Un imam remplaçant de la mosquée de Chaville défend les violences conjugales.

Drianke

اللهم إفتح لنا أبواب الخير وأرزقنا من حيت لا نحتسب
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Mdrrrr et marhaba sur bladi...:rolleyes::D

Section islam c'est devenu un dépotoir...

Pourtant le Maroc est quand même un référent pour l'islam sunnite de rite malikite...
 

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VIB
"Si tu la tapes, ne touche pas son visage, et frappe-la sans haine".

Les Imams et le féminisme, ca a toujours été une grande histoire d'amour.
Il ne faut pas aller trop vite et n besogne,d un Inconnu qui se prétend imam a tous les imams.
Tu ferais même choses concernant un ne autre religion sur l'islam la religion de Dieu et tu le dis bien.
 
Il ne faut pas aller trop vite et n besogne,d un Inconnu qui se prétend imam a tous les imams.
Tu ferais même choses concernant un ne autre religion sur l'islam la religion de Dieu et tu le dis bien.

De l’autre côté, il est interdit à la femme de battre son mari car cela contredit l’autorité qu’il a sur elle...

« La Charia (Législation musulmane) autorise l’homme à frapper sa femme de façon légère lors de son insubordination si les conseils et le refus du rapport sexuel ne la dissuadent pas. »

Si le mari bat sa femme de façon que la Charia n’autorise pas, en lui faisant beaucoup de mal et qu’elle soit obligée de se défendre, elle est autorisée à le faire


Rien d'inquiétant quoi :rolleyes:
 

tajali

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tant que les musulmans n'admettrons pas qu'il y a un soucis avec certain passage du coran
il n'y a pas de relecture et reinterpretation possible du coran

dans un autre passage le coran incite ayyoub a tenir sa promesse en frappant sa femme
le prophete lui meme a porté la main sur aisha en la poussant au niveau de la poitrine au point de lui faire mal


voir ce qu'en dit se savant

 
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s'il était un cas isolé, on pourrait encore en sourire...

Parceque les attaques meurtrières a Gaza,est un cas isolé ?
Tu vis dans l'imaginaire
L'imaginaire se nourrit du mensonge
Et le mensonge permet de maintenir un mythe,un fantasme..
Tu sais bien que l'islam est la religion de Dieu mais votre arrogance,et orgueil vous pousse à inventer un autre Monde fictif qui vous convient...
Vous obéissez à vos plaisirs.

Une vraie vision simple du réel, indépendamment de toute pensée idéologique ne te fera pas de mal

 

tajali

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Parceque les attaques meurtrières a Gaza,est un cas isolé ?
Tu vis dans l'imaginaire
L'imaginaire se nourrit du mensonge
Et le mensonge permet de maintenir un mythe,un fantasme..
Tu sais bien que l'islam est la religion de Dieu mais votre arrogance,et orgueil vous pousse à inventer un autre Monde fictif qui vous convient...
Vous obéissez à vos plaisirs.

Une vraie vision simple du réel, indépendamment de toute pensée idéologique ne te fera pas de mal


tu confond crime et loi
le coran ne decrit pas un crime il edicte une loi : celle de frapper les femmes desobeissante
donc a partir de là le mari aura une justification pour frapper sa femme en toute impunité et bonne conscience sous pretexte de la corriger ...
 

de passage

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tu confond crime et loi
le coran ne decrit pas un crime il edicte une loi : celle de frapper les femmes desobeissante
donc a partir de là le mari aura une justification pour frapper sa femme en toute impunité et bonne conscience sous pretexte de la corriger ...
Ah parce que les mecs ont besoins d'une loi Pour frapper leur compagne !
Et comme les non musulmans ne sont pas concernés par les lois coraniques donc ils ne frappent pas les femmes...... même si ils sont souls.
 
Parceque les attaques meurtrières a Gaza,est un cas isolé ?

Rappelle-moi le lien entre le drame en cours à Gaza et le sujet du présent post ?

Tu vis dans l'imaginaire
L'imaginaire se nourrit du mensonge
Et le mensonge permet de maintenir un mythe,un fantasme..

