Val-d’oise: elles simulent leur agression pour s'offrir des vacances

INSOLITE - Les faux agresseurs âgés de 15 et 16 ans sont rapidement passés à table...
Elles rêvaient de vacances, leur réveil est difficile. L'une voulait se consacrer à la danse, l'autre rejoindre sa famille en Guadeloupe. Le Parisien rapporte que deux employées de la SNCF sont poursuivies devant le tribunal de Pontoise, dans le Val-d'Oise, pour dénonciation de délit imaginaire.

Ces deux salariées de la compagnie ferroviaire sont accusées d'avoir simulé une agression en gare de Champ de courses d'Enghien. Les deux complices voulaient bénéficier d'un arrêt de travail afin de pouvoir prendre des vacances.


Une agression soigneusement préméditée

L'affaire commence par une intervention de police pour une agression dans la gare du Val-d'Oise, vendredi dernier à 8h30. A leur arrivée sur place, les fonctionnaires découvrent une des victimes encore au sol, en train de gémir. Les agresseurs sont rapidement identifiés et interpellés grâce aux images des caméras de vidéosurveillance de la ville. Placés en garde à vue, ces deux mineurs de 15 et 16 ans vont rapidement se mettre à table: l'agression a en fait été commanditée par leurs deux prétendues victimes contre 200 euros, dans un scénario fixé quelques jours plus tôt.

Placées en garde à vue à leur tour, les deux agents SNCF ont finalement reconnu les faits. Les deux faux agresseurs ont eu le droit à un rappel à la loi. Les deux salariées encourent quant à elles jusqu'à 6 mois de prison et 7.500 euros d'amende.

Source : 20minutes
 
INSOLITE - Les faux agresseurs âgés de 15 et 16 ans sont rapidement passés à table...
Elles rêvaient de vacances, leur réveil est difficile. L'une voulait se consacrer à la danse, l'autre rejoindre sa famille en Guadeloupe. Le Parisien rapporte que deux employées de la SNCF sont poursuivies devant le tribunal de Pontoise, dans le Val-d'Oise, pour dénonciation de délit imaginaire.

Ces deux salariées de la compagnie ferroviaire sont accusées d'avoir simulé une agression en gare de Champ de courses d'Enghien. Les deux complices voulaient bénéficier d'un arrêt de travail afin de pouvoir prendre des vacances.


Une agression soigneusement préméditée

L'affaire commence par une intervention de police pour une agression dans la gare du Val-d'Oise, vendredi dernier à 8h30. A leur arrivée sur place, les fonctionnaires découvrent une des victimes encore au sol, en train de gémir. Les agresseurs sont rapidement identifiés et interpellés grâce aux images des caméras de vidéosurveillance de la ville. Placés en garde à vue, ces deux mineurs de 15 et 16 ans vont rapidement se mettre à table: l'agression a en fait été commanditée par leurs deux prétendues victimes contre 200 euros, dans un scénario fixé quelques jours plus tôt.

Placées en garde à vue à leur tour, les deux agents SNCF ont finalement reconnu les faits. Les deux faux agresseurs ont eu le droit à un rappel à la loi. Les deux salariées encourent quant à elles jusqu'à 6 mois de prison et 7.500 euros d'amende.

Source : 20minutes

c'est quand même plus simple de faire un faux arrêt maladie qu'organiser tout ce bazar...
 
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