Une journée où tout bascula
- Initiateur de la discussion alAqsa
- Date de début
parce que t'es une nana: D
LOL
ouais je sais (du moins je crois
) mais cette histoire (fictive) je l'ai commencé à partir d'une ébauche (cette histoire est une co écriture en partie) où le protagoniste était un jeune homme, donc j'ai poursuivi dans cette voie là, qui me convenait davantage aussi.
L'homme continuait sa discussion avec La Voix sans se soucier de ma présence. Il lui demandait si j'allais être puni pour mes exactions. Mais de quoi parlaient-ils? Je n'avais rien fait de mal, je ne faisais que mon travail en suivant les directives de mes supérieurs.
_*«*Il n'est pas si perfide que tu le prétends cher ami, dit La Voix. Je l'ai souvent vu arpenter mes Quais. Il a bon coeur tu sais. Mais il est un peu perdu.
_Non, c'est une vermine, il faut le punir! Protesta l'homme;
_Mais qu'ai -je fais de mal, expliquez moi, protestais-je. Il était tout de même question de mon sort. Je ne mérite pas la mort. Je ne faisais que mon travail, d'ailleurs je n'ai jamais aimé faire ça.
_Menteur! Vociféra l'homme.
_Je vous assure, je suis de bonne foi. Je vais tout faire pour m'améliorer, je vais quitter cette banque. Ne me châtiez pas.
_Assez! J'ai pris ma décision. Une dernière chance lui est accordée. Il devra faire ses preuves. S'il y parvient, il sera gracié...
_Que votre volonté soit faite, Oh Grande Gardienne des Quais...*»
Ainsi, cette Voix était celle de la Grande Gardienne des Quais! Quand j'étais petit, ma grand mère m'en avait parlé, mais jamais je n'aurais pu croire qu'elle existait vraiment...
Soudain, je fus comme foudroyé et je m'évanouis. Quelques instants plus tard, je me réveillai. J'avais une étrange sensation. J'ouvris les yeux, je perçus les berges de la Seine, les péniches à quai. Il faisait jour, j'étais à même le sol. J'avais sûrement dû m'assoupir. Je me souvins de cette nuit, ce brouillard, l'homme, La Voix, celle de la Grande Gardienne des Quais: un rêve me dis-je.
Puis, je sentis comme une démangeaison sur mon nez, je voulus me gratter et là que vis-je ! À la place de ma main, je vis une aile noire... Hallucination pensais-je. Je me frottais les yeux, et je revis cette même aile noire... Je me redressai, me mis debout ( du moins c'est ce que je pensais). Mais c'était bizarre.
J'avançais jusqu'à la berge, et vis mon reflet dans l'eau: j'avais l'apparence d'un vautour!
_*«*Il n'est pas si perfide que tu le prétends cher ami, dit La Voix. Je l'ai souvent vu arpenter mes Quais. Il a bon coeur tu sais. Mais il est un peu perdu.
_Non, c'est une vermine, il faut le punir! Protesta l'homme;
_Mais qu'ai -je fais de mal, expliquez moi, protestais-je. Il était tout de même question de mon sort. Je ne mérite pas la mort. Je ne faisais que mon travail, d'ailleurs je n'ai jamais aimé faire ça.
_Menteur! Vociféra l'homme.
_Je vous assure, je suis de bonne foi. Je vais tout faire pour m'améliorer, je vais quitter cette banque. Ne me châtiez pas.
_Assez! J'ai pris ma décision. Une dernière chance lui est accordée. Il devra faire ses preuves. S'il y parvient, il sera gracié...
_Que votre volonté soit faite, Oh Grande Gardienne des Quais...*»
Ainsi, cette Voix était celle de la Grande Gardienne des Quais! Quand j'étais petit, ma grand mère m'en avait parlé, mais jamais je n'aurais pu croire qu'elle existait vraiment...
Soudain, je fus comme foudroyé et je m'évanouis. Quelques instants plus tard, je me réveillai. J'avais une étrange sensation. J'ouvris les yeux, je perçus les berges de la Seine, les péniches à quai. Il faisait jour, j'étais à même le sol. J'avais sûrement dû m'assoupir. Je me souvins de cette nuit, ce brouillard, l'homme, La Voix, celle de la Grande Gardienne des Quais: un rêve me dis-je.
Puis, je sentis comme une démangeaison sur mon nez, je voulus me gratter et là que vis-je ! À la place de ma main, je vis une aile noire... Hallucination pensais-je. Je me frottais les yeux, et je revis cette même aile noire... Je me redressai, me mis debout ( du moins c'est ce que je pensais). Mais c'était bizarre.
J'avançais jusqu'à la berge, et vis mon reflet dans l'eau: j'avais l'apparence d'un vautour!
j'aime le coté terrifiant sur les quais de Seine...c'est un endroit propice aux reglèments de comptes et crimes ni vu ni connu.
ça me rappelle l'histoire vraie d'une ex collègue qui vivait à bord d'une péniche et qui en vérifiant le moteur de l'engin avec son mari, découvrent le cadavre d''une jeune femme. Ils vivaient sur la Seine du coté de Poissy.
ça me rappelle l'histoire vraie d'une ex collègue qui vivait à bord d'une péniche et qui en vérifiant le moteur de l'engin avec son mari, découvrent le cadavre d''une jeune femme. Ils vivaient sur la Seine du coté de Poissy.
