Ramadan : les « Repenties » du Golfe sont de retour

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Elles sont un grand nombre de femmes Marocaines à travailler dans des secteurs qui, pendant le mois sacré connaissent une baisse, voire une cessation d'activité dans les pays du Golfe. Ce qui contraint ces femmes à un « congé forcé ». Pour ces Marocaines qui pour la plupart, officient comme « coiffeuses, hôtesses, dans des salons de massage ou night-clubs dans le Golfe, la seule alternative qui s'offre est le retour au bercail. Parfois dans la douleur.
Ces femmes Marocaines dites « Repenties du Golfe (...)

- Marocains du monde / Prostitution Maroc, Ramadan 2019

Ramadan : les « Repenties » du Golfe sont de retour
 
Si tu lisais les articles tu ne poserais pas de questions stupides!



l article parle des pays du Golfe, il ne fait pas la distinction entre KSA et d'autres Etats du golfe!

Donc, c 'est toi qui doit stopper tes reflexions stupides et grincheuse!:joueur:
 
Dernière édition:
Elles sont un grand nombre de femmes Marocaines à travailler dans des secteurs qui, pendant le mois sacré connaissent une baisse, voire une cessation d'activité dans les pays du Golfe. Ce qui contraint ces femmes à un « congé forcé ». Pour ces Marocaines qui pour la plupart, officient comme « coiffeuses, hôtesses, dans des salons de massage ou night-clubs dans le Golfe, la seule alternative qui s'offre est le retour au bercail. Parfois dans la douleur.
Ces femmes Marocaines dites « Repenties du Golfe (...)

- Marocains du monde / Prostitution Maroc, Ramadan 2019

Ramadan : les « Repenties » du Golfe sont de retour
Elles n'ont qu'a remettre leurs voiles, et retourner au bled jouer les pieuses, en attendant que ramadan se termine, et les boites de nuit , les bordel et les hammam se réouvrent en Arabie saoudite et Dubaï pour retourner a leurs vice.
 
Elles n'ont qu'a remettre leurs voiles, et retourner au bled jouer les pieuses, en attendant que ramadan se termine, et les boites de nuit , les bordel et les hammam se réouvrent en Arabie saoudite et Dubaï pour retourner a leurs vice.
Elles sont pas repenties!! Seulement en congé pendant 1 mois !
 
Elles n'ont qu'a remettre leurs voiles, et retourner au bled jouer les pieuses, en attendant que ramadan se termine, et les boites de nuit , les bordel et les hammam se réouvrent en Arabie saoudite et Dubaï pour retourner a leurs vice.



Des boites de nuits , salon de massage en Arabie saoudite? Ces attardés n ont même pas de cinéma ! Ahahahahah quoique ils viennent d ouvrir des salles ou sont en passe de le faire!
 
LE RAMADAN FAIT REVENIR LES "REPENTIES" DU GOLFE


Kiosque360. Les femmes marocaines, qui travaillent comme coiffeuses, hôtesses, dans des salons de massage ou dans des night-clubs dans le Golfe, regagnent le Maroc durant le Ramadan. Un congé forcé par la suspension de leurs «activités» durant le mois sacré. Plongée dans cet enfer.
La fermeture des night-clubs, des espaces de divertissement, des salons de massage et des centres de beauté, d’esthétique et de coiffure durant le mois de Ramadan dans des pays du Golfe force des femmes marocaines à rentrer chez elles. Un congé forcé durant le mois sacré, fait remarquer le quotidien Assabah dans son édition de ce mardi 30 avril.

A ce propos, rapportent les sources du quotidien, une forte demande est enregistrée pour des départs via des compagnies aériennes qui assurent des liaisons entre Dubaï et d’autres villes touristiques du Golfe et le Maroc. A l’aéroport de Dubaï, poursuit le quotidien, des marocaines étaient visibles dans des espaces réservés aux fumeurs, ainsi qu'à bord des avions et à l’aéroport international Mohammed V.

