S'il te plaît raconte moi une histoire. Raconte moi tout sur Elle

  • Initiateur de la discussion Initiateur de la discussion N3alChetane
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Préambule

Qui n'a jamais frissonné dans l'obscurité ? Qui n'a jamais sondé les ténèbres ? Qui n'a jamais prété l'oreille au silence ? Une quète vaine et sans comment. Car comment trahir du regard se que la lumière n'ose révéler ?
Ne subsiste qu'une peur irrationnelle, mais palpable. Elle est ce frisson glacial qui vous parcours le corps jusqu'au sommet du crane. Elle est cette sueur froide qui perle le long de votre colone vertébrale. Elle est vos nuits tourmentées.
Vous avez toujours ressentis cette présence. Elle est cette silhouette furtive que l'on croit apercevoir du coin de l'oeil sans jamais saisir du regard. D'où viennent ces chuchotements à peine audible ? Vous jureriez parfois qu'elle se trouve debout à l'entrée, mais la réponse n'est pas visible dans l'oeil de la porte. Elle est ce terrible doute qui vous hante très profondement, habillé par vos petits tracas quotidien. Elle a toujours été là, tapie dans l'ombre...

Et si vous en avez peur, c'est qu'Elle existe assurement car, tout comme c'est des ténèbres que jaillis la lumière, c'est de irrationnel que jaillis toutes les conformités du monde contemporain (que les hommes de raison noment lois de la physique).

Ton préambule énumère les symptômes de la schizophrénie ou quelque chose de ce genre. Si ça reflète réellement ton quotidien, va consulter.

L'histoire que je vais vous raconter s'est passée il n'y a pas longtemps de ça. Elle est rapportée d'un village perdu quelque part dans le moyen atlas. Une modeste ferme, une petite famille paisible et des montagnes à pertes de vues..

On attend la suite. ;)
 
Ton préambule énumère les symptômes de la schizophrénie ou quelque chose de ce genre. Si ça reflète réellement ton quotidien, va consulter.



On attend la suite. ; )

Je ne suis pas schizophrène, je trempe ma plume dans l'ivresse:D Au début c'était pour noyer mon chagrin et mes tristes souvenir. Mais par la suite, des portes dont je ne soupsonnais meme pas l'existence, se sont ouvertes devant moi. J'ai découvert un monde gigantesque, qui n'a de limite que mon immagination. Un monde d'extrèmes et de paradoxes, de poésies et de terreurs, d'émotion poussée à son paroxysme. Un monde sillonné de fleuve de larmes, de larmes de joies et de tristesses...un monde où tout est intense et où tout est possible. :D
 
Préambule

Qui n'a jamais frissonné dans l'obscurité ? Qui n'a jamais sondé les ténèbres ? Qui n'a jamais prété l'oreille au silence ? Une quète vaine et sans comment. Car comment trahir du regard se que la lumière n'ose révéler ?
Ne subsiste qu'une peur irrationnelle, mais palpable. Elle est ce frisson glacial qui vous parcours le corps jusqu'au sommet du crane. Elle est cette sueur froide qui perle le long de votre colone vertébrale. Elle est vos nuits tourmentées.
Vous avez toujours ressentis cette présence. Elle est cette silhouette furtive que l'on croit apercevoir du coin de l'oeil sans jamais saisir du regard. D'où viennent ces chuchotements à peine audible ? Vous jureriez parfois qu'elle se trouve debout à l'entrée, mais la réponse n'est pas visible dans l'oeil de la porte. Elle est ce terrible doute qui vous hante très profondement, habillé par vos petits tracas quotidien. Elle a toujours été là, tapie dans l'ombre...

Et si vous en avez peur, c'est qu'Elle existe assurement car, tout comme c'est des ténèbres que jaillis la lumière, c'est de irrationnel que jaillis toutes les conformités du monde contemporain (que les hommes de raison noment lois de la physique).


L'histoire que je vais vous raconter s'est passée il n'y a pas longtemps de ça. Elle est rapportée d'un village perdu quelque part dans le moyen atlas. Une modeste ferme, une petite famille paisible et des montagnes à pertes de vues...


