Séisme au Maroc. Le forcing de la France pour envoyer des aides au Maroc: le recadrage de Samira Sitaïl sur BFM TV
- Initiateur de la discussion saintjohn
- Date de début
Quand la rage prend la place à toute forme d’objectivité 
On parle du séisme et voilà que la presse française parle de la cruauté de hassan2 ( dont duhamel qui lui léchait bien le qu a l’époque
) aussi ces journalistes français nous apprennent que les marocains n’aiment pas le roi m6 ni le respectent ! Donc il a moins de pouvoir sur le peuple
Je crois qu’ils ont été heurté dans leur ego
On parle du séisme et voilà que la presse française parle de la cruauté de hassan2 ( dont duhamel qui lui léchait bien le qu a l’époque
) aussi ces journalistes français nous apprennent que les marocains n’aiment pas le roi m6 ni le respectent ! Donc il a moins de pouvoir sur le peupleJe crois qu’ils ont été heurté dans leur ego
Quand la rage prend la place à toute forme d’objectivité
On parle du séisme et voilà que la presse française parle de la cruauté de hassan2 ( dont duhamel qui lui léchait bien le qu a l’époque
Je crois qu’ils ont été heurté dans leur ego
Je ne regarde pas la télé, je vois juste des messages ici et là sur la presse française.
Mais que se passe t'il ?? On croit rêver.
Dites ça parle du Maroc en boucle sur bfm et c news ?
Je vais devoir allumer ma télé pour m'en rendre compte !
C'est bizarre tes liens m'obligent à me connecter aà X alors que je peux lire les liens de barlamane sans avoir de compte !!Quand la rage prend la place à toute forme d’objectivité
On parle du séisme et voilà que la presse française parle de la cruauté de hassan2 ( dont duhamel qui lui léchait bien le qu a l’époque
Je crois qu’ils ont été heurté dans leur ego
C'était quel compte ?/quel message stp
Tu loupes rien c’est inutile d’allumer la télé tu as tous les high light sur les réseaux
Et je peux te dire que ça enrage dur contre le Maroc !
Empirecherifien1
Cool
Essaye de l’ouvrir depuis autre que Bladi
It's the king now
God Bless The Queen.
"It's the king now"
Not for me. The Queen. I like her. That is how I am.
I liked Mike Tyson. After Mike Tyson, I stopped watching boxing.
I liked Jordan and the Chicago Bulls. After Jordan I stopped watching the NBA.
Yes you can say I am a strange guy.
Take the frog. I did not care much for the frog. But NOW I despise the FROG.
Oh let me go make my coffee and have a smoke.
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Oh let me go make my coffee and have a smoke.
Aigleloyal
VIB
Quand la rage prend la place à toute forme d’objectivité
On parle du séisme et voilà que la presse française parle de la cruauté de hassan2 ( dont duhamel qui lui léchait bien le qu a l’époque
Je crois qu’ils ont été heurté dans leur ego
Je sais pas ce que tu regardes ou ce que tu lis. Perso je suis abonné numérique au Monde et au Figaro (c'est pas BFM) je n'ai pas vu qui que ce soit enrager contre le Maroc.
J'ai plutôt vu et lu de la compassion et de la bienveillance, dans la presse, à la TV, comme sur les RS.
Il y a même une émission spéciale en ce moment sur M6.
Les polémiques stupides sur l'aide humanitaire, elles existent, en particulier en France. Mais elles ont assez vite été balayées.
En espérant que la France (gouvernance) fasse le nécessaire pour rétablir les liens rompus -
@Aigleloyal
Pour partage
Comment choisit-on le titre d’un article de journal? Il y a deux cas de figure. Dans le premier cas, le journaliste relit lui-même son texte puis essaie de le résumer en quelques mots: ce sera le titre. Dans le second cas, c’est le rédacteur en chef qui fait ça.