Dans une déclaration au quotidien, Samira, la trentaine, raconte que plusieurs de ses amies, qui exercent dans des salons de massage, des hammams marocains et des boîtes de nuit ont préféré le Maroc pour passer les vacances occasionnées par la suspension de leurs activités dans les sites touristiques du Golfe. Samira, poursuit le quotidien, ne cache pas les souffrances provoquées par leur exploitation par des intermédiaires. Ce qui pousse certaines d’entre elles à ne plus retourner dans le Golfe, confie-t-elle au quotidien. L'une de ses amies a fait savoir que l’un des intermédiaires l’avait contactée pour un travail de cuisinière dans un hôtel touristique à Dubaï; mais, une fois sur les lieux, son passeport lui a été retiré et elle a été forcée d’intégrer un réseau de prostitution. L’embarquement dans ce réseau piloté par l’intermédiaire en question est une plongée dans l’enfer. La candidate au travail comme cuisinière, devenue prostituée, n’a trouvé son salut que lors d’une trêve que lui a accordée l’intermédiaire pour fuir l’enfer et rentrer au Maroc où elle s’est mariée à un Marocain. Après avoir conclu l’acte de mariage, les deux époux ont mis le cap sur le Golfe.

La présence de l’époux évite à la femme des poursuites judiciaires en cas d'interpellation pour des chefs d’accusations liés à la prostitution, ajoute le quotidien. C’est pourquoi, révèle le journal, certaines femmes cherchent des maris marocains pour les accompagner dans le Golfe. La formule leur permet de s’adonner librement à la prostitution sans tomber dans les filets de la police. Ainsi, la femme invite le client à la maison en présence du mari qui lui sert d’immunité contre toute poursuite judiciaire.

Un monde où la morale ne reprend sens que lors du mois sacré. A l’aéroport Mohammed V, indique le quotidien, ces femmes se «convertissent» dans les blocs sanitaires du site -maquillage et changement d’habillement- avant de fouler le sol du Maroc.
Par Mohamed Younsi
 
LE RAMADAN FAIT REVENIR LES "REPENTIES" DU GOLFE


Kiosque360. Les femmes marocaines, qui travaillent comme coiffeuses, hôtesses, dans des salons de massage ou dans des night-clubs dans le Golfe, regagnent le Maroc durant le Ramadan. Un congé forcé par la suspension de leurs «activités» durant le mois sacré. Plongée dans cet enfer.
La fermeture des night-clubs, des espaces de divertissement, des salons de massage et des centres de beauté, d’esthétique et de coiffure durant le mois de Ramadan dans des pays du Golfe force des femmes marocaines à rentrer chez elles. Un congé forcé durant le mois sacré, fait remarquer le quotidien Assabah dans son édition de ce mardi 30 avril.

A ce propos, rapportent les sources du quotidien, une forte demande est enregistrée pour des départs via des compagnies aériennes qui assurent des liaisons entre Dubaï et d’autres villes touristiques du Golfe et le Maroc. A l’aéroport de Dubaï, poursuit le quotidien, des marocaines étaient visibles dans des espaces réservés aux fumeurs, ainsi qu'à bord des avions et à l’aéroport international Mohammed V.

Dans une déclaration au quotidien, Samira, la trentaine, raconte que plusieurs de ses amies, qui exercent dans des salons de massage, des hammams marocains et des boîtes de nuit ont préféré le Maroc pour passer les vacances occasionnées par la suspension de leurs activités dans les sites touristiques du Golfe. Samira, poursuit le quotidien, ne cache pas les souffrances provoquées par leur exploitation par des intermédiaires. Ce qui pousse certaines d’entre elles à ne plus retourner dans le Golfe, confie-t-elle au quotidien. L'une de ses amies a fait savoir que l’un des intermédiaires l’avait contactée pour un travail de cuisinière dans un hôtel touristique à Dubaï; mais, une fois sur les lieux, son passeport lui a été retiré et elle a été forcée d’intégrer un réseau de prostitution. L’embarquement dans ce réseau piloté par l’intermédiaire en question est une plongée dans l’enfer. La candidate au travail comme cuisinière, devenue prostituée, n’a trouvé son salut que lors d’une trêve que lui a accordée l’intermédiaire pour fuir l’enfer et rentrer au Maroc où elle s’est mariée à un Marocain. Après avoir conclu l’acte de mariage, les deux époux ont mis le cap sur le Golfe.

