Villiers-le-Bel : 1.000 policiers mobilisés, trente-trois personnes interpellées
- Initiateur de la discussion petitbijou
- Date de début
bon ça te fai 20€ pout cette séance abdos
Tu m'auras bien fait rire en tout cas
J'ai eu un fou rire en lisant ton mess
bon ça te fai 20 pout cette séance abdos
Sa fait cher !!! ENcore une taxe...
Dis moi, tu ne ferais pas partie des sarkozyste toi !!!
arrete t as vu comment je le porte dans mn ti coeur
arrete t as vu comment je le porte dans mn ti coeur
Je peux même te prédire que sa durera encore 4 ans et 3 mois
Le oui sera a renouvellé biensûr
à la mairie !!! mdr
http://tempsreel.nouvelobs.com/depe...rslebel_quatre_suspects_remis_en_liberte.html
Villiers-le-Bel: quatre suspects remis en liberté
Villiers-le-Bel: quatre suspects remis en liberté
Salam,
Sa ne m'étonne pas...Ils se sont servis des "enquêtes" (soit disant) et de la méthode "délation" pour les arrêtés...puis ont vérifiés les alibis une fois les présumés émutiers en GAV...
Vive la France...
http://www.lepoint.fr/actualites-societe/villiers-le-bel-huit-personnes-deferees/920/0/224652
Villiers-le-Bel : huit personnes déférées
Villiers-le-Bel : huit personnes déférées
salam
c un système bureaucrate pur et dur faut bien signer des papiers et user le matériel info pour amortir les dépenses publiques
c une honte ni plu ni moins, sachant que le tapage médiatique sera tt cpte fait bien plu important que ceux qui seront écroués à la final mais pour 1000 policiers mobilisés fallait bien mettre un peu de monde dans les filets
salam
c un système bureaucrate pur et dur faut bien signer des papiers et user le matériel info pour amortir les dépenses publiques
c une honte ni plu ni moins, sachant que le tapage médiatique sera tt cpte fait bien plu important que ceux qui seront écroués à la final mais pour 1000 policiers mobilisés fallait bien mettre un peu de monde dans les filets
C'est clair....c'est bizar, on met le paquet pour l'enquête (à savoir qui sont les émeutiers et qui ont tirés sur les flics)...on déploit plus de 1 000 flics pour une trentaine d'arrestations mais qu'en est-il de l'enquête pour déterminer les circonstances de la mort des jeunes...Bizarement on entend plus trop parler de ces 2 jeunes...il semblerait que l'enquête soit au point mort...
ben ils sont plus de ce monde et pense pas que leur parent ont la force après ce drame et le pouvoir financier de continuer leur poursuite, le tapage médiatique serait encore là t aurais forcément vu un de c avocat rapace pointer son museau mais bon ils sont aux oubliettes l histoire resurgira un de c jours enfin pe etre parce que bouna et zyad ( clichy sous bois) ça fai 3 ans déjà silence radio aussi
(AFP) - Le président du Front national (FN), Jean-Marie Le Pen, a estimé mercredi à Strasbourg que les moyens policiers déployés à Villiers-le-Bel (Val-d'Oise) étaient justifiés et qu'il fallait s'attendre dans les banlieues à des opérations d'envergure du type de celles de la guerre d'Indochine (1945-54).
M. Le Pen a comparé devant la presse les quelque 1.100 policiers qui sont intervenus à un "bataillon" lui rappelant le conflit indochinois à la fin duquel il a participé comme lieutenant dans la Légion étrangère.
Le chef du FN était venu avec sa fille Marine soutenir le candidat frontiste aux municipales à Strasbourg, Christian Cotelle, et les candidats aux cantonales en Alsace.
"On ouvrait la route avec une patrouille, a-t-il raconté. Puis, ensuite, avec une section. Puis avec une compagnie. Puis, après, avec un bataillon. Puis, après, avec un régiment. Puis avec un groupe mobile, avec aviation, artillerie, etc..."
Le résultat on le connait tous
"Eh bien, nous sommes sur cette voie-là. Il faut 1.100 policiers pour arrêter quinze personnes à Villiers-le-Bel, dans la banlieue parisienne. Un jour viendra où il faudra qu'ils soient 5.000 ou 10.000", a-t-il prévu.
"Voilà la vérité que les Français doivent regarder en face", a-t-il ajouté.
