Syrie : Comment Abu Mohammed al-Jolani, le nouvel homme fort du pays, est devenu une cible pour les désinformateurs



c'est parfaitement illisible, j'espère que tu t'en rends compte.
.

Pas étonnant que tu aies du mal à comprendre

que tes potes US sont à l'origine de génocides.

Si les medias faisaient leur travail le citoyen

lambda comprendrait les réalités terribles

qui sont éclipsées. 9 millions de morts au Congo.

IRAK GAZA SYRIE LYBIE CONGO YEMEN

VIETNAM LAOS GUATEMALA...ETC

Des dizaines de millions de victimes directes

ou via des proxies.

Des enfants malformés naissent encore des

saloperies larguées dans divers pays.



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" Si j'étais président, j'arrêterais en quelques jours les attaques terroristes contre les États-Unis. Définitivement. D'abord, je présenterais mes excuses à toutes les veuves, aux orphelins, aux personnes torturées, à celles tombées dans la misère, aux millions d'autres victimes de l'impérialisme américain.

Ensuite, j'annoncerais aux quatre coins du monde que les interventions américaines dans le monde sont définitivement terminées, et j'informerais Israël qu'il n'est plus le 51e État des États-Unis mais dorénavant - chose curieuse à dire - un pays étranger. Et puis, je réduirais le budget militaire d'au moins 90 %, utilisant le surplus à payer des réparations aux victimes.

Ce serait plus que suffisant. Le budget militaire d'une année, soit 330 milliards de dollars, équivaut à plus de 18 000 dollars de l'heure depuis la naissance de Jésus-Christ. Voilà ce que je ferais les trois premiers jours. Le quatrième jour, je serais assassiné. " William BLUM.

Ancien fonctionnaire du département d'État, Blum nous rappelle que, s'il n'y a pas de justification au 11 septembre, il y a certainement des raisons.

L'État voyou démontre comment, sous couvert de liberté, de démocratie et de droits de l'homme, les États-Unis commettent des actes criminels barbares, et agissent de la façon la plus belliqueuse qui soit
 
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Pas étonnant que tu aies du mal à comprendre

que tes potes US sont à l'origine de génocides.

Si les medias faisaient leur travail le citoyen

lambda comprendrait les réalités terribles

qui sont éclipsées. 9 millions de morts au Congo.

IRAK GAZA SYRIE LYBIE CONGO YEMEN

VIETNAM LAOS GUATEMALA...ETC

Des dizaines de millions de victimes directes

ou via des proxies.

Des enfants malformés naissent encore des

saloperies larguées dans divers pays.



Regarde la pièce jointe 404368

" Si j'étais président, j'arrêterais en quelques jours les attaques terroristes contre les États-Unis. Définitivement. D'abord, je présenterais mes excuses à toutes les veuves, aux orphelins, aux personnes torturées, à celles tombées dans la misère, aux millions d'autres victimes de l'impérialisme américain.

Ensuite, j'annoncerais aux quatre coins du monde que les interventions américaines dans le monde sont définitivement terminées, et j'informerais Israël qu'il n'est plus le 51e État des États-Unis mais dorénavant - chose curieuse à dire - un pays étranger. Et puis, je réduirais le budget militaire d'au moins 90 %, utilisant le surplus à payer des réparations aux victimes.

Ce serait plus que suffisant. Le budget militaire d'une année, soit 330 milliards de dollars, équivaut à plus de 18 000 dollars de l'heure depuis la naissance de Jésus-Christ. Voilà ce que je ferais les trois premiers jours. Le quatrième jour, je serais assassiné. " William BLUM.

Ancien fonctionnaire du département d'État, Blum nous rappelle que, s'il n'y a pas de justification au 11 septembre, il y a certainement des raisons.

L'État voyou démontre comment, sous couvert de liberté, de démocratie et de droits de l'homme, les États-Unis commettent des actes criminels barbares, et agissent de la façon la plus belliqueuse qui soit
Tu fais dans la désinformation et c'est justement le thème du sujet.

Il est plus facile de lancer des affirmations sans preuve que d'essayer de les contredire.
 
Tu fais dans la désinformation et c'est justement le thème du sujet.

Il est plus facile de lancer des affirmations sans preuve que d'essayer de les contredire.
.

Pour toi la réalité c'est de la désinformation.

Tu n'as pas peur de paraître ridicule.

Tu confirmes juste que tu es simplement

sur la ligne des mainstream qui font les

opinions sur des infos non dites.

Ceux qui mettaient en doute la farce

de Saddam responsable du 11/9 allégué

par Bush et la prétendue preuve brandie

par Powell avec la fiole ne font pas de la

désinformation mais évoquent des faits.

La prétendue attaque par les vietmin contre

une frégate US pour trouver un prétexte de guerre

au Vietnam est une désinformation.

La prétendue attaque espagnole contre le

cuirassé US LE MAINE pour lui déclarer la guerre

et lui prendre Cuba et les Philippines sont

de la désinformation.