La présence de l’époux évite à la femme des poursuites judiciaires en cas d'interpellation pour des chefs d’accusations liés à la prostitution, ajoute le quotidien. C’est pourquoi, révèle le journal, certaines femmes cherchent des maris marocains pour les accompagner dans le Golfe. La formule leur permet de s’adonner librement à la prostitution sans tomber dans les filets de la police. Ainsi, la femme invite le client à la maison en présence du mari qui lui sert d’immunité contre toute poursuite judiciaire.

Un monde où la morale ne reprend sens que lors du mois sacré. A l’aéroport Mohammed V, indique le quotidien, ces femmes se «convertissent» dans les blocs sanitaires du site -maquillage et changement d’habillement- avant de fouler le sol du Maroc.
Par Mohamed Younsi
ne répète pas bètement ce qu'un journal dit....
 
Elles n'ont qu'a remettre leurs voiles, et retourner au bled jouer les pieuses, en attendant que ramadan se termine, et les boites de nuit , les bordel et les hammam se réouvrent en Arabie saoudite et Dubaï pour retourner a leurs vice.
Faut pas les juger, je ne crois pas qu'il y ait une pu te qui le fait par plaisir.. Imagine que ce soit ta soeur, tu aimerais que quelqu'un en parle comme ça?
 
En 2009 déjà. . .
« Derrière la façade du conservatisme wahhabite dans la rue, la vie nocturne de la jeune élite de Jeddah est palpitante », indique ce mémo de novembre 2009. « La gamme entière des tentations et des vices est disponible – alcool, drogue et sexe – mais strictement derrière des portes closes ».

« Cette liberté n'est possible que parce que la police religieuse évite les fêtes qui se tiennent en présence ou sous le haut patronage des membres de la famille royale ou des cercles qui lui sont proches », selon le mémo produit par le consulat américain de Jeddah (ouest de l'Arabie Saoudite). Le câble note qu’il existe 10 000 princes en Arabie Saoudite et que les princes saoudiens ont pour habitude de recruter leurs gardes du corps au Nigeria ou dans d’autres pays africains. Il est très fréquent que ces gardes du corps, appelés « khawi », dérivé du mot « akh », grandissent avec les princes ce qui renforcent leur fidélité et loyauté.

Le document décrit une fête de Halloween avec 150 invités âgés de 20 à 30 ans, y compris des membres du personnel du consulat américain. « Cela ressemble à n'importe quel night-club hors de l'Arabie saoudite: alcool à gogo, jeunes couples dansants, un DJ et tout le monde en costume ». Les grandes fêtes à Jeddah, avec souvent des prostituées, sont un phénomène récent, selon le consulat.

Un Saoudien a indiqué que les riches de la ville invitent des princes pour garder au loin la police religieuse qui veille au respect de la charia, la loi islamique. Le prix exorbitant de l'alcool de contrebande – une bouteille de vodka Smirnoff pouvant coûter l'équivalent de 400 dollars – fait que l'on remplit les bouteilles d'un alcool fabriqué localement, appelé Sadiqi. Le rédacteur du câble précise que s’il ne l’a pas constaté personnellement durant cette fête, le hashish et la cocaïne sont consommés dans ces milieux sociaux et diverses plusieurs occasions. Le trafic de drogue est sanctionné par la peine de mort et la production ou la consommation d'alcool sont sévèrement réprimés par la loi en Arabie saoudite.
 
Comme le racontent mes connaissances iranien(ne)s, dans ces sociétés ultrareligieuses, le commun des mortels vit dans un schizophrénie permanente : voilée de noir à l'extérieur, émancipée et super-délurée à l'intérieur.
 
Un des plus gros marché de la lingerie fine de luxe est l'AS et pas de raison que cela ne soit pas de même en Iran

En Iran tout en étants millionnaires (en rials) ils n'ont plus un rond, trop de fric est utilisé pour entretenir des corps expéditionnaires.