Il a encore craint que l'indépendance du Kosovo n'appelle à des risque de sécessions dans un "certain nombre de provinces françaises" qui seraient demandées par des musulmans, citant notamment le cas de villes comme Marseille et Roubaix (Nord).
M. Le Pen a qualifié les municipales et les cantonales auxquelles le FN présente près de 1.200 candidats d'"élections du pauvre". Il a estimé que ces scrutins sont "plus difficiles" en raison des faibles scores réalisés aux législatives par nombre de candidats qui n'avaient pas passé la barre des 5% pour le remboursement des frais de campagne.
Il a enfin prévu qu'au vu des récents sondages, si le président Sarkozy "continue comme ça, il va finir par trouver du pétrole".
M. Le Pen a comparé devant la presse les quelque 1.100 policiers qui sont intervenus à un "bataillon" lui rappelant le conflit indochinois à la fin duquel il a participé comme lieutenant dans la Légion étrangère.
Le chef du FN était venu avec sa fille Marine soutenir le candidat frontiste aux municipales à Strasbourg, Christian Cotelle, et les candidats aux cantonales en Alsace.
"On ouvrait la route avec une patrouille, a-t-il raconté. Puis, ensuite, avec une section. Puis avec une compagnie. Puis, après, avec un bataillon. Puis, après, avec un régiment. Puis avec un groupe mobile, avec aviation, artillerie, etc..."
Le résultat on le connait tous
"Eh bien, nous sommes sur cette voie-là. Il faut 1.100 policiers pour arrêter quinze personnes à Villiers-le-Bel, dans la banlieue parisienne. Un jour viendra où il faudra qu'ils soient 5.000 ou 10.000", a-t-il prévu.
"Voilà la vérité que les Français doivent regarder en face", a-t-il ajouté.
Il a encore craint que l'indépendance du Kosovo n'appelle à des risque de sécessions dans un "certain nombre de provinces françaises" qui seraient demandées par des musulmans, citant notamment le cas de villes comme Marseille et Roubaix (Nord).
M. Le Pen a qualifié les municipales et les cantonales auxquelles le FN présente près de 1.200 candidats d'"élections du pauvre". Il a estimé que ces scrutins sont "plus difficiles" en raison des faibles scores réalisés aux législatives par nombre de candidats qui n'avaient pas passé la barre des 5% pour le remboursement des frais de campagne.
Il a enfin prévu qu'au vu des récents sondages, si le président Sarkozy "continue comme ça, il va finir par trouver du pétrole".
maintenant tout le monde a ton adresse mail
heureusement que je sui là pour l effacer hien
maintenant tout le monde a ton adresse mail
heureusement que je sui là pour l effacer hien
Ce n'est pas pour rien que tu es un bijou :langue:
http://tempsreel.nouvelobs.com/depe...arkozy_felicite_les_forces_de_lordre_pou.html
Villiers-le-Bel: Sarkozy félicite les forces de l'ordre pour les récentes arrestations
Villiers-le-Bel: Sarkozy félicite les forces de l'ordre pour les récentes arrestations
on se demande bien pourkoi tient
et d'après toi c t la seule solution?
généralement tt pb a une raison bien précise, avant de parler de territoire ou de je ne sais koi, notons que nous sommes toujours en France dc ce quartier et cette ville constituent une partie intégrante de ce pays tout com c habitants
as tu visionné les deux liens au dessus?
pren le temps de le faire et di nous ce que tu en penses quels médias en a parlé??
de koi mettre la rage non à c jeunes qui sont tout le temps pointé du doigts et les forces de l ordre sorti de cette affaire blancs comme neige..attention je ne cautionne pas les actes, mais je di pas de fumée sans feu et c bien eux les catalyseurs de ce genre d événements alor qu ils arretent de se poser la question pourkoi? parce que la réponse c : LE SYSTEME MARGINAL ET POURRI DE PLUS EN PLUS
Villiers-le-Bel, une cité à comparaître
JUSTICE - Un an et demi après les faits, dix jeunes émeutiers présumés sont jugés pour «violences»...
Des jets de pierres et de bouteilles, des coups de feu, des bâtiments publics et des commerces détruits, une centaine de policiers blessés par des tirs... Les habitants de Villiers-le-Bel (Val-d'Oise) n'oublieront pas cet automne 2007. Le 25 novembre, la mort de deux adolescents dans une collision entre leur mini-moto et une voiture de police avait provoqué deux jours d'émeutes. Un premier procès, consacré aux moins graves de ces violences, s'ouvre ce jeudi. Dix jeunes, tous majeurs, comparaissent jusqu'à demain devant le tribunal correctionnel de Pontoise pour des jets de projectiles contre les forces de l'ordre. C'est un procès sous haute tension qui s'annonce, alors que les affrontements entre jeunes et forces de l'ordre se sont multipliés ces dernières semaines dans la commune.
