Poutine aime nous la sortir celle là, la fameuse trahison de l'OTAN, celle de ne pas s'etendre...
Explications.
À la fin de la Deuxième Guerre mondiale, quand l'Allemagne a finalement jeté l'éponge, c'était un peu comme le partage du gâteau entre les potes : les États-Unis, la Grande-Bretagne, l'URSS et la France se sont pointés et ont divisé le territoire allemand en zones d'occupation.
Fast forward à 1989, le mur de Berlin tombe, mais ces pays gardent toujours des droits sur l'Allemagne selon les traités internationaux. Donc, quand vient le moment de réunifier l'Allemagne, c'est un peu comme rembourser une dette vieille de plusieurs décennies.
Mais, hey, que va donc faire la Russie dans tout ça ?
Le vieux chef des affaires étrangères de l'Allemagne de l'Ouest, Hans-Dietrich Genscher, a donc eu cette idée : Gorbatchev pourrait être partant pour la réunification si on lui promet que la Pologne et la Hongrie ne rejoindront pas l'OTAN.
Il balance alors cette idée à James Baker, le bras droit de George H. W. Bush.
Baker kiffe carrément l'idée, alors il déboule à Moscou pour en causer avec Gorbatchev, qui est plutôt chaud patate. Baker retourne à Washington tout content pour raconter ça à son Président.
Mais au lieu de sauter de joie, Bush lui tombe dessus comme un Morjani sur une maghrébine en mini jupe. Il lui dit que l'OTAN n'a pas à jouer les mécènes. L'Occident a gagné la guerre froide, alors pas question d'agir comme si on était les perdants.
Cette histoire, elle est tellement marquante que deux semaines après, le chancelier allemand, Helmut Kohl, va à Camp David pour en causer de nouveau avec Bush qui lui remet les idées en place en disant franchement et mot pour mot "Au diable cette idée."
Alors, comment ils ont réussi à faire avaler la pilule aux Russes pour la réunification ? Avec des billets verts, en les graissant un peu, les russes ne disent jamais non...
Ça a marché, et c'est pour ça que la Russie n'a aucun papier signé prouvant une trahison de l'OTAN.
Parce que ça n'a jamais existé.
Un mensonge.
Tout simplement.
Explications.
À la fin de la Deuxième Guerre mondiale, quand l'Allemagne a finalement jeté l'éponge, c'était un peu comme le partage du gâteau entre les potes : les États-Unis, la Grande-Bretagne, l'URSS et la France se sont pointés et ont divisé le territoire allemand en zones d'occupation.
Fast forward à 1989, le mur de Berlin tombe, mais ces pays gardent toujours des droits sur l'Allemagne selon les traités internationaux. Donc, quand vient le moment de réunifier l'Allemagne, c'est un peu comme rembourser une dette vieille de plusieurs décennies.
Mais, hey, que va donc faire la Russie dans tout ça ?
Le vieux chef des affaires étrangères de l'Allemagne de l'Ouest, Hans-Dietrich Genscher, a donc eu cette idée : Gorbatchev pourrait être partant pour la réunification si on lui promet que la Pologne et la Hongrie ne rejoindront pas l'OTAN.
Il balance alors cette idée à James Baker, le bras droit de George H. W. Bush.
Baker kiffe carrément l'idée, alors il déboule à Moscou pour en causer avec Gorbatchev, qui est plutôt chaud patate. Baker retourne à Washington tout content pour raconter ça à son Président.
Mais au lieu de sauter de joie, Bush lui tombe dessus comme un Morjani sur une maghrébine en mini jupe. Il lui dit que l'OTAN n'a pas à jouer les mécènes. L'Occident a gagné la guerre froide, alors pas question d'agir comme si on était les perdants.
Cette histoire, elle est tellement marquante que deux semaines après, le chancelier allemand, Helmut Kohl, va à Camp David pour en causer de nouveau avec Bush qui lui remet les idées en place en disant franchement et mot pour mot "Au diable cette idée."
Alors, comment ils ont réussi à faire avaler la pilule aux Russes pour la réunification ? Avec des billets verts, en les graissant un peu, les russes ne disent jamais non...
Ça a marché, et c'est pour ça que la Russie n'a aucun papier signé prouvant une trahison de l'OTAN.
Parce que ça n'a jamais existé.
Un mensonge.
Tout simplement.