Cependant, dans les deux situations, c’est souvent le subconscient qui parle, ce sont les obsessions du folliculaire (ou du rédac’ chef) qui apparaissent dans le titre, «à l’insu de son plein gré», comme disait un cycliste ennemi des belles-lettres.
Ainsi, quand le journal parisien Le Monde traite, en première page, du tremblement de terre qui a frappé le Maroc, quel titre choisit-il? Comment résume-t-il cette catastrophe naturelle, ses causes, ses conséquences, la réaction admirable des Marocains, les files d’attente devant les centres de don du sang, la réactivité des plus hautes autorités, de l’armée et de la Protection civile, le dévouement des infirmiers et des médecins?
Voici, en caractères gras, sur plusieurs colonnes, en date du dimanche 10 septembre: Amizmiz: «Personne, encore, n’est venu nous aider».
Notons qu’on trouve dans le corps du texte écrit par la journaliste (une certaine Aurélie) plusieurs titres possibles: «il est encore difficile d’évaluer les dégâts», «des villages isolés», etc. On y trouve aussi le neutre et informatif «Un fort tremblement de terre frappe le Maroc».
Mais non, ce serait trop facile! Il faut profiter de l’occasion pour taper sur le Maroc, comme le fait Le Monde depuis des décennies (je mets au défi quiconque de trouver dans ce quotidien un seul article au ton positif sur notre pays depuis un demi-siècle).
«Personne n’est venu nous aider». C’est le titre de l’article.
Mais, bien sûr, Aurélie. C’est un scandale. Le Maroc n’est bon qu’à ça.
Le fait qu’il s’agisse d’une région montagneuse (vérifiez, puisque vous êtes sur place; et avez-vous remarqué que ça s’appelle le Haut Atlas?), le fait que les routes et les chemins de montagne soient coupés par des éboulements de rochers (savez-vous qu’un violent tremblement de terre a frappé la région?), tout cela ne joue aucun rôle dans le retard des secours.
Vous avez tout compris, madame. Si personne n’est venu aider les sinistrés d’Amizmiz, c’est parce que les Marocains sont méchants, durs, indifférents au malheur de leurs compatriotes et surtout parce que l’État marocain est nul, incompétent, absent, etc. (Le mot «impéritie» n’est pas loin.) C’est bien cela que le choix, pas du tout innocent, de votre titre veut suggérer, n’est-ce pas?
Superman, Batman ou Wonderwoman seraient arrivé(e)s dans la minute qui a suivi le séisme. Alors pourquoi pas nous? C’est parce que nous sommes nuls, madame. Merci de nous mettre le nez dans notre pipi. Nous sommes rouges de honte. Confus, nous rampons à vos pieds.
Nous sommes nuls. Pourtant, on dit que… Entre mille exemples, la route d’Azaden a été bloquée de tout son long par d’énormes rochers et des équipes bénévoles d’une grande entreprise marocaine (OCP) ont travaillé toute la nuit avec une chargeuse de l’entreprise pour la déblayer afin que les secours puissent passer. Ça, c’est sans doute une fake news, madame?
Nous sommes nuls. Pourtant, on dit que l’armée a mis immédiatement ses hélicoptères au service des sauveteurs qui ont pu ainsi accéder à des villages totalement isolés, à deux ou trois mille mètres d’altitude. Sans doute une affabulation, Aurélie? Vous avez eu raison de ne pas en piper mot.
Nous sommes nuls. Pourtant, on dit que tous les centres de don du sang ont été pris d’assaut par de simples citoyens désireux de participer à l’extraordinaire élan de solidarité qui a saisi le peuple marocain. Oui, mais c’était sans doute dans l’espoir d’avoir un petit verre de lait pour rétribution. N’est-ce pas, madame?
Le pire, c’est que vous ne voyez sans doute même pas où est le problème.
- Ben oui, quoi, caisse j’ai fait? Chuis objective, moi. Chuis une pro. Quelqu’un m’a dit, là-haut dans la montagne, que les secours n’étaient pas encore arrivés, j’l’ai répété. Fallait pas?
