Salam alaykoum,

Peux tu me dire stp quelle est la différence entre un prophète et un messager. Jazaki Allho khayrane.
 
Salam alaykoum,

Peux tu me dire stp quelle est la différence entre un prophète et un messager. Jazaki Allho khayrane.

Wa aleykum salam wa rahmatou Allah wa barakatouh

Ibn Taymiya (&#1585;&#1581;&#1605;&#1607; &#1575;&#1604;&#1604;&#1607;) a dit: "Le prophète est une personne informée par Allah, qui puise dans une source divine.Si,en plus, il est envoyé à ceux qui violent l'ordre d'Allâh pour leur transmettre un message de ce dernier, il est alors appelé messager.Si,en revanche, il applique la loi de son prédescesseur et n'est envoyé à personne,il est alors un simple prophète". (An-Noubouwwat p.255)

Il dit aussi (&#1585;&#1581;&#1605;&#1607; &#1575;&#1604;&#1604;&#1607;): "Ce qui est correct, c'est que le messager est celui qui a été envoyé à des gens mécréants, et le prophète est celui qui a été envoyé à des gens croyants à une loi apportée par un prophète antérieur, pour les instruire et les gouverner. C'est dans ce sens que le Très Haut a dit: {Nous avons fait descendre la Thora dans laquelle il y a guide et lumière. C' est sur sa base que les prophètes qui se sont soumis à Allah, ainsi que les rabbins et les docteurs jugent les affaires des Juifs.} (5/44).".

Al-Albânî (&#1585;&#1581;&#1605;&#1607; &#1575;&#1604;&#1604;&#1607;) a dit: "Le nabî est celui que Allâh a chargé de rappeler et d'appuyer des prescriptions d'origine divine [char'] déjà révélées avant lui. Quant au rassûl, c'est celui que Allâh a envoyé avec des prescriptions d'origine divine, soit que celles-ci soient nouvelles en soi, soit qu'elles avaient été révélées à un autre messager".
 
salam,voilà mes chers freres et soceurs j'espere que vous y trouvrez toutes les réponses à vos questions, L’histoire de la Révélation du Coran
dans la Tradition islamique

Nous sommes au mois de Ramadan de l’an 610. Le futur Prophète de l’islam, Mohamed (Paix Soit Sur Lui), a pris l’habitude de s’isoler pour méditer et chercher la voie de Dieu, dans une caverne proche de la Mecque, sur le mont Hira. Plusieurs semaines passent. Et puis, la nuit qui précède le 27 ème jour du mois, soudain, une apparition : un être de lumière.
Ecoutons 1e récit du Prophète Mohammad (SAW) lui-même: “Il m’apprit qu’il était l’ange Gabriel, que Dieu l’avait envoyé pour m’annoncer qu’il m’avait choisi pour son messager L’ange m’apprit à faire mes ablutions, et lorsque je revins le corps purifié, il me demanda de lire. Je répondis : “ Je ne sais pas lire “. Il me prit dans ses bras et me serra très fort, et me laissant ensuite, il me demanda encore une fois de lire. Je lui dis “Mais je ne sais lire”. Il me serra de nouveau et plus fort, puis me demanda de lire, et je répondis que je ne savais pas lire. Il me prit dans ses bras pour la troisième fois et m’ayant serré encore plus fort qu’avant, il me lâcha et dit :
“Lis au nom de ton Seigneur qui a créé ! Qui a créé l’homme d’une adhérence. Lis ! Car ton Seigneur est le Très-Généreux, Qui a enseigné par le calame, Qui a enseigné à l’homme ce Et Gabriel s’en fut, laissant Mohammad (SAW) en état de choc.
L’événement marque pourlui le début de la Prophétie, à 40 ans. Mais il devra attendre trois longues années avant que de nouveau la révélation divine le touche. Car il s’agit bien, comme son récit en témoigne, d’une révélation et non d’une simple inspiration d’écrivain. Le Coran, tout comme les autres textes sacrés reconnus comme tels (la Torah et ‘Evangile par exemple) est “révélé” en ce sens précis qu’il est comme dicté mot à mot au Prophète Mohammad (SAW), qui doit restituer fidèlement le message divin à son Peuple.
Après trois ans de silence donc, les révélations reprennent, et s’étaleront dans le temps sur les vingt dernières années de Mohammad (SAW), dont les dix dernières se dérouleront à Medine. En effet, le Coran n’apparaîtra pas soudain d’un bloc, construit et définitif. Mais il se révèlera aux hommes par fragments, au grè des circonstances, apportant tel éclaircissement ou telle voie à suivre lorsque le besoin d’être guidé se fera sentir.
Pour autant, les lecteurs du Coran savent que celui-ci n’est pas une suite de versets sans queue ni tête, mais au contraire un ensemble homogène de 114 sourates. L’explication de ce mystère nous est donnée dans le Coran lui-même “Nous avons fragmenté le Coran pour que tu ne le récites aux hommes que peu à peu, mais certes nous l’avons révélé”. (sourate 17, verset 107)
Mohammad (SAW) qui ne savait ni lire ni écrire, insiste d’abord auprès de ses compagnons pour que les versets soient appris par coeur au fur et à mesure des révélations : on les récitera aux prières liturgiques. En particulier, le Prophète Mohammad (SAW) a pris l’habitude, durant le mois de Ramadan, de réciter la totalité du Coran alors connue, lors de prières supplémentaires, les prières du Tarawih. Sous la surveillance de Gabriel, la mémoire de Mohammad (SAW) devenait “plus féconde que le vent portant la pluie”.