Mejnoon ne terminait pas une phrase sans jurer. Je le pris de se calmer et de s'assoir. J'arrivai à peine à ouvrir les yeux ! Il avait frappé à la porte comme un ogre, avec insistance, m'arrachant d'un sommeil profond. Et c'est avec une machette à la main que j'étais partis lui ouvrir, avant de reconnaitre cette grosse tete bouclée si familière...

J'avais à peine ouvert la porte qu'il s'etait précipité à l'intérieur. Complètement éssouflé et pris de panique! Il avait du remonter le sentier depuis chez lui en courant comme un brèle dans l'obscurité! Je comprenais à peine se qu'il me racontait. Ses paroles se noyaient dans de profondes inspirations, jetant sans cesse un regard plein d'effroi vers la porte, comme poursuivis. "Ferme la porte! ", reussit-il enfin à articuler avec tout l'effort du monde.
"Calme toi Mejnoon !" Répétai-je.

Je ne l'avais jamais vu dans cet état. Un homme dans la force de l'age, bien batis par le travail de la terre, depuis sa plus tendre enfance. Il vivait à quelques centaines de mètre en bas avec sa petite famille. Ils étaient nos voisins les plus proches.
Et là il débarque chez moi en plein milieu de la nuit, pris de panique., que se passait-il ?

Mejnoon s'éloigna à l'autre bout de la pièce obscure sans jamais quitter des yeux la porte, encore entrouverte, et alla se recroqueviller dans un coin à coté de la lampe.
J'allais lui demander se qu'il se passe, mais il me fit mime d'un index tremblant sur sa bouche, les yeux écarquillé d'éffroie, me suppliant de me taire. " chuuut, ferme la porte, ferme la porte" me chuchota-il avec insistance.
Cette peur contagieuse s'empara de moi. Je scrutais l'extérieur à travers la légère brèche de la porte, tandis que je m'avançai doucement, d'un pas mal assuré, la main tremblante et toujours armée de la machette. De quoi avait-il peur? Qui pouvait bien etre dehors ?
 
Mejnoon ne terminait pas une phrase sans jurer. Je le pris de se calmer et de s'assoir.J'arrivai à peine à ouvrir les yeux ! Il avait frappé à la porte comme un ogre, avec insistance, m'arrachant d'un sommeil profond.Et c'est avec une machette à la main que j'étais partis lui ouvrir, avant de reconnaitre cette grosse tete bouclée si familière...
J'avais à peine ouvert la porte qu'il s'etait précipité à l'intérieur. Complètement éssouflé et pris de panique! Il avait du remonter le sentier depuis chez lui en courant comme un brèle dans l'obscurité! Je comprenais à peine se qu'il me racontait. Ses paroles se noyaient dans de profondes inspirations, jetant sans cesse un regard plein d'effroi vers la porte, comme poursuivis. "Ferme la porte! ",reussit-il enfin à articuler avec tout l'effort du monde.
"Calme toi Mejnoon !" Répétai-je.

Je ne l'avais jamais vu dans cet état. Un homme dans la force de l'age, bien batis par le travail de la terre, depuis sa plus tendre enfance. Il vivait à quelques centaines de mètre en bas avec sa petite famille. Ils étaient nos voisins les plus proches.
Et là il débarque chez moi en plein milieu de la nuit, pris de panique., que se passait-il ?