Si vous ne voyez pas la différence entre rapporter cette phrase dans le corps du texte et la choisir comme titre, c’est grave.
Pour partage
Comment choisit-on le titre d’un article de journal? Il y a deux cas de figure. Dans le premier cas, le journaliste relit lui-même son texte puis essaie de le résumer en quelques mots: ce sera le titre. Dans le second cas, c’est le rédacteur en chef qui fait ça.
Cependant, dans les deux situations, c’est souvent le subconscient qui parle, ce sont les obsessions du folliculaire (ou du rédac’ chef) qui apparaissent dans le titre, «à l’insu de son plein gré», comme disait un cycliste ennemi des belles-lettres.
Ainsi, quand le journal parisien Le Monde traite, en première page, du tremblement de terre qui a frappé le Maroc, quel titre choisit-il? Comment résume-t-il cette catastrophe naturelle, ses causes, ses conséquences, la réaction admirable des Marocains, les files d’attente devant les centres de don du sang, la réactivité des plus hautes autorités, de l’armée et de la Protection civile, le dévouement des infirmiers et des médecins?
Voici, en caractères gras, sur plusieurs colonnes, en date du dimanche 10 septembre: Amizmiz: «Personne, encore, n’est venu nous aider».
Notons qu’on trouve dans le corps du texte écrit par la journaliste (une certaine Aurélie) plusieurs titres possibles: «il est encore difficile d’évaluer les dégâts», «des villages isolés», etc. On y trouve aussi le neutre et informatif «Un fort tremblement de terre frappe le Maroc».
Mais non, ce serait trop facile! Il faut profiter de l’occasion pour taper sur le Maroc, comme le fait Le Monde depuis des décennies (je mets au défi quiconque de trouver dans ce quotidien un seul article au ton positif sur notre pays depuis un demi-siècle).
«Personne n’est venu nous aider». C’est le titre de l’article.
Mais, bien sûr, Aurélie. C’est un scandale. Le Maroc n’est bon qu’à ça.
Le fait qu’il s’agisse d’une région montagneuse (vérifiez, puisque vous êtes sur place; et avez-vous remarqué que ça s’appelle le Haut Atlas?), le fait que les routes et les chemins de montagne soient coupés par des éboulements de rochers (savez-vous qu’un violent tremblement de terre a frappé la région?), tout cela ne joue aucun rôle dans le retard des secours.
Vous avez tout compris, madame. Si personne n’est venu aider les sinistrés d’Amizmiz, c’est parce que les Marocains sont méchants, durs, indifférents au malheur de leurs compatriotes et surtout parce que l’État marocain est nul, incompétent, absent, etc. (Le mot «impéritie» n’est pas loin.) C’est bien cela que le choix, pas du tout innocent, de votre titre veut suggérer, n’est-ce pas?
Superman, Batman ou Wonderwoman seraient arrivé(e)s dans la minute qui a suivi le séisme. Alors pourquoi pas nous? C’est parce que nous sommes nuls, madame. Merci de nous mettre le nez dans notre pipi. Nous sommes rouges de honte. Confus, nous rampons à vos pieds.
Nous sommes nuls. Pourtant, on dit que… Entre mille exemples, la route d’Azaden a été bloquée de tout son long par d’énormes rochers et des équipes bénévoles d’une grande entreprise marocaine (OCP) ont travaillé toute la nuit avec une chargeuse de l’entreprise pour la déblayer afin que les secours puissent passer. Ça, c’est sans doute une fake news, madame?
Nous sommes nuls. Pourtant, on dit que l’armée a mis immédiatement ses hélicoptères au service des sauveteurs qui ont pu ainsi accéder à des villages totalement isolés, à deux ou trois mille mètres d’altitude. Sans doute une affabulation, Aurélie? Vous avez eu raison de ne pas en piper mot.
