DEFENSE - Un interprète afghan a été également abattu et un autre militaire français est blessé...
Un officier français du 35e régiment d'artillerie parachutiste de Tarbes a été tué mercredi en Afghanistan dans un accrochage avec des insurgés qui a suivi l'explosion d'une mine artisanale, a annoncé le ministère de la Défense. «Un brigadier chef appartenant à la même unité a été gravement blessé et un interprète afghan a également trouvé la mort dans cet incident», a précisé le ministère dans un communiqué.
Tous trois participaient à une «patrouille motorisée avec une section de l'armée nationale afghane», dont ils assuraient la formation au sein d'une Operationnal Mentoring Liaison Team (OMLT), dans la province du Logar, au sud-est de Kaboul. L'embuscade a eu lieu vers 8h30 heure française (12h30 heure locale) sur la route de la capitale à Gardez, au sud de la capitale. Des échanges de tirs ont eu lieu après l'explosion d'un engin explosif improvisé (IED). Des forces américaines et afghanes sont intervenues en renfort, l'armée américaine engageant deux avions d'attaque au sol A-10 dans les combats.
Le 26e décès dans l'armée française
C'est le 26e militaire français à périr en Afghanistan. Le président Nicolas Sarkozy a aussitôt fait part de sa «vive émotion». Le chef de l'État a réaffirmé dans un communiqué son «soutien au peuple afghan et aux autorités afghanes», «condamné avec force cette violence aveugle et a exprimé la détermination de la France à continuer d'oeuvrer au rétablissement de la paix en Afghanistan.»
Près de 70.000 soldats étrangers sont aujourd'hui présents en Afghanistan, dont quelque 2.800 militaires français.
MD avec agence
Un officier français du 35e régiment d'artillerie parachutiste de Tarbes a été tué mercredi en Afghanistan dans un accrochage avec des insurgés qui a suivi l'explosion d'une mine artisanale, a annoncé le ministère de la Défense. «Un brigadier chef appartenant à la même unité a été gravement blessé et un interprète afghan a également trouvé la mort dans cet incident», a précisé le ministère dans un communiqué.
Tous trois participaient à une «patrouille motorisée avec une section de l'armée nationale afghane», dont ils assuraient la formation au sein d'une Operationnal Mentoring Liaison Team (OMLT), dans la province du Logar, au sud-est de Kaboul. L'embuscade a eu lieu vers 8h30 heure française (12h30 heure locale) sur la route de la capitale à Gardez, au sud de la capitale. Des échanges de tirs ont eu lieu après l'explosion d'un engin explosif improvisé (IED). Des forces américaines et afghanes sont intervenues en renfort, l'armée américaine engageant deux avions d'attaque au sol A-10 dans les combats.
Le 26e décès dans l'armée française
C'est le 26e militaire français à périr en Afghanistan. Le président Nicolas Sarkozy a aussitôt fait part de sa «vive émotion». Le chef de l'État a réaffirmé dans un communiqué son «soutien au peuple afghan et aux autorités afghanes», «condamné avec force cette violence aveugle et a exprimé la détermination de la France à continuer d'oeuvrer au rétablissement de la paix en Afghanistan.»
Près de 70.000 soldats étrangers sont aujourd'hui présents en Afghanistan, dont quelque 2.800 militaires français.
MD avec agence