Salafisme

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LYON3

L Espoir Ne Disparait
Salam Aleykoum

Il est souvent reproche au salafis d`avoir une approche trop literale et pas assez contextuelle des textes.

Mais qu`en est-il vraiment?

Je veux dire par-la,comment savoir si le texte en question est soumis a une interpretation contextuelle ou non?

Car certains savant interpretent certains versets avec une approche contextuelle et d`autres les interpretent mot pour mot sans chercher a savoir si contexte il y a.

Certainement certains versets ou hadiths sont soumis au contexte de l`epoque et d`autres sont valables quelque soit le contexte,mais comment les reconnaitre?

Faut-il se fier au ray (opinion personnel) au quiyas (raisonnement par analogie) au jyma etc... ?
 
Salam Aleykoum

Il est souvent reproche au salafis d`avoir une approche trop literale et pas assez contextuelle des textes.

Mais qu`en est-il vraiment?

Je veux dire par-la,comment savoir si le texte en question est soumis a une interpretation contextuelle ou non?

Car certains savant interpretent certains versets avec une approche contextuelle et d`autres les interpretent mot pour mot sans chercher a savoir si contexte il y a.

Certainement certains versets ou hadiths sont soumis au contexte de l`epoque et d`autres sont valables quelque soit le contexte,mais comment les reconnaitre?

Faut-il se fier au ray (opinion personnel) au quiyas (raisonnement par analogie) au jyma etc... ?
Salam,
Les vrais salafistes te diront toujours que tous les hadiths qu'on estime pour eux sahihs ne sont pas contextuels...puisqu'ils veulent reproduire à l'identique (dans la mesure du possible) le mode de vie du prophète sws, étant donné qu'ils accordent à ces hadiths la même valeur que le Coran, ils sont d'origine divine, donc atemporels et a-contextuels.
 
Salam Aleykoum

Il est souvent reproche au salafis d`avoir une approche trop literale et pas assez contextuelle des textes.

interprèter les textes n'est pas l'affaire des "salafis", car cet adjectif indique seulement l'appartenance à une voie du sunnisme (voir la définition de cheikh al albani: http://www.yabiladi.com/forum/minhadj-salafi-4-534592.html) et il peut s'appliquer aussi bien à un nouveau converti qu'à un savant.

or, interprêter les textes est l'affaire des savants.

des textes relatant des évenements très anciens (surtout en ce qui concerne le coran et la sunna) contiennent des enseignements dont nous ne pouvons nous passer (les explication des récits sur le prophète ibrahim dans le coran en sont un bon exemple).


Je veux dire par-la,comment savoir si le texte en question est soumis a une interpretation contextuelle ou non?

Car certains savant interpretent certains versets avec une approche contextuelle et d`autres les interpretent mot pour mot sans chercher a savoir si contexte il y a.

là, pour pouvoir te répondre, il faudrait citer un exemple.

Certainement certains versets ou hadiths sont soumis au contexte de l`epoque et d`autres sont valables quelque soit le contexte,mais comment les reconnaitre?

Faut-il se fier au ray (opinion personnel) au quiyas (raisonnement par analogie) au jyma etc... ?

comme je te le disais, le fait que certains versets soit révélés dans un contexte précis et concerne nomément des gens qui sont morts depuis longtemps, ne signifie pas qu'ils soient devenus obsolètes et inadaptés à notre époque.

allah a révélé dans le coran que le prophète (paix et salut d'allah sur lui) désirait épouser l'ex-femme de son fils adoptif et il a permis ce mariage (ça ne se faisait pas à l'époque). jusqu'à aujourd'hui, il est permis au musulman de faire ce genre de mariage...

en règle générale, les gens qui reprochent aux autres de s'accrocher fermement à la religion et de refuser de l'adapter "à l'évolution des intelligences et des moeurs", sont des hypocrites qui suivent leurs passions et tentent vainement de transformer la religion d'allah, comme l'ont fait avant eux les juifs et les chrétiens.

la religion doit rester la même!!! al hamdoulillah, nous avons des savants pour nous aider à la pratiquer en tenant compte des progrès technologiques; les mouftis qui font des fatawas. comme tu l'as dit, concernant les questions qui ne trouvent pas de réponse dans le coran ou la sunna, ils recherchent le quyès (une question existante et comparable) ou font un ijtihad (un effort d'interprètation selon leurs propres connaissances)...

barakallahoufik pour ta question intéressante.
 
Salam,
Les vrais salafistes te diront toujours que tous les hadiths qu'on estime pour eux sahihs ne sont pas contextuels...puisqu'ils veulent reproduire à l'identique (dans la mesure du possible) le mode de vie du prophète sws, étant donné qu'ils accordent à ces hadiths la même valeur que le Coran, ils sont d'origine divine, donc atemporels et a-contextuels.

Leur point de vue sera à peu près identique sur le Coran.

Leur foi est celle d'un Coran incréé, éternel, co-existant avec Dieu, pratiquement de nature consubstantielle à Lui. Le terme de "contextualisation" est donc à comprendre de manière particulière dans cette vision: s'ils incluent certes la reconnaissance d'un "contexte" au sens humain du terme dans les circonstances de la révélation coranique, ils refusent l'idée, plus encore que les autres courants de pensée, une participation causale de ces circonstances sur le contenu et la forme de la Révélation divine, ou sur le déclenchement de la Révélation des versets.

