Ça continue :
Après l'émeute de mardi au lycée Suger, professeurs et pouvoirs publics estiment qu'un palier a été franchi dans les violences. Des parents d'élèves ayant été placés en garde à vue envisagent de porter plainte contre la police.
Six mineurs mis en examen
violences sur personne dépositaire de l'autorité; publique;, ;attroupement et Six mineurs ont été mis en examen jeudi, deux jours après des violences dans et aux abords de plusieurs lycées de Saint-Denis (Seine-Saint-Denis), où de nouvelles interpellations ont eu lieu. Deux mineurs ont eux été placés sous le statut de témoin assisté. Les huit jeunes comparaissaient devant un juge pour enfants pour «violences sur personne dépositaire de l'autorité publique», «attroupement armé» et «rébellion».
Cinquante-cinq personnes avaient ; interpellées pour ces faits. La majorité; d'entre elles ont mercredi dans la soir.Ce jour-là, après des incidents au lycée Suger, situé dans un quartier réputé difficile, des jeunes s'en étaient pris aux policiers, avaient incendié des poubelles et dégradé du mobilier urbain. Ils avaient aussi commis des dégradations dans un autre lycée et autour d'un troisième établissement. Cinquante-cinq personnes avaient été interpellées pour ces faits. La majorité d'entre elles ont été relâchées mercredi dans la soirée.
http://www.lefigaro.fr/actualite-fr...ences-au-lycee-de-saint-denis.php#xtor=AL-201
Après l'émeute de mardi au lycée Suger, professeurs et pouvoirs publics estiment qu'un palier a été franchi dans les violences. Des parents d'élèves ayant été placés en garde à vue envisagent de porter plainte contre la police.
Six mineurs mis en examen
violences sur personne dépositaire de l'autorité; publique;, ;attroupement et Six mineurs ont été mis en examen jeudi, deux jours après des violences dans et aux abords de plusieurs lycées de Saint-Denis (Seine-Saint-Denis), où de nouvelles interpellations ont eu lieu. Deux mineurs ont eux été placés sous le statut de témoin assisté. Les huit jeunes comparaissaient devant un juge pour enfants pour «violences sur personne dépositaire de l'autorité publique», «attroupement armé» et «rébellion».
Cinquante-cinq personnes avaient ; interpellées pour ces faits. La majorité; d'entre elles ont mercredi dans la soir.Ce jour-là, après des incidents au lycée Suger, situé dans un quartier réputé difficile, des jeunes s'en étaient pris aux policiers, avaient incendié des poubelles et dégradé du mobilier urbain. Ils avaient aussi commis des dégradations dans un autre lycée et autour d'un troisième établissement. Cinquante-cinq personnes avaient été interpellées pour ces faits. La majorité d'entre elles ont été relâchées mercredi dans la soirée.
http://www.lefigaro.fr/actualite-fr...ences-au-lycee-de-saint-denis.php#xtor=AL-201