Non je te cite des avis de savants musulmans eux-mêmes. Un minimum d'objectivité devrait te conduire à admettre qu'il n'y a pas unanimité entre eux sur le sujet, mais tu prends le sujet trop à coeur comme s'il s'agissait d'une attaque contre l'islam. Bref tu mélanges tout.
Tu sais bien que l'islam est la religion de Dieu mais votre arrogance,et orgueil vous pousse à inventer un autre Monde fictif qui vous convient...
Vous obéissez à vos plaisirs.

C'est reparti avec le "vous" et le "votre" dont tu ne sais même pas qui ils désignent... :rolleyes:...
Pour ton info, les juifs, les chrétiens, les boudhistes etc disent tous la même chose que toi, à savoir que "leur" religion est la seule vraie... Tu n'as guère de perception de ton relativisme culturel sur la question... Tu es autant persuadé d'ùêtre dans le vrai que eux le sont...

Et c'est toi qui parles d'orgueil :)

Une vraie vision simple du réel, indépendamment de toute pensée idéologique ne te fera pas de mal


waw, donc là tu nous cites un article qui parle de la réalité de la violence conjuguale et tu espères que cela serve "d'adoucissant" au fait que certains savants musulmans le justifient :) ?

En gros, tu te sers de cas de violences que la loi réprime et condamne pour justifier la légalisation de cette violence au nom d'une certaine vision islamique ?
 

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Vous osez critiquer la parole de Dieu.
La personne la plus glorifiée dans le coran est une femme MYRIAM
LIS sourate Myriam mais le satan t'empêchera
Il y a la sourate les femmes qui ne parlent que des femmes.il n y a pas de sourate les hommes dans le coran !
 

tajali

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Ah parce que les mecs ont besoins d'une loi Pour frapper leur compagne !
Et comme les non musulmans ne sont pas concernés par les lois coraniques donc ils ne frappent pas les femmes...... même si ils sont souls.

non certain on besoin d'une permission d'une autorisation pour le faire
si le coran aurait fermement interdit de battre les femmes desobeissante cela aurai dissuader les croyant de le faire

ceux qui frappe leur femme c qu'il ont un probleme c eux qui doivent etre soigné
donc contrairement a ce que pretend le coran non frapper la femme n'est pas un moyen d'ameliorer les relation dans le couple

pour concilier les couple voir ce que propose la cnv cela est beaucoup plus sain
 
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tajali

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il y a un reele probleme de violence en islam

en faite en islam utilise la peur comme moyen de manipulation exemple en utilisant la methode du baton (contrainte) et de la carotte (seduction)
cette question de la punition par les moyen du chatiment corporel est integrer comme moyen de dresser en islam

1/dieu chatiera par le feu
2/les criminel sont puni par des chatiment corporel : couper la main fouettez lapider etc ...
3/ frapper les femme desobeissante
4/frapper les enfant qui ne pri pas a l'age de la raison
5/faire la guerre à ceux qui ne croient pas
6/tuer les apostat
etc ...

 
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Drianke

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Posté en 2018 ...
<<
Les intervenants, de part et d'autre, ont une approche approximative du texte sacré voire complètement erronée.

1. Le fait de "frapper" est formellement proscrit, le Coran affirme : "fréquentez-les avec bienveillance" (4/19), le fait de porter atteinte à l’intégrité physique ou morale entre en contradiction avec cette injonction claire faite aux hommes.

En revanche, le verset dont nous parlons est de portée éthique et non juridique. Ce sont donc des mesures éducatives qu’il met en avant.

2. Retenez que le droit, qu’il soit religieux ou positif ne peut s’appliquer qu’à l’intérieur d’une communauté qui forme de ce fait son corps et son esprit. Retenez également que le message islamique est universel à contrario de sa loi qui est limitée à la communauté des croyants.

Les couples non croyants ne sont donc pas visés par les versets dont il est question. Je prends la peine de préciser cela car ce dont nous parlons a une portée spirituelle et une dimension économique et sociale, comme nous allons le voir.