C'est ce que Mahmoud Hussein décrit en ces termes dans son livre "Penser le Coran" qui traite de l'étude des circonstances de la Révélation, lorsqu'il définit la manière dont la plupart des savants (salafis pour l'essentiel) envisagent la question des circonstances de la Révélation:
"Le contenu et la forme des versets, de même que les modalités de leur Révélation, ont pour cause unique la volonté intemporelle de Dieu, pré-existante à la création du Monde. Les circonstances participant de la Création, ne peuvent aucunement être assimilées à des causes" (p. 174).

Il existe bien sûr une large quantité de versets qui n'ont pas besoin de contextualisation. Ceux-ci concernent la partie spirituelle du Coran, de loin la plus importante. Mais c'est au sujet des versets à caractère normatif où descriptifs que l'étude du contexte est sans doute pertinente et que le débat prend ici sens entre ce courant de pensée et les autres.

Or, les savants reconnaissent donc bien les circonstances, mais refusent de leur attribuer une valeur de causalité, seulement - et tout au plus - une valeur explicative de la descente des versets. Par exemple, certains savants soutiennent que la manière de comprendre le lien étroit existant entre la circonstance de descente de tel verset et le contenu de celui-ci, est à comprendre de la manière suivante: Dieu aurait simplement 'créé' les circonstances voulues requises pour la descente du verset afin de le rendre intelligible aux hommes. Il n'y a donc pas antécédence de la circonstance sur le verset, mais bien l'inverse. Les circonstances sont donc juste à comprendre comme un "moment choisi" et "fabriqué" ou voulu par Dieu pour délivrer un message qui, à la lumière de ces circonstances, est rendu compréhensible pour les hommes qui le reçoivent.

Dans ce sens, la prise en compte du "contexte" ne revêt pas le même sens que celui où on l'entend généralement. La forme du texte est pour eux le plus souvent sans lien avec le contexte. C'est pour cela que la conception traditionnelle des savants est assez conservatrice sur le fond et sur la forme des versets en matière de normativité. Flageller un malfaiteur n'est par exemple en rien, selon eux, relatif au contexte historique de la Révélation, mais intemporel, et donc applicable pour toute époque et tout contexte.

C'est en cela que le concept de 'contexte' doit au préalable être clarifié afin de s'accorder sur ce qu'il désigne dans le débat. Selon les interprétations, le contexte peut "expliquer" ou "provoquer" la révélation de tel verset, il peut aussi imprégner ou non la formulation des mots d'un message. Or, ne signifiant pas la même chose pour tous les courants, il importe d'en définir la portée exacte dès lors que l'on veut en débattre, et ce sens est variable selon les interprétations.
 
Leur point de vue sera à peu près identique sur le Coran.../..

on ne demande pas à la caissière d'un supermarché de rechercher les hadiths faibles dans le tafsir d'ibn kathir ! alors je m'interroge sur la valeur de ta réponse sur ce sujet... le contenu est vide de sens, on dirait que tu te regardes écrire comme d'autres s'écouteraient parler, ça manque un peu de substance par rapport à d'habitude ! peut-être les mots "barbus" et "salafis" ne sont-ils pas suffisament répétés...
 
on ne demande pas à la caissière d'un supermarché de rechercher les hadiths faibles dans le tafsir d'ibn kathir ! alors je m'interroge sur la valeur de ta réponse sur ce sujet... le contenu est vide de sens, on dirait que tu te regardes écrire comme d'autres s'écouteraient parler, ça manque un peu de substance par rapport à d'habitude ! peut-être les mots "barbus" et "salafis" ne sont-ils pas suffisament répétés...
Je trouve au contraire que la réponse de sinear est fort intéressante, la conclusion de son post, c'est qu'il faudrait définir le mot "contextualisation", je dis pourquoi pas?
Le contenu vide de sens??? En plus d'être faux, c'est pas gentil!!
 
Merci de ta reponse Albahar ;)

Mais qu`en est-il des versets et hadiths parlant d`esclaves?
Ils ne sont plus d`actualite,n`est-ce-pas?
 
on ne demande pas à la caissière d'un supermarché de rechercher les hadiths faibles dans le tafsir d'ibn kathir ! alors je m'interroge sur la valeur de ta réponse sur ce sujet... le contenu est vide de sens, on dirait que tu te regardes écrire comme d'autres s'écouteraient parler, ça manque un peu de substance par rapport à d'habitude ! peut-être les mots "barbus" et "salafis" ne sont-ils pas suffisament répétés...

Je pense surtout que tu n'as pas du lire ou saisir grand-chose à ce que j'ai écrit au vu de la réponse bien formatée que tu nous sors :). Tu fais plaisir à ton copain, mais au-delà de cela tu n'apportes pas grand-chose. Libre à toi.
 
Je pense surtout que tu n'as pas du lire ou saisir grand-chose à ce que j'ai écrit au vu de la réponse bien formatée que tu nous sors . Tu fais plaisir à ton copain, mais au-delà de cela tu n'apportes pas grand-chose. Libre à toi.

