Skinheads: mon experience

  • Initiateur de la discussion Initiateur de la discussion BEJAADI
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LOL ! J'ai grandis a 10 minutes du Parc des princes (a la limite entre Boulogne et Paris), et en face de chez moi y'avais un petit parc, j'ai toujours eu la haine contre ces mecs, Puant la bière qui laissaient après leur départ des vieux tags nazi un peu partout.

Donc j'irai pas vous contredire ! Ne rien laisser passer est la règle d'or, on verra pour l'organisation si ça s'aggrave pour les bandes en mode Redwarrior LOL

Moi les mecs faisaient des rassemblements nocturnes dans cette clairière, du coté de chez moi...depuis que j'ai porté plainte et suis allé au procès ils sont déserté l'endroit.
 
Je vais te parler de la picardie, il y a une ville pas loin de chez moi aujourd'hui c'est carrément des petits blacks et de petits rebeu qui vont emmerder.

Il jouent dans un parc, et tu as des fachos qui font le salut Hitlérien en les insultant "de sale nègres, et de bougnoules"

Faut il rester impassible face à cela?

Absolument pas.

Des actes qui étaient autrefois isolés, sont devenus quotidiens.

honnêtement c'est pas le seule endroit en France ou les rebeu et les blacks se font emmerder,c'est plus possible ce genre de situation.

Les forces de l'ordre ferment les yeux face à ce genre d'agissement c'est pour cela ils faut se structurer et créer des Bandes qui chassent inlassablement ces animaux.
 
Tu as bien fait, même si en lisant ton histoire on voit que tu as quand même pris un risque considérable.

Je finirai de l'ecrire, mais je pense qu'aujourd'hui avec du recul je ne referai pas ce que j'ai fait.

A ce moment j’étais sous l'emprise de la colère.

J'ai failli ne pas les retrouver, mais juste au moment de rentrer mon instinct m'a guidé sur cette route. Je ne sais pas pourquoi et je suis rentré dans cette clairière en ayant conscience des risques que je prenais.
 
Salam,

Tu as bien de la chance d'être tombé sur un mec atteint d’Alzheimer :D




Je vais lui dire « pourquoi as-tu dirigé ta voiture sur moi tout à l’heure en passant devant chez moi ? »

---------------

et je cache la voiture car il n’est pas sensé savoir ou je réside exactement.
 
Salam,

Tu as bien de la chance d'être tombé sur un mec atteint d’Alzheimer :D




Je vais lui dire « pourquoi as-tu dirigé ta voiture sur moi tout à l’heure en passant devant chez moi ? »

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et je cache la voiture car il n’est pas sensé savoir ou je réside exactement.


J’étais dans ma rue, et non devant mon domicile précisément.

Il a cru à un "mauvais chez moi".
 
Début Décembre 2009, je reçois la convocation qui me stipule que je comparaîtrai début Février 2010, face à mon adversaire.

J’apprends par cette convocation son nom : une personne dont je n’ai jamais entendu parler. Les semaines se passent, et je me dis que je n’ai nulle alternative que d’attendre début Février le procès, et que je devais assurer ma défense seule. Payer un avocat pour cela, n’avait aucun intérêt en ce qui me concerne.

Une fin d’après midi alors que nous étions à deux semaines du procès, et que j’étais au travail et que l’atmosphère était calme je me posais la question suivante : et si mon adversaire avait un avocat ?
Si c’était le cas, je pense que je n’aurai aucune chance face à lui…..une idée me vint en tête : et si mes contrats d’assurance prévoyaient, une garantie pour ce type de situations ?
Je décidais d’appeler mon assurance, qui me signalent qu’a deux semaines du procès il est tard pour ce type de demande, mais ils m’invitent néanmoins à leur faxer dans les plus brefs délais, la convocation au tribunal ainsi qu’un courrier motivant ma demande. Ce que je fais faire. A l’issue de l’envoi des pièces du dossier, l’assurance va me dire qu’une réponse sera apportée dans deux jours, quant à la délégation ou pas d’un avocat pour ma défense.

Deux jours se passent aucune nouvelle, je décide d’attendre encore quelque heures…et quelques heures plus tard, je découvre un message de l’assurance qui sera le suivant : « nous avons étudié le dossier, il a été décidé qu’un avocat sera mandaté, vous n’aurez rien à payer ni avancer, et nous vous invitons à vous rapprocher de lui pour préparer l’audience ».