Nous sommes nuls. Pourtant, on dit que tous les centres de don du sang ont été pris d’assaut par de simples citoyens désireux de participer à l’extraordinaire élan de solidarité qui a saisi le peuple marocain. Oui, mais c’était sans doute dans l’espoir d’avoir un petit verre de lait pour rétribution. N’est-ce pas, madame?
Le pire, c’est que vous ne voyez sans doute même pas où est le problème.
- Ben oui, quoi, caisse j’ai fait? Chuis objective, moi. Chuis une pro. Quelqu’un m’a dit, là-haut dans la montagne, que les secours n’étaient pas encore arrivés, j’l’ai répété. Fallait pas?
Si vous ne voyez pas la différence entre rapporter cette phrase dans le corps du texte et la choisir comme titre, c’est grave.
Dans le premier cas, elle est purement informative, elle témoigne d’un état de fait que vous auriez pu expliquer dans les phrases suivantes: routes bloquées, délai nécessaire à l’organisation des secours, etc. Dans le second, cette phrase devenue titre ne peut plus être équilibrée par d’autres phrases, explicatives, qui l’auraient immédiatement suivie si elle avait simplement fait partie du corps du texte. Mise en exergue, elle insinue (ils sont nuls), elle sous-entend (ils se moquent de ces pauvres gens), elle devient acte d’accusation (l’État est incompétent).
Vous ne voyez toujours pas la différence? Changez de métier, Aurélie.
Deux jours plus tard, la même journaliste, déniaisée, mentionnait enfin ce qu’elle ne pouvait plus nier: l’impressionnante réaction du pays, l’intervention de la Protection civile, de l’armée, de simples particuliers accourus de toutes les régions… Mais le mal était fait: son premier titre -«Personne n’est venu nous aider»- s’était sans doute gravé dans la psyché de ses lecteurs de l’Hexagone, renforçant leurs préjugés. Les Marocains? Apathiques, incompétents. Leur État? Absent.
Du temps que j’enseignais à l’université d’Amsterdam, certains de mes collègues s’étaient proclamés «marocanologues». Ils avaient le même biais que l’envoyée spéciale du Monde: ils ne voyaient que ce qui est négatif, l’inventant au besoin, sans jamais voir ce qu’il y a de positif dans notre pays.
Bien entendu, il y a beaucoup de choses qui vont mal chez nous. La corruption est un fléau; le système scolaire est défaillant; la pauvreté, voire la misère, touche beaucoup trop de citoyens; le chômage, en particulier celui des jeunes, atteint des niveaux préoccupants; l’extrémisme religieux, s’il a reflué quelque peu, reste toujours un point noir; les disparités sociales (des Ferrari garées devant les bidonvilles…) sont consternantes; etc.
Nous savons tout cela. Nous connaissons nos problèmes. Nous les vivons. Si des journalistes étrangers ou des «marocanologues» veulent en parler, libre à eux de le faire.
Mais serait-ce trop demander qu’ils parlent aussi, de temps à autre, le temps d’une lune bleue, de ce que nous faisons pour essayer de résoudre ces problèmes? Le Monde et les autres ont-ils jamais essayé d’analyser notre difficile question linguistique avant de souligner notre taux de déperdition scolaire? Ont-ils jamais évoqué les nombreux responsables jetés en prison pour faits de corruption? Ont-ils jamais salué la lutte incessante contre l’extrémisme religieux? Savent-ils ce que signifient les acronymes OFPPT, CNSS, INDH, AMO, tous organismes engagés dans la lutte contre la pauvreté, contre le chômage, contre la précarité?
On attend l’éditorial du Monde présentant ses excuses pour le titre de son premier article et faisant l’éloge de l’émouvant élan de solidarité des Marocains et de la réactivité de leur État et de leur armée à la suite de cette tragédie qui les a tous touchés.
Gageons qu’on attendra longtemps.
