Questions à la une consacré à la pauvreté

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Dès 20h15, le magazine d'investigation "Questions à la Une" présenté par Bruno Clément propose 3 reportages consacrés à la pauvreté.










- "Comment vivent les enfants pauvres en Belgique ?"

A travers le témoignage d’enfants, de jeunes ados et de jeunes adultes mais aussi de parents, le reportage interroge notre société : quelles sont les conséquences de la pauvreté sur les jeunes dans les familles ?


Questions à la Une a recueilli de nombreux témoignages de jeunes issus de familles vivant en-dessous du seuil de pauvreté mais qui ont un toit… en état ou pas…


Ces témoignages abordent 4 problématiques : l’accès aux soins de santé, la gratuité de l’école, le droit de vivre en famille (placement) et le droit à la dignité.


La précarité a-t-elle des conséquences sur la santé et le bien-être des enfants et des jeunes ? L’école est-elle vraiment gratuite en Belgique ? La pauvreté est-elle une cause du placement des enfants par les services d’aide à la jeunesse ?


Comment les jeunes ont-ils accès à la dignité telle qu’elle se conçoit dans notre société ? A travers ces questions qui laminent, Questions à la Une interroge le fonctionnement de notre système social dans ce reportage fort d’Olivier Corroenne et Chergui Kharroubi



- " Le logement est-il devenu un luxe ? "

En à peine 30 ans, le prix d’achat moyen d’une maison en Belgique a été multiplié par 6. Entre-temps, le salaire des Belges n’a pas suivi cette évolution.



Pour beaucoup, se loger devient donc un problème. Lors de notre enquête, nous avons rencontré des personnes issues de tous les milieux sociaux.


Tout d’abord, des jeunes travailleurs qui ne parviennent pas à acheter leur premier bien immobilier.


Plus grave, certains semblent condamnés à louer des biens insalubres faute de revenus suffisants. D’autres ont contourné le problème en optant pour des choix de vie radicalement différents.


Loin des clichés sur la précarité, cette crise du logement semble donc frapper tous les milieux sociaux. Pourtant, les solutions se font cruellement attendre… Une enquête de Laurent Mathieu et Manno Lanssens



- " Qui sont les travailleurs pauvres en Belgique ? (Rediffusion)

Ils travaillent et ne parviennent pas à joindre les deux bouts…. Ils sont 200.000 en Belgique dont le revenu du ménage ne dépasse pas le seuil de pauvreté. Avec leurs familles cela représente un demi-million de personnes.


Qui sont-ils ? Comment vivent-ils cette situation? Comment font-ils pour s’en sortir? Leur pouvoir d’achat est-il plus touché que celui des autres catégories de la population?



Questions à la une leur a donné la parole et, la plupart du temps à visage découvert, ils témoignent de leur quotidien. Un quotidien où il faut souvent choisir les priorités entre la nourriture et la facture d’hôpital, entre le réseau d’amis et le chauffage.



Pour beaucoup d’autres aussi, la précarité guette. Près d’un travailleur sur cinq ne peut pas faire face à un imprevu de plusieurs centaines d’euros. Et la classe moyenne est-elle aussi menacée de pauvreté ? Un reportage d’Olivier Corroenne et de Chergui Kharroubi.


source et extrait vidéo sur ce lien
http://www.rtbf.be/tv/actualite/detail_questions-a-la-une?id=7882318
 
je le vois dans mon stage! bcp de jeune sont mal à l'aise face aux autres qui ont plus de facilité sur le point financier!


tu vois ceux qui se mangent des sandwishs et autre tous les jours et ceux qui ne mange rien voir très peu!

il y a un jeune, si c'est pas un de ces amis de classe qui lui achète son repas de midi (chaque jour) il ne mange rien à midi!


c'est triste et ça fait mal de voir ça! mais rien n'est mit en place au sein de l'école, quand j'en ai parlé, on m'a regardé de travers
 
c'est triste et ça fait mal de voir ça! mais rien n'est mit en place au sein de l'école, quand j'en ai parlé, on m'a regardé de travers