J’avais avocat, je serai donc épaulé le jour de l’audience.

Je devais aller voir mon avocat afin de préparer l’audience, mais en raison de contingences professionnelles, c’est mon père qui s’en chargea.

Mon père à l’issue du rdv, me fit un retour de son entrevue avec l’avocat et plusieurs choses se dégageaient : mon dossier était un peu léger, et l’avocat ne comprenait surtout pas pourquoi je m’étais résigné à poursuivre cette personne……car s’étant renseigné, il apparaît que c’est une personne qui fut impliquée dans pas mal de délits, de bagarres, trafic de stupéfiants. Cet avocat, a dit à mon père que j’ai fais acte « de danger », et ironisant sur le fait que j’étais « une tête brûlée ».

Cet avocat va donc préparer le procès.

Nous sommes donc début Février, le jour de ma confrontation avec mon adversaire. C’est une journée pluvieuse, un temps gris maussade.

J’arrive au tribunal, je m’entretiens avec mon avocat et je ne reconnais pas sur le coup mon adversaire qui est assis derrière moi : il a teint pale, anxieux, et s’est laissé pousser les cheveux. Fini l’attitude arrogante, qu’il avait eu à mon égard, cette fois ci c’est lui qui baisse les yeux.
 
Le président de la cour va l’inviter à se rapprocher à la barre et une série de questions vont s’enchaîner:


Juge : « Avez-vous dirigé votre véhicule de manière volontaire sur votre adversaire ? »

Lui : « Non, j’étais au téléphone »

Juge : « Avez-vous des convictions xénophobes, comme cela est stipulé dans le procès verbal ?, dans lequel vous signalez que vous ne portez pas les Arabes dans votre cœur ? »

Lui : « Je ne suis pas xénophobe, mais effectivement je ne les porte pas dans mon cœur. Je me faisais racketter lorsque j’étais au collège ».

Juge : « Reconnaissez vous le caillaissage à la clairière avec vos camarades?, et le coup du paume de la main sur la portière de votre advseraire ? »

Lui : « Non, mais le ton est monté entre nous et mon adversaire est rentré normalement chez lui ».

Juge : « Vous pouvez regagner votre place ».

Le juge m’invite à approcher de la barre, au début n’ayant jamais comparu j’étais impressionné, et qui plus est devant une salle bondée. Mais en étant à la barre, la confiance que j’avais en moi bondit en flèche. Dans mon esprit, je me disais « Défonce le, c’est le moment ou jamais ».

Une série de questions, vont également s’enchaîner :

Juge : « Racontez à la cour ce qui s’est passé en ce 8 Mai 2008 ».

Je vais décrire cette journée, les faits, ce qui s’est passé à la clairière. Le procureur va s’adresser au juge en lui demandant « puis je Monsieur le juge, poser quelques questions à la partie civile », le juge acquiesça et deux questions me furent posées :

Procureur : « est ce que le virage est bien signalé, comme en témoignent ces photos ? »

Moi : « Exactement, en raison de sa dangerosité il est assez bien matérialisé on le voit bien avant puisque signalé »

Procureur : « Est-ce que ce virage, est implanté au cœur d’une zone d’habitation ? »

Moi : « Oui, et je peux même ajouter que dans ce virage on peut constater la présence sur les photos d’un abri de bus pour les écoliers ».

Procureur : « Très bien, je n’ai pas d’autres questions »

Le juge m’invita à regagner à mon siège.
 
Le juge donna la parole au procureur :

« Monsieur le Juge, nous n’avons pas à faire ici à un banal fait de sortie de route. Mais nous avons bien à faire à une mise en danger de la vie d’autrui de manière délibérée. N’ayons pas peur des mots, cette mise en danger à un motif : parce que Monsieur a eut le tort d’être un Arabe et de croiser une personne mal intentionnée.

Ce fait aurait pu avoir de dramatiques conséquences. Quand nous consultons le procès verbal de l’accusé, celui_ci prétend qu’il était au téléphone, mais tout d’abord il n’a pas conscience du danger de ce que représente l’usage d’un mobile au volant, en plus de la musique : comment peut-on ne peut passer un coup de fil avec une sono?