3. Pour comprendre le Coran, il faut méditer attentivement tous les passages qui traitent d’une question. Le cas du nushûz (rébellion ou négligence conjugale, du au manquement aux devoirs) est un parfait exemple des interprétations hâtives et surtout spécieuses. Il faut remarquer que cette rébellion dont fait mention le Coran concerne aussi bien l’homme que la femme. Tous deux peuvent se rendre coupables de ce mauvais comportement. Dans le cas du mari, nous lisons : « Si une femme craint de son mari négligence ou abandon, nul grief contre eux s'ils se réconcilient par un compromis quelconque, et la réconciliation est meilleure, malgré la rapacité toujours présente dans les âmes. Mais si vous agissez en bien et vous êtes pieux... Dieu est, certes, Parfaitement Connaisseur de ce que vous faites » (4/128). Quant au cas de la femme, nous lisons : « Réciproquement, les femmes vertueuses sont dévotieuses et préservent dans l’absence (de leurs conjoints) ce que Dieu garde. Quant à celles dont vous craignez la désobéissance, exhortez-les, désertez leur couche et corrigez-les. Mais une fois ramenée à l’obéissance, alors ne leur cherchez plus de prétexte, car Dieu est certes, Très-Haut et Très-Grand ! » (4/34).

4. La confrontation de ces deux versets nous permet d’y voir un peu plus clair, et nous permet surtout de déterminer avec précision ce que le Coran veut signifier par cette rébellion. En effet, la thérapie coranique dans ce cas de figure est symétrique. Le premier élément qui nous aide à délimiter la portée absolue de ce sens est la vision du Législateur, à savoir la manière dont Dieu conclue ces deux versets. Dans le cas de la rébellion des hommes, Il S’affirme comme parfaitement Connaisseur de ce que nous faisons alors que dans le cas des femmes, Il S’affirme : Très-haut et Très-Grand.

Que doit-on tirer comme enseignement de cette différenciation ?

Dans la première situation, Dieu rappelle qu’Il connaît parfaitement l’intention profonde des hommes qui négligent leurs épouses. Tandis que dans la seconde situation, Dieu menace par Ses attributs transcendants de réprimer tout comportement tyrannique. Dans les deux cas, c’est l’époux qui est considéré comme responsable de cette situation, qu’il soit coupable ou victime.
 

Drianke

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5. Le second élément qui nous permet d’y voir encore plus clair, c’est la portée relative du sens visé dans les deux versets. Qui sont les protagonistes à qui s’adressent ces passages ? Quels sont les motifs mentionnés pour l’application des deux thérapies proposées ? Dans les deux cas de figure, les versets mentionnent la crainte d’arriver à cette situation de rébellion. On relève ici le côté psychologique des premiers symptômes. Il est recommandé de régler ce type de problèmes dès qu’ils apparaissent, le laisser-aller aggrave ce conflit. Cela signifie aussi que le couple, concerné par ces textes, ne veut pas se séparer malgré cette crise passagère. Il s’agit donc d’une dispute de couple où l’amour est encore présent. Cette dispute a engendré ce conflit qui a provoqué la colère de l’un envers l’autre. Pour ce qui est des hommes, le Coran propose la réconciliation à l’amiable. Il est à noter que dans le couple musulman, l’homme a beaucoup plus de responsabilités que son épouse, il est généralement plus expérimenté et plus âgé. Il faut garder à l’esprit cette dimension sociale pour éviter les excès d’interprétation. 6. Le troisième élément qui intervient pour nous éclairer, c’est la jonction qui doit être faite entre les portées absolue et relative des deux versets. Quelles sont les raisons de cette sentence éthique ? Il faut, pour cela, prendre en considération la nature de la problématique traitée. Quel genre de conflit conduit à ne pas remplir ses devoirs ? Commençons par le côté négatif, le verset ne parle aucunement du refus des rapports sexuels de la part de la femme sinon la sentence précédente, le fait de déserter sa couche, n’aurait alors plus aucun sens. En fait, il s’agit des femmes qui outrepassent le comportement relatif aux épouses vertueuses qui sont définies comme étant dévotieuses et protectrices du secret conjugal. La femme concernée par ces mesures coraniques est celle qui manifeste une insatisfaction injustifiée des revenus de son mari ou qui propage le secret conjugal. Cette femme a donc besoin d’être éduquée, par les mesures mentionnées, car elle ne vérifie pas l’éthique maritale de vertu exigée. Quant à la négligence des hommes, elle fait référence à deux défauts essentiels : l’avarice et l’arrogance. Ce comportement contredit la bienveillance et la modestie dont l’homme doit faire preuve à l’égard de son épouse. Le Coran reproche à l’homme sa cupidité et son orgueil. Les mesures invoquées font référence à une entente mutuelle à travers le dialogue et l’exhortation.