De mon temps bah oui :D j'ai été inscrite à l'école normale et ensuite;école catholique
dans les deux il y avait déjà des enfants défavorisés il existait une solidarité l'école donnait des bols de potage à ces enfants et nous partagions nos tartines avec eux j'ai le sentiment qu'à notre époque c'est de plus en plus chacun pour sa face certains enfants sont aussi égoïstes et dénués de compassion envers les autres enfants moins favorisés qu'eux
et que ces enfants sont sujets aux moqueries c'est une bien triste époque :(
 
De mon temps bah oui :D j'ai été inscrite à l'école normale et ensuite;école catholique
dans les deux il y avait déjà des enfants défavorisés il existait une solidarité l'école donnait des bols de potage à ces enfants et nous partagions nos tartines avec eux j'ai le sentiment qu'à notre époque c'est de plus en plus chacun pour sa face certains enfants sont aussi égoïstes et dénués de compassion envers les autres enfants moins favorisés qu'eux
et que ces enfants sont sujets aux moqueries c'est une bien triste époque :(

On se chauffait au charbon , on mangeait rarement les bananes et oranges c'étaient exceptionnel et je ne ,parle même des fruits exotiques inabordables...

Je pense que beaucoup oublient d'où ils viennent et veulent posseder même le superflu...combien de familles se sacrifient pour un ecran plat alors qu'ils n'en ont pas besoin
 
On se chauffait au charbon , on mangeait rarement les bananes et oranges c'étaient exceptionnel et je ne ,parle même des fruits exotiques inabordables...

Je pense que beaucoup oublient d'où ils viennent et veulent posseder même le superflu...combien de familles se sacrifient pour un ecran plat alors qu'ils n'en ont pas besoin



:cool:
je me souviens de la grande bassine près du feu au charbon ds la cuisine car pas de salle de bains l'odeur du VRAI savon de marseille
ns mangions les légumes de saison et du jardin ma maman paix à son âme a ouvert un jour une boite de pts pois (elle n'avait pas eu le temps,de les faire frais) mon père a crisé car il y en avait ds le jardin^^ maintenant on trouve de tout des légumes hors saison cher et pas bon des surgelés des boïtes de conserve tout plus vite et plus facile crédit pour avoir le dernier portable la dernière télé le dernier portable et se mettre ds des situations difficiles....
 
:cool:
je me souviens de la grande bassine près du feu au charbon ds la cuisine car pas de salle de bains l'odeur du VRAI savon de marseille
ns mangions les légumes de saison et du jardin ma maman paix à son âme a ouvert un jour une boite de pts pois (elle n'avait pas eu le temps,de les faire frais) mon père a crisé car il y en avait ds le jardin^^ maintenant on trouve de tout des légumes hors saison cher et pas bon des surgelés des boïtes de conserve tout plus vite et plus facile

tu es si agée Belgika ?:)
 
On enveloppait des pommes de terre dans de l'aluminium et faisait cuire dans le charbon en hiver c'était exquis , le pain était petri et cuit à la maison on le consommait pour nos besoin pas de déchet ; pour 25 centimes de francs belge je m'achetais des sûr chez Lea notre vieilles epicière du coin :D

Je pense qu'avec la crise on va devoir se réadapter , c'est inévitable...on a vécu trop longtemps dans le confort

:cool:
je me souviens de la grande bassine près du feu au charbon ds la cuisine car pas de salle de bains l'odeur du VRAI savon de marseille
ns mangions les légumes de saison et du jardin ma maman paix à son âme a ouvert un jour une boite de pts pois (elle n'avait pas eu le temps,de les faire frais) mon père a crisé car il y en avait ds le jardin^^ maintenant on trouve de tout des légumes hors saison cher et pas bon des surgelés des boïtes de conserve tout plus vite et plus facile crédit pour avoir le dernier portable la dernière télé le dernier portable et se mettre ds des situations difficiles....
 
Encore une mauvaise nouvelle pour les personnes qui ont déjà beaucoup de difficultés à se chauffer et à payer ses factures d'électricité



Prix du gaz et de l'électricité : une hausse de 10 à 15% dès janvier ?