C’est impossible. Je ne pense pas un instant, que l’accusé était au téléphone, le voisin de la victime a reconnu devant les gendarmes que le véhicule a effectué une sortie de route volontaire et en direction de la victime. La victime Monsieur le Juge, va rester choquée durant cinq minutes, avant d’aller à la recherche de son agresseur. On aurait pu dire « il a inventé cette histoire, il ment », mais le voisin reconnaît de manière formelle les faits. L’accusé ne nie pas, cette rencontre dans la clairière, la version de l’accusé est tout à fait cohérente, mais celle de l’accusé sur le fait qu’il ne se soit rien passé à la clairière me laisse dubitatif.



N’oublions pas Monsieur le Juge, que l’accusé possède un passif avec la justice qu’un an avant les faits pour lesquels il comparait aujourd’hui, il était devant cette même cour pour d’autres délits.

Est-ce que cela l’a incité à se remettre en question, à se dire « je vais arrêter les bêtises ?, et bien non ».

Nous le revoyons aujourd’hui devant cette cour pour d’autres faits, il n’a rien compris.


Je vais demander à la cour à l’encontre de l’accusé une amende de 1500 euros et requérir une peine d’un mois de prison avec sursis"


Mon avocat va prendre la parole.

La suite au prochain épisode
 
honnêtement c'est pas le seule endroit en France ou les rebeu et les blacks se font emmerder,c'est plus possible ce genre de situation.

Les forces de l'ordre ferment les yeux face à ce genre d'agissement c'est pour cela ils faut se structurer et créer des Bandes qui chassent inlassablement ces animaux.
vous me faite rire les force de l ordre ferme les yeux parse que dans les priere musulmane dans les rue qui sont illegales et géne tout le monde vous aller pas me dire que les force de l'ordre agissent les tage nazi dsl j'en voit moin que des tagues fait par des rebeu ou des renois alors arreter de vous plaindre la france tu l'aime ou tu la quitte sur ce faite vo petite bandes antifa on va rigoler
 
vous me faite rire les force de l ordre ferme les yeux parse que dans les priere musulmane dans les rue qui sont illegales et géne tout le monde vous aller pas me dire que les force de l'ordre agissent les tage nazi dsl j'en voit moin que des tagues fait par des rebeu ou des renois alors arreter de vous plaindre la france tu l'aime ou tu la quitte sur ce faite vo petite bandes antifa on va rigoler
les bandes antifa ont deja ete faite par le passe et les pti skins ont deserter les rues
sinon on aurait encore ces bombers qui defilerait avec leur croix gamme
mnt ils se cache sur internet les cranes rasés
 
Le juge donna la parole au procureur :

« Monsieur le Juge, nous n’avons pas à faire ici à un banal fait de sortie de route. Mais nous avons bien à faire à une mise en danger de la vie d’autrui de manière délibérée. N’ayons pas peur des mots, cette mise en danger à un motif : parce que Monsieur a eut le tort d’être un Arabe et de croiser une personne mal intentionnée.

Ce fait aurait pu avoir de dramatiques conséquences. Quand nous consultons le procès verbal de l’accusé, celui_ci prétend qu’il était au téléphone, mais tout d’abord il n’a pas conscience du danger de ce que représente l’usage d’un mobile au volant, en plus de la musique : comment peut-on ne peut passer un coup de fil avec une sono?


C’est impossible. Je ne pense pas un instant, que l’accusé était au téléphone, le voisin de la victime a reconnu devant les gendarmes que le véhicule a effectué une sortie de route volontaire et en direction de la victime. La victime Monsieur le Juge, va rester choquée durant cinq minutes, avant d’aller à la recherche de son agresseur. On aurait pu dire « il a inventé cette histoire, il ment », mais le voisin reconnaît de manière formelle les faits. L’accusé ne nie pas, cette rencontre dans la clairière, la version de l’accusé est tout à fait cohérente, mais celle de l’accusé sur le fait qu’il ne se soit rien passé à la clairière me laisse dubitatif.



N’oublions pas Monsieur le Juge, que l’accusé possède un passif avec la justice qu’un an avant les faits pour lesquels il comparait aujourd’hui, il était devant cette même cour pour d’autres délits.

Est-ce que cela l’a incité à se remettre en question, à se dire « je vais arrêter les bêtises ?, et bien non ».

Nous le revoyons aujourd’hui devant cette cour pour d’autres faits, il n’a rien compris.


Je vais demander à la cour à l’encontre de l’accusé une amende de 1500 euros et requérir une peine d’un mois de prison avec sursis"


Mon avocat va prendre la parole.

La suite au prochain épisode

Salam,

c'est quoi la suite ? :)
 
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