Par Fouad Laroui
Vous ne voyez toujours pas la différence? Changez de métier, Aurélie.
Deux jours plus tard, la même journaliste, déniaisée, mentionnait enfin ce qu’elle ne pouvait plus nier: l’impressionnante réaction du pays, l’intervention de la Protection civile, de l’armée, de simples particuliers accourus de toutes les régions… Mais le mal était fait: son premier titre -«Personne n’est venu nous aider»- s’était sans doute gravé dans la psyché de ses lecteurs de l’Hexagone, renforçant leurs préjugés. Les Marocains? Apathiques, incompétents. Leur État? Absent.
Du temps que j’enseignais à l’université d’Amsterdam, certains de mes collègues s’étaient proclamés «marocanologues». Ils avaient le même biais que l’envoyée spéciale du Monde: ils ne voyaient que ce qui est négatif, l’inventant au besoin, sans jamais voir ce qu’il y a de positif dans notre pays.
Bien entendu, il y a beaucoup de choses qui vont mal chez nous. La corruption est un fléau; le système scolaire est défaillant; la pauvreté, voire la misère, touche beaucoup trop de citoyens; le chômage, en particulier celui des jeunes, atteint des niveaux préoccupants; l’extrémisme religieux, s’il a reflué quelque peu, reste toujours un point noir; les disparités sociales (des Ferrari garées devant les bidonvilles…) sont consternantes; etc.
Nous savons tout cela. Nous connaissons nos problèmes. Nous les vivons. Si des journalistes étrangers ou des «marocanologues» veulent en parler, libre à eux de le faire.
Mais serait-ce trop demander qu’ils parlent aussi, de temps à autre, le temps d’une lune bleue, de ce que nous faisons pour essayer de résoudre ces problèmes? Le Monde et les autres ont-ils jamais essayé d’analyser notre difficile question linguistique avant de souligner notre taux de déperdition scolaire? Ont-ils jamais évoqué les nombreux responsables jetés en prison pour faits de corruption? Ont-ils jamais salué la lutte incessante contre l’extrémisme religieux? Savent-ils ce que signifient les acronymes OFPPT, CNSS, INDH, AMO, tous organismes engagés dans la lutte contre la pauvreté, contre le chômage, contre la précarité?
On attend l’éditorial du Monde présentant ses excuses pour le titre de son premier article et faisant l’éloge de l’émouvant élan de solidarité des Marocains et de la réactivité de leur État et de leur armée à la suite de cette tragédie qui les a tous touchés.
Gageons qu’on attendra longtemps.
Par Fouad Laroui
Aigleloyal
VIB
C'est pas avec Macron qu'on rétablira quoi que ce soit.
Il est aussi nul en politique extérieure et en diplomatie qu'en politique intérieure.
Rien qu'au Maghreb, il a réussi l'exploit de se mettre à dos le Roi du Maroc, allié historique de la France, sans parvenir non plus à améliorer les relations diplomatiques avec l'Algérie.
Macron est une sorte d'alchimiste inversé, capable de changer l'or en plomb...
C'est pas avec Macron qu'on rétablira quoi que ce soit.
Il est aussi nul en politique extérieure et en diplomatie qu'en politique intérieure.
Rien qu'au Maghreb, il a réussi l'exploit de se mettre à dos le Roi du Maroc, allié historique de la France, sans parvenir non plus à améliorer les relations diplomatiques avec l'Algérie.
Macron est une sorte d'alchimiste inversé, capable de changer l'or en plomb...
On entend désormais en marge du traitement de cette catastrophe des journalistes demander à des acteurs de servir de pont pour la réconciliation (le mot est fort) ou encore s'interroger sur la nécessité de s'aligner sur les USA sur le Sahara...