Merci de ta participation bien........inutile,car ne m`ayant rien appris quant a la question que je me posais si ce n`est que tu n`aimais pas les Salafis ;)

Mais ne tkt pas,des que l`envie me viendra d`ouvrir un post pour critiquer les Salafis et les musulmans en general je penserai a toi ;)
 
Merci de ta reponse Albahar ;)

Mais qu`en est-il des versets et hadiths parlant d`esclaves?
Ils ne sont plus d`actualite,n`est-ce-pas?

L'esclavage est l'exemple-clé que Tahar Haddad utilisait pour démontrer et appuyer sa thèse de lecture vectorielle du Coran, et différencier l'éternel du circonstanciel.

L'esclavage est une institution aujourd'hui abolie qu'il est insensé de réinstaurer juste pour se conformer à la lettre du Coran qui en parle sans l'abroger explicitement. Il est au contraire l'exemple d'un domaine qui démontre la temporalité de la lettre du Coran et l'intemporalité de son esprit. Les exhortations à mieux traiter les esclaves étaient un commandement qui trouvait son sens par rapport à la situation pré-islamique qu'ils visaient à rectifier, non de manière a-temporelle en-dehors de tout contexte.

Il convient au contraire aujourd'hui, en paraphrasant Mohamed Charfi, de l'abolir en considérant la lettre du Coran comme circonstancielle et son esprit éternel. Cette mise en avant de l'intention , de la finalité du Coran par rapport à la lettre qui l'exprime, même si elle doit conduire à déclarer comme obsolètes certains commandements coranique au contexte aujourd'hui dépassé, est aujourd'hui au cœur du débat entre modernistes et traditionalistes.
 
Merci de ta participation bien........inutile,car ne m`ayant rien appris quant a la question que je me posais si ce n`est que tu n`aimais pas les Salafis ;)

Mais ne tkt pas,des que l`envie me viendra d`ouvrir un post pour critiquer les Salafis et les musulmans en general je penserai a toi

Nous sommes surtout plusieurs à savoir que tu n'as pas envie d'être convaincu de ce que tu demandes :). Et que la portée de la question dépasse de loin ce que tu es prêt à admettre, inutile de le nier. Comme en témoigne le peu d'inspiration de ta réponse.
 
Nous sommes surtout plusieurs à savoir que tu n'as pas envie d'être convaincu de ce que tu demandes . Et que la portée de la question dépasse de loin ce que tu es prêt à admettre, inutile de le nier. Comme en témoigne le peu d'inspiration de ta réponse.

Merci,moi aussi je t`aime ;)

Bonne soiree ;)
 
Merci,moi aussi je t`aime

Bonne soiree

La tentative d'ironie te sied mal, toi, va savoir pourquoi :langue:. Ça doit être l'inspiration, ca la rend crédible ou pas.

Au moins, tu auras eu ta réponse sur l'esclavage. Avec un peu de lectures, tu aurais même pu la trouver toi-même ;)
 
La tentative d'ironie te sied mal, toi, va savoir pourquoi . Ça doit être l'inspiration, ca la rend crédible ou pas.

Au moins, tu auras eu ta réponse sur l'esclavage. Avec un peu de lectures, tu aurais même pu la trouver toi-même

Mdr,j`ai pas le droit de dire que je t`aime? :rouge:

Ca veut dire que tu m`aimes pas ? :(
 
Merci de ta reponse Albahar ;)

Mais qu`en est-il des versets et hadiths parlant d`esclaves?
Ils ne sont plus d`actualite,n`est-ce-pas?

et qui les aurait abrogés? seul allah a le droit de changer ses lois.

l'esclavage et l'islam est un sujet méritant d'être traité, avec science et prudence. un esclave a des droits et un musulman possèdant des esclaves a des devoirs envers eux. d'ailleurs un esclave peut être musulman...

ce sujet est souvent traité hypocritement soit par peur, soit par volonté de dissimulation.

l'islam prônait la libération des esclaves comme une expiation des péchés et incitait à leur laisser la possibilité de racheter leur liberté il y a 14 siècles, alors que "le pays des droits de l'homme" continuera à pratiquer l'esclavage (déguisé ou pas) jusqu'en 1900 et des poussières (http://fr.wikipedia.org/wiki/Abolition_de_l'esclavage)
(un esclavage raciste sous prétexte que les noirs, pour eux, n'avaient pas d'âmes...)

l'esclavage est toujours d'actualité, en voici la preuve:

Malgré les progrès incontestables en matière de textes légaux ou de conventions internationales, les situations d'asservissement restent nombreuses dans le monde. L'Organisation des Nations Unies (et ses institutions spécialisées que sont le Bureau international du travail et L'Organisation internationale du travail) estime qu'il y aurait aujourd'hui 200 à 250 millions d'esclaves adultes à travers le monde auxquels s'ajouteraient 250 à 300 millions d'enfants de 5 à 14 ans au travail. Ces chiffres recouvrent toutefois des situations très diverses.

