Takamine
"L'Enfer ...c'est moi .. :
tient a propos de Beauvoir ...
souvenir d une expo ..y a 3 ans
« Les Femmes d’Alger » chez l’Harmattan
"Mustapha Boutadjine.
Le plasticien algérien rend hommage aux combattantes algériennes à travers une série de portraits. Djamila Boupacha, Djamila Bouhired, Ourida Meddad, Louisette Ighilahriz, ou encore Baya El Kahla. Elles étaient jeunes quand elles ont décidé de résister au colonialisme. Elles ont été violées, torturées, blessées dans leur chair…
D’autres femmes qui ont milité pour la cause de la libération algérienne, telles Simone de Beauvoir, Germaine Tillion, Gisèle Halimi…, n’ont pas été oubliées. « Avec les moyens qui lui sont propres, Mustapha Boutadjine célèbre les Algériennes qui se sont battues hier pour l’indépendance de leur pays et, aujourd’hui, pour faire progresser l’égalité entre les femmes et les hommes », écrit Gisèle Halimi dans sa dédicace à l’œuvre du plasticien.
On reste foudroyé par la jouvence et la beauté de ces « Femmes d’Alger ». La galerie du Scribe l’Harmattan à Paris nous permet de découvrir ces « moudjahidates ». Elles sont mises à l’honneur jusqu’à mardi 14 mai.
Espace Le Scribe l’Harmattan. 19, rue Frédéric-Sauton, 75005, Paris. Métro Maubert-Mutualité ou Saint-Michel...."
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souvenir d une expo ..y a 3 ans
« Les Femmes d’Alger » chez l’Harmattan
"Mustapha Boutadjine.
Le plasticien algérien rend hommage aux combattantes algériennes à travers une série de portraits. Djamila Boupacha, Djamila Bouhired, Ourida Meddad, Louisette Ighilahriz, ou encore Baya El Kahla. Elles étaient jeunes quand elles ont décidé de résister au colonialisme. Elles ont été violées, torturées, blessées dans leur chair…
D’autres femmes qui ont milité pour la cause de la libération algérienne, telles Simone de Beauvoir, Germaine Tillion, Gisèle Halimi…, n’ont pas été oubliées. « Avec les moyens qui lui sont propres, Mustapha Boutadjine célèbre les Algériennes qui se sont battues hier pour l’indépendance de leur pays et, aujourd’hui, pour faire progresser l’égalité entre les femmes et les hommes », écrit Gisèle Halimi dans sa dédicace à l’œuvre du plasticien.
On reste foudroyé par la jouvence et la beauté de ces « Femmes d’Alger ». La galerie du Scribe l’Harmattan à Paris nous permet de découvrir ces « moudjahidates ». Elles sont mises à l’honneur jusqu’à mardi 14 mai.
Espace Le Scribe l’Harmattan. 19, rue Frédéric-Sauton, 75005, Paris. Métro Maubert-Mutualité ou Saint-Michel...."
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