Je pense qu'ils ont digéré le fait que la France n'a plus de préséance et qu'elle va devoir faire des efforts pour garder ses partenaires -
Macron subira une pression sur le sujet - si il n'est pas dans son intérêt de sortir du bois - il va devoir redoubler d'ingéniosité pour rétablir le contact avec le Maroc - dit en toute modestie - car le Maroc a autant besoin de la France que la France du Maroc - chacun à son échelle, bien entendu.
Aigleloyal
VIB
@Barlamane : Il y a sans doute du vrai dans l'article à charge de Fouad Karoui. Mais il est vraiment partial et peu objectif.
L'un des premiers articles du Monde, quelques heures après le séisme,évoque justement la solidarité des Marocains, qui faisaient la queue devant un centre de dons du sang.
www.lemonde.fr
L'un des premiers articles du Monde, quelques heures après le séisme,évoque justement la solidarité des Marocains, qui faisaient la queue devant un centre de dons du sang.
Vidéo. Séisme au Maroc : à Marrakech, une file d’attente immense pour donner son sang
Vidéo - Des centaines de Marocains et de touristes se sont mobilisés pour faire un don après le séisme qui a frappé le Maroc dans la nuit du 8 au 9 septembre.
www.lemonde.fr
@Barlamane : Il y à sans doute du vrai dans l'article à charge de Fouad Karoui. Mais il est vraiment partial et peu objectif.
L'un des premiers articles du Monde, quelques heures après le séisme,évoque justement la solidarité des Marocains, qui faisaient la queue devant un centre de dons du sang.
Vidéo. Séisme au Maroc : à Marrakech, une file d’attente immense pour donner son sang
Vidéo - Des centaines de Marocains et de touristes se sont mobilisés pour faire un don après le séisme qui a frappé le Maroc dans la nuit du 8 au 9 septembre.
c'était avant que la France ne sache qu'elle n'aurait pas le 1er rôle
Aigleloyal
VIB
Malheureusement, Macron n'est plus crédible, ni dans son propre pays, ni à l'étranger.
Pourquoi avoir tendu la main aux dirigeants aux dirigeants algériens (Bouteflika puis Tebboune) , dont on sait ( Macron l'a lui-même dit) que la "rente mémorielle", après 60 ans d'indépendance, masque l'incompétence notoire ?
Macron a eu tout faux sur le Maroc, qu'il s'agisse de la question du Sahara Occidental, comme des visas.
Et que dire de l'Afrique Subsaharienne, où il a été incapable de voir venir la fin funeste de la Françafrique, qu'il a même accélérée bien malgré lui, par son arrogance et sa suffisance.
Bref, on ne peut pas compter sur lui pour réchauffer les relations diplomatiques entre les 2 pays.
Aigleloyal
VIB
c'était avant que la France ne sache qu'elle n'aurait pas le 1er rôle
Ok. Admettons.
Voilà un article du Monde après la "polémique", qui vante la solidarité des Marocains.
Après le séisme au Maroc, un immense élan de solidarité : « A sa façon, tout le monde donne »
Dons d’argent ou de sang, collecte de nourriture, de médicaments, de tentes et de vêtements… Depuis la catastrophe qui a fait au moins 2 900 morts dans le Haut Atlas, les Marocains se mobilisent massivement pour venir en aide aux sinistrés.
www.lemonde.fr
Et là, on dira que c'est pour se faire pardonner de la "polémique"...
Ok. Admettons.
Voilà un article du Monde après la "polémique", qui vante la solidarité des Marocains.
Après le séisme au Maroc, un immense élan de solidarité : « A sa façon, tout le monde donne »
Dons d’argent ou de sang, collecte de nourriture, de médicaments, de tentes et de vêtements… Depuis la catastrophe qui a fait au moins 2 900 morts dans le Haut Atlas, les Marocains se mobilisent massivement pour venir en aide aux sinistrés.
Et là, on dira que c'est pour se faire pardonner de la "polémique"...
L'article date d'aujourd'hui et l'auteure n'est autre que " la" Aurélie visée par Fouad Laroui.