Ai envoyé récemment 200€ au père d'un amie il a reçu juste pas 10 millions de rials ! et le rial est lui même subdivisé en dinar (1 rial = 100 dinars)
 
En Iran tout en étants millionnaires (en rials) ils n'ont plus un rond, trop de fric est utilisé pour entretenir des corps expéditionnaires.

Ai envoyé récemment 200€ au père d'un amie il a reçu juste pas 10 millions de rials ! et le rial est lui même subdivisé en dinar (1 rial = 100 dinars)
cela devient compliqué ta convertion d' € en rial puis en dinars ...bref tes 200 € se sont convertis en 100/150, 175 €
 
Faut pas les juger, je ne crois pas qu'il y ait une pu te qui le fait par plaisir.. Imagine que ce soit ta soeur, tu aimerais que quelqu'un en parle comme ça?
Je ne sais pas comment toi tu appelles une femme qui travaille dans les boites de nuit et comme masseuse dans des hammam, acceptes tu toi que ta sœur travaille dans une boite de nuit ou comme masseuse?
c'est ces deux catégories de femme que j'ai ciblé
 
Elles n'ont qu'a remettre leurs voiles, et retourner au bled jouer les pieuses, en attendant que ramadan se termine, et les boites de nuit , les bordel et les hammam se réouvrent en Arabie saoudite et Dubaï pour retourner a leurs vice.
La mm chose se fait au bled, j'ai appris récemment qu au bled les personnes qui boivent de l alcool doivent stopper pendant 40 jours avant ramadan et reprennent après Pourquoi cette hypocrisie. Je trouve que l article s acharne sur ces femmes qui peut être n ont pas eu le choix que de bosser dans les pays du golfes.
L article indique que ces femmes travaillent comme coiffeuse, serveuse et masseuse en aucun cas il a parlé de choses illicites.
 
Elles sont un grand nombre de femmes Marocaines à travailler dans des secteurs qui, pendant le mois sacré connaissent une baisse, voire une cessation d'activité dans les pays du Golfe. Ce qui contraint ces femmes à un « congé forcé ». Pour ces Marocaines qui pour la plupart, officient comme « coiffeuses, hôtesses, dans des salons de massage ou night-clubs dans le Golfe, la seule alternative qui s'offre est le retour au bercail. Parfois dans la douleur.
Ces femmes Marocaines dites « Repenties du Golfe (...)

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Ramadan : les « Repenties » du Golfe sont de retour
quel rapport entre le métier de coiffeuse et les métiers de la nuit ?
en tout cas ces marocaines sont les bien venues dans leur pays et dans leur famille.
Quelque soit leur travail, elles ont tout mon respect !
 
La mm chose se fait au bled, j'ai appris récemment qu au bled les personnes qui boivent de l alcool doivent stopper pendant 40 jours avant ramadan et reprennent après Pourquoi cette hypocrisie. Je trouve que l article s acharne sur ces femmes qui peut être n ont pas eu le choix que de bosser dans les pays du golfes.
L article indique que ces femmes travaillent comme coiffeuse, serveuse et masseuse en aucun cas il a parlé de choses illicites.
Moi j'ai ciblé juste les deux categories de femmes ( celle qui travaillent dans les boites de nuit et les masseuses), je ne vois pas pourquoi une coiffeuse ne travaille pas ramadan? a moins si elle a juste des cliente ( masseuse et boite de nuit)
lah o3lem
 
Je ne sais pas comment toi tu appelles une femme qui travaille dans les boites de nuit et comme masseuse dans des hammam, acceptes tu toi que ta sœur travaille dans une boite de nuit ou comme masseuse?
c'est ces deux catégories de femme que j'ai ciblé

La question n'est pas "comment on les appelle", j'ai dis qu'il ne faut pas les juger. Non je n'accepterais pas que ma soeur face la pu te, je la sortirais de là, mais elle reste ma soeur donc au lieu de la charger, je l'aiderais et j'aimerais quand même pas que quelqu'un la traite comme toi tu le fais. Qui es tu pour "catégoriser" une femme et qui es tu pour la cibler?
 
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