L'esclavage classique perdure toujours aujourd'hui, bien qu'officiellement aboli dans tous les pays du monde depuis plus de 20 ans (la Mauritanie n'y a officiellement mis fin par décret que le 5 juillet 1980). Certains auteurs font état de rumeur concernant la persistance de marchés aux esclaves dans certains pays, notamment au Soudan et en Mauritanie (où l'on estimait qu'en 1994 11 millions d'habitants, soit 45 % de la population, sont esclaves) ou dans les pays du Golfe Persique.

(http://fr.wikipedia.org/wiki/Esclavage_moderne)

pour ceux qui se préparent à me sauter dessus, je précise que je souhaite le meilleur aux autres, c'est à dire l'islam et la liberté...
 
@ lyon3
Merci de ta reponse Albahar

wahd rokia maradach dor lik

merci part la balakaallah part ici :eek:???????????

simple politesse entre frères, tu vis dans une caverne ou quoi? et évite d'écrire en darija, avec tes fautes (que tu fais exprès) en français, on a du mal à faire la différence...

pourquoi es-tu si méchant avec un pseudo pareil?...
 
L’Islam a adopté une méthode à long terme, dans le but de mettre un terme à l’esclavage...

Il commença par la première étape, qui consistait à libérer psychologiquement les esclaves du complexe d’infériorité qui les habitait. Il rétablit ainsi les esclaves dans leur dignité et leur humanité et fit d’eux des frères pour leurs maîtres, parce que l’esclavage en Islam n’est qu’un état temporaire.

Le Prophète r dit : « Ce sont vos frères, ces serviteurs qu’Allah a placés sous votre autorité. Quiconque est maître de son frère doit lui donner à manger de ce qu’il mange lui-même et doit l’habiller comme il s’habille lui-même. N’imposez point à vos serviteurs ce qui est au dessus de leurs forces, et s’il vous arrive de le faire, venez-leur en aide »

Il faut signaler qu’en Islam, l’esclavage ne touche que le corps, mais jamais la raison et la pensée. L’esclave est libre de rester dans sa religion et sa croyance s’il le désire. Comme à son habitude, l’Islam a encore donné le meilleur exemple en matière d’égalité entre les hommes et en matière de mérite fondé sur la piété, lorsqu’il a réuni les esclaves avec les hommes libres dans la fraternité.

L’Islam a utilisé deux méthodes pour venir à bout de l’esclavage en toute tranquillité, sans susciter de désordre, de problèmes, de rancœurs et d’hostilité, ni causer de perturbation de la situation socio-économique :

La première méthode : elle consiste à restreindre les sources de l’esclavage qui étaient nombreuses. Quand l’Islam apparut, il interdit formellement toutes ces sources sauf deux d’entre elles :

La première : L’asservissement des prisonniers de guerre pris lors des guerres légitimes qui étaient déclarées et ordonnées par le dirigeant...

La seconde : l’esclavage qui se transmet par voie d’héritage.

La deuxième méthode utilisée par l’Islam pour mettre fin à l’esclavage consiste en l’élargissement des voies de l’affranchissement. Alors que l’affranchissement de l’esclave était réduit à une seule voie, qui était le consentement de son maître à le libérer – autrement, il restait à jamais esclave ainsi que sa descendance –, l’Islam est venu prescrire deux voies pour la libération des esclaves : l’affranchissement et le contrat (moukâtaba).

L’affranchissement : l’Islam lui a assigné plusieurs motifs alors qu’il se limitait auparavant au désir du maître d’affranchir son esclave. Parmi ces motifs, on peut citer :

- L’expiation de certains péchés : l’homicide involontaire est racheté par le prix du sang, que l’on verse à la famille de la victime, et par l’affranchissement d’un esclave croyant ...

Il est à noter qu’il incombe à quiconque est redevable d’une de ces expiations, mais ne possède pas d’esclave à affranchir alors qu’il est en mesure d’en acheter, d’acheter un esclave et de l’affranchir.

- L’Islam a fait de l’affranchissement des esclaves l’une des meilleures œuvres qui rapprochent le musulman de son Seigneur. Allah I dit :

( Or, il ne s’engage pas dans la voie difficile ! Et qui te dira ce qu’est la voie difficile ? C’est délier un joug [affranchir un esclave], ou nourrir, en un jour de famine, un orphelin proche parent ou un pauvre dans le dénuement )

- L’affranchissement posthume (tadbîr) : C’est la recommandation, explicite ou implicite, que fait le maître, d’affranchir son esclave après sa mort...

- L’Islam a fait de l’affranchissement des esclaves une ligne bénéficiaire des fonds de la zakât, comme Allah I le dit dans ce verset :

( La zakât n'est destinée qu’aux pauvres, aux indigents, aux percepteurs, à ceux dont on espère la conversion (à l’Islam), à l’affranchissement des esclaves, à ceux qui sont lourdement endettés, [aux combattants] dans le sentier d’Allah, et au voyageur dans le besoin. C’est un décret d’Allah. Et Allah est Omniscient et Sage. )

- En Islam, frapper ou gifler son esclave – sans raison valable – est un des motifs de son affranchissement, car le Prophète r a dit : « Quiconque frappe ou gifle son esclave doit expier cela par son affranchissement »