Fin de citation
 
1. Le fait de "frapper" est formellement proscrit, le Coran affirme : "fréquentez-les avec bienveillance" (4/19), le fait de porter atteinte à l’intégrité physique ou morale entre en contradiction avec cette injonction claire faite aux hommes.

En revanche, le verset dont nous parlons est de portée éthique et non juridique. Ce sont donc des mesures éducatives qu’il met en avant.
Cela ne change rien sur le fond. Est au mari "d'éduquer" sa femme ?
et si oui, qui va éduquer le mari ?
 
5. Le second élément qui nous permet d’y voir encore plus clair, c’est la portée relative du sens visé dans les deux versets. Qui sont les protagonistes à qui s’adressent ces passages ? Quels sont les motifs mentionnés pour l’application des deux thérapies proposées ? Dans les deux cas de figure, les versets mentionnent la crainte d’arriver à cette situation de rébellion. On relève ici le côté psychologique des premiers symptômes. Il est recommandé de régler ce type de problèmes dès qu’ils apparaissent, le laisser-aller aggrave ce conflit. Cela signifie aussi que le couple, concerné par ces textes, ne veut pas se séparer malgré cette crise passagère. Il s’agit donc d’une dispute de couple où l’amour est encore présent. Cette dispute a engendré ce conflit qui a provoqué la colère de l’un envers l’autre. Pour ce qui est des hommes, le Coran propose la réconciliation à l’amiable. Il est à noter que dans le couple musulman, l’homme a beaucoup plus de responsabilités que son épouse, il est généralement plus expérimenté et plus âgé. Il faut garder à l’esprit cette dimension sociale pour éviter les excès d’interprétation. 6. Le troisième élément qui intervient pour nous éclairer, c’est la jonction qui doit être faite entre les portées absolue et relative des deux versets. Quelles sont les raisons de cette sentence éthique ? Il faut, pour cela, prendre en considération la nature de la problématique traitée. Quel genre de conflit conduit à ne pas remplir ses devoirs ? Commençons par le côté négatif, le verset ne parle aucunement du refus des rapports sexuels de la part de la femme sinon la sentence précédente, le fait de déserter sa couche, n’aurait alors plus aucun sens. En fait, il s’agit des femmes qui outrepassent le comportement relatif aux épouses vertueuses qui sont définies comme étant dévotieuses et protectrices du secret conjugal. La femme concernée par ces mesures coraniques est celle qui manifeste une insatisfaction injustifiée des revenus de son mari ou qui propage le secret conjugal. Cette femme a donc besoin d’être éduquée, par les mesures mentionnées, car elle ne vérifie pas l’éthique maritale de vertu exigée. Quant à la négligence des hommes, elle fait référence à deux défauts essentiels : l’avarice et l’arrogance. Ce comportement contredit la bienveillance et la modestie dont l’homme doit faire preuve à l’égard de son épouse. Le Coran reproche à l’homme sa cupidité et son orgueil. Les mesures invoquées font référence à une entente mutuelle à travers le dialogue et l’exhortation.

Fin de citation

Oui, donc en gros, le mari a le dsroit de frapper - mais gentiment, hein - sa femme pour l'éduquer. Un peu comme avec un enfant, en somme... :rolleyes:

Vision ultra-masculiniste du couple ou l'homme est censé par essence être plus instruit et plus sage que la femme. Encore une fois, le Coran s'exprime selon la réalité d'époque et du lieu (société bédouine arabe patriarcale) mais la lettre n'est pas à prendre dans un sens intemporel. Le verset est circonstancié à son contexte d'émission.