Faute d'accord au sein du gouvernement, on pourrait se diriger vers une hausse des tarifs de gaz et d'électricité de 10 à 15% en janvier, écrit ce mercredi L'Echo.

Depuis le 1er avril, les prix du gaz et de l'électricité sont gelés. Cette période de gel des prix, qui se termine le 1er janvier, devait être mise à profit par le gouvernement pour réformer le mode de calcul des prix du gaz et de l'électricité.

Après huit mois de discussions, aucun accord politique n'a toutefois été trouvé au sein du gouvernement, selon L'Echo, qui estime que même si le comité restreint parvient à aplanir, dès ce vendredi, le différend opposant Johan Vande Lanotte et Melchior Wathelet, il sera impossible de mettre en oeuvre l'arrêté royal avant avril 2013.


Résultat : on se dirige vers une période transitoire de 3 mois pendant laquelle les fournisseurs seront libres d'augmenter leurs tarifs.

D'après L'Echo, et au regard de l'évolution des prix sur les marchés, les hausses pourraient avoisiner 9 à 13% pour le gaz et 15% pour l'électricité chez les fournisseurs historiques.

Le gel des prix du gaz et de l'électricité en vigueur depuis avril représenterait un manque à gagner de 200 millions d'euros pour les fournisseurs d'énergie, selon le bureau de consultance Sia Partners, spécialisé dans l'énergie.

Il y aura une hausse, mais pas dans une proportion de 10 à 15%, précise Wathelet

Il y aura bien une hausse des tarifs du gaz et de l'électricité à partir de janvier, mais pas dans les proportions énoncées par deux quotidiens mercredi matin, a tenu à préciser mercredi midi le secrétaire d'Etat à l'Energie Melchior Wathelet.

Les 200 millions d'économies réalisées par les consommateurs durant la période de gel des prix ne seront pas récupérés avec effet rétroactif, a-t-il fait savoir via sa porte-parole.


"Il est fort à parier que les fournisseurs début janvier vont répercuter la hausse des coûts d'approvisionnement", avait indiqué le secrétaire d'Etat sur les ondes de la Première (RTBF), invité à s'exprimer sur l'annonce d'une hausse des tarifs en janvier prochain, au terme d'une période de gel des prix instaurée en avril dernier.

"Ce qui est dit dans le quotidien c'est qu'il n'y aura plus de contrôle, à partir de janvier... c'est faux. le filet de sécurité s'applique. Les mécanismes d'indexation sont contrôlés par la CREG depuis le début de l'année 2012", avait-il ajouté, soulignant que les clients pouvaient aussi faire jouer la concurrence. De plus, "la cotisation fédérale qu'on a imposée va fortement diminuer", a-t-il ajouté.

Melchior Wathelet a par ailleurs précisé que les tarifs de distribution qui représentent la moitié de la facture, étaient gelés jusqu'à la fin 2014, moment à partir duquel ils seront gérés par les Régions dans le cadre des transferts de compétence.

Levif.be, avec Belga


http://www.levif.be/info/actualite/...10-a-15-des-janvier/article-4000214593584.htm
 
je le vois dans mon stage! bcp de jeune sont mal à l'aise face aux autres qui ont plus de facilité sur le point financier!


tu vois ceux qui se mangent des sandwishs et autre tous les jours et ceux qui ne mange rien voir très peu!

il y a un jeune, si c'est pas un de ces amis de classe qui lui achète son repas de midi (chaque jour) il ne mange rien à midi!


c'est triste et ça fait mal de voir ça! mais rien n'est mit en place au sein de l'école, quand j'en ai parlé, on m'a regardé de travers

C'est là que tu vois qui fais ce métier par amour des enfants et ceux qui sont juste là pour un salaire. dégoûtant ce comportement de la part des responsables scolaires.
 