L'attaque pretendue accidentelle du USS

LIBERTY mais vraie attaque israelienne

volontaire contre les americains faisant 36

morts et près de 170 morts américains est de

la désinformation.

Va falloir que tu te penches sur l'histoire mais

sans le bandeau pro US que tu as sur les yeux.

Fais des recherches...

.







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Pour toi la réalité c'est de la désinformation.

Tu n'as pas peur de paraître ridicule.


Bien maintenant analysons l'une de tes nombreuses désinformations.

Tu as crée le sujet suivant :

1734802047574.png

1. Absence de sources crédibles et vérifiables​

  • Manque de preuves tangibles : Aucune preuve concrète ou document officiel ne vient étayer l’idée qu’Israël aurait fourni un soutien logistique et armé (encore moins l'aviation) à des groupes jihadistes (de type Al-Nosra, Daech, etc.) en Syrie.

  • Sources douteuses : Les récits prétendant qu’Israël « financerait et armerait » les jihadistes circulent souvent sur des sites conspirationnistes ou via des médias politiquement engagés (parfois liés à l’appareil de propagande du régime syrien, de l’Iran, ou de certaines factions). Ces sources ne respectent généralement pas les standards journalistiques (vérification des faits, recoupement, etc.).

2. Contexte géopolitique réel​

  • Position d’Israël dans le conflit syrien :
    • Israël n’a aucun intérêt à renforcer des mouvances jihadistes (comme Daech ou Al-Qaïda) pouvant représenter à terme un danger direct pour sa sécurité.
    • Les interventions militaires d’Israël en Syrie ont essentiellement visé des objectifs liés à l’Iran ou au Hezbollah, considérés comme des ennemis directs d’Israël et alliés du régime d’Assad.
    • Les incidents frontaliers et frappes ponctuelles visent en priorité l’acheminement d’armes à des groupes pro-iraniens, pas l’équipement de groupes jihadistes sunnites.
  • Dynamique complexe de la guerre civile syrienne :
    • Le conflit syrien est marqué par de multiples acteurs (régime de Bachar el-Assad, groupes rebelles divers, milices kurdes, État islamique, Tahrir al-Cham, etc.), chacun ayant des soutiens extérieurs multiples (Russie, Iran, Turquie, pays du Golfe, etc.).
    • Dans ce contexte, la propagande et la désinformation sont monnaie courante ; des rumeurs circulent régulièrement pour discréditer l’adversaire en l’accusant de soutenir l’ennemi le plus honni (ici, les jihadistes).

3. Caractéristiques de la désinformation​

  • Narratif conspirationniste :
    • Accuser Israël ou tout autre pays d’être derrière « tous les maux » (financement des jihadistes) relève souvent de la théorie du complot.
    • On retrouve cette rhétorique dans des discours qui visent à créer la confusion et à polariser l’opinion.
  • Absence de recoupement journalistique :
    • Les organes de presse internationaux (Reuters, AP, AFP, BBC, etc.) ou encore de grandes ONGs (Human Rights Watch, Amnesty International) ne font pas état d’un quelconque financement d’Al-Qaïda/Daech par Israël.
    • Lorsqu’une information de ce type serait avérée, elle susciterait immédiatement de vastes enquêtes journalistiques, d’autant plus qu’elle aurait un impact politique et diplomatique majeur.
  • Exploitation politique :
    • Régulièrement, les rumeurs affirmant qu’« Israël a armé le groupe X » ou que « tel pays occidental a financé un groupe terroriste » servent à diaboliser l’adversaire.
    • Elles se répandent souvent sur les réseaux sociaux et sont ensuite relayées sans vérification, créant un effet d’amplification.

4. Conclusion​

En l’état actuel des connaissances, il n’existe aucune preuve sérieuse qu’Israël aurait financé et armé des jihadistes en Syrie. Ce type d’affirmation repose sur :

  1. Un manque total de sources fiables et l’impossibilité de vérifier les faits allégués.
  2. Un décalage géopolitique : il serait contraire aux intérêts d’Israël de soutenir des groupes susceptibles de se retourner ensuite contre lui.
  3. Une rhétorique de désinformation, visant à discréditer un acteur en l’accusant d’être allié avec « le pire ennemi commun » (ici, des mouvements jihadistes).
C’est l’ensemble de ces éléments qui font que ton allégation est considérée comme de la désinformation.
 
Bien maintenant analysons l'une de tes nombreuses désinformations.

Tu as crée le sujet suivant :

Regarde la pièce jointe 404373

1. Absence de sources crédibles et vérifiables​

  • Manque de preuves tangibles : Aucune preuve concrète ou document officiel ne vient étayer l’idée qu’Israël aurait fourni un soutien logistique et armé (encore moins l'aviation) à des groupes jihadistes (de type Al-Nosra, Daech, etc.) en Syrie.