Le contrat d’affranchissement (Moukâtaba) : Cela consiste pour l’esclave à solliciter de son maître son affranchissement contre paiement d’une somme fixée. Le maître est tenu d’accorder à l’esclave ce contrat dès lors qu’il en fait la demande. Après le consentement, l’esclave a désormais le droit de faire des opérations commerciales, d’accéder à la propriété et de travailler afin de réunir la somme nécessaire à sa libération. Allah I dit :

( Ceux de vos esclaves qui cherchent un contrat d’affranchissement, concluez ce contrat avec eux si vous reconnaissez du bien en eux ; et donnez-leur des biens d’Allah qu’Il vous a accordés. )

Nous pouvons dire, pour résumer, que l’Islam n’a pas institué l’esclavage, mais a plutôt apporté des mécanismes qui ont grandement et efficacement contribué à réduire ses sources...

version complète: http://www.islamhouse.com/p/223400
 
C’est très bien de donner des références mais il faut aussi regarder la réalité
De nos il reste encore en 2009des zones ou l’on pratique l’esclavage : en mauritanie , dans le nord niger et au soudan , bien sur toutes ces régions sont musulmane


oui, je l'ai déjà précisé dans le post précédant celui auquel tu réponds...

ps: t'en fais une tête!!! t'es un schtroumph?...:D
 
oui, je l'ai déjà précisé dans le post précédant celui auquel tu réponds...

ps: t'en fais une tête!!! t'es un schtroumph?...:D



On peut donc dire que la modernité et la globalisation ont plus fait pour libérer les esclaves que l’islam
Les dernières zones esclavagistes étant très isolé et presque hors du temps




Ps: le bleu c’est pour etre assorti avec la couleur de bladi
 
tu peux dire tout ce que tu veux, puisque je me suis déjà exprimé clairement sur le sujet...

ps: la mer aussi est bleue, j'espère pour toi que c'est pas ta photo...
 
L'esclavage est l'exemple-clé que Tahar Haddad utilisait pour démontrer et appuyer sa thèse de lecture vectorielle du Coran, et différencier l'éternel du circonstanciel.

L'esclavage est une institution aujourd'hui abolie qu'il est insensé de réinstaurer juste pour se conformer à la lettre du Coran qui en parle sans l'abroger explicitement. Il est au contraire l'exemple d'un domaine qui démontre la temporalité de la lettre du Coran et l'intemporalité de son esprit. Les exhortations à mieux traiter les esclaves étaient un commandement qui trouvait son sens par rapport à la situation pré-islamique qu'ils visaient à rectifier, non de manière a-temporelle en-dehors de tout contexte.

Il convient au contraire aujourd'hui, en paraphrasant Mohamed Charfi, de l'abolir en considérant la lettre du Coran comme circonstancielle et son esprit éternel. Cette mise en avant de l'intention , de la finalité du Coran par rapport à la lettre qui l'exprime, même si elle doit conduire à déclarer comme obsolètes certains commandements coranique au contexte aujourd'hui dépassé, est aujourd'hui au cœur du débat entre modernistes et traditionalistes.
L’esclavagisme est une idéologie qui prône la soumission de l’Homme à l’Homme.
L’Islam est une religion qui prône la soumission de l’Homme à Dieu et qui dénonce la soumission de l’Homme à l’Homme qui est une forme de Shirk.

L’esclavagisme est une idéologie qui prône l’existence des races dans l'espèce humaine et une hiérarchie entre elles.
L’Islam est une religion qui nie cette hiérarchie raciale et qui prône l’égalitarisme.

On n’a pas besoin d’un texte explicite pour comprendre que l’Islam et l’esclavagisme sont deux idéologies antagonistes… Et avec un petit peu de réflexion, on va comprendre que ce sont les fans de l’esclavagisme qui ont inversé les normes de la nation de l’islam et ont donné naissance aux normes barbares et inhumaines de la seconde Djahiliya cachée sous la couverture du sunnisme.

J’aurais bien aimé voir un des quatre imams sunnites entrain de dénoncer l’esclavagisme, le terrorisme, le colonialisme, sans parler du machisme qui ont régné leur monde… mais walou ! Chacun défend ses propres intérêts et écrase les intérêts des autres surtout les non-musulmans et la gente féminine qui continue à souffrir jusqu’à aujourd’hui dans les pays qui se proclament de l’islam authentique « le salafisme ».
 
L’esclavagisme est une idéologie qui prône la soumission de l’Homme à l’Homme.
L’Islam est une religion qui prône la soumission de l’Homme à Dieu et qui dénonce la soumission de l’Homme à l’Homme qui est une forme de Shirk.

L’esclavagisme est une idéologie qui prône l’existence des races dans l'espèce humaine et une hiérarchie entre elles.
L’Islam est une religion qui nie cette hiérarchie raciale et qui prône l’égalitarisme.

On n’a pas besoin d’un texte explicite pour comprendre que l’Islam et l’esclavagisme sont deux idéologies antagonistes… Et avec un petit peu de réflexion, on va comprendre que ce sont les fans de l’esclavagisme qui ont inversé les normes de la nation de l’islam et ont donné naissance aux normes barbares et inhumaines de la seconde Djahiliya cachée sous la couverture du sunnisme.