Les Français ont mis de l'eau dans leur vin, je pense.
Mais je concède qu'il ne faut pas mettre toute la presse et tous les journalistes dans le même panier - que certains dès la 1ère heure ont fait preuve d'une déontologie exemplaire - de même que je suis persuadée que si d'autres ont fait preuve de mauvaise foi dans leur retranscription des évènements, ils ont sans doute agi par dépit "amoureux"
ou sous une certaine pression des chefs de rédaction - je renvoie à la liberté de la presse sous Macron.Good night
Aigleloyal
VIB
Il y a aussi le côté paternaliste des Français, qui imaginent que le Maroc ne s'en sortira pas sans eux (idem pour les autres anciennes colonies africaines)
Le refus de l'aide officielle française a été interprété par certains comme un "affront", et il y a eu une part de vexation qui apparaît clairement dans certains articles sur la question.
Sans parler des journalistes, je pense que la plupart des Français se sont (sincèrement) sentis solidaires du peuple marocain.
D'autant que cette catastrophe a été très largement documentée et illustrée par les innombrables photos et vidéos de simples citoyens qui ont tout perdu. Ce qui rend la catastrophe encore plus concrète.
Et la grande majorité des Français n'était pas vraiment au courant de la fraîcheur des relations diplomatiques en la France et le Maroc... D'où une certaine incompréhension de ce côté de la Méditerranée.
Mais je concède qu'il ne faut pas mettre toute la presse et tous les journalistes dans le même panier - que certains dès la 1ère heure ont fait preuve d'une déontologie exemplaire - de même que je suis persuadée que si d'autres ont fait preuve de mauvaise foi dans leur retranscription des évènements, ils ont sans doute agi par dépit "amoureux"
Good night
C'est à peu près comme ça que je vois les choses également.
Tesbah ala khir
I don't have that problem. Millions of Moroccans don't have that problem. So we are going after the Frog.
But I do understand that some live in Frog Land and every day on TV they see the Frogs
ridiculing them day in and day out. I understand. They are in a Tough Spot.
And that is fine. I guess. But the Ignorant Monkeys ( the Harki type)
The Ignorant Monkeys come in several flavors.
But the Kings Of The Monkeys look and sound more like this. They sell their souls to a Goddamn Frog. My God.
But I do understand that some live in Frog Land and every day on TV they see the Frogs
ridiculing them day in and day out. I understand. They are in a Tough Spot.
And that is fine. I guess. But the Ignorant Monkeys ( the Harki type)
The Ignorant Monkeys come in several flavors.
- You got the Khawa Khawa .
- You got the guy that is stuck and worried about his livelihood ....
But the Kings Of The Monkeys look and sound more like this. They sell their souls to a Goddamn Frog. My God.
Même pascal praud ( BFM) a reconnu qu il y avait une sorte d’acharnement alors qu’il n y a pas de quoi ... et il a tenté d’expliquer à ceux qui ont des difficultés à comprendre ( ses confrères entre autre ) que le Maroc est un royaume une monarchie parlementaire avec ce que ça implique et qu’il était debile de la comparer à la France
Faut être aveugle ou de mauvaise fois pour ne pas le voir
Regarde Le Monde
Si ça c’est pas de la rage c’est quoi ?
Aigleloyal
VIB
Ça lui apprendra à vouloir parler aux MarocainsSalam
Nari 3la Macron. oulla sketche 3endna
Il va apprendre ce qu'est l'humour Marocain... Je me suis régalé hierÇa lui apprendra à vouloir parler aux Marocains
et c'est que le début.Il va comprendre qu'il valait mieux pour lui restez à l'échelle diplomatique, il va regretter Nasser Bourita.
« 3ti8 l’3asser »Il va apprendre ce qu'est l'humour Marocain... Je me suis régalé hier
Il va comprendre qu'il valait mieux pour lui restez à l'échelle diplomatique, il va regretter Nasser Bourita.