Les prévenus, qui comparaissent libres sous contrôle judiciaire, vont faire face à certains des 31 policiers qui se sont constitués partie civile. Plusieurs circonstances aggravantes ont été retenues, les faits ayant été commis avec armes, sur des fonctionnaires de police, en réunion, avec guets-apens. Les prévenus, poursuivis pour « violences volontaires », encourent jusqu'à sept ans de prison. « Des mesures ont été prises pour faire en sorte que les débats se passent dans la sérénité », a précisé une source judiciaire. La date du procès « principal », sur les tirs par arme à feu, n'a pas encore été fixée, mais il devrait avoir lieu en fin d'année.
Bertrand Tang
JUSTICE - Un an et demi après les faits, dix jeunes émeutiers présumés sont jugés pour «violences»...
Des jets de pierres et de bouteilles, des coups de feu, des bâtiments publics et des commerces détruits, une centaine de policiers blessés par des tirs... Les habitants de Villiers-le-Bel (Val-d'Oise) n'oublieront pas cet automne 2007. Le 25 novembre, la mort de deux adolescents dans une collision entre leur mini-moto et une voiture de police avait provoqué deux jours d'émeutes. Un premier procès, consacré aux moins graves de ces violences, s'ouvre ce jeudi. Dix jeunes, tous majeurs, comparaissent jusqu'à demain devant le tribunal correctionnel de Pontoise pour des jets de projectiles contre les forces de l'ordre. C'est un procès sous haute tension qui s'annonce, alors que les affrontements entre jeunes et forces de l'ordre se sont multipliés ces dernières semaines dans la commune.
Les prévenus, qui comparaissent libres sous contrôle judiciaire, vont faire face à certains des 31 policiers qui se sont constitués partie civile. Plusieurs circonstances aggravantes ont été retenues, les faits ayant été commis avec armes, sur des fonctionnaires de police, en réunion, avec guets-apens. Les prévenus, poursuivis pour « violences volontaires », encourent jusqu'à sept ans de prison. « Des mesures ont été prises pour faire en sorte que les débats se passent dans la sérénité », a précisé une source judiciaire. La date du procès « principal », sur les tirs par arme à feu, n'a pas encore été fixée, mais il devrait avoir lieu en fin d'année.
Bertrand Tang
Procès Villiers-le-Bel: douze mois à trois ans de prison requis
JUSTICE - Dix prévenus comparaissent devant le tribunal de correctionnel de Pontoise pour le caillassage de policiers en 2007...
Des peines allant de 12 mois de prison avec du sursis à trois ans de prison ferme ont été requises ce vendredi à l'encontre des dix prévenus qui comparaissent devant le tribunal de correctionnel de Pontoise pour le caillassage de policiers à Villiers-le-Bel en 2007. Le jugement a été mis en délibéré au 17 juillet.
Il s'agissait du premier procès consacré aux violences ayant éclaté à Villiers-le-Bel les 25 et 26 novembre 2007, après la mort de deux adolescents dans la collision de leur mini-moto avec une voiture de police.
Un autre procès aux assises fin 2009
Lors de ces violences, une centaine de policiers avaient été blessés par des tirs d'armes à feu et jets de projectiles, un commissaire roué de coups, des bâtiments publics et des commerces détruits.
L'enquête principale, qui concerne les tirs par arme à feu contre les forces de l'ordre, donnera lieu à un autre procès, aux assises fin 2009
Jusqu'à sept ans de prison
Les peines les plus fortes requises par le procureur Emmanuel Gerard concernent les prévenus en récidive légale. Il a ainsi demandé trois ans de prison et un mandat de dépôt contre Wilfried Fie, Terki Bouchiba et Mathieu Bozor qui seraient en état de récidive s'ils devaient être condamnés.
A contrario, les peines les plus «légères» ont été requises à l'encontre des prévenus sans casier judiciaire ou ayant reconnu, en partie, les faits qui leur sont reprochés. Douze mois de prison assortis «d'un large sursis» ont ainsi été requis contre le seul prévenu au casier vierge, Kevin Acar. Les prévenus encourent jusqu'à sept ans d'emprisonnement.