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SUITE...
Et pendant le dernier Ramadan de Mohammad (SAW), Gabriel lui fera réciter par deux fois la totalité du Coran, lui signifiant ainsi doublement l’achèvement de sa mission et sa mort prochaine. La tradition d’apprendre le Coran par coeur est donc bien ancrée dans le coeur des musulmans.
Mais les compagnons lettrés prennent également l’habitude de noter les versets par écrit. A partir de quelle date exactement, on ne le sait. Toujours est-il que cinq ans après la première révélation, des traces écrites existent déjà. Et de cela on en est sûr, car c’est à cette époque que le futur Calife Omar, séduit par la lecture de la sourate 20, se convertit à l’islam.
Cette transcription du Coran, alors qu’à cette époque, n’existe par écrit en langue arabe qu’un petit nombre de poèmes, trouve somme toute son bien fondé dans le fait que la première révélation parle déjà de l’importance de l’écrit, de l’enseignement par le calame.
Tout comme le Prophète (SAW) faisait réciter ses Compagnons, il dicte aux scribes les versets, faute de papier (il n’est pas encore inventé) tous les matériaux sont bons : morceaux de parchemin, cuir tanné, tablettes de bois, omoplates de chameaux, morceaux de poterie, nervures médianes des dattiers... Au fur et à mesure, les versets, comme un puzzle s’agenceront, le Prophète Mohammad (SAW) précisant l’emplacement des versets dans les sourates, et des sourates dans l’ensemble du Livre. En effet, si quelquefois, toute une sourate fut révélée d’un coup, à d’autres occasions, les fragments d’un même chapitre vinrent avec des intervalles, à d’autres encore, plusieurs sourates étaient commencées simultanément et se poursuivaient avec des interruptions.
Par le double contrôle oral et écrit, le Prophète (SAW) s’assure de la conservation de l’intégrité du texte. Les mémoires défaillantes peuvent s’appuyer sur un texte écrit, et dans l’autre sens, les erreurs de copie sont corrigés grâce à la mémorisation du texte.
Ainsi, pas un iota du texte sacré ne pourra être modifié par erreur.
Lorsque le Prophète Mohammad (SAW) quitte ce monde, plusieurs Compagnons ont la chance d’avoir retenu par coeur la totalité des versets. Par contre, il n’existe pas de texte complet du Coran. Sur le coup, personne ne s’en émeut outre mesure. La bataille de Yamâma va faire prendre conscience de ce manque.
Là, cinq cents d’un groupe de trois mille musulmans de la première heure et comptant parmi les plus connaisseurs du Coran, trouvent la mort. Omar prend alors conscience du danger et s’en va trouver le Calife Abou-Bakar.
“Les compagnons de l’Envoyé de Dieu tombent à Yamâma à la façon de papillons dans le feu, et je crains qu’ils le fassent toujours s’ils rencontraient une occasion pareille de se faire tuer, cependant qu’ils sont les porteurs du Coran. Ainsi le Coran sera perdu et oublié. Si tu le réunissais et le faisais écrire?”
Pendant les dernières années de sa vie, le Prophète (SAW) employait de manière officielle des secrétaires, les uns pour les tâches courantes, d’autres pour la transcription de la révélation coranique. Le jeune Zaïd ibn Thâbit faisait partie de ce groupe. Il était même devenu le scribe principal de Mohammad (SAW) et comptait parmi les personnes qui connaissaient la totalité du Coran par coeur.
Tout naturellement, le Calife Abou-Bakar le chargera donc de réunir le Coran dans son ensemble. Mais le Calife, avec le scrupule qui le caractérise, tient à ce que les précautions soient prises : pour chaque verset, Zaïd devra trouver au moins deux témoignages écrits, avant de l’inclure dans la copie définitive. Et le calife demandera aux habitants de Médine d’apporter les fragments écrits qu’ils possèdent. Sur la totalité du Coran, la Tradition nous apprend que seuls deux versets ne se trouvèrent par écrit que chez une seule personne. Cette copie appelée Mushaf (feuilles réunies), sera conservée par le Calife Abou-Bakar et après lui par son successeur Omar.

