Ils ont décidé de sous traiter le combat contre le Hezbollah via Al Qaeda et autres filiales après la défaite israelienne en 2006.
J'avais du mal a le croire à l'époque vers 2008 par là en lisant un article du Monde Diplo.
Pourtant ce journal annonce des évènements qui vont se passer et qui se produisent bien avant que d'autres ne commencent à en parler des mois et des années plus tard.
Pas comme les autres qui sont les relais de l'îdeologie de leurs propriétaires genre Cnews ou BFM.
Israel a donc financé des terroristes au nombre d'une douzaine de mouvements dont celui de Al Joulani.
C'est Israel qui désignait les cibles en Syrie au sol pendant qu'il bombardait massivement par les airs.
Maintenant ces tueurs sionistes sont en train de terroriser des villageois par des raids pour les obliger à quitter les zones où il y'a des ressources en eau...précieuse au M.O.
Ils ont chassé des milliers de personnes par des bombardements pour occuper de larges zones au delà du Golan.
Tout cela se passe avec la complicité du terroriste en chef de Al Qaeda qui laisse les sionistes s'inscruster tranquille en Syrie.
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Voici un extrait d'un article que j'ai lu quelque part :
Les principaux événements pour attaquer l'Iran se dérouleront dans le ciel syrien. « SP » a déjà fait état de la ligne des derniers missiles aérobalistiques israéliens et du drone secret RA-01. Ces systèmes seront désormais utilisés pour pirater la défense aérienne iranienne dans le nord du pays.
Des drones israéliens RA-01 entreront dans le ciel iranien depuis l’espace aérien syrien. Leur mission est de frapper avec les derniers missiles ROCK. Cela permettra une attaque surprise pour détruire les radars, les points de contrôle et les positions des systèmes antiaériens modernes.
D’autres frappes seront menées depuis l’espace aérien syrien par des F-16I équipés de missiles LORA plus simples. Ils seront assistés par des missiles balistiques lancés depuis des bases nouvellement construites sur le plateau du Golan. Leur tâche sera de détruire complètement le système de défense aérienne dans la partie nord de l’Iran.
Ensuite, les chasseurs F-35A de l’US Air Force et leurs homologues israéliens dans des F-35I spécialement modifiés entreront en action. Ils se lanceront dans la chasse à des cibles précises. La tâche des « pingouins » sera de créer des conditions favorables à l’introduction des B-2 stratégiques au combat. Ces derniers cibleront les bunkers iraniens les plus protégés avec des bombes GBU-57.
Il est important de noter que le Pentagone est tout à fait préparé à ce qu’il y ait des pertes. Et peut-être même des plus grandes. C’est pourquoi des avions d’attaque A-10 Thunderbolt 2 ont été déployés dans la région. Plusieurs escadrons d’hélicoptères de sauvetage et d’avions à rotors basculants CV-22 ont été déployés avec eux.
Sauf que c'est une vision atlantiste au pays des merveilles :
Démontons tout cela en antithèse :
1. Toute attaque contre l’Iran déclenchera une riposte immédiate : plus de 150 000 missiles pleuvront sur Israël, détruisant infrastructures militaires, aéroports, réseaux électriques et quartiers stratégiques, causant des milliers de morts et un exode massif.
2. Les bases américaines en Irak, en Syrie, au Qatar, à Bahreïn et à Djibouti seront neutralisées en quelques heures, paralysant toute logistique US au Moyen-Orient — le coût humain se comptera en centaines, voire milliers de soldats américains.
3. L’Iran possède une puissance asymétrique redoutable : drones furtifs, commandos en profondeur, cyberattaques, missiles balistiques à guidage multiple, et une armée de résistance régionale (Hezbollah, Houthis, PMU) prête à ouvrir plus de 6 fronts simultanés.
4. L’attaque entraînera l’embrasement mondial : la Russie activera ses S-400 en Syrie et son soutien logistique, pendant que la Chine profitera de l’engagement américain pour prendre Taïwan — un second front que Washington ne pourra pas gérer.
5. L’Iran ne joue pas la victoire aérienne mais la défaite stratégique de l’ennemi sur la durée, dans un conflit d’usure que ni Israël ni les États-Unis ne peuvent supporter politiquement, économiquement, ni moralement.