Avec agence
JUSTICE - Dix prévenus comparaissent devant le tribunal de correctionnel de Pontoise pour le caillassage de policiers en 2007...
Des peines allant de 12 mois de prison avec du sursis à trois ans de prison ferme ont été requises ce vendredi à l'encontre des dix prévenus qui comparaissent devant le tribunal de correctionnel de Pontoise pour le caillassage de policiers à Villiers-le-Bel en 2007. Le jugement a été mis en délibéré au 17 juillet.
Il s'agissait du premier procès consacré aux violences ayant éclaté à Villiers-le-Bel les 25 et 26 novembre 2007, après la mort de deux adolescents dans la collision de leur mini-moto avec une voiture de police.
Un autre procès aux assises fin 2009
Lors de ces violences, une centaine de policiers avaient été blessés par des tirs d'armes à feu et jets de projectiles, un commissaire roué de coups, des bâtiments publics et des commerces détruits.
L'enquête principale, qui concerne les tirs par arme à feu contre les forces de l'ordre, donnera lieu à un autre procès, aux assises fin 2009
Jusqu'à sept ans de prison
Les peines les plus fortes requises par le procureur Emmanuel Gerard concernent les prévenus en récidive légale. Il a ainsi demandé trois ans de prison et un mandat de dépôt contre Wilfried Fie, Terki Bouchiba et Mathieu Bozor qui seraient en état de récidive s'ils devaient être condamnés.
A contrario, les peines les plus «légères» ont été requises à l'encontre des prévenus sans casier judiciaire ou ayant reconnu, en partie, les faits qui leur sont reprochés. Douze mois de prison assortis «d'un large sursis» ont ainsi été requis contre le seul prévenu au casier vierge, Kevin Acar. Les prévenus encourent jusqu'à sept ans d'emprisonnement.
Avec agence
elle en est ou l'enquête de police?
Procès Villiers-Le-Bel: un à trois ans de prison pour les dix prévenus
JUSTICE - Ils comparaissaient pour le caillassage de policiers...
Le tribunal correctionnel de Pontoise a rendu sa décision dans le procès de dix prévenus qui comparaissaient pour le caillassage de policiers à Villiers-le-Bel. Les peines prononcées vont de un à trois ans, comme cela avait été demandé lors des réquisitions.
Les dix jeunes hommes ont été reconnus coupables de violences volontaires sur les forces de police avec les circonstances agggravantes de violences en réunion avec armes et guet-apens en novembre 2007 à Villiers-le-Bel après le décès de deux adolescents.
Sept mandats de dépôt ont été délivrés ainsi qu'un mandat d'arrêt pour l'un des prévenus, absent à la lecture du du délibéré.L'énoncé des peines et de la mise sous mandat de dépôt s'est déroulé dans le calme.
(Avec agence)
JUSTICE - Ils comparaissaient pour le caillassage de policiers...
Le tribunal correctionnel de Pontoise a rendu sa décision dans le procès de dix prévenus qui comparaissaient pour le caillassage de policiers à Villiers-le-Bel. Les peines prononcées vont de un à trois ans, comme cela avait été demandé lors des réquisitions.
Les dix jeunes hommes ont été reconnus coupables de violences volontaires sur les forces de police avec les circonstances agggravantes de violences en réunion avec armes et guet-apens en novembre 2007 à Villiers-le-Bel après le décès de deux adolescents.
Sept mandats de dépôt ont été délivrés ainsi qu'un mandat d'arrêt pour l'un des prévenus, absent à la lecture du du délibéré.L'énoncé des peines et de la mise sous mandat de dépôt s'est déroulé dans le calme.
(Avec agence)
ben les flics dans cette histoire n en vallent pas moinsVivent les racailles de la république française
Vivent les flics tyranniques, qui bafouent les droits de l'Homme, de la république française
de la dite république française tu veux dire :languette:Vivent les flics tyranniques, qui bafouent les droits de l'Homme, de la république française
Villiers-le-Bel: la demande de non-lieu qualifiée de «deuxième peine» par la famille de Moshin Sehhouli
JUSTICE - Les avocats des familles des deux jeunes tués en novembre 2007 vont contester le réquisitoire...
La procureure de Pontoise a pris mi-septembre un réquisitoire de non-lieu dans l'enquête ouverte pour homicide involontaire après la mort de deux adolescents le 24 novembre 2007, révèle ce lundi matin RTL. Les deux jeunes avaient été tués dans un accident entre la mini-moto sur laquelle ils se trouvaient et une voiture de police.