Ce qui m'a vraiment fait pitié ce sont les deux petits garçons et la petite Yamina. Elle m'a donné les larmes aux yeux elle. J'aurais tellement aimé les aider :(

Par contre je n'ai pas compris la femme qui n'arrive pas à s'en sortir avec 2000 euros. Et les gens qui ont des voitures alors qu'ils peinent à s'en sortir :s
 
Trop déprimant à regarder...


garde tes oeillères alors en rue tu vois des SDF des familles sans logement pas besoin de la télé pour y voir des personnes pauvres

cela ns pend au nez à tous et toutes un accident une hospitalisation une maladie un divorce une entreprise qui fait faillite et on se retrouve chômeur avec un ou des crédits sur le dos maison voiture factures qui s'accumulent loyers impayés la pauvreté touche ou touchera à longue ou courte échéance beaucoup de personnes

On ne connait pas l'avenir on ne sait pas si l'entreprise qui vous emploie ne fermera pas un jour
 
garde tes oeillères alors en rue tu vois des SDF des familles sans logement pas besoin de la télé pour y voir des personnes pauvres

cela ns pend au nez à tous et toutes un accident une hospitalisation une maladie un divorce une entreprise qui fait faillite et on se retrouve chômeur avec un ou des crédits sur le dos maison voiture factures qui s'accumulent loyers impayés la pauvreté touche ou touchera à longue ou courte échéance beaucoup de personnes

On ne connait pas l'avenir on ne sait pas si l'entreprise qui vous emploie ne fermera pas un jour

Je n'ai pas besoin d'une émission de télé pour savoir que la pauvreté gagne du terrain, que des familles peinent durement à joindre les deux bouts, que des mamans seules avec enfants finissent leurs fins de mois dans un dénuement total sur le plan alimentaire.

Ne prends pas mon commentaire comme un mépris ou un désintérêt parce que ce n'est pas le cas. Ca me révolte énormément. Mais vu la tournure que les différents gouvernements belges ont pris ces dernières anées, je crains que malgré les beaux discours, la situation empire.
 
Je me souviens dans les années 70 c'etait des bonnes années quand meme.
Il faut pas oublier que la belgique est super endetté, moi je comprends pas comment ce pays ne c'est pas effondré sur lui même, il trouve meme de quoi payer les primes d'allaitement.
 
Je me souviens dans les années 70 c'etait des bonnes années quand meme.
Il faut pas oublier que la belgique est super endetté, moi je comprends pas comment ce pays ne c'est pas effondré sur lui même, il trouve meme de quoi payer les primes d'allaitement.



Par contre ils savent comment nous "traire comme des vaches à lait"


:malade:
 
La Secrétaire d’État à l’Intégration sociale et à la Lutte contre la pauvreté Maggie De Block vient de publier un Guide Accueil Hivernal.


Ce guide « a pour ambition de livrer des suggestions et des astuces aux autorités des grandes comme des petites villes pour les soutenir dans l’élaboration et l’exécution de leur plan hivernal »



Voir le guide Accueil Hivernal (cliquez sur le lien)



Le sans-abrisme est une situation que personne ne choisit.


Et ces conditions de vie précaires s’aggravent malheureusement pendant l’hiver.


Ce guide est un premier pas en direction d’un accueil hivernal de qualité pour les sans-abri, auquel contribuent toutes les autorités, toutes les organisations et tous les volontaires.


Le contexte propre à la commune détermine en grande partie l’organisation de l’accueil. Mais cela ne préjuge pas d’une bonne collaboration et des avantages pour tous et toutes d’une coordination efficace.


Si l’intérêt de la concertation, des entrevues et des échanges n’est maintenant plus à démontrer, on doit pouvoir le renforcer.



Ce guide devrait pouvoir contribuer à lutter de manière structurelle contre le sans-abrisme d’une part, en prévoyant un accueil hivernal adéquat, d’autre part en créant une base pour l’élaboration de solutions durables






http://www.mi-is.be/sites/default/files/doc/guide_accueil_hivernal.pdf
 
La pauvreté a toujours exister c'est comme le chaud et le froid, le probleme c'est pas ca, c'est que on partage plus c'est chaqu'un pour sois et ca c'est dangereux.
 
Face à la crise, comment faites-vous pour dépenser moins? Voici quelques conseils donnés par Luc, qui fabrique ses propres produits ménagers.