J’aurais bien aimé voir un des quatre imams sunnites entrain de dénoncer l’esclavagisme, le terrorisme, le colonialisme, sans parler du machisme qui ont régné leur monde… mais walou ! Chacun défend ses propres intérêts et écrase les intérêts des autres surtout les non-musulmans et la gente féminine qui continue à souffrir jusqu’à aujourd’hui dans les pays qui se proclament de l’islam authentique « le salafisme ».

Que l'esclavagisme soit une pratique a proscrire et condamner fait l'unanimité je pense. La question n'est du reste pas vraiment là. On a commencé à parler de ce sujet en réponse à la manière d'interpréter les versets du Coran qui en parlent, et qui divisent ceux qui veulent toujours voir dans ces versets une dimension d'actualité, et ceux qui les considèrent comme contextualisés au lieu et à l'époque de la Révélation.

Il est assez navrant de constater par ailleurs que certains parmi les premiers, cherchent par tous les moyens, pour ne pas avoir à accepter l'idée de versets tombés en désuétude, à donner à l'esclavage la valeur d'une institution toujours présente comme elle l'était à l'époque, et par rapport à laquelle les versets trouveraient donc toujours à s'appliquer. Or rien n'est plus faux. Des cas d'esclavage isolés subsistent, mais il y a quasi-unanimité internationale de condamnation et d'interdiction explicite de cette pratique, ce qui clôt la question de toute comparaison possible avec l'esclavage tel que pratiqué à l'époque du Prophète. L'esclavage aujourd'hui, qui consiste à la mise au travail forcé et sans rémunération, statut, ou reconnaissance, est interdit, tout comme l'est l'exploitation de l'être humain. Il existe des organisations internationales qui agissent contre ces pratiques et les sanctionnent. L'esclavage à l'époque du Prophète était une institution courante et acceptée par les mœurs, il est aujourd'hui hors-la-loi.

Il est d'ailleurs symptomatique de constater que parmi les pays qui pratiquent ou acceptent encore l'idée d'esclavage, on trouve des pays musulmans où sévit une compréhension assez obscurantiste et littéraliste du Coran. Ce qui tend à démontrer ne nouvelle fois le lien entre niveau de lecture et interprétation du texte, qui se résume dans leur chef +/- à "Si le Coran parle d'esclavage et le régente, il est donc permis, le Coran étant intemporel". La Charia appliquée dans certains pays autorise ainsi la mise en esclavage de prisonniers de guerre non-musulmans, par référence au texte coranique.

Bel exemple de détournement de l'esprit du Coran par refus de contextualisation. Ce n'est hélas pas le seul.
 
bon"jour/soir " lyon.

si tu veux comprendre mieu le developpement des pensées musulmane mon frere, il faudrais remonter le temps et aller plonger dans le passé et l'histoire des penseurs, savents et par epoques.

les litteralistes ne sont pas venu avec cette branche recente du sunnisme tel que le salafisme ou le wahabisme.
depuis l'avenement de l'islam, il y avait comme je l'ai dit souvent. 2 facon d'interpreter la religion musulmane (exoterisme/esoterisme), (l'esprit de la lettre/la lettre pour la lettre), (l'interpretation/la non interpretation). mais ces premieres pensées sont legitimes, et on vois bien a present dans le sunnisme present (pas l'acharisme qui est la premiere pensée sunnite) une fusion entre les 2...
les 4 ecoles actuels du sunnisme sont fondés sur le pionnier premier penseur a l'epoque qui interpreta le coran a sa maniere par l'ijtihade le credo "aqida" et la science d'exegese . je vais te donner 2 exemples de 2 ecoles sunnites une litteraliste et l'autre non litteraliste ( qui acceptent les pensées des uns des autres bien evidement):
L'école hanafite est nomé ecole refletant la pensée du penseur Abu Hanifa Al-Nu'man Ibn Thabit et regroupent ses suiveurs et ses discipiles favorables a cette pensée. et dans le sunnisme (pour voire que le sunnisme regroupent les 2 sens de la pensée premier) elle n'est pas litteraliste. elle est plus ouverte au niveau des recherches et déductions, car elle insiste sur la liberté d'opinion, le jugement personnel, et la recherche de la meilleure solution (au cas par cas, en fonction des convenances du moment et de l'équité). (les chinois, les turques, les indo-musulmans, les egyptiens sont les plus influencer par cette pensée.)
L'ecole hanbalite est nomé par l’imam et le penseur du nom Ahmed Ibn Hanbal . Elle est une école traditionnaliste. influencé par l'ecole athariste (l'ecole de pensée traditionaliste d'avant) et trés defondu par l'imam ibn hanbal. qui est très littéraliste et qui prend les textes sacrés comme ils sont, en evitant plus au moin toutes interprétations (Majoritaire dans la péninsule arabique, notamment en Arabie saoudite).

ps: les pensées sont trés divers dans le sunnisme mais les fondements ne changent jamais...il faut fair des recherches mon frere pour pouvoire entamer les discussions sur les ecoles et comprendre leurs theologies et leurs facon de penser...
 