Faut lire autre chose que les sources salafs de temps en temps...
 

tajali

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Oui, donc en gros, le mari a le dsroit de frapper - mais gentiment, hein - sa femme pour l'éduquer. Un peu comme avec un enfant, en somme... :rolleyes:

Vision ultra-masculiniste du couple ou l'homme est censé par essence être plus instruit et plus sage que la femme. Encore une fois, le Coran s'exprime selon la réalité d'époque et du lieu (société bédouine arabe patriarcale) mais la lettre n'est pas à prendre dans un sens intemporel. Le verset est circonstancié à son contexte d'émission.

Faut lire autre chose que les sources salafs de temps en temps...

je fait un petit hors sujet pour te dire que je trouve de maniere general ta facon d'ecrire très fluide et subtil
y'a t'il une raison a cela ? d'où cela te vient ?

tout le contraire de moi je cherche donc des moyen de m'ameliorer ...
 
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Les Imams et le féminisme, ca a toujours été une grande histoire d'amour.
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Le tribunal rabbinique de Jérusalem refuse une demande de divorce pour violence domestique​

La femme a fait appel au procureur général quand les rabbins ont refusé de la laisser quitter son mari, affirmant que sa demande de divorce a déclenché les violences​

Une Israélienne qui s’est vue refuser le divorce fondé sur des violences domestiques prouvées par un tribunal rabbinique a fait appel au procureur général de l’Etat.

Les avocats de la femme ont fait cet appel inhabituel jeudi après le rejet de sa motion de divorce par le tribunal rabbinique de Jérusalem.

Son mari a été jugé coupable et emprisonné pour 75 jours pour avoir agressé sa femme l’année dernière.

En Israël, les tribunaux religieux font office de tribunal des affaires familiales. Selon la loi juive orthodoxe, le divorce n’est possible que si le mari l’accepte.

Dans la plupart des cas, les juges rabbiniques ne peuvent pas forcer un époux à accorder le divorce à sa femme.

Ces femmes sont appelées agunot en hébreu, ce qui signifie enchaînées.


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je fait un petit hors sujet pour te dire que je trouve de maniere general ta facon d'ecrire très fluide et subtil
y'a t'il une raison a cela ? d'où cela te vient ?

tout le contraire de moi je cherche donc des moyen de m'ameliorer ...

Merci :). je n'ai pas particulièrement l'impression d'avoir une prose plus fluide que d'autres membres ici.

Pour ce qui est de la subtilité, disons qu'elle varie selon l'intervenant auquel je réponds ;)... elle va de l'absence complète volontaire à sa mise en exergue circonstanciée selon la personne à qui je réponds :).

Mais sur le présent sujet, c'est moins une question de subtilité que de refus d'une forme d'exégèse particulière qui se contente de tout lire au premier degré dans les livres saints, sans considérer même le besoin de contextualiser des textes pourant fortement historicisés dans leur lettre.
 

tajali

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Merci :). je n'ai pas particulièrement l'impression d'avoir une prose plus fluide que d'autres membres ici.

Pour ce qui est de la subtilité, disons qu'elle varie selon l'intervenant auquel je réponds ;)... elle va de l'absence complète volontaire à sa mise en exergue circonstanciée selon la personne à qui je réponds :).

Mais sur le présent sujet, c'est moins une question de subtilité que de refus d'une forme d'exégèse particulière qui se contente de tout lire au premier degré dans les livres saints, sans considérer même le besoin de contextualiser des textes pourant fortement historicisés dans leur lettre.

je ne parle pas de ce sujet en particulier mais de maniere general
je ne parle pas de ton argumentation mais plus de la forme
a chaque fois que je lis la premiere chose qui me frappe c ta facon d'ecrire c abusé tout en finesse
donc cela doit etre naturel car constant a moin que tu t'applique a chaque fois que tu ecris

non je te garanti que ta facon d'ecrire depasse largement le niveau moyen du forum

dit moi ton secret ... :)
 
A l'opposé de la religion musulmane où le divorce n'est possible que si la femme l'accepte🥳

Il y'a des cas où le mari refuse de donner le guet, qui est la permission de libérer sa femme...pendant que lui peut se mettre en ménage avec une autre femme.
Sa première femme peut rester dans une situation où elle n'est plus en couple avec son mari ni libre de se marier avec quelqu'un d'autre.