«Une deuxième peine» pour les parents de Moshin
Le père de Moshin Sehhouli, l'un des deux jeunes tués dans l'accident, a qualifié de «deuxième peine», la réquisition d'un non-lieu. «Ce n'est pas cela que j'attendais», a-t-il ajouté: «j'attendais une réponse au moins favorable, une réponse qui peut soulager». «On dirait que je reviens dans le premier jour de décès», a-t-il poursuivi.
Leur décès avait déclenché de vives émeutes dans cette ville du Val-d'Oise. La juge d'instruction devrait suivre l’avis du parquet dans les semaines à venir. Selon elle, les deux jeunes étaient dans leur seul tort lors de l'accident (vitesse excessive, casques non homologué, non respect de la priorité à droite).
M. D.
JUSTICE - Les avocats des familles des deux jeunes tués en novembre 2007 vont contester le réquisitoire...
La procureure de Pontoise a pris mi-septembre un réquisitoire de non-lieu dans l'enquête ouverte pour homicide involontaire après la mort de deux adolescents le 24 novembre 2007, révèle ce lundi matin RTL. Les deux jeunes avaient été tués dans un accident entre la mini-moto sur laquelle ils se trouvaient et une voiture de police.
«Une deuxième peine» pour les parents de Moshin
Le père de Moshin Sehhouli, l'un des deux jeunes tués dans l'accident, a qualifié de «deuxième peine», la réquisition d'un non-lieu. «Ce n'est pas cela que j'attendais», a-t-il ajouté: «j'attendais une réponse au moins favorable, une réponse qui peut soulager». «On dirait que je reviens dans le premier jour de décès», a-t-il poursuivi.
Leur décès avait déclenché de vives émeutes dans cette ville du Val-d'Oise. La juge d'instruction devrait suivre l’avis du parquet dans les semaines à venir. Selon elle, les deux jeunes étaient dans leur seul tort lors de l'accident (vitesse excessive, casques non homologué, non respect de la priorité à droite).
M. D.
Tirs sur des policiers à Villiers-le-Bel : cinq jeunes renvoyés devant les assises
VIOLENCES - L’affaire remonte aux émeutes de novembre 2007...
Cinq jeunes de Villiers-le-Bel (Val-d'Oise) seront bien jugés pour des tirs contre des policiers lors des émeutes de novembre 2007. La chambre de l'instruction de la cour d'appel de Versailles a confirmé ce mardi leur renvoi devant la cour d'assises. Quatre d'entre eux sont soupçonnés de tentative d'homicide volontaire sur des policiers dans les nuits des 25 et 26 novembre 2007 à Villiers-le-Bel ainsi que de détention et port d'arme prohibés. Le cinquième aurait fourni le fusil à pompe, et est poursuivi pour complicité.
Le parquet de Pontoise avait requis le renvoi devant la cour d'assises des cinq personnes mises en examen au cours de l'instruction et les accusés avaient fait appel de l'ordonnance de mise en accusation.
Selon Me Sylvie Noachovitch, avocate d'un des accusés, il n'y a «aucun élément matériel» contre son client, qui a «toujours nié les faits». «Il était sur les lieux mais pour calmer les jeunes et des témoins sont là pour l'attester», a-t-elle affirmé à l'AFP, en ajoutant qu'elle plaiderait l'acquittement devant la cour d'assises.
Un non-lieu avait été requis en faveur des policiers impliqués dans l’accident qui a coûté la vie à deux adolescents. L’information a été rendue publique lundi.
E.D. avec agence
Contexte
Le 24 novembre 2007, deux adolescents, Mushin et Lakamy, avaient été tués dans un accident entre la mini-moto sur laquelle ils se trouvaient et une voiture de police. Deux jours de violences entre jeunes et forces de l'ordre s’ne étaient suivis. Une centaine de policiers avaient été blessés par des tirs d'armes à feu, un commissaire roué de coups, des bâtiments publics et des commerces détruits.
VIOLENCES - L’affaire remonte aux émeutes de novembre 2007...