Luc est à l'origine d'un atelier social original de droguerie sociale à Auderghem. Au quotidien, il fabrique ses propres produits ménagers. Des recettes, Luc en possède de toutes sortes. Le point commun: cela permet de considérablement réduire les dépenses d'un ménage pour les tâches quotidiennes. "Un ménage dépense en moyenne 250 euros par an. Avec ce type de technique, ils vont dépenser maximum 50 euros par an. On divise donc le budget par cinq", a-t-il déclaré.

Un nettoyant multi-fonctions à moins de 50 cents


En quelques minutes, Luc a créé un nettoyant multi-fonctions. Sa recette: 250 ml de bicarbonate de soude, 125 ml de sel de cuisine, 100 ml de savon neutre, 10 gouttes d'huiles essentielles, et le tour est joué ! "On obtient alors une crème à récurer.


On trouve exactement le même en commerce à 2,57 euros pour les produits de marque, et à 1,01 euro pour les produits de supermarché de première ligne. Ici, on en a pour moins de 50 cents", a expliqué Luc Swysen.

Il partage ses recettes...


Depuis un an, Luc partage son expérience qui reprend les vieilles recettes des anciens. Près de 300 personnes, souvent dans une situation précaire, ont déjà découvert ses trucs et astuces.


Et Luc ne s'arrête pas à la crème à récurer. "Ici on a 4 litres de liquide de lessive pour linge de couleur, pour à peu près une quarantaine de machines, pour moins d'un euro.

Pour autant de machines, il faut compter entre 15 et 16 euros dans le commerce", a ajouté Luc.

http://www.rtl.be/info/belgique/soc...se-voici-des-trucs-et-astuces-pour-economiser


la vidéo


http://www.rtl.be/videos/video/429509.aspx
 
Sylviane lutte pour nourrir sa famille: "Un choux fleur à 2,5 euros, je ne peux pas me le permettre"


Opération "Ensemble face à la crise" pendant toute cette semaine: Bel RTL, RTL TVI et RTLinfo.be se mobilisent à vos côtés.

Comment conserver un pouvoir d’achat correct en pleine crise, partagez vos trucs, vos tuyaux, vos astuces pour dépenser moins. Voici le témoignage d'Olivier et Sylviane, parents de deux enfants, qui disposent pourtant de deux revenus.


Olivier et Sylviane éprouvent de nombreuses difficultés à nouer les deux bouts. Ces deux parents ont dû apprendre à bien calculer pour mener leur vie de famille avec leurs deux garçons. Ensemble, ils gagnent 2.100 euros net, auxquels on peut rajouter 230 euros d'allocations familiales.

"On ne fait pas dans le superflu"


Olivier gagne 1.300 euros net pour un travail à temps plein dans un car-wash. "La prime de fin d'année, on ait déjà qu'elle partira avant même d'être arrivée", a-t-il confié. Sylviane, son épouse, travaille à mi-temps dans une boulangerie. C'est elle qui gère les comptes de la famille. "On ne fait pas dans le superflu parce qu'on ne fume pas, on ne boit pas, on ne sort pas", a-t-elle expliqué.

Dans de telles circonstances, cette famille a dû s'adapter, notamment au prix des denrées alimentaires en constante augmentation. "Quand je vois le prix des légumes, c'est hors de prix. Mettre 2,5 euros pour un choux fleur, je ne pourrais pas me le permettre. Mettre 14 à 15 euros pour un morceau de viande, je ne pourrais pas me le permettre non plus", a-t-elle déclaré.

Des moments difficiles



Si leur situation n'est pas évidente, Olivier et Sylviane ont connu bien pire. Des problèmes en cascade les ont obligés à passer par une médiation de dettes il y a quelques années. Encore aujourd'hui, chaque mois, 75 euros sont versés au médiateur. "On nous avait menacés de vendre la maison pour une bouchée de pain. C'est pour ça que j'étais entrée en contact avec le CPAS. Pendant deux ans, on allait chercher, tous les mercredis après-midi, des colis alimentaires pour pouvoir subvenir à nos besoins", a encore confié Sylviane.

