Article du Parisien:
Clichy : les Femen expulsées
Les Femen vont devoir quitter le lieu qu’elles occupent depuis novembre dernier au 4 rue du Port à Clichy (Hauts-de-Seine), a annoncé le tribunal d’instance d’Asnières ce matin. Poursuivies par le Siaap (Syndicat interdépartemental pour l’assainissement de l’agglomération parisienne) pour occupation illégale, les huit féministes activistes, connues pour leurs actions seins nus, devront partir au plus tôt.
Elles sont condamnées à payer au Siaap la somme de 7398, 94 € pour l’utilisation de l’électricité ainsi que 1500€ pour les frais d’avocat.
Inna Shevchenko, chef de file en France des Femen, était présente à Asnières pour prendre connaissance de la décision du tribunal. «Si on veut se débarrasser de nous aussi vite, c’est que nous faisons quelque chose de bien, réagit-elle. Nous n’allons pas résister à l’expulsion, et nous irons ailleurs. Nous occuperons une église de Paris, soit l’hôtel de ville de Paris.» Et la jeune Ukrainienne d’ajouter : «La maire Anne Hidalgo nous avait déjà démontré son soutien quand nos locaux avaient brûlé en juillet 2013. On lui lance un appel, peut-être qu’elle nous entendra...»
(fin de l'article)
Donc, après avoir passé leur temps à cracher sur l'islam et le christianisme, envahi des églises pour protester contre les déclarations du Pape, les FEMEN devenues SDF envisagent de se réfugier dans une église...
Clichy : les Femen expulsées
Les Femen vont devoir quitter le lieu qu’elles occupent depuis novembre dernier au 4 rue du Port à Clichy (Hauts-de-Seine), a annoncé le tribunal d’instance d’Asnières ce matin. Poursuivies par le Siaap (Syndicat interdépartemental pour l’assainissement de l’agglomération parisienne) pour occupation illégale, les huit féministes activistes, connues pour leurs actions seins nus, devront partir au plus tôt.
Elles sont condamnées à payer au Siaap la somme de 7398, 94 € pour l’utilisation de l’électricité ainsi que 1500€ pour les frais d’avocat.
Inna Shevchenko, chef de file en France des Femen, était présente à Asnières pour prendre connaissance de la décision du tribunal. «Si on veut se débarrasser de nous aussi vite, c’est que nous faisons quelque chose de bien, réagit-elle. Nous n’allons pas résister à l’expulsion, et nous irons ailleurs. Nous occuperons une église de Paris, soit l’hôtel de ville de Paris.» Et la jeune Ukrainienne d’ajouter : «La maire Anne Hidalgo nous avait déjà démontré son soutien quand nos locaux avaient brûlé en juillet 2013. On lui lance un appel, peut-être qu’elle nous entendra...»
(fin de l'article)
Donc, après avoir passé leur temps à cracher sur l'islam et le christianisme, envahi des églises pour protester contre les déclarations du Pape, les FEMEN devenues SDF envisagent de se réfugier dans une église...