Pendant ce temps, l’enseignement du Coran est encouragé dans tout l’empire musulman, qui ne cesse de s’accroître. Omar, toujours perspicace, entrevoit le besoin d’envoyer des copies du Mushaf dans les principaux centres, afin d’éviter tout risque de déviation,
 
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et d'erreurs de prononciation dans les pays non-arabes. Mais il n’en aura pas le temps, et c’est le troisième Calife Osman qui s’en chargera.
Il demandera à une commission présidée par le même Zaïd ibn Thâbit d’établir sept copies à partir du Mushaf, en autorisant la révision de l’orthographe dans le sens d’une plus grande lisibilité du texte, en particulier pour les non arabophones.
Après lecture publique de la nouvelle édition devant les savants du Coran que compte Médine, ces copies sont envoyées aux quatre coins de l’empire, avec ordre du calife de détruire tout texte ne correspondant pas au texte officiel. En effet, certaines divergences existaient du fait d’erreurs de copie, ou encore de la prise en compte d’un commentaire comme faisant partie du texte. Et il importait que ces textes inexacts soient détruits.
Des copies envoyées par Osman, il en reste de nos jours une, complète, que l’on peut admirer au musée Topkapi d’lstanboul, et une autre où il manque quelques feuillets à Tachkent. Et entre ces copies et les millions d’exemplaires éditées de nos jours, aucune différence... Ou plutôt si, une différence existe, quant à l’orthographe. En effet, à l’époque de la révélation, l’écrit venait à peine de faire son apparition. Pour les vingt huit lettres que compte l’alphabet, seuls quinze signes différents existaient. Ainsi le b, le t, le th, le n et le y avaient presque la même façon de s ‘écrire et n’étaient pas différenciés par ce qu’on appelle des signes diacritiques : les points sur ou sous les lettres en arabe, les accents en français. On reconnaissait donc les lettres selon le contexte, leur emplacement dans le mot. De même, si en arabe, les voyelles longues sont représentées, les voyelles courtes et d’autres signes ne le sont qu’exceptionnellement, quand il y a ambiguïté. Ce sont en effet les fonctions grammaticales des mots qui permettent de les deviner. Tel est encore le cas dans l’arabe écrit courant. Cette écriture ne permet donc pas à une personne non arabophone de lire le texte phonétiquement (pis-aller malgré tout nécessaire pour le croyant).
Le Coran bénéficia donc jusqu’à la deuxième moitié du premier siècle de l’Hégire de différentes réformes orthographiques pour être tel que nous le connaissons actuellement.
 
Wa aleykum salam wa rahmatou Allah wa barakatouh

Ibn Taymiya (&#1585;&#1581;&#1605;&#1607; &#1575;&#1604;&#1604;&#1607;) a dit: "Le prophète est une personne informée par Allah, qui puise dans une source divine.Si,en plus, il est envoyé à ceux qui violent l'ordre d'Allâh pour leur transmettre un message de ce dernier, il est alors appelé messager.Si,en revanche, il applique la loi de son prédescesseur et n'est envoyé à personne,il est alors un simple prophète". (An-Noubouwwat p.255)

Il dit aussi (&#1585;&#1581;&#1605;&#1607; &#1575;&#1604;&#1604;&#1607;): "Ce qui est correct, c'est que le messager est celui qui a été envoyé à des gens mécréants, et le prophète est celui qui a été envoyé à des gens croyants à une loi apportée par un prophète antérieur, pour les instruire et les gouverner. C'est dans ce sens que le Très Haut a dit: {Nous avons fait descendre la Thora dans laquelle il y a guide et lumière. C' est sur sa base que les prophètes qui se sont soumis à Allah, ainsi que les rabbins et les docteurs jugent les affaires des Juifs.} (5/44).".

Al-Albânî (&#1585;&#1581;&#1605;&#1607; &#1575;&#1604;&#1604;&#1607;) a dit: "Le nabî est celui que Allâh a chargé de rappeler et d'appuyer des prescriptions d'origine divine [char'] déjà révélées avant lui. Quant au rassûl, c'est celui que Allâh a envoyé avec des prescriptions d'origine divine, soit que celles-ci soient nouvelles en soi, soit qu'elles avaient été révélées à un autre messager".
salam, baraka'allahofiki ma soceur ça ce que j'allais faire.macha'allah
 
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