"La Belgique, ça ne devient plus rien"


Des années plus tard, c'est une lutte au quotidien qu'ils mènent pour garder la tête hors de l'eau. "On travaille tous les deux et ce n'est pas logique de devoir émerger du CPAS ou d'autres personnes. La Belgique, ça devient plus rien, c'est lamentable", a-t-elle conclu.

Le seul luxe qu'Olivier s'octroie, ce sont ses deux reptiles dans un terrarium. "Quand je m'occupe d'eux, ça me change les idées", a-t-il avoué.


http://www.rtl.be/info/belgique/soc...r-a-2-5-euros-je-ne-peux-pas-me-le-permettre-


vidéo

http://www.rtl.be/videos/video/429510.aspx
 
Sylviane lutte pour nourrir sa famille: "Un choux fleur à 2,5 euros, je ne peux pas me le permettre"


Opération "Ensemble face à la crise" pendant toute cette semaine: Bel RTL, RTL TVI et RTLinfo.be se mobilisent à vos côtés.

Comment conserver un pouvoir d’achat correct en pleine crise, partagez vos trucs, vos tuyaux, vos astuces pour dépenser moins. Voici le témoignage d'Olivier et Sylviane, parents de deux enfants, qui disposent pourtant de deux revenus.


Olivier et Sylviane éprouvent de nombreuses difficultés à nouer les deux bouts. Ces deux parents ont dû apprendre à bien calculer pour mener leur vie de famille avec leurs deux garçons. Ensemble, ils gagnent 2.100 euros net, auxquels on peut rajouter 230 euros d'allocations familiales.

"On ne fait pas dans le superflu"


Olivier gagne 1.300 euros net pour un travail à temps plein dans un car-wash. "La prime de fin d'année, on ait déjà qu'elle partira avant même d'être arrivée", a-t-il confié. Sylviane, son épouse, travaille à mi-temps dans une boulangerie. C'est elle qui gère les comptes de la famille. "On ne fait pas dans le superflu parce qu'on ne fume pas, on ne boit pas, on ne sort pas", a-t-elle expliqué.

Dans de telles circonstances, cette famille a dû s'adapter, notamment au prix des denrées alimentaires en constante augmentation. "Quand je vois le prix des légumes, c'est hors de prix. Mettre 2,5 euros pour un choux fleur, je ne pourrais pas me le permettre. Mettre 14 à 15 euros pour un morceau de viande, je ne pourrais pas me le permettre non plus", a-t-elle déclaré.

Des moments difficiles



Si leur situation n'est pas évidente, Olivier et Sylviane ont connu bien pire. Des problèmes en cascade les ont obligés à passer par une médiation de dettes il y a quelques années. Encore aujourd'hui, chaque mois, 75 euros sont versés au médiateur. "On nous avait menacés de vendre la maison pour une bouchée de pain. C'est pour ça que j'étais entrée en contact avec le CPAS. Pendant deux ans, on allait chercher, tous les mercredis après-midi, des colis alimentaires pour pouvoir subvenir à nos besoins", a encore confié Sylviane.

"La Belgique, ça ne devient plus rien"


Des années plus tard, c'est une lutte au quotidien qu'ils mènent pour garder la tête hors de l'eau. "On travaille tous les deux et ce n'est pas logique de devoir émerger du CPAS ou d'autres personnes. La Belgique, ça devient plus rien, c'est lamentable", a-t-elle conclu.

Le seul luxe qu'Olivier s'octroie, ce sont ses deux reptiles dans un terrarium. "Quand je m'occupe d'eux, ça me change les idées", a-t-il avoué.


http://www.rtl.be/info/belgique/soc...r-a-2-5-euros-je-ne-peux-pas-me-le-permettre-


vidéo

http://www.rtl.be/videos/video/429510.aspx

Avec 2100 + 230 et 2 enfants,je crois qu'ils doivent pas très bien gérer leurs argents,il y a des cas bien plus pire que ça et s'en sorte encore +- bien,il faut savoir acheter,chercher là ou c'est moins cher, arrêter d'acheter du superflu que ce soit en alimentation ou en vêtement ou en bien,les gens ont tendance à vouloir vivre au dessus de leurs moyens....
 