On les appelle des femmes enchaînées.

Le tribunal rabbinique n'est pas l'allié de l'épouse mais d'office du mari même après des violences conjugales.

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Le long combat d’une femme juive pour obtenir le divorce religieux​

Une femme a obtenu, mardi 16 mai, le guet (acte de divorce religieux juif) qu’elle réclamait depuis 29 ans à son ancien mari, condamné à 9 ans de prison en 1988 pour avoir tenté de l’assassiner.

Qu’est-ce que le guet ?​

La Torah reconnaît le droit au divorce (Deutéronome 24, 1-2). Un couple peut donc divorcer civilement.

La loi juive prévoit que pour rompre le mariage religieux, l’homme remet à son épouse, en présence d’un Beth-Din (tribunal rabbinique), un guet, l’acte de divorce religieux, dans lequel il est indiqué que la femme « est désormais libre d’épouser tout homme de son choix ».

Si le mari refuse d’accorder le guet, la femme est agouna, toujours mariée.

« Cela implique qu’elle est considérée comme adultère si elle a une relation avec un autre homme, explique Yaël Hirshhorn, conseillère en communication du grand rabbin de France Haïm Korsia.

Et si elle a des enfants avec un autre homme que son mari, ceux-ci sont considérés comme mamzérim, c’est-à-dire illégitimes.

Devenus adultes, ces enfants ne pourront eux-mêmes se marier religieusement qu’avec d’autres
mamzérim. »


Le refus du guet a donc une véritable incidence pour les femmes concernées et pour leur descendance.

Il existe des tentatives de chantage au guet, lorsque l’homme n’est pas satisfait du jugement civil


En 1988, elle a fait l’objet d’une tentative de meurtre de la part de son conjoint (qui a été condamné à 9 ans de prison pour cela) et elle a divorcé civilement dans la foulée.

Mais celui-ci a toujours refusé de lui accorder le guet, malgré les différentes sollicitations de Sarah auprès du tribunal rabbinique de Lyon (d’où elle était originaire), de Paris (où son ancien mari s’est installé après sa peine de prison), et du consistoire central.

« Son mari a toujours refusé de répondre aux convocations des Beth Din », précise Yaël Hirshhorn.

C’est finalement une assignation devant un tribunal civil qui a permis à Sarah d’obtenir gain de cause.

Son ancien mari a été condamné le 7 juin 2016 à 50 000 € de dommages et intérêts par le tribunal de grande instance de Pontoise, en réparation de « l’important préjudice » causé par « l’impossibilité pour elle (Sarah NDLR) de se remarier religieusement et du maintien dans un lien insupportable compte tenu de la tentative d’assassinat dont elle a fait l’objet ».

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Le long combat d’une femme juive pour obtenir le divorce religieux​

Une femme a obtenu, mardi 16 mai, le guet (acte de divorce religieux juif) qu’elle réclamait depuis 29 ans à son ancien mari, condamné à 9 ans de prison en 1988 pour avoir tenté de l’assassiner.

Qu’est-ce que le guet ?​

La Torah reconnaît le droit au divorce (Deutéronome 24, 1-2). Un couple peut donc divorcer civilement.

La loi juive prévoit que pour rompre le mariage religieux, l’homme remet à son épouse, en présence d’un Beth-Din (tribunal rabbinique), un guet, l’acte de divorce religieux, dans lequel il est indiqué que la femme « est désormais libre d’épouser tout homme de son choix ».

Si le mari refuse d’accorder le guet, la femme est agouna, toujours mariée.

« Cela implique qu’elle est considérée comme adultère si elle a une relation avec un autre homme, explique Yaël Hirshhorn, conseillère en communication du grand rabbin de France Haïm Korsia.

Et si elle a des enfants avec un autre homme que son mari, ceux-ci sont considérés comme mamzérim, c’est-à-dire illégitimes.


Devenus adultes, ces enfants ne pourront eux-mêmes se marier religieusement qu’avec d’autres mamzérim. »

Le refus du guet a donc une véritable incidence pour les femmes concernées et pour leur descendance.

