virtua11
VIB
Merci pour ces éclaircissements ,il n'en demeure pas moins que la TPI est imputée au prix de cession et qu'au final c'est l'acheteur qui la supporte ,le vendeur faisant ses calculs lors de la négociation du prix de vente.Si ce même bien change de propriétaire quelques années après il sera encore taxé alors qu'il n-y-a pas eu une nouvelle construction.@legdali L’État prend de clopinettes quand il s'agit des successions.
Sauf acte de partage, où là c'est les héritiers qui ne veulent plus de la copropriété. Si les héritiers vendent en étant copropriétaires ou s'arrangent pour user des biens en étant en copropriété, alors il n'y a pas de problèmes. Et les frais sont relativement minimes.
On peut faire les calculs que l'on veut, cela ne dépassera jamais 2 ou 3 % de la valeur des bien et encore, je suis généreux.
L'acte de partage est un bénéfice pour les héritiers et les copropriétaires en général.
La TPI est payée par le vendeur, et on est totalement exonéré s'il s'agit de résidence principale, il y a d'autres dispositions qui font l'on ne paie que rarement les 20 % de la TPI, et les 20% sont sur les profits seulement.
Pour ce qui est de l'acte de partage suite à une succession ,on peut à la rigueur dire que tout compte fait on est gagnants mais dans le cas où on a été 2 personnes par exemple(pour partager le prix d’acquisition) à acquérir un terrain pour en faire une habitation à rez de chaussée et étage et qu'on veuille à la fin de la construction sortir de l'indivision pour que chacun puisse bénéficier d'un logement à part ,qu'on nous applique des dispositions comme s'il s'agissait non d'un simple échange de parts mais comme vente de chacun sa part à l'autre.