Cinq jeunes de Villiers-le-Bel (Val-d'Oise) seront bien jugés pour des tirs contre des policiers lors des émeutes de novembre 2007. La chambre de l'instruction de la cour d'appel de Versailles a confirmé ce mardi leur renvoi devant la cour d'assises. Quatre d'entre eux sont soupçonnés de tentative d'homicide volontaire sur des policiers dans les nuits des 25 et 26 novembre 2007 à Villiers-le-Bel ainsi que de détention et port d'arme prohibés. Le cinquième aurait fourni le fusil à pompe, et est poursuivi pour complicité.
Le parquet de Pontoise avait requis le renvoi devant la cour d'assises des cinq personnes mises en examen au cours de l'instruction et les accusés avaient fait appel de l'ordonnance de mise en accusation.
Selon Me Sylvie Noachovitch, avocate d'un des accusés, il n'y a «aucun élément matériel» contre son client, qui a «toujours nié les faits». «Il était sur les lieux mais pour calmer les jeunes et des témoins sont là pour l'attester», a-t-elle affirmé à l'AFP, en ajoutant qu'elle plaiderait l'acquittement devant la cour d'assises.
Un non-lieu avait été requis en faveur des policiers impliqués dans l’accident qui a coûté la vie à deux adolescents. L’information a été rendue publique lundi.
E.D. avec agence
Contexte
Le 24 novembre 2007, deux adolescents, Mushin et Lakamy, avaient été tués dans un accident entre la mini-moto sur laquelle ils se trouvaient et une voiture de police. Deux jours de violences entre jeunes et forces de l'ordre s’ne étaient suivis. Une centaine de policiers avaient été blessés par des tirs d'armes à feu, un commissaire roué de coups, des bâtiments publics et des commerces détruits.
Villiers-le-Bel: L'avocat des deux adolescents accuse les policiers de faux témoignage
FAIT DIVERS - Leur voiture aurait accéléré au moment du choc avec la mini-moto des jeunes de 15 et 16 ans...
L'avocat des deux adolescents tués en novembre 2007 à Villiers-le-Bel (Val d'Oise) lors d'un choc avec une voiture de police aurait déposé plainte pour faux témoignage contre les policiers présents dans le véhicule selon France Info.
Les policiers auraient menti
Selon maître Jean Pierre Mignard, les policiers ont menti au juge «sur un point en particulier» rapporte France Info: «Ils ont affirmé tous les trois avoir roulé à une allure normale, ils soutiennent qu’ils n’étaient pas en mission urgente, ils n’avaient d’ailleurs pas mis leur gyrophare. Or l’expertise est formelle, au moment ou l’accident s’est produit, la voiture venait d’accélérer brutalement, passant de 59 à 64 km/h, une accélération de 5 km/seconde, qui s’est produite a l’entrée d’un carrefour.»
Selon l’avocat, les policiers voulaient, contrairement à ce qu’ils ont dit, couper la route aux jeunes, d’où sa plainte pour faux témoignage, ajoute France Info. A l'issue du procès en octobre dernier, la juge avait rendu un non lieu, estimant que les policiers n’étaient pas responsables de l’accident qui a provoqué trois jours d'émeutes à Villiers-le-Bel. Les familles des victimes ont fait appel de cette décision.
C.C.
FAIT DIVERS - Leur voiture aurait accéléré au moment du choc avec la mini-moto des jeunes de 15 et 16 ans...
L'avocat des deux adolescents tués en novembre 2007 à Villiers-le-Bel (Val d'Oise) lors d'un choc avec une voiture de police aurait déposé plainte pour faux témoignage contre les policiers présents dans le véhicule selon France Info.
Les policiers auraient menti
Selon maître Jean Pierre Mignard, les policiers ont menti au juge «sur un point en particulier» rapporte France Info: «Ils ont affirmé tous les trois avoir roulé à une allure normale, ils soutiennent qu’ils n’étaient pas en mission urgente, ils n’avaient d’ailleurs pas mis leur gyrophare. Or l’expertise est formelle, au moment ou l’accident s’est produit, la voiture venait d’accélérer brutalement, passant de 59 à 64 km/h, une accélération de 5 km/seconde, qui s’est produite a l’entrée d’un carrefour.»
Selon l’avocat, les policiers voulaient, contrairement à ce qu’ils ont dit, couper la route aux jeunes, d’où sa plainte pour faux témoignage, ajoute France Info. A l'issue du procès en octobre dernier, la juge avait rendu un non lieu, estimant que les policiers n’étaient pas responsables de l’accident qui a provoqué trois jours d'émeutes à Villiers-le-Bel. Les familles des victimes ont fait appel de cette décision.
C.C.