Avec 2100 + 230 et 2 enfants,je crois qu'ils doivent pas très bien gérer leurs argents,il y a des cas bien plus pire que ça et s'en sorte encore +- bien,il faut savoir acheter,chercher là ou c'est moins cher, arrêter d'acheter du superflu que ce soit en alimentation ou en vêtement ou en bien,les gens ont tendance à vouloir vivre au dessus de leurs moyens....

je n'ai pas dis le contraire dans ce cas je lis qu'ils ont été ou sont encore en médiations de dettes donc oui cela laisse supposer qu'ils ont vécus au dessus de leurs moyens
 
Si le loyer est trop élevé,il faut changer,un prêt avec 1000 euros mensuel serait en principe supportable pour eux,ils leur resteraient 1100+230 pour le mois,ce couple n'a pas évoqué de divorce ni de maladie

Je t'ai répondu plus haut ils seraient encore en médiations de dettes mais je vois le montant actuel 75 euros à rembourser que s'est il passé avant je ne sais pas en tout cas ils pourraient très bien s'en sortir avec leurs moyens financiers disponibles donc une mauvaise gestion du budget peut être...
 
Je ne te visais pas ;)

C'est juste que je trouve aberrant de faire un article sur eux alors qu'il y a bien pire


oh non je ne l'ai pas pris comme cela ;)


ils devraient aussi montrer une famille avec enfants avec un parent au chômage ou la vie d'une maman seule avec enfants ou encore des isolés des pensionnés leurs vies doit être bien plus dure et difficile que ce couple en effet


J'ai regardé la vidéo et les explications

La dame a fait faillite
Le mari a perdu son précédent emploi suite à un problème de santé

dettes contributions,tva etc....

les points positifs

ont pu grâce à la médiation de dettes étaler leurs dettes et les échéances et garder leur maison (ils sont propriétaires)

ont retrouvés un travail tous les deux (mi-temps toujours mieux que rien) beaucoup d'indépendants n'ont pas cette chance,et se retrouvent sans chômage mais au CPAS

possède un jardin donc si le prix des légumes est trop cher pourquoi ne pas faire un petit potager? une économie
 
L'accès au logement : vos questions et réactions
Ce mercredi 16 janvier, dès 12h40, dans le cadre de l’Opération « Ensemble Face à la Crise », le thème de l'émission RTL+ sera "l'accès au logement".



L’accès à un logement décent et abordable devient de plus en plus difficile. Comment lutter autrement contre la crise ?
Quelles sont les mesures mises en place pour faciliter l'accès au logement ? En Belgique, un ménage peut-il espérer devenir propriétaire s’il ne l'est déjà ? Comment aidez les jeunes et les moins jeunes qui veulent s’installer ? Est-il encore possible de faire de bonnes affaires en Wallonie et à Bruxelles ? A quoi faut-il faire attention lorsqu'on achète un bien immobilier ? Quelle est la marge de négociation pour l'achat d'un bien ? Chaque année, un plus grand nombre de futurs locataires et propriétaires fait le choix d’un logement “solidaire”. En quoi consiste ce type de logement et quels sont ses avantages ? Quelles sont les différentes formes de logements alternatifs ?


http://www.rtl.be/info/magazinesdel...-acces-au-logement-vos-questions-et-reactions
 
Crise: les familles monoparentales sont particulièrement précarisées



La plupart du temps, les familles monoparentales doivent vivre avec un seul salaire. Rencontre avec une ouvrière à temps partiel dans une entreprise de titres-services, qui a deux enfants à charge.

son témoignage

http://www.rtl.be/videos/video/429643.aspx


Limelette: rencontre avec des "objecteurs de croissance"

Pour lutter contre la crise, certains ont décidé de vivre autrement, en marge de la société de consommation à outrance. Rencontre avec une famille de Limelette.


témoignage

http://www.rtl.be/videos/video/429596.aspx


Et vous quels sont vos trucs et astuces face à la vie chère et à la crise?
 
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