Mejnoon s'éloigna à l'autre bout de la pièce obscure sans jamais quitter des yeux la porte, encore entrouverte, et alla se recroqueviller dans un coin à coté de la lampe.
J'allais lui demander se qu'il se passe, mais il me fit mime d'un index tremblant sur sa bouche, les yeux écarquillé d'éffroie, me suppliant de me taire." chuuut, ferme la porte, ferme la porte" me chuchota-il avec insistance.
Cette peur contagieuse s'empara de moi.Je scrutais l'extérieur à travers la légère brèche de la porte, tandis que je m'avançai doucement, d'un pas mal assuré, la main tremblante et toujours armée de la machette. De quoi avait-il peur? Qui pouvait bien etre dehors ?
Je l'entendais derrière moi sangloter comme un enfant :"elle est là dehors! Je le sais" lacha t'-il d'un chuchotement à peine audible.
"Qui ça "elle ?" me dis-je. Cette révélation me figea d'éffroie sur place. Ne serait-ce pas cette ... LA PORTE S'OUVRIT ALORS BRUSQUEMENT, me faisant bondir en arrière ! Un courant d'air frais s'engouffra à l'intérieur, apportant avec lui,dans un petit tourbillon, poussière et feuilles mortes.
Je pris mon courage à deux mains et continuai d'avancer vers l'entrée. Il faisait trop sombre pour voir quoi que se soit.
Je revins sur mes pas et me saisis de la lampe à pétrole, que j'avais descendu avec moi auparavant. J'eus alors une pensée pour ma femme et ma petite fille qui dormaient à l'étage, ne se doutant surement de rien.
A peine pris-je la lampe que Mejnoon m'agrippa le bras fermement, m'obligeant à m'accroupir à son niveau :" ne sort pas Malik ! Elle est là ! Je te jure, elle m'a suivis. Elle était gentille au début. Je lui est rien fait..." il ne chuchotait plus à présent, dans un mouvement de panique, il ne me lachais plus. Je pouvais lire dans son regard toute la détresse d'un homme que j'avais connu fort et tranquille.
L'air froid me caressait le dos. J'entendai derrière moi les feuilles mortes trainées sur le sol par le vent. Un ruban brun vins alors s'accrocher à ma cheville, flotant au grès de la brise.
"Qui ça "elle" ?" lui demandai-je ?
Son regard se leva alors au deçu de ma tete et se braqua, son visage n'avait plus aucune expression. "Elle" me répondit-il simplement,résigné, en pointant du doigt juste derrière moi !!
 
Je l'entendais derrière moi sangloter comme un enfant :"elle est là dehors! Je le sais" lacha t'-il d'un chuchotement à peine audible.
"Qui ça "elle ?" me dis-je. Cette révélation me figea d'éffroie sur place. Ne serait-ce pas cette ... LA PORTE S'OUVRIT ALORS BRUSQUEMENT, me faisant bondir en arrière ! Un courant d'air frais s'engouffra à l'intérieur, apportant avec lui,dans un petit tourbillon, poussière et feuilles mortes.
Je pris mon courage à deux mains et continuai d'avancer vers l'entrée. Il faisait trop sombre pour voir quoi que se soit.
Je revins sur mes pas et me saisis de la lampe à pétrole, que j'avais descendu avec moi auparavant. J'eus alors une pensée pour ma femme et ma petite fille qui dormaient à l'étage, ne se doutant surement de rien.
A peine pris-je la lampe que Mejnoon m'agrippa le bras fermement, m'obligeant à m'accroupir à son niveau :" ne sort pas Malik ! Elle est là ! Je te jure, elle m'a suivis. Elle était gentille au début. Je lui est rien fait..." il ne chuchotait plus à présent, dans un mouvement de panique, il ne me lachais plus. Je pouvais lire dans son regard toute la détresse d'un homme que j'avais connu fort et tranquille.
L'air froid me caressait le dos. J'entendai derrière moi les feuilles mortes trainées sur le sol par le vent. Un ruban brun vins alors s'accrocher à ma cheville, flotant au grès de la brise.
"Qui ça "elle" ?" lui demandai-je ?
Son regard se leva alors au deçu de ma tete et se braqua, son visage n'avait plus aucune expression. "Elle" me répondit-il simplement,résigné, en pointant du doigt juste derrière moi !!