  • Sources douteuses : Les récits prétendant qu’Israël « financerait et armerait » les jihadistes circulent souvent sur des sites conspirationnistes ou via des médias politiquement engagés (parfois liés à l’appareil de propagande du régime syrien, de l’Iran, ou de certaines factions). Ces sources ne respectent généralement pas les standards journalistiques (vérification des faits, recoupement, etc.).

2. Contexte géopolitique réel​

  • Position d’Israël dans le conflit syrien :
    • Israël n’a aucun intérêt à renforcer des mouvances jihadistes (comme Daech ou Al-Qaïda) pouvant représenter à terme un danger direct pour sa sécurité.
    • Les interventions militaires d’Israël en Syrie ont essentiellement visé des objectifs liés à l’Iran ou au Hezbollah, considérés comme des ennemis directs d’Israël et alliés du régime d’Assad.
    • Les incidents frontaliers et frappes ponctuelles visent en priorité l’acheminement d’armes à des groupes pro-iraniens, pas l’équipement de groupes jihadistes sunnites.
  • Dynamique complexe de la guerre civile syrienne :
    • Le conflit syrien est marqué par de multiples acteurs (régime de Bachar el-Assad, groupes rebelles divers, milices kurdes, État islamique, Tahrir al-Cham, etc.), chacun ayant des soutiens extérieurs multiples (Russie, Iran, Turquie, pays du Golfe, etc.).
    • Dans ce contexte, la propagande et la désinformation sont monnaie courante ; des rumeurs circulent régulièrement pour discréditer l’adversaire en l’accusant de soutenir l’ennemi le plus honni (ici, les jihadistes).

3. Caractéristiques de la désinformation​

  • Narratif conspirationniste :
    • Accuser Israël ou tout autre pays d’être derrière « tous les maux » (financement des jihadistes) relève souvent de la théorie du complot.
    • On retrouve cette rhétorique dans des discours qui visent à créer la confusion et à polariser l’opinion.
  • Absence de recoupement journalistique :
    • Les organes de presse internationaux (Reuters, AP, AFP, BBC, etc.) ou encore de grandes ONGs (Human Rights Watch, Amnesty International) ne font pas état d’un quelconque financement d’Al-Qaïda/Daech par Israël.
    • Lorsqu’une information de ce type serait avérée, elle susciterait immédiatement de vastes enquêtes journalistiques, d’autant plus qu’elle aurait un impact politique et diplomatique majeur.
  • Exploitation politique :
    • Régulièrement, les rumeurs affirmant qu’« Israël a armé le groupe X » ou que « tel pays occidental a financé un groupe terroriste » servent à diaboliser l’adversaire.
    • Elles se répandent souvent sur les réseaux sociaux et sont ensuite relayées sans vérification, créant un effet d’amplification.

4. Conclusion​

En l’état actuel des connaissances, il n’existe aucune preuve sérieuse qu’Israël aurait financé et armé des jihadistes en Syrie. Ce type d’affirmation repose sur :

  1. Un manque total de sources fiables et l’impossibilité de vérifier les faits allégués.
  2. Un décalage géopolitique : il serait contraire aux intérêts d’Israël de soutenir des groupes susceptibles de se retourner ensuite contre lui.
  3. Une rhétorique de désinformation, visant à discréditer un acteur en l’accusant d’être allié avec « le pire ennemi commun » (ici, des mouvements jihadistes).
C’est l’ensemble de ces éléments qui font que ton allégation est considérée comme de la désinformation.
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Ben tu continues de prendre encore les sources mainstream qui font de l'auto censure.

En tous cas tout ce que j'avais lu en 2007 dans le Monde Diplo comme projet israelien de sous traiter la lutte contre contre le Hezbollah via des djihadistes de Al Qaeda s'est révélé exact.

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Ben tu continues de prendre encore les sources mainstream qui font de l'auto censure.

En tous cas tout ce que j'avais lu en 2007 dans le Monde Diplo comme projet israelien de sous traiter la lutte contre contre le Hezbollah via des djihadistes de Al Qaeda s'est révélé exact.

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Désinformation :

Le premier problème tient à l’absence de preuves solides, d’enquêtes journalistiques ou de documents officiels confirmant qu’Israël aurait projeté de recourir à Al-Qaïda (ou à des groupes affiliés) pour combattre le Hezbollah. Si des accusations de ce type circulent dans certaines sphères complotistes ou dans des rumeurs sur les réseaux sociaux, on ne trouve pas de confirmation dans des médias d’investigation sérieux ou des sources gouvernementales fiables.

Le Monde diplomatique est connu pour ses enquêtes approfondies et ses analyses souvent critiques à l’égard des politiques états-uniennes ou israéliennes. Cependant, il n’existe pas d’article signé ou validé par la rédaction du Monde diplomatique attestant qu’Israël aurait orchestré un partenariat avec Al-Qaïda pour lutter contre le Hezbollah. Dans les archives numérisées du journal, rien n’indique un “projet israélien de sous-traiter la lutte” à des djihadistes d’Al-Qaïda.
 
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