Très inspirée aujourd'hui , je voulais moi aussi vous conter une de mes anecdotes qui, comme toutes les histoires de coeurs, nous marquent à vie...
Il était beau M., fallait l'avouer, d'ailleurs il fesait souvent allusion à son pouvoir de seduction que les meufs lui rappelaient - lui bien sur à ses dires , il s'en rendait pas compte, c'etait pas de sa faute s'il etait beau gosse quoi .
Plusieurs centaines de kilomètres nous séparaient, mais n'empeche qu'est ce qu'on a kiffé lui et moi..
Il aimait ma répartie et moi fallait avouer que je fondais pour son arrogance.
On se parlait presque tous les soirs , nuits blanches , cernes et compagnies faisaient partie de mon quotidien à cette époque là.
Faut dire qu'il me faisait craquer avec ses métaphores, nos conversations se finissaient toujours très tôt le matin par : "Attends attends j'en reste pas là cheri, on en reparle demain".
Comme tous les loveurs de son genre , il disait "SI tu tiens autant à moi que je tiens à toi, on se lachera jamais".
Et moi, j'avais beau jouer la fille indiffèrente quand il repondait pas à mes appels , j'avais beau jouer la meuf qui calculait pas le temps de réponse de ses messages, j'etais dingue de lui.
J'etais pas naïve , au fond de moi je savais qu'on finirait pas ensemble même si on parlait sans cesse de notre future vie à deux ...
C'etait trop beau pour etre vrai.
C'est le genre d'amour passionel qui fait souffrir plus qu'autre chose.
Au bout de quelques semaines, après etre devenu de plus en plus distant, la réaction lâche et masculine commune à tous les hommes ne se fit pas attendre : Il ne me donna plus de nouvelles.
Je pris sur moi , je savais que cette "relation" prendrait fin un jour ou l'autre , j'y etais préparée.
Quelques mois après , je décide de l'appeler.. J'avais préparé mon discours depuis 2-3 jours ("J'ai soudain pensé à toi aujourd'hui et puis je voulais prendre de tes nouvelles..bla bla ) ....
J'vous mets la suite...
Il était beau M., fallait l'avouer, d'ailleurs il fesait souvent allusion à son pouvoir de seduction que les meufs lui rappelaient - lui bien sur à ses dires , il s'en rendait pas compte, c'etait pas de sa faute s'il etait beau gosse quoi .
Plusieurs centaines de kilomètres nous séparaient, mais n'empeche qu'est ce qu'on a kiffé lui et moi..
Il aimait ma répartie et moi fallait avouer que je fondais pour son arrogance.
On se parlait presque tous les soirs , nuits blanches , cernes et compagnies faisaient partie de mon quotidien à cette époque là.
Faut dire qu'il me faisait craquer avec ses métaphores, nos conversations se finissaient toujours très tôt le matin par : "Attends attends j'en reste pas là cheri, on en reparle demain".
Comme tous les loveurs de son genre , il disait "SI tu tiens autant à moi que je tiens à toi, on se lachera jamais".
Et moi, j'avais beau jouer la fille indiffèrente quand il repondait pas à mes appels , j'avais beau jouer la meuf qui calculait pas le temps de réponse de ses messages, j'etais dingue de lui.
J'etais pas naïve , au fond de moi je savais qu'on finirait pas ensemble même si on parlait sans cesse de notre future vie à deux ...
C'etait trop beau pour etre vrai.
C'est le genre d'amour passionel qui fait souffrir plus qu'autre chose.
Au bout de quelques semaines, après etre devenu de plus en plus distant, la réaction lâche et masculine commune à tous les hommes ne se fit pas attendre : Il ne me donna plus de nouvelles.
Je pris sur moi , je savais que cette "relation" prendrait fin un jour ou l'autre , j'y etais préparée.
Quelques mois après , je décide de l'appeler.. J'avais préparé mon discours depuis 2-3 jours ("J'ai soudain pensé à toi aujourd'hui et puis je voulais prendre de tes nouvelles..bla bla ) ....
J'vous mets la suite...