Il existe des tentatives de chantage au guet, lorsque l’homme n’est pas satisfait du jugement civil


En 1988, elle a fait l’objet d’une tentative de meurtre de la part de son conjoint (qui a été condamné à 9 ans de prison pour cela) et elle a divorcé civilement dans la foulée.

Mais celui-ci a toujours refusé de lui accorder le guet, malgré les différentes sollicitations de Sarah auprès du tribunal rabbinique de Lyon (d’où elle était originaire), de Paris (où son ancien mari s’est installé après sa peine de prison), et du consistoire central.

« Son mari a toujours refusé de répondre aux convocations des Beth Din », précise Yaël Hirshhorn.

C’est finalement une assignation devant un tribunal civil qui a permis à Sarah d’obtenir gain de cause.

Son ancien mari a été condamné le 7 juin 2016 à 50 000 € de dommages et intérêts par le tribunal de grande instance de Pontoise, en réparation de « l’important préjudice » causé par « l’impossibilité pour elle (Sarah NDLR) de se remarier religieusement et du maintien dans un lien insupportable compte tenu de la tentative d’assassinat dont elle a fait l’objet ».

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Soporifique 😴😴
 

Zaheer73

Si tu n'as pas de pudeur, fais ce qu'il te plait
VIB
Un remplaçant d'un imam...on attend ce qu'en pense le concierge...

À la recherche du moindre truc. Tant d'efforts ...Qu'ils questionnent les grands rabbins sur ce sujet, c'est la porte à côté de leurs studios....
Hypocrisie...
 

ELMORITANI

Aka tonystark
VIB

Le long combat d’une femme juive pour obtenir le divorce religieux​

Une femme a obtenu, mardi 16 mai, le guet (acte de divorce religieux juif) qu’elle réclamait depuis 29 ans à son ancien mari, condamné à 9 ans de prison en 1988 pour avoir tenté de l’assassiner.

Qu’est-ce que le guet ?​

La Torah reconnaît le droit au divorce (Deutéronome 24, 1-2). Un couple peut donc divorcer civilement.

La loi juive prévoit que pour rompre le mariage religieux, l’homme remet à son épouse, en présence d’un Beth-Din (tribunal rabbinique), un guet, l’acte de divorce religieux, dans lequel il est indiqué que la femme « est désormais libre d’épouser tout homme de son choix ».

Si le mari refuse d’accorder le guet, la femme est agouna, toujours mariée.

« Cela implique qu’elle est considérée comme adultère si elle a une relation avec un autre homme, explique Yaël Hirshhorn, conseillère en communication du grand rabbin de France Haïm Korsia.

Et si elle a des enfants avec un autre homme que son mari, ceux-ci sont considérés comme mamzérim, c’est-à-dire illégitimes.


Devenus adultes, ces enfants ne pourront eux-mêmes se marier religieusement qu’avec d’autres mamzérim. »

Le refus du guet a donc une véritable incidence pour les femmes concernées et pour leur descendance.

Il existe des tentatives de chantage au guet, lorsque l’homme n’est pas satisfait du jugement civil


En 1988, elle a fait l’objet d’une tentative de meurtre de la part de son conjoint (qui a été condamné à 9 ans de prison pour cela) et elle a divorcé civilement dans la foulée.

Mais celui-ci a toujours refusé de lui accorder le guet, malgré les différentes sollicitations de Sarah auprès du tribunal rabbinique de Lyon (d’où elle était originaire), de Paris (où son ancien mari s’est installé après sa peine de prison), et du consistoire central.

« Son mari a toujours refusé de répondre aux convocations des Beth Din », précise Yaël Hirshhorn.

C’est finalement une assignation devant un tribunal civil qui a permis à Sarah d’obtenir gain de cause.

Son ancien mari a été condamné le 7 juin 2016 à 50 000 € de dommages et intérêts par le tribunal de grande instance de Pontoise, en réparation de « l’important préjudice » causé par « l’impossibilité pour elle (Sarah NDLR) de se remarier religieusement et du maintien dans un lien insupportable compte tenu de la tentative d’assassinat dont elle a fait l’objet ».

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une fois que la pauvre femme l'a obtenu elle a chanté " aïe guette ze blouuuze"
 
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