bon, pour revenire, le salafisme est une pensée recente issue d la pensée littraliste hanbalite. (les penseurs ne se limitent jamais, comme ils etaient a l'epoque, ils sont toujours presents dans la recherche...)
le mot "salaf" qui en arabe ancetre ou prédécesseur désigne les musulmans des deux ou trois premieres générations de l'islam. a chaque fois que les musulmans et savents se trouvent face a des problemes sociaux ou economique, certains d'entre eux comme ibn hanbal ou le suiveur de sa pensée Ibn taymya preconisent un retour à l’islam des Salafs . ce n'est qu'un mot arabe a present qui ne veut rien dire ni refleter un mode de vie particulier ni une ecole ni une pensée.
tout le monde peut se consideré salafi "adjective" si il cherche les sources musulmanes du passé...
or, La mouvance salafiste contemporainne est née d'aprés Ibn Wahab, au XVIIIe siècle. Pour Ibn Wahab, le déclin des pays musulmans face à l'Occident résulte de l'oubli du message originel de l'Islam. son ecole (sa pensée) le wahabisme (de son nom) propose une lecture littéraliste de l'islam, en suivant la tradition hanbaliste et s'inspirant de Ibn Taymiyya comme savent.

cette mouvance se developpa plus loin et se transforment en d'autres ideologies qui sont, comme tu l'as dit, trés critiquées au seins des musulmans et des autres pensées soi litteralistes ou non litteralistes presentes...
Cette mouvance du salafisme (de predication et de combat) se refuse a limiter l'action religieuse à la da3wa ouau djihad du cœur seulement. Les salafistes (les appartenant communautaristes) de cette tendance sont ainsi favorables au combat armé, afin de libérer les pays musulmans de toute occupation étrangère et egalement renverser les régimes des pays musulmans qu'ils jugent impies pour instaurer un État authentiquement islamique.
il y a aussi Cette tendance salafiste qui poursuit donc une stratégie de réislamisation des sociétés musulmanes (ré-ewahabisation ou salafisation plutot).

elle est enfait une mouvance politique et non theologique ou spirituelle a ne pas confondre avec salafi ou salafi (suiveurs des ancetres musulmans) ou avec les salafi qui font des predications non violente et non directement politique par la da3wa et la bonne paroles...(les suiveurs de la pensée hanbalite tt simplement)

+pour differencier ou reconaitre les salafistes(predication et de combat) au musulman hanbalite (ou juste musulman suiveurs des pensées traditionalistes les salafs comme nous tous dailleurs ) , ces salafistes politico-wahabites sont trés communautaristes et discreditent tous les autres penseurs du sunnisme qui ne partagent pas leurs mouvance (le salafisme n'est pas une ecole de pensée) et leur font meme sortire de l'islam alors que les autres ne sont que des simples musulmans suiveurs des pensées riches et benefiques du hanbalisme.

...j'espere que j''ai reussi a resumer un peu les differences, les confusions et le "pourquoi critiquer le salafisme" ...
mais fais des recherches par toi meme...pour moi, quand l'adjective "salafi" se transforme en mouvance, il n y a que nuisance qui se reflette...

l'islam est trés riche et constitue un monde de pensées trés instruisant et multidimentionel ! c est la plus belle religion qui existe au monde pour moi.
 
bon, pour revenire, le salafisme est une pensée recente issue d la pensée littraliste hanbalite. (les penseurs ne se limitent jamais, comme ils etaient a l'epoque, ils sont toujours presents dans la recherche...)
le mot "salaf" qui en arabe ancetre ou prédécesseur désigne les musulmans des deux ou trois premieres générations de l'islam. a chaque fois que les musulmans et savents se trouvent face a des problemes sociaux ou economique, certains d'entre eux comme ibn hanbal ou le suiveur de sa pensée Ibn taymya preconisent un retour à l’islam des Salafs . ce n'est qu'un mot arabe a present qui ne veut rien dire ni refleter un mode de vie particulier ni une ecole ni une pensée.
tout le monde peut se consideré salafi "adjective" si il cherche les sources musulmanes du passé...
or, La mouvance salafiste contemporainne est née d'aprés Ibn Wahab, au XVIIIe siècle. Pour Ibn Wahab, le déclin des pays musulmans face à l'Occident résulte de l'oubli du message originel de l'Islam. son ecole (sa pensée) le wahabisme (de son nom) propose une lecture littéraliste de l'islam, en suivant la tradition hanbaliste et s'inspirant de Ibn Taymiyya comme savent.

cette mouvance se developpa plus loin et se transforment en d'autres ideologies qui sont, comme tu l'as dit, trés critiquées au seins des musulmans et des autres pensées soi litteralistes ou non litteralistes presentes...
Cette mouvance du salafisme (de predication et de combat) se refuse a limiter l'action religieuse à la da3wa ouau djihad du cœur seulement. Les salafistes (les appartenant communautaristes) de cette tendance sont ainsi favorables au combat armé, afin de libérer les pays musulmans de toute occupation étrangère et egalement renverser les régimes des pays musulmans qu'ils jugent impies pour instaurer un État authentiquement islamique.
il y a aussi Cette tendance salafiste qui poursuit donc une stratégie de réislamisation des sociétés musulmanes (ré-ewahabisation ou salafisation plutot).

elle est enfait une mouvance politique et non theologique ou spirituelle a ne pas confondre avec salafi ou salafi (suiveurs des ancetres musulmans) ou avec les salafi qui font des predications non violente et non directement politique par la da3wa et la bonne paroles...(les suiveurs de la pensée hanbalite tt simplement)

+pour differencier ou reconaitre les salafistes(predication et de combat) au musulman hanbalite (ou juste musulman suiveurs des pensées traditionalistes les salafs comme nous tous dailleurs ) , ces salafistes politico-wahabites sont trés communautaristes et discreditent tous les autres penseurs du sunnisme qui ne partagent pas leurs mouvance (le salafisme n'est pas une ecole de pensée) et leur font meme sortire de l'islam alors que les autres ne sont que des simples musulmans suiveurs des pensées riches et benefiques du hanbalisme.

...j'espere que j''ai reussi a resumer un peu les differences, les confusions et le "pourquoi critiquer le salafisme" ...
mais fais des recherches par toi meme...pour moi, quand l'adjective "salafi" se transforme en mouvance, il n y a que nuisance qui se reflette...

l'islam est trés riche et constitue un monde de pensées trés instruisant et multidimentionel ! c est la plus belle religion qui existe au monde pour moi.

Salam Aleykoum mon frere


Depuis le temps je me suis renseigne sur tout cela et j ai pu a peu pres trouver reponse a ma question mais je te remercie neanmoins pour tes deux messages ;)

Par contre je n ai pas compris pour cela :
les salafis qui font des predications non violente et non directement politique par la da3wa et la bonne parole.

Fais tu reference aux Tablighs?

Concernant ton deuxieme message j aimerais qu un frere Salafi puisse y reagir pour infirmer ou confirmer.
 
Salam Aleykoum mon frere


Depuis le temps je me suis renseigne sur tout cela et j ai pu a peu pres trouver reponse a ma question mais je te remercie neanmoins pour tes deux messages ;)

Par contre je n ai pas compris pour cela :
les salafis qui font des predications non violente et non directement politique par la da3wa et la bonne parole.

Fais tu reference aux Tablighs?

Concernant ton deuxieme message j aimerais qu un frere Salafi puisse y reagir pour infirmer ou confirmer.

salafisme n'est pas une religion, ni une ecole de pensée religieuse ou theologique mon frere.
en arabe classique : salaf c ancetre.
si tu suis les enseignement des premiers savents, les sahaba et le prophete tu es salafi par adjectif.

sinon la mouvance salafiste contemporaine est une autre chose.
 
les litteralistes ne sont pas venu avec cette branche recente du sunnisme tel que le salafisme ou le wahabisme.
...

salam,

je suis assez déçu par ton message !

je n'ai jamais rencontré un musulman qui dise je suis un wahabite !

ce terme est utilisé en général par des gens qui dénigrent le savant mohammed ibn abdel wahab, et qui veulent faire croire à l'existence d'une secte dont les membres pratiqueraient le suivi aveugle (taqlid) avec lui !

cette secte n'existe pas !

quant au terme "salafisme" sa définition est de suivre le coran et la sunnah selon la compréhension des compagnons, et ce n'est rien d'autre que l'islam !...

tout le reste de ton post est un peu embrouillé, on dirait que c'est juste une petite sauce pour mieux faire glisser le message !

cite plutôt des erreurs dans la 'aqida des "salafis" (si ça existe) et on pourra comprendre ce que tu leur reproche...

vraiment tu m'as surpris !
 
salam,

je suis assez déçu par ton message !

je n'ai jamais rencontré un musulman qui dise je suis un wahabite !

ce terme est utilisé en général par des gens qui dénigrent le savant mohammed ibn abdel wahab, et qui veulent faire croire à l'existence d'une secte dont les membres pratiqueraient le suivi aveugle (taqlid) avec lui !

cette secte n'existe pas !

quant au terme "salafisme" sa définition est de suivre le coran et la sunnah selon la compréhension des compagnons, et ce n'est rien d'autre que l'islam !...

tout le reste de ton post est un peu embrouillé, on dirait que c'est juste une petite sauce pour mieux faire glisser le message !

cite plutôt des erreurs dans la 'aqida des "salafis" (si ça existe) et on pourra comprendre ce que tu leur reproche...

vraiment tu m'as surpris !

ahh si mon frere, j'en ai rencontré. des suiveurs de la pensée de mohammed ibn al wahab. mais ils sont hanbalite, c'est juste une appelation pour ceux qui accordent une importance a la pensée de abd alwahab.
Ibn Saoud, fondateur de la dynastie qui dirige actuellement l'Arabie saoudite. Le wahhabisme est juste un retour au source hanbalite du point de vue de ibn taymya. est ainsi jusqu'à aujourd'hui la doctrine religieuse officielle de l'Arabie saoudite

Mohammad Ibrahim al-Sheikh, Abdel Aziz ben Baz et Mohammad ben al-Uthaymeen (les sheiks suiveur de sa pensée du retour au source a cause de la raison que defandait abd alwahab du declin de l'islam) se declarent suiveur de abd wahab mon frere.
je fais bien la difference entre le politico-religieux. et je voulais juste differncier les dimensions vu que mon frere ne sais pas pourquoi ils sont critiqué?
connais tu salafiya aljihadiya? (predication et de combat) ?
 
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