La dame blanche ? :D

Tia trop regardé l'exorciste. C'est la 4ème dimension ton récit :D
 
Mejnoon je l'ai imaginé comme Agrid dans Harry Potter : D

vivement la suite ; )

Ouais le meme genre de modèle XD c'est un gros paysan, avec une chemise rouge à carreaux et le torse velu apparant XD J4écrirai une à 2 suites par semaines environ , suivant ma motivation et mon temps libre. En tout cas merci de lire :D c'est grace à des lectrices comme toi que les histoires peuvent exister :D
 
Ouais le meme genre de modèle XD c'est un gros paysan, avec une chemise rouge à carreaux et le torse velu apparant XD J4écrirai une à 2 suites par semaines environ , suivant ma motivation et mon temps libre. En tout cas merci de lire : c'est grace à des lectrices comme toi que les histoires peuvent exister :
un beau gosse quoi :malade:

je t'en prie :mignon:
 
C'est quoi la fin de ton récit ? Quand je l'ai lu, je me suis rappelé une histoire que j'avais lu y a longtemps, au lycée, d'un auteur espagnol.

Alors la suite ? :)
 
C'est quoi la fin de ton récit ? Quand je l'ai lu, je me suis rappelé une histoire que j'avais lu y a longtemps, au lycée, d'un auteur espagnol.

Alors la suite ? : )

La suite est terrifiante, j'ai peur de l'écrire, mais je vais l'écrire c'est sure :D Dans la semaine qui viens inchallah. Histoire que les gens passent l'Aid tranquille :D

D'ailleur Aidèk mabrok !
 
Vous pensiez que j'avais mis de coté cette histoire ? Détrompez vous!! En réalité j'avais peur d'écrire la suite...

Je m'en suis détourné! Oui moi aussi j'ai peur, mais croyons nous qu'en fermant les yeux ou en se réfugiant sous sa couverture l'horreur disparait ? Entre nous et eux il y a un voile de miséricorde divine. Et ne croyez jamais qu'il n'existe que se que vous pouvez percevoir. Il y a la réalité et se que vous pouvez voir. Mais il arrive parfois que le voile se déchire...
 
Vous pensiez que j'avais mis de coté cette histoire ? Détrompez vous!! En réalité j'avais peur d'écrire la suite...

Je m'en suis détourné! Oui moi aussi j'ai peur, mais croyons nous qu'en fermant les yeux ou en se réfugiant sous sa couverture l'horreur disparait ? Entre nous et eux il y a un voile de miséricorde divine. Et ne croyez jamais qu'il n'existe que se que vous pouvez percevoir. Il y a la réalité et se que vous pouvez voir. Mais il arrive parfois que le voile se déchire...


T'es amoureux n3alchetane?
 
Vous pensiez que j'avais mis de coté cette histoire ? Détrompez vous!! En réalité j'avais peur d'écrire la suite...

Je m'en suis détourné! Oui moi aussi j'ai peur, mais croyons nous qu'en fermant les yeux ou en se réfugiant sous sa couverture l'horreur disparait ? Entre nous et eux il y a un voile de miséricorde divine. Et ne croyez jamais qu'il n'existe que se que vous pouvez percevoir. Il y a la réalité et se que vous pouvez voir. Mais il arrive parfois que le voile se déchire...

Moins percutant que le premier texte ...et ce "se" au lieu du "ce" ....

J'ai relu le premier texte hier deux fois .... Franchement, chapeau encore et encore... j'aime bien les textes qui font le même effet même après plusieurs lectures ... Cet effet ressemblant à quelque chose qui se noue dans le coeur...
 
Vous pensiez que j'avais mis de coté cette histoire ? Détrompez vous!! En réalité j'avais peur d'écrire la suite...

Je m'en suis détourné! Oui moi aussi j'ai peur, mais croyons nous qu'en fermant les yeux ou en se réfugiant sous sa couverture l'horreur disparait ? Entre nous et eux il y a un voile de miséricorde divine. Et ne croyez jamais qu'il n'existe que se que vous pouvez percevoir. Il y a la réalité et se que vous pouvez voir. Mais il arrive parfois que le voile se déchire...



il t'a fallut un an pour trouver cette suite :D


trop